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Les principes de sécurité et de rentabilité guident nos choix de placements

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Academic year: 2021

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(1)

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I assure, rassure et investit pour votre sécurité ?

L'ECAB, entreprise publique, assure l'ensemble du parc immobilier du canton de Fribourg, soit plus de 92'000 bâtiments. Depuis 1812, ses prestations se sont naturellement développées et sa place prise dans l'économie fribourgeoise n'a fait que grandir. Si le rôle d'assureur est appré¬

cié de tous grâce au niveau bas des primes, les autres services offerts correspondent à une vision moderne et globale du marché. Dirigée comme une entreprise privée, certifiée ISO 9001, la performance est réelle dans tous les secteurs d'activités. L'économie et la population fribourgeoises profitent de cette performance.

Partenaire économique

Nos réserves financières donnent toutes les ga¬

ranties à nos assurés et nous plaçons des mon¬

tants importants, presque exclusivement dans l'économie de notre canton. Les principes de sécurité et de rentabilité guident nos choix de placements. L'ECAB est l'un des trois proprié¬

taires de Pérolles-Centre.

Défense incendie

Elle fait partie de notre mission. L'ECAB subven¬

tionne les corps de sapeurs-pompiers ainsi que l'achat de nouveaux équipements et matériels.

Une contribution importante est donnée pour la formation des cadres et des spécialistes.

Subventions aux communes

Les contributions versées aux communes pour la prévention et la défense contre l'incendie et les éléments naturels atteignent le total de plus de 12 millions en 1998. C'est une participation importante aux budgets communaux et à la sé¬

curité publique.

Formation des partenaires Subventions aux assurés

Assurer, c'est aussi savoir diminuer les risques.

Cette préoccupation a toujours guidé les choix stratégiques de l'ECAB. Nous informons et for¬

mons tous les corps de métiers concernés par la sécurité dans les édifices: ramoneurs, installa¬

teurs, électriciens, inspecteurs. Nous versons plu¬

sieurs millions de francs de subventions à nos assurés (paratonnerres, extincteurs, murs coupe- feu, détecteurs, etc).

Eléments naturels

I 4

L'ECAB est actif dans la prévention en faisant établir des cartes de risques et en colla¬

borant à un aménagement sûr du territoire.

1 «TV*. ^ f ' s \

En cas de sinistre, nous répondons présents.

Nous versons en moyenne plus de 20 millions d'indemnités par an pour des sinistres dus au feu et aux éléments naturels.

Vous, assurés, particuliers et entreprises, vous avez remarqué que nos primes baissent régulièrement malgré des sinistres impor¬

tants.

De 1978 à 1999, à titre d'exemple, pour une va¬

leur assurée de Fr. 500'000.- votre prime est passée de Fr. 500.- à Fr. 275.-.

Etablissement cantonal

(3)

>5. ommaire

Croque-notes 10 Musiciens de la Gruyère à Sorens 30 Ceux de la Broyé à Surpierre 18 Fête des costumes à Romont

11 juin 1999 - N° 11

. • • Loisirs et tourisme 14 Pique-nique et grillades en plein air 25 Le tourisme en Gruyère et Sion 2006

19 Estavayer-le-Lac

se veut belle pour les touristes

£ ditorial

Comme la langue, le téléphone est à la fois la meilleure et la pire des choses!

Mais c'est selon la manière dont il est uti¬

lisé qu'il vous rend les plus grands ser¬

vices ou vous met les nerfs en boule.

Vous, Madame, qui avez appelé l'autre jour la Rédaction, vous n'êtes pas la pre¬

mière, la seule et dernière victime. Cer¬

tains plaisantins s'amusent en effet à feuilleter le botin et à composer un numé¬

ro pour le simple plaisir de faire accourir quelqu'un à l'appareil, de rire sur ce qu'il répondra ou encore pour lui faire des me¬

naces, bien que ce ne soit pas très intelli¬

gent!

Et vous qui vivez seule dans une maison familiale, qui ne connaissez pourtant au¬

cun ennemi, vous m'avez dit: «Il serait bon que vous parliez une fois du télépho¬

ne dans votre billet, car trop de gens à l'heure actuelle se font un malin plaisir d'appeler non seulement de jour mais en¬

core de nuit, sans aucune explication».

Oui, Madame, comme ce serait agréable de répondre à des coups de fil, si chacun se bornait à dire pourquoi il appelle. Mê¬

me si ce n'est pas pour une conversation, au moins pour dire bonjour, bonsoir, bon¬

ne nuit! Il se peut aussi qu'au même ins¬

tant, une autre personne tente de vous ap¬

peler pour quelque chose de plus important. Que de fois on vous dit: «Je vous ai appelé à plusieurs reprises, mais c'était toujours occupé, alors j'ai renon¬

cé».

Vos biens en sécurité 12 Protéger votre maison du feu

et des cambrioleurs

Hors les murs

26 Du travail en perspective pour le comité AJB et la Fondation

«Les Colombettes»

Couverture:

Carpe Diem

Au cœur du Valais les Bains de Saillon:

source de bien-être, de liberté, d'équi¬

libre, de sérénité et de détente.

PHOTO DARBELLAY, MARTIGNY

Ce téléphone qui...

Il y a quelques jours, un monsieur presque centenaire, m'a également appe¬

lé pour me dire qu'il en avait marre de re¬

cevoir des coups de fil anonymes. Il est vrai que l'emploi abusif du téléphone par des gens qui n'ont certainement rien trou¬

vé d'autre pour se distraire, est parfois énervant. «Le plus désagréable, dit-il, c'est d'être réveillé en sursaut à n'impor¬

te quelle heure de la nuit, alors que le sommeil est déjà très court pour un hom¬

me de mon âge». Je suis comme vous, monsieur, conscient qu'à la longue, cela provoque une angoisse qui empêche bon nombre de personnes à répondre par crainte de ce qu'elles pourraient ap¬

prendre.

Nous ne vivons qu'une fois sur cette ter¬

re, alors pour quelle raison la vie doit-elle encore être perturbée? Ce serait pourtant si facile de se discipliner et de faire que cette invention si utile soit agréable pour tous. Et puis respecter le bien-être de cha¬

cun est aussi une question d'éducation.

Tant de choses le seraient si l'on voulait simplement y mettre un peu de bonne vo¬

lonté. Car le téléphone utilisé à bon es¬

cient rend de tels services et facilite telle¬

ment la vie que nous ne saurions plus nous en passer.

Gérard Bourquenoud

(4)

Les Rencontres théâtrales

de Bulle ont su faire rire leur public

Avec leur huitième édition, les Ren¬

contres théâtrales de Bulle prouvent que l'enthousias¬

me des années 80/90 est encore en pleine évolution créative et surtout déborde de vie. Des pièces plus clas¬

siques des débuts, elle met l'accent cette année sur un programme ouvert à de jeunes auteurs et metteurs en scène. Un spectacle aussi qui associe les en¬

fants avec les Voleurs de temps et du spectacle d'om¬

bres chinoises.

La raison du succès toujours plus grand au fil des années de ces jeux scéniques variés est certainement le contact étroit recherché entre les acteurs en scène et les spectateurs dans la salle. Ceux-ci sont sensibles au côté festif auquel ils sont invités à se joindre et ils le ma¬

nifestent sans réserve. Une salle pleine tous les soirs. Que demander de plus pour des ac¬

teurs ravis.

«Maudit Destin», de Gaël Sala, jouée par

«Le Thing», de Bulle

«La Pièce»

de Jean-Daniel Bovey, par La Catillon, Gruyères se sont partagés les faveurs du

public.

La présidente du comité d'organisation, Marie-Thé¬

rèse Ruffieux, souligne que l'un des objectifs de ces Rencontres théâtrales, est de donner une possibi¬

lité de s'exprimer à de jeunes auteurs et met¬

teurs en scène. Cette an¬

née, Gaël Sala présentait son premier essai avec Maudit destin. Après le trac de l'entrée en scè¬

ne, il a réussi à se donner à fond dans l'expression de jeu des six acteurs de la troupe

«Le Thing». Le public a com¬

pris cet univers imaginaire où la violence est partout présen¬

te.

Le charme particulier de ces désormais habituelles Ren¬

contres théâtrales réside dans un courant affectif établi entre le public et les acteurs d'un soir. Et puis, la fin du spectacle n'est pas la fin de la rencontre.

Tous sont invités à poursuivre la soirée entre amis. Marie- Thérèse Ruffieux espère bien provoquer de nouveau, l'an prochain, ce côté festif grand gagnant cette année.

Texte et photos J.S.B.

(5)

Mais Fribourg a eu aussi ses chantres unificateurs: «Ne donnons pas trop de pouvoir aux communes, contrôlons les préfets!» Cette politique per¬

mit sans doute de conserver l'unité du canton et de déve¬

lopper des institutions remar¬

quables comme les Entrepri¬

ses Electriques Fribourgeoise par exemple. L'Etat cantonal, au pouvoir centralisé à des fins politiques, eut ainsi certains heureux effets. Le besoin de s'autosuffire comme catho¬

lique a amené à la fondation de l'Université dont le rayon-

demeure, comme un automa¬

tisme. Non pas qu'il s'agisse pour les régions périphériques de contrer Fribourg-Ville: au contraire, tout le canton a inté¬

rêt d'avoir un centre fort. Mais cela ne doit se faire que dans le respect des autres entités ré¬

gionales. Elles ne doivent pas être pénalisées par cette situa¬

tion. Fribourg-Centre et les ré¬

gions doivent pouvoir tirer profit d'une saine répartition des tâches. L'un et les autres ne doivent s'affronter mais collaborer. Le Sud du canton commence d'établir des ré-

Notre invité

les égoïsmes. Le Fribourg du XXIe siècle est apte à se forger un avenir radieux. C'est là no¬

tre vœu.

Fribourg, un et divers par Jean-Paul Glasson,

syndic de Bulle

/l est courant de dire que le canton de Fri¬

bourg est bilingue, que ses paysages vont des lacs à la montagne et que les carac¬

tères des gens diffèrent d'une région à l'autre.

Rien de très surprenant en Suisse. Fribourg, premier canton occidental à joindre la Confédération, avait son propre pays, les contrées les plus voisines de l'aristocratique cité et, d'abord, la Singine. C'est là, incontestablement, le noyau de notre petit Etat, le cercle magnifiant notre fière capitale. De pacte en pacte, de par l'histoire, de germanique, Fribourg en Nuithonie acquit un statut francophone et des terres conquises ou alliées. Ainsi se sont forgés, peu ou prou, les contours de notre république, une mosaïque remarquable au plan cul¬

turel notamment. On re¬

trouve sur les travées du Grand Conseil cette diver¬

sité saine et étonnante.

nement est très grand aujourd'hui. Tout ce¬

la ne saurait cacher une certaine mainmi¬

se de la capitale sur l'ensemble du pays.

Leurs excellences d'autrefois asser- vissaient les cam¬

pagnes qui ne l'ap¬

préciaient guère.

Fribourg était un

canton-ville: «Terres su¬

jettes, baissez la tête et incli¬

nez-vous devant les décisions de ceux qui savent.» Des anta¬

gonismes politico-religieux se firent jour. Le Fribourg uni institutionnellement gardait ses diversités et ses caractères régionaux.

Que dire de la situation d'au¬

jourd'hui? Tout ce qui est rele¬

vé plus haut appartient-il dé¬

sormais à l'histoire? Les évolutions des mentalités et des technologies, la mobilité et les communications notam¬

ment ont changé notre canton, comme la Suisse. Fribourg s'est ouvert, démocratisé. Le réfle¬

xe de centrage sur la capitale

seaux, dans les do¬

maines hospitalier, écono¬

mique et autres. Il s'agit de ne pas casser cette dynamique comme celles qu'on voit poindre dans la Broyé et ailleurs. La conception direc¬

trice de l'aménagement du ter¬

ritoire doit respecter à la fois la position centrale de ville et les aspirations légitimes des périphéries. Le débat institu¬

tionnel que pourrait ouvrir une nouvelle constitution amène¬

rait aussi une réflexion sur le rôle des diverses composantes territoriales du canton. Tout cela est bienvenu si le poids de la concertation l'emporte sur

(6)

Nous les jeunes

Il y a dix ans, lorsque quelques mordus de l'ordinateur ont or¬

ganisé à Lostallo le premier Computer-Camp pour la jeu¬

nesse suisse selon la devise

«ordinateur, soleil, jeu et di¬

vertissement», le monde de la communication en était encore à ses balbutiements. Depuis cette date, environ 8000 jeu¬

nes garçons et filles entre huit et dix-huit ans ont passé leurs vacances autour des bits, des octets et de l'internet. Au¬

jourd'hui, les camps organisés à Misox, dans le Sud, au San Bernardino, en Normandie (F) et à l'Ile de Wight (GB) propo¬

sent, outre des connaissances porteuses d'avenir sur l'infor¬

matique, des cours de langues et un large éventail de sports et de loisirs. Le premier cours du 10e été en compagnie de l'or¬

dinateur débutera le 27 juin

1999 à Lostallo. Pour une in¬

formation plus complète, il suffit de téléphoner au 091/

830 14 88 ou de faxer votre message au 091/830 16 41, ou encore d'écrire à Computer- Camps, 6558 Lostallo.

G. Bd

Computer-Camps pour la jeunesse

suisse

Les petits chanteurs 4'Ursy

Nos plus belles chansons Un CD des

«Petits chanteurs

d'Ursy»

Pendant plus de dix ans, les Petits chanteurs d'Ursy ont collectionné les succès en Suisse et à l'étranger. Ils ont d'autre part eu l'honneur de nombreuses émissions à la Té¬

lévision suisse romande et en¬

registré plusieurs disques (45 et 33 tours) qui, depuis, ont su¬

bi l'outrage des ans ou sont épuisés.

Pour tous ceux qui aimeraient entendre à nouveau ces voix

enfantines sous la direction de Marcel Colliard, ainsi que les chansons de Thierry Fervant, les Petits chanteurs d'Ursy ont décidé de rééditer un CD de quinze chansons enregistrées à l'époque.

Un beau souvenir qu'il est possible d'obtenir au prix de 25 francs (port compris) au¬

près de Marcel Colliard, 1670 Ursy.

(7)

Devant la porte, une ribambel¬

le de nains de jardin montent la garde. C'est que Marie-Jo Conus est une personne des plus précieuses au sein de la sympathique fanfare. Née à Fribourg le 2 décembre 1956, la pétillante directrice compte à son actif 25 ans de musique.

A six ans, elle jouait déjà allè¬

grement de l'accordéon, puis à dix ans, elle s'initie au tam¬

bour, pour ensuite passer au bugle, mais... «Je ne pouvais ni parler, ni rire! C'était trop contraignant», raconte l'es¬

piègle musicienne. Touche-à- tout, elle jongle ensuite aisé¬

ment avec les baguettes de batterie. Aujourd'hui directri¬

ce, elle se sent bien à sa place.

43 musiciens

«La Lyre» compte 43 musi¬

ciens, âgés de 13 à 74 ans. Ap¬

pelée autrefois «fanfare ou¬

vrière» la société réunissait dans ses rangs beaucoup de gens de condition modeste, des ouvriers de tous bords. Au fil du temps, la petite for¬

mation est devenue adroite et remarquée. Si les musiciens

Quelques musiciens de «La Lyre».

La quarantaine dynamique, l'œil vif et malicieux, le sourire généreux et la plaisanterie au bout des lèvres, Marie-Jo Conus est une femme pleine de res¬

sources et de tonus. La jolie maison, qui abrite la directri¬

ce de «La Lyre» - la plus petite fanfare de la ville de Fri¬

bourg - est bien cachée dans le quartier de la Neuveville.

rient bien lors des répétitions, ils n'en oublient pas pour au¬

tant le sérieux et le travail assi¬

du.

«C'est merveilleux la musique!»

On ne s'ennuie guère sous le toit de la famille Conus. Tous sont musiciens et jouent dans les rangs de la petite fanfare.

«C'est une passion qui prend beaucoup de temps, mais c'est tellement merveilleux la mu¬

sique!» lance la joviale direc¬

trice. Et lorsque Marie-Jo Co¬

nus dispose d'un léger répit, elle s'active dans son jardin, sous l'œil protecteur de Blan¬

che-Neige et de ses nains de jardin. Créatrice aussi, la di¬

rectrice de «La Lyre» est éga¬

lement experte en peinture sur bois. Mais la musique reste sa véritable et dévorante passion.

Do-ré-mi-fa-sol-la-si-do... c'est qu'elle a de l'oreille Madame Marie-Jo!

Marinette Jaquier

«La Lyre» Musique Ouvrière de Fribourg

Elle a du tonus,

Marie-Jo Conus!

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Marie-Jo chez elle. PHOTO MJ

(8)

VOTRE AGENT GÉNÉRAL

Il s'est entouré de spécialistes pour vous assister et vous conseiller dans tout ce qui touche à l'assurance. Et cela de

façon simple, personnalisée et loyale. Les agences générales sont de véritables centres de compétences qui regroupent des professionnels chevronnés dont le métier consiste à répondre à toutes vos questions. Ils sont à votre

service en tout temps et en tout lieu

Baechler Armin Generali Assurances Fribourg

Beaud Jacques Rentenanstalt Bulle

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Descloux Dominique Zurich, Service financier Fribourg

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Dousse Serge Winterthur Assurances Fribourg

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Kuenlin Pascal La Bâloise Fribourg

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Martinet Jean Bernoise Assurances Granges-Paccot

Mauron Marcel Allianz Assurances (Suisse) Fribourg

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Overney Conrad Elvia Vie Fribourg

Perritaz Bernard Winterthur Assurances Bulle

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Savary Jean-Pierre Rentenanstalt Fribourg

Scherzinger Paul La Mobilière Assurances & prévoyance Morat

Stritt Yvan Vaudoise Assurances Fribourg

Torche Dominique La Mobilière Assurances & prévoyance Estavayer-le-Lac

Vonlanthen Rudolf La Fribourgeoise Düdingen

Zapf Albert La Bâloise Fribourg

V

CHAMBRE FRIBOURGEOISE DES AGENTS GÉNÉRAUX D'ASSURANCES

(9)

La Chambre fribourgeoise

des agents généraux d'assurances

(CFAGA)

A cœur ouvert

La porte du bureau s'entrouvre. Deux petits yeux malicieux m'in¬

forment du dynamisme de l'homme qui m'attend. Un cordial bonjour se fait entendre, suivi d'une cha¬

leureuse poignée de main, celle de Felix Bürdet, pré¬

sident de la CFAGA. Je me sens dès lors très à l'aise et m'installe confortable¬

ment pour entamer mon interview, première dé¬

marche de mon travail de journaliste... les étapes suivantes franchies, ma plume à l'appui, je puis vous inviter à parcourir, l'espace de quelques ins¬

tants, la vie d'une cham¬

bre. ..

Pour mieux nous situer, une compagnie d'assurance comp¬

te 3 canaux de vente princi¬

paux: la vente directe, par exemple par téléphone suite à une pub TV, la vente par le biais de courtiers, indépen¬

dants qui travaillent pour plu¬

sieurs compagnies et faisant des propositions diverses aux clients et la vente par le biais de conseillers en assurance, travaillant pour une compa¬

gnie spécifique dans une ré¬

gion déterminée. Ces conseil¬

lers sont dirigés par un agent général.

La CFAGA est donc un re¬

groupement de 35 agents géné¬

raux d'assurance occupant quel¬

que 700 collaborateurs dans le canton. Elle compte parmi les 15 chambres cantonales ou ré¬

gionales affiliées à la FSAGA (Fédération Suisse des Agents Généraux d'assurances).

Elle traite les questions profes¬

sionnelles de tout genre et dé¬

fend les intérêts de ses mem¬

bres vis-à-vis des compagnies, des consommateurs, des autres organisations professionnel¬

les, des autorités, des instances politiques, ainsi que de l'opi¬

nion publique. Plus précisé¬

ment, voici quelques tâches:

» la sauvegarde et l'améliora¬

tion de l'éthique profession¬

nelle

• la promotion de l'idée de l'assurance privée

• la collaboration active à l'élaboration de la législation des assurances et de l'impo¬

sition fiscale

> le soutien à la formation pro¬

fessionnelle

• la gérance des questions pro¬

fessionnelles de tout genre

Felix Bürdel, président de la Chambre fribourgeoise.

(exemple actuel: répartition des contrats étatiques (valeur 10 millions de francs) au sein des assurances

• le contrôle de l'évolution de la vente d'assurances (analy¬

ser les besoins puis proposer le produit = vente basée sur le conseil)

• la protection du titre d'agent général

• la liquidation des litiges entre membres par l'intermé¬

diaire d'une commission d'arbitrage

Face à la nouvelle ère infor¬

matique (ex. Internet), a-t-on aujourd'hui encore besoin de conseillers physiques, partant d'agents d'assurances? La ré¬

ponse de Félix Bürdel est un oui catégorique. Je suis confiant, les statistiques le prouvent: 85% des contrats sont obtenus par cette voie hu¬

maine directe. Le monde des assurances est vaste, très vas¬

te. Il est difficile pour le client de s'y trouver et de faire seul un choix judicieux et bien ci¬

blé. En fait, à chacun son mé¬

tier... et puis l'informatique doit rester une aide; elle ne remplacera jamais l'homme.

Fort heureusement nous au¬

rons toujours besoin du contact humain!

Nadia Maillard

(10)

C'r(H|ue-notes

Giron des musiques

de la Gruyère

Des notes et des spectateurs

par milliers uelle chance que les

vannes célestes se 'fermées et qu'un so¬

leil resplendissant a fait son apparition le di¬

manche, ce qui a récom¬

pensé tous ceux et celles qui, depuis deux ans, tra¬

vaillaient dans l'ombre, pour que la fête soit belle.

Et elle le fut sur tous les points, puisque plus de 10000 personnes se sont déplacées à Sorens pour le cortège.

Emotions du XXe siècle Tel était le thème choisi par les organisateurs pour ce grand rassemblement des musiciens de la Gruyère qui a déroulé ses fastes le troisième week-end de mai 99, avec la participa¬

tion d'une trentaine de fan¬

fares et corps de musique, de magnifiques chars qui comme les groupes, faisaient revivre les anciens travaux à la cam¬

pagne, la mob de 1914/18 et celle de 1939/45, les vieux mé¬

tiers et l'artisanat, la bière Car¬

dinal, sans oublier les fans de Gottéron et de Philippe Du- pasquier, champion de moto¬

cross. Un cortège qui fut ou¬

vert par un troupeau pie rouge avec les cornes, suivi par celui

de la race pie noire sans cor¬

nes. Combien de spectateurs ont vu la différence? Un seul sur une dizaine à qui nous avons posé la question a été capable de nous dire dans quel troupeau les vaches avaient les cornes. C'est tellement à la mode que les gens ne font mê¬

me plus attention.

Le village était agréablement décoré de sapins et de fleurs artificielles confectionnées du¬

rant l'hiver par les dames de ce village gruérien qui étaient fières de leur labeur. Un cortè¬

ge aux multiples couleurs et aux milliers de notes musi¬

cales qui a créé un immense élan de joie dans la foule, mal¬

gré la contribution exigée pour le plaisir des yeux et de l'ouïe.

Les dragons: plus qu'un souve- photos G. BD

La fanfare «L'Albergine», Le Pâ- quier.

Un retour aux sources Ce ne sont pas moins de 800 ressortissants de Sorens qui sont revenus dans leur village d'origine le samedi, afin de vivre quelques heures de re¬

trouvailles et découvrir les arbres généalogiques, un tra¬

vail de titan réalisé par Jean- Claude Romanens. Ce week- end de festivités dont le budget se montait à 350000 francs, va certainement laisser un beau bénéfice à la fanfare de Sorens, ceci grâce aussi au bénévolat de quelque 700 per¬

sonnes. N'oublions pas la po¬

pulation de la Gruyère qui a admirablement joué le jeu et qui était de cœur avec les mu¬

siciens. Un atout dont les orga¬

nisateurs d'une telle fête peu¬

vent se féliciter.

Gérard Bourquenoud

(11)

La fanfare de Sâles dans son beau costume bleu.

Deux demoiselles d'honneur, la tête baissée.

Une image d'antan.

* -r'S '

•I?\m 't - fr ki

La fanfare «L'Edelweiss» de Charmey.

_ i Vu, -*

Mi v »

(12)

Les conseils du bpa

pour prévenir des accidents

domestiques

Manque de temps et stress sont les fac¬

teurs le plus souvent à l'origine des accidents, en particulier lors des net¬

toyages. Le Bureau suisse de prévention des acci¬

dents bpa conseille de re¬

noncer au nettoyage tradi¬

tionnel du printemps et de répartir les travaux de net¬

toyage sur toute l'année.

On enregistre tous les ans, en Suisse, plus de 300000 acci¬

dents dans les domaines du ménage, du jardin et des loi¬

sirs. Beaucoup d'entre eux sur¬

viennent lors de travaux de nettoyage. Les nettoyages en grand peuvent être à l'origine de stress et d'imprudence: des câbles et des objets qui traînent peuvent faire trébucher, des surfaces mouillées entraînent

Le Bureau suisse de prévention des accidents bpa conseille de ré¬

partir les travaux de nettoyage sur plusieurs jours au lieu de s'exposer à un grand stress en voulant tout faire en un jour.

sur plusieurs jours. Rappelez- vous la devise «être pressé = danger!»

• Mettez des vêtements adé¬

quats: et des chaussures solides à semelles antidéra¬

pantes.

• Utilisez des accessoires adé¬

quats: renoncez aux chaises, caisses ou piles de livres pour atteindre des endroits situés en hauteur; servez- vous d'une échelle ou d'un escabeau adéquat.

i Pour nettoyer le côté exté¬

rieur des vitres, procurer un essuie vitre à long manche recourbé plutôt que de grim¬

per sur le rebord de la fe¬

nêtre.

i Renoncez dans la mesure du possible aux détergents cor¬

rosifs au profit d'un produit non toxique. Conformez- vous au mode d'emploi. Les détergents seront rangés hors de potée des enfants.

1 Vérifier les fiches et câbles de vos appareils électro¬

niques. Prudence dans les zones humides: courant électrique + eau = danger de mort!

(comm.)

des glissades et des chaises ou caisses utilisées à la place d'une échelle stable provoquer des chutes. Le manque de temps peut inciter à l'emploi de détergents toxiques et cor¬

rosifs qui, utilisés de manière inadéquate, nuisent à la santé.

Bon nombre d'accidents sont dus à la manipulation erronée d'outil et d'appareil électro¬

niques. Ne jamais se départir de son calme et agir avec ré¬

flexion, tel est le moyen le plus sûr de prévenir des accidents domestiques et en particulier ceux lors du nettoyage!

Les «6 règles d'or des travaux de nettoyage»

permettant de prévenir des accidents. Les voici:

• Planifier vos travaux. Au lieu de s'exposer à un grand stress en voulant tout faire en un jour, répartissez-les

Entreprises Electriques Fribourgeoises Freiburgische Elektrizitätswerke

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(13)

Ce bâtiment est le seul dans le canton qui ne sera jamais cam¬

briolé. Et pourquoi? Parce que c'est la prison de Fribourg.

PHOTO G. BD

Une installation faite par un spé¬

cialiste pour dormir en paix.

Pour que vos biens

soient en sécurité

durant vos vacances et toute l'année

L augmentation du nombre de cam¬

briolages dans les habita¬

tions et les entreprises est un aspect particulièrement pénible de notre société moderne. Le sentiment d'insécurité et la détresse humaine qui résulte de la poussée de la criminalité pose des questions poli¬

tiques urgentes, pas uni¬

quement dans notre pays.

En dépit des campagnes de prévention et d'information organisées par la police et les pouvoirs publics, les vols et les dégâts occasionnés aux ha¬

bitations privées et aux socié¬

tés se chiffrent par milliards.

De plus en plus de particuliers et de chefs d'entreprise recher¬

chent des solutions fiables pour se protéger, et pour pré¬

server leurs biens. Dans la plu¬

part des cas, l'installation d'un

système de sécurité est la solu¬

tion recommandée, même si celle-ci ne peut empêcher un cambriolage par effraction.

L'expert en sûreté et mal¬

veillance vous indiquera que la protection d'un lieu com¬

mence par une installation mé¬

canique adéquate qui retardera ou fera perdre patience. Autre élément important à prendre en considération, c'est le temps nécessaire que prendra

le service d'intervention.

Donc la formule idéale, c'est le temps que nécessite l'ef¬

fraction, lequel doit être supé¬

rieur au temps de détection et de transmission, auquel il faut ajouter la résistance méca¬

nique.

Quelques minutes suffisent.

Imaginez tout ce qu'un cam¬

brioleur pourrait voler dans votre maison ou dans votre en¬

treprise en une dizaine de mi¬

nutes. Songez à la valeur fi¬

nancière des objets volés, mais aussi à la valeur réelle qu'ils représentent pour vous. Sans parler de la pensée angoissante

«et si quelqu'un se trouvait dans la maison».

Autre menace inquiétante, le feu. Les incendies font de ter¬

ribles ravages et ne respectent rien, même pas les vies hu¬

maines. Un système de sécuri¬

té n'est certes pas en mesure d'empêcher un incendie, mais il peut faire la différence entre la vie et la mort. 11 vous per¬

mettra de quitter à temps un bâtiment en flammes et - en alertant immédiatement les premiers secours - de limiter les dommages causés à vos biens.

La sécurité chez vous Chaque système de sécurité est différent. L'essentiel, c'est qu'il soit adapté à vos exi¬

gences. Pour identifier vos be¬

soins avec un maximum de précision, prenez contact avec un expert en sécurité, pour procéder à une analyse dé¬

taillée de votre maison ou de votre bâtiment à protéger.

Vous pouvez vous contenter d'une alarme sonore, mais il est préférable de choisir un système de transmission auto¬

matique à une centrale de sur¬

veillance; celle-ci réagira dès réception d'une alarme prove¬

nant de votre installation.

Gérard Bourquenoud

(14)

Le plaisir du pique-nique l'Iiiisirs cstixaiix

L'ambiance d'une soupe de cha¬

let en plein air.

Joutes les activités de plein air, excur¬

sions à pied ou à vélo, donnent faim! Pourquoi donc ne pas échanger une fois la table du res¬

taurant par un repas im¬

provisé dans la nature, par exemple une grillade ou un pique-nique? Une idée qui procure une dé¬

tente bienvenue et pro¬

met des souvenirs inou¬

bliables, en particulier pour les enfants.

Un menu sur la braise La grillade en plein air ou le pique-nique ont chacun leurs attraits. Tous deux exigent l'amour et la compréhension de la nature ainsi que la capa¬

cité de se comporter correcte¬

ment, en accord avec elle, afin que l'environnement demeure intact. Ne pas abandonner des bouteilles, des boîtes de conserve ou d'autres détritus.

Nous apprécions de trouver un endroit propre et en ordre, donc le laisser ainsi après votre pique-nique.

Les amis de la nature préfére¬

ront la grillade au pique-nique, l'atmosphère est bien plus sympa. Et les enfants adorent cela et ne s'y ennuient prati¬

quement jamais. Il existe dans le commerce des grils démon¬

tables et pratiques pour réussir à merveille des grillades sans aucun danger. Il est évident que l'on peut très bien installer un feu de camp soi-même, à condition d'avoir des égards pour l'environnement. Les carrières ou le lit asséché d'un cours d'eau sont en général les

endroits préférés pour vivre une journée en plein air. Il est toutefois conseillé d'encadrer le foyer de grosses pierres, afin que le feu ne puisse s'étendre et que des brandons ne puis¬

sent être emportés par le vent.

Le feu doit être surveillé et il est absolument nécessaire de le recouvrir de sable et de pierres avant de quitter l'en¬

droit, car tout foyer non éteint peut devenir dangereux dans la nature et en forêt.

Ciel bleu et soleil

Le succès d'une randonnée en famille dépend souvent des ca¬

prices du temps qui peut chan¬

ger rapidement. Un coup d'oeil au ciel est indiqué, surtout lors d'une grande excursion. Un orage est si vite arrivé et c'est irritant qu'une promenade se termine en bain forcé simple-

La marmite sur le feu est l'usten¬

sile le plus ancien pour réussir un pot-au-feu. PHOTO PRISMA

ment parce que l'on ne s'est pas préoccupé du temps. Voici quelques conseils d'observa¬

tion:

Le beau temps stable se mani¬

feste par des vents faibles, de petits nuages isolés. Il faut par contre s'attendre à du mauvais lorsque le vent souffle en ra¬

fales, que des nuages se for¬

ment à l'ouest, lorsque le so¬

leil ou la lune sont entourés d'un halo, ou encore lorsque l'aurore est d'un rose pronon¬

cé.

D'autres signes sur le temps qu'il va faire dans les 24 heu¬

res:

(15)

Pique-nique au pied du glacier du Trient. PHOTOS G. bd

l'Iiiisirs estivaux

Quand les hirondelles volent bas, la pluie n'est pas loin.

Pour la raison que ces oiseaux se nourrissent d'insectes et lorsque l'humidité de l'air est élevée, des gouttelettes d'eau se forment dans le système respiratoire des moustiques, lesquels ne volent plus dans le ciel mais très près du sol, rai¬

son pour laquelle, les hiron¬

delles se mettent à voler très bas. Les épicéas réagissent aussi à l'augmentation de l'hu¬

midité par un changement de couleur. Lorsque les forêts d'épicéas paraissent plus fon¬

cées, il faut s'attendre à des précipitations. Enfin, nous pouvons compter sur notre

nez. Si les fumiers et les fosses à purin sont particulièrement odorantes, c'est que la pres¬

sion atmosphérique est tom¬

bée et que s'annonce ainsi une détérioration du temps. En ef¬

fet, les bactéries saprophytes sont très actives lorsque la pression baisse, ce qui ex¬

plique la production accrue d'odeurs.

Pour un agréable pique-nique estival, il suffit de s'assurer du temps qu'il va faire et vous al¬

lez vivre des journées excep¬

tionnelles dans la nature.

Gérard Bourquenoud

SOURIRE A LA VIE

De la pipe au loyi sur le

bredzon Si par hasard vous avez réussi une photo insolite de votre fille

ou de votre fils de moins de sept ans, nous vous invitons à nous l'envoyer avec nom, prénom, date de naissance et domicile.

Son portrait fera l'objet d'une publication dans une prochaine édition de notre revue bimensuelle. Chaque photo qui sera publiée bénéficiera d'un abonnement gratuit de trois mois à notre magazine. Elle sera rendue après parution, ceci pour autant que l'adresse des parents soit mentionnée.

Envoyez donc vos photos à:

Rédaction de Fribourg Illustré Rubrique «Sourire à la vie»

Rte de la Glâne 31,1701 Fribourg.

François n'avait que deux ans et demi lorsqu'il portait le bredzon et le loyi et qu'il ten¬

tait d'allumer sa pipe. Agé au¬

jourd'hui de cinq ans, il s'en¬

tend admirablement avec son frère Sébastien, sept ans, et sa sœur Delphine, deux ans.

Tous trois vivent avec leurs parents Antoine et Christine Menoud, à Grangeneuve-Po- sieux.

(16)

Cumulera'

/I y a un demi-siècle, Raymond Sudan, ébé¬

niste de métier, avait son atelier de travail derrière la vieille poste de Vuadens.

En 1954, il achetait la mai¬

son sise sur la route du Maupas 42, où il fabriqua durant quelques années des meubles, des matelas, des sommiers, mais essen¬

tiellement des chambres à coucher qu 'il vendait à cet¬

te époque à Tinguely Ameublements et à d'autres marchands de la région.

Fort de son expérience acquise par ses parents avec lesquels il a toujours travaillé, Martial Sudan se charge surtout de donner des conseils, d'établir des devis, de la livraison gra¬

tuite du mobilier et du monta¬

ge au domicile des clients. Il est secondé dans sa tâche par son fils Olivier qui œuvre de¬

puis trois ans comme ébéniste dans l'entreprise et s'occupe également de la restauration de certains meubles. Quant à Emma, l'épouse de Martial, elle consacre une partie de son activité quotidienne à la vente et à l'accueil des clients pour la visite de l'exposition.

Connue dans toute la Suisse romande et même au-delà de nos frontières, tout particuliè-

Sudan

Ameublements,

Vuadens

Un label de qualité

à votre service

Ayant abandonné par la suite la fabrication du mobilier pour se vouer entièrement au com¬

merce, il agrandissait en 1970, pour la première fois, son ex¬

position, période au cours de laquelle, le meuble rustique était encore très prisé par la clientèle. Seize ans plus tard, son fils Martial reprenait l'en¬

treprise à son compte et l'a adaptée au fil des ans à l'évo¬

lution et à la mode des jeunes.

Un deuxième agrandissement fut réalisé en 1989, alors que récemment, de nouveaux lo¬

caux ont été aménagés à l'ar¬

rière du commerce, espace ré¬

servé surtout au meuble rustique.

rement pour la bien facture de ses meubles, la confiance et le service après-vente, Sudan Ameublements, à Vuadens, est une entreprise familiale qui a acquis ses lettres de noblesse grâce à son label de qualité, à ses profondes racines et à son flambeau qui est transmis de père en fils. Un atout qui va permettre à la troisième géné¬

ration de regarder l'avenir avec sérénité!

Gérard Bourquenoud Martial Sudan, à gauche, l'actuel propriétaire et exploitant de ce commerce, en compagnie de son fils Olivier, qui représente la troi¬

sième génération.

de qualité pour tous les goûts et toutes les bourses Gaie, modulable, notre paroi «jeunesse»...

...venez la découvrir!

Le spécialiste du véritable

«Alcantara»

(56 couleurs à choix) Livraison gratuite Facilités de paiement Service après-vente

Rmeublements m Sudan VUADENS

Tél. 026/912 79 39 Fax 026/913 19 39 Notre exposition est ouverte jusqu'à 19 heures, le samedi jusqu'à 16 heures.

Ouverture le jeudi soir jusqu'à 21 heures.

"j££ëvî4*''

(17)

Bull'Jardin

La passion de créer

et d'embellir des paysages

Kspace et jardins

ondée en 1988 par M. Bernard Steinhel- ber, paysagiste, l'entreprise Bull Jardin peut se préva¬

loir d'avoir acquis une grande expérience dans le domaine d'étude et de créa¬

tion d'aménagements exté¬

rieurs. Voilà plus de dix ans qu'elle se consacre à cet art. Un travail de créa¬

tion et d'entretien qui com¬

bine à la fois le savoir-faire et l'audace, la tradition et l'innovation. «Je commen¬

ce à être reconnu dans le métier. Il a fallu du temps et de la persévérance et sur¬

tout effectuer un travail de qualité», explique-t-il.

Le métier de paysagiste a connu de nombreux boulever¬

sements et une certaine mo¬

dernisation. Aujourd'hui, il re¬

vient en force malgré les difficultés dans le domaine de la construction. L'éventail de ses activités est maintenant très large. Cela va de l'entre¬

tien à la réalisation d'un jardin en passant par la pose d'une clôture ou d'une séparation en bois, l'entretien du gazon, etc.

Le professionnel qui veut se

Fontaine, plantes et pavés se ma¬

rient admirablement.

Une terrasse qui vous invite à une pause-café.

maintenir doit faire preuve de compétence. A ces compé¬

tences s'ajoutent des qualités artistiques.

Associé à Jean-Pierre Wehren, détenteur d'une maîtrise fédé-

Bureau d'architecture Aménagement extérieur - Entretien _ m Etude et création È m Places de sports

^ m W * Jardins terrasses iMàz.

Route de la Colline 5 Fax 026/912 16 39

1635 LA TOUR-DE-TREME Tél. 026/912 34 39 Natel 079/230 76 91

raie, Bernard Steinhelber affir¬

me avoir misé sur un person¬

nel de qualité. L'entreprise Bull Jardin emploie actuelle¬

ment 11 personnes. «Des jardi¬

niers et des paysagistes quali¬

fiés ayant de bonnes connaissances des végétaux et spécialisé dans la taille, l'en¬

tretien et les techniques utili¬

sées actuellement dans leur domaine», selon le chef d'en¬

treprise de La Tour-de-Trême.

Pour étendre l'offre à la clien¬

tèle, l'entreprise Bull Jardin s'est aussi spécialisée dans la rénovation de vieilles fermes.

«On essaie de redonner aux vieux sites leur aspect original en réalisant des aménage¬

ments de qualité et en ayant du goût et l'art du métier. Pour

cela, on essaie de rester dans le naturel en travaillant avec des produits nobles comme le bois ou la pierre naturelle et en évi¬

tant du ciment», ajoute Ber¬

nard Steinhelber.

Autre constat: depuis quelques années, beaucoup de proprié¬

taires des villas font surtout de la rénovation comme l'agran¬

dissement des terrasses, le remplacement des pavés, l'amélioration des chemine¬

ments, etc. A moindres frais, on peut aménager une villa à condition de choisir le bon matériau, pense-t-il. Pour cela, Bull Jardin effectue des devis sans engagements adaptés à toute réalisation.

Paul W. Tekadiozaya

(18)

Folklore

È I ne fête naît après V/ une longue prépa¬

ration. Une préparation par l'esprit d'abord, puis par les couleurs et par la musique. C'est vrai qu'il n'y a pas de fête sans musi¬

ciens, ni sans fleurs! Mais, à Romont en ce milieu d'un mois de mai pluvieux, il y avait aussi des sourires, des étoffes et des broderies, de l'émotion, un spectacle et de l'artisanat. Des gens qui étaient venus «pour voir», peut-être avec une simple curiosité, mais qui repartaient avec du rêve devant les yeux, et quelque chose de plus dans le cœur.

Fête cantonale

des costumes à Romont

La G ruyère

boude-t-elle la FFCC?

Une fête des costumes, même sans soleil complice, c'est tout un spectacle empreint d'ami¬

tié. Bien sûr, il y eut aussi une partie officielle, avec des dis¬

cours cela va de soi! Et même l'assemblée générale de la Fé¬

dération fribourgeoise du Cos¬

tume et des Coutumes, jeune

Une délégation du Marlv.

*Bluet» de

sexagénaire, au cours de la¬

quelle le président démission¬

naire Cyrill Renz fut rempla¬

cé, non pas par un, mais par deux nouveaux présidents re¬

présentant chacun les deux communautés linguistiques:

Claude Conus, de Châton- naye, et Toni Lehmann, de Sankt-Antoni. Une période d'essai - a-t-on dit - quitte à modifier les statuts en consé¬

quence, si la formule s'avère

Les enfants costumés étaient pour la majorité du Lac et de la Singi-

concluante!...

Une honnête fête des costumes se doit d'offrir un spectacle.

Ce qui est une manière de fai¬

re participer tous ceux qui le souhaitent au déploiement de musique, de couleurs, de chants et de danses. Avec l'es¬

poir que le spectateur d'au¬

jourd'hui sera peut-être l'ac¬

teur de demain. Le spectacle existe pour «montrer». On montre ce qu'on aime, ce qui nous tient à cœur, ce qu'on a de plus beau, ce qu'on souhai¬

te faire partager aux autres.

C'est un moment de vérité: ce¬

lui qui regarde, admire mais juge aussi. Inconsciemment, il choisit qui il préférerait être, à qui il voudrait ressembler, quel costume il préférerait se

L'enthousiasme des enfants pour le costume.

(19)

Eugène Grandjean, président du CO du 60e de la FFCC en bonne compagnie. photos G. bd

Les plus jeunes avec leur monitri¬

ce.

vêtir. Hier, les spectacles étaient moins désinvoltes, moins décontractés, voire mê¬

me un brin rigide. Aujour¬

d'hui, on préfère offrir un spectacle plus détendu, plus

proche de l'attitude qu'on a dans la vie quotidienne, tel

«Fribourg en sept jours» avec ces danses qui rompent la mo¬

notonie, ces mains qui s'agi¬

tent pour établir un lien entre celui qui s'exprime et celui qui regarde. C'est tout cela qui s'est profondément mêlé; la rencontre de ceux qui portent le costume et de ceux qui le contemplent, avec cet instant de communion entre eux, qui est la raison d'être essentielle d'une véritable fête populaire.

Albert Jaquet

Une saison touristique qui s'annonce

tout feu, tout flamme c

ela fait maintenant quatorze ans qu 'Isa¬

belle Droz dirige l'Office du tourisme d'Estavayer- le-Lac et organise des sai¬

sons touristiques qui font le plaisir des vacanciers et des habitants de la Cité de la Rose. Nous l'avons ren¬

contrée dans son univers pour qu 'elle nous présente le programme de cette an¬

née.

Quelles sont les nouveautés proposées aux touristes?

A Estavayer, il y a le petit train touristique qui fait le tour de la ville et va jusqu'aux plages. Il est très apprécié par les groupes, les enfants et les per¬

sonnes âgées, notamment celles qui ont des difficultés à marcher. C'est une manière dif¬

férente mais toute aussi char¬

mante de découvrir la cité. Un minigolf vient d'être inauguré à proximité du tennis, en bor¬

dure du lac. Sur demande et à partir de 10-12 personnes, l'of¬

fice du tourisme met sur pied des apéritifs en plein air, avec

dégustation de produits du ter¬

roir. Dès cet été, les commer¬

çants staviacois organiseront, tous les mercredis, un marché sur la place St. Laurent.

Pour la Broyé fribourgeoise, on peut noter l'ouverture ré¬

cente d'un caveau de dégusta¬

tion de vin à Cheyres (Rensei¬

gnements au 026/663 28 77).

Quelles seront les autres activités marquantes de la saison?

La traditionnelle Brocante au cœur de la ville, le 2e vendredi et samedi d'août, constitue un événement sympa. Il y a une

à Estavayer-le-Lac Madame Isabelle Droz, directrice

de l'Office du tourisme d'Esta- vayer-le-Lac

ambiance typique de va¬

cances, car les brocanteurs sont heureux de se retrouver à Estavayer en plein été. La ville verra pour la seconde fois des peintres se réunir pour le Sep¬

tembre pictural. Cette année, des artistes venus de Bologne en Italie sur le principe du mé¬

cénat, exerceront leur art en ville. Ils vendront ensuite une de leur œuvre réalisée sur pla¬

ce, ceci pour permettre de fi¬

nancer la prochaine édition.

Quant aux amateurs, ils pour¬

ront participer à un concours de peinture. Durant cette ma¬

nifestation, on pourra écouter de la poésie et peut-être même du rap...

Pour les passionnés d'archéo¬

logie, il est possible de revivre des instants de la Préhistoire au village lacustre de Glette-

rens. Un groupe d'animateurs en archéologie propose des vi¬

sites guidées du village, des démonstrations et divers ate¬

liers de fabrication d'outils, ainsi que la préparation puis la dégustation d'un repas néoli¬

thique (Renseignements au 026/667 20 72).

Et au niveau des festivités?

On peut relever l'Aquafiesta, joute sportive organisée le 10 juillet, par la Société de jeu¬

nesse, le championnat de Wa- keboard (sport nautique) les 24-25 juillet et les concerts de l'Estivale, les 6-7 août. Sans oublier le 1er août au bord du lac et la traditionnelle Fête des vendanges à Cheyres et la Bé- nichon.

Les touristes n'ont qu'a bien se tenir, car on ne s'ennuie pas à Estavayer et dans la Broyé fribourgeoise...

Texte et photo:

Nathalie Balmat

(20)

Chaque année, on re¬

cense en Suisse près de 10 000 décès consécutifs à un arrêt cardiaque. La plupart des victimes sont fauchées dans la force de l'âge. La raison? Les chances de survie en cas de complication de l'infarctus du myocarde sont minces, parce qu'il n'y a pas assez de non-professionnels pour intervenir au moment pré¬

cis. Certes, on peut rester perplexe devant une perte de conscience: est-elle due à une décharge électrique, à l'ébriété, à la suffoca¬

tion, à l'épilepsie, à un trouble d'ordre diabéti¬

que... ou encore à un pro¬

blème cardiaque? L'im¬

portant est d'identifier rapidement le symptôme.

Les femmes comme les hommes qui ressentent une douleur thora- cique oppressive doivent prendre la chose au sérieux et voir un mé¬

decin rapidement.

PHOTOS FONDATION SUISSE DE CARDIOLOGIE

Sauver

des

vies

avec

la

réanimation cardio-pulmonaire

L'arrêt cardiaque hors du mi¬

lieu hospitalier fait une victi¬

me par heure dans notre pays.

C'est pourquoi l'Interassocia- tion (IAS) et la Fondation suisse de cardiologie (FSC)

ont créé conjointement REA- VITA, le prix de réanimation destiné à récompenser les non- professionnels de la santé qui, en intervenant dans les règles de l'art, ont permis aux vic¬

times d'un arrêt cardiaque de rester dans le monde des vi¬

vants. Le règlement de ce prix précise que le patient doit avoir repris une vie normale à cent pour cent.

La technique de la réanimation cardio-pulmonaire - qui est une sorte de combinaison du bouche-à-nez et du massage cardiaque - peut s'apprendre dans des cours spéciaux pour non-professionnels dispensés

Lynda Metref de Bussigny, 17 ans, lauréate du prix REAVITA 98.

Catherine Sutter, 40 ans, de Tolochenaz, lauréate du prix REAVITA 98.

par les associations de samari¬

tains ou autres associations de sauvetage.

L'an passé, le prix est allé à deux vaudoises: Lynda Me¬

tref, 17 ans, de Bussigny, qui a sauvé un jeune de seize ans qui s'était effondré au réfec¬

toire de l'école, alors que Ca¬

therine Sutter, 40 ans, de Tolo¬

chenaz, a ramené à la vie un homme qui était tombé devant elle sur le trottoir, suite à un arrêt cardiaque.

Ces deux dames ont reçu le prix REAVITA, un brevet et une montre gravée lors du 8e

Symposium suisse de médeci¬

ne d'urgence, à St-Gall.

Pour de plus amples rensei¬

gnements, nous vous invitons à prendre contact avec la Fon¬

dation suisse de cardiologie, Schwarztorstr. 18, 3000 Berne 14.

G. Bd

(21)

Lors d'une excur¬

sion au pays du so¬

leil qui se nomme le Va¬

lais, vous découvrirez entre Martigny et Sion, sur la rive droite du Rhô¬

ne, dans un décor de vignes et de sommets, une station thermale qui jouit d'un attrait indé¬

niable, ce qui explique le développement fort ré¬

jouissant des Bains de Saillon.

Le plein de santé

Une nouvelle philosophie du bien-être, du fitness, du sport et de la beauté qui fait de ce centre thermal une véritable oasis de plaisirs et de détente pour jeunes et moins jeunes.

En étant proche des stations al¬

pines que sont Verbier, Crans- Montana, Nendaz, Veysonnaz.

Ovronnaz, Les Mayens-de- Riddes et les Portes du Soleil, vous aurez tout loisir de prati¬

quer le ski sur les plus beaux domaines skiables du Valais,

Les Bains

de Saillon Nouvelle image du thermalisme

en Suisse sans oublier les pistes de fond, les patinoires et les halles de curling. Vous êtes également à quelques minutes d'un court de tennis, d'un terrain de golf et d'un parcours Vita. Vous avez en plus la possibilité d'effectuer de belles randon¬

nées pédestres et de parcourir toute la vallée à bicyclette. Il existe donc tout ce qu'il vous faut pour vivre un agréable sé¬

jour de remise en forme et fai¬

re le plein de santé.

Un séjour dans le calme Construite dans un environne¬

ment exceptionnel et une ré¬

gion privée de toute industrie, Suite à la page 24

Fitness et relaxation. PHOTO G. BD

(22)

Au cœur du Valais

Les Bains de Saittori

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Station Thermale

Suisse —f . .•-„

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CâY|e

Découvrez notre univers de bien-être

# 4 piscines thermales

# Espace bien-être "Carpe Diem

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week-ends découvertes

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Renseignements: 027/743 11 12

(23)

Msxgj(gjgg Bien-être

Autour de Saillon, les vignobles, les vergers, le panora¬

ma alpin, les tré¬

sors historiques.

PHOTO DARBELLAY, MARTIGNY

Soins et santé La douche rayonnante

Etendu sur un matelas, une fine pluie d'eau thermale est diffusée sur l'ensemble de votre corps par une ram¬

pe de douche mobile.

La douche des Bains de Saillon

Comme la précédente, mais avec un massage sous l'eau.

La nouvelle piscine extérieure inaugurée l'an passé.

PHOTO G. BD

la station thermale de Saillon bénéficie d'un accès rapide par l'autoroute et l'aéroport de Sion. Elle est équipée d'un hô¬

tel quatre étoiles qui comprend 71 chambres et des immeubles qui abritent quelque 360 stu¬

dios et appartements tout con¬

fort reliés au Centre thermal par un accès couvert, lequel occupe aujourd'hui 130 per¬

sonnes, tous secteurs confon¬

dus. Cet établissement hôtelier dispose également de salles de conférences et séminaires, de restaurants avec terrasses et jardin d'hiver, dans lesquels vous aurez le plaisir de savou¬

rer des spécialités du Valais, des fruits et légumes fraîche¬

ment cueillis dans les champs des alentours, alors qu'un

snack est à votre service pour calmer votre fringale à toute heure.

Les plaisirs de l'eau

A Saillon, vous pourrez les goûter sous toutes les formes.

Que ce soit pour suivre un trai¬

tement sous la surveillance experte des médecins et phy- siothérapeutes, ou tout simple¬

ment à titre préventif en profi¬

tant des bienfaits des sources captées dans la montagne.

Cette station du bien-être au cœur du Valais vous propose également une multitude de soins adaptés à vos problèmes de santé, des séjours de déten¬

te pour une remise en forme, des séjours minceur, beauté, maman, bébé, une journée Carpe Diem, des week-ends découvertes, sans oublier le séjour de revitalisation de plus en plus prisé par les personnes

Se refaire une santé dans cet en¬

droit magnifique.

PHOTO DARBELLAY, MARTIGNY

soumises à des stress répétés.

Pour satisfaire sa clientèle tou¬

jours plus nombreuse du can¬

ton de Fribourg et d'ailleurs, le Centre thermal de Saillon comprend plusieurs piscines couvertes et ouvertes avec tous les équipements mo¬

dernes. Celle qui ressemble à un immense coquillage et qui a été construite en prolonge¬

ment de l'actuel bassin semi- olympique, est équipée de lits de massages. Elle fait le bon¬

heur des enfants comme des adultes.

Située à 460 m d'altitude, la station thermale de Saillon est un véritable paradis de cures et de vacances. Son atmosphère intime vous séduira, alors que l'accueil de son aimable per¬

sonnel vous invitera à y reve¬

nir très souvent. Je ne vais donc rien dire de plus sur l'art du bien-être de ce petit paradis valaisan, car je suis convaincu de vous rencontrer demain déjà!

Gérard Bourquenoud

Massage manuel

Soin individuel effectué par un masseur.

Les applications d'algues Prodiguées localement, elles sont sédatives et relaxantes.

La sophrologie (par physiothérapie) Technique de relaxation physique et mentale pour gérer son stress.

Le drainage lymphatique Traite notamment les œdè¬

mes d'origine traumatique ou chirurgicale.

La dermotonie

Un dépressomassage très ef¬

ficace contre la cellulite.

Bain hydromassant Soin individuel en baignoire par des jets multiples.

L'Aquagym

Gymnastique assouplissante et tonifiante.

Ecole du dos

Comment vivre avec les douleurs dorsales.

Prophylaxie et thérapie.

(24)

L'Association touristique

de la Gruyère:

du dynamisme et de l'action

Tourisme

De gauche à droite: M. Pierre Cottier, président ATG, M"" Ni¬

cole Mettraux, directrice ATG, M.

Marco Blatter, directeur de l'As¬

sociation Suisse du Comité Olym¬

pique et membre du comité d'or¬

ganisation Sion 2006.

Bonhomme de neige: action pub hiver 98-99 ATG.

Lors de son assemblée généra¬

le qui s'est tenue récemment dans les locaux d'Espace Gruyère SA, à Bulle, le prési¬

dent de l'ATG, Pierre Cottier, a relevé qu'à l'échelle nationa¬

le, suite notamment à l'ouver¬

ture de nouveaux pays au tou¬

risme et à la régression du nombre de nos visiteurs, Suis¬

se Tourisme et l'UFT ont dû se réorganiser et adapter leur structure. Chacun sait que lorsque Suisse Tourisme éter- nue, ses structures vassales doivent soigner un rhume. M.

Cottier nous rassure: l'asso¬

ciation qui a reçu son label de qualité tient la route! Malgré les services d'usage à son mo¬

teur, l'ATG est un véhicule stable, solide et bien manœu¬

vre par une nouvelle équipe pleine de dynamisme, d'ambi¬

tion et de foi dirigée par Nico¬

le Mettraux, jeune directrice de 23 ans, laquelle est soute¬

nue par deux collaboratrices.

Le mot «action» a le vent en poupe à l'ATG: pensons no¬

tamment aux bonhommes de neige en bordure de routes l'hiver passé, la construction du funi de Moléson, des nou¬

velles installations mécani¬

ques dans les diverses stations et de la halle d'exposition «es¬

pace Gruyère SA». L'objectif principal à viser actuellement est l'amélioration de l'accueil.

Pour ce faire des moyens vont être mis sur pied: construction d'hôtels, création d'activités diverses à l'intérieur et à l'ex-

M. Marco Blatter, directeur de l'Association Suisse du Comité Olympique et membre du comité d'organisation Sion 2006.

térieur, édition du journal

«Rendez-vous» permettant une meilleure information, recon¬

duite du Passeport La Gruyè¬

re», installation d'un tableau panoramique sur la terrasse du Restoroute, distribution d'un dépliant «panorama» dans les hôtels de Suisse romande et création d'un site Internet sous le nom de www.LaGruyère.ch.

Et ce n'est là qu'une partie du programme d'action... Sou¬

haitons bon vent à cette nou¬

velle équipe qui saura, soyons en certains, flatter sur sa terre et au-delà de ses frontières, cette belle région qu'est la Gruyère!

Union fribourgeoise du tou¬

risme: nouveaux dirigeants A l'échelon cantonal, André Genoud, arrivé à la fin de son mandat, a remis les reines de l'UFT au nouveau président Hubert Lauper, alors que Tho- bias Zbinden officie en qualité de vice-président.

Sion 2006

«Les Jeux du cœur, au cœur des Alpes»

Samedi 19 juin sur le coup de 14 h 30 (7 h 30 heure suisse) tombera à Séoul le verdict de l'attribu¬

tion des Jeux Olym¬

piques d'hiver 2006.

Sont en compétition:

Helsinki (Finlande), Kla¬

genfurt (Italie, Autriche Slovaquie), Poprad Ti (Slovaquie), Turin (Italie), kopagne (Pologne) et bien Sion 2006!

L'association olympique suis¬

se, dirigée par Marco Blatter, partenaire de Sion 2006, jeux de la transparence et du fair- play, est à l'origine de la can¬

didature suisse et se veut confiant! Nos atouts sont le cadre exceptionnel, le climat idéal, la concentration des cites, la candidature nationale (3e inscription après 1976 et 2002) et l'expérience des ma¬

nifestations sportives interna¬

tionales. Un point fort à rele¬

ver est la qualité technique de la candidature qui a été recon¬

nue par le rapport de la com¬

mission d'évaluation du CIO.

La Suisse veut les JO. Les signes de soutien à la candida¬

ture se multiplient chaque jour. L'enthousiasme se veut politique, économique et sur¬

tout humain. 78% des Suisses et 87% des jeunes sont favo¬

rables à la candidature helvé¬

tique suite à un sondage publié par la TV alémanique.

Nadia Maillard

(25)

Hors les murs

Du travail en perspective à

l'approche du troisième millénaire

Q

' ue faut-il attendre , du travail accom- plFpar la commission de réflexion? Que va déci¬

der le comité de l'Asso¬

ciation Joseph Bovet et que va-t-il changer ces prochains mois? Autant de questions auxquelles il est pour l'instant diffi¬

cile de répondre. Ce qui est certain, c'est que le comité en question a du pain sur la planche pour une année, si ce n'est plus! Il devra en outre envisager une antenne à l'intérieur du canton de Fribourg pour établir les contacts nécessaires avec les Fribourgeois de l'ex¬

térieur.

Une nouvelle image de marque

L'enquête faite par la commis¬

sion de réflexion présidée par Martial Pasquier, de Renens, pour tenter de comprendre ce qui ne fonctionne pas très bien au sein de l'Association Joseph Bovet et la Fondation

«Les Colombettes», a permis d'établir que certaines sociétés sont quelque peu allergiques aux activités de l'AJB et qu'elles auraient même dépen¬

sé de l'énergie pour s'en déta¬

cher. De plus, il a été constaté qu'il y a une grande différence de dialogue dans les girons, que toujours moins de monde accepte de s'impliquer dans les manifestations. Ce manque d'enthousiasme est dû en par¬

ticulier aux difficultés finan¬

cières des Colombettes qui re-

Vue partielle de celte assemblée des délégués. PHOTOS G. BD

Quelques délégués lors du cortè¬

ge dans le village de Cressier.

présentent un fardeau pour la plupart des cercles affiliés à l'AJB. D'autre part, les buts ne correspondent plus aux at¬

tentes des Fribourgeois de l'extérieur et que l'heure est venue pour l'Association Jo¬

seph Bovet d'ouvrir ses portes aux sociétés culturelles, musi¬

cales et folkloriques du Pays de Fribourg où l'image de

marque se doit d'être amélio¬

rée par une présence plus ac¬

centuée de l'AJB à l'intérieur du canton.

Des échanges culturels Désireux de redonner une flamme et une dynamique à l'ensemble des cercles, les dé¬

légués avaient décidé à l'una¬

nimité lors de l'assemblée ex¬

traordinaire de février dernier, de séparer les activités de l'AJB et de la Fondation «Les Colombettes». Parmi les nom¬

breuses propositions faites par la commission de réflexion à la rencontre du 2 mai, à Cres- sier/NE, il y aurait lieu de dé¬

velopper des activités nou-

Robert Kolly, président de l'AJB, lors de son allocution.

velles répondant à notre époque, de créer un bulletin d'information de l'AJB, de soutenir le comité dans son ac¬

tion, d'entreprendre des dé¬

marches constructives en vue d'un rapprochement de l'AJB avec les sociétés de l'intérieur, de prévoir des échanges, de développer la culture et d'en¬

visager une promotion du cha¬

let «Les Colombettes» par le biais de l'Union fribourgeoise du tourisme.

Tout cela pour informer objec¬

tivement tous nos compa¬

triotes hors les murs sur le des¬

tin de l'Association Joseph Bovet, en particulier ceux et celles qui n'ont pas eu l'op¬

portunité d'assister à la derniè¬

re assemblée des délégués, à Cressier.

Gérard Bourquenoud

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' ft î)

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(Alexandra Martins) ou par écrit à Fribourg Illustré, CP 331, 1701 Fribourg

Le costume

reprend

de l'aile

Bien qu ils soient plus de 83 000 à vivre hors du can¬

ton, tous les Fribourgeois ne portent pas le bredzon ou le dzaquillon, même si le cos¬

tume de la terre d'origine a tendance à reprendre de l'ai¬

le et être à nouveau à la mo¬

de dans bon nombre de cercles ou sociétés de l'exté¬

rieur, tout particulièrement où il y a des chorales ou des groupes de danse. Est-ce le fait que la vie de société re¬

prend ses droits, ou alors que les jeunes n'ont trouvé aucune nouveauté tant sur le plan musical que folklo¬

rique, qu'ils "manifestent un certain goût pour le costu¬

me? Si vraiment cela se confirme, une telle constata¬

tion serait vraiment encou¬

rageante pour le maintien des traditions du Pays de Fribourg à l'extérieur du canton.

Texte et photos G. Bd

(27)

INDEX DES SALLES - PAYS GOURMAND Exclusivité

FRIBOURG ILLUSTRÉ A = Assemblées et conférences B = Banquets de sociétés C = Congrès - Concerts - Théâtre E = Expositions N = Repas de noces S = Séminaires

GI UJYÈRE CHARMEY

Hôtel Cailler T. 026/927 62 62

F. 026/927 62 63 - Jusqu'à 260 places A-B-C- E-N-S Suggestions gastronomiques Oui CRÉSUZ

Hôtel du Vieux-Chalet T. 026/927 12 86

F.- Mardi,

sauf juillet-août Jusqu'à 250 places A-B-

C-N Tournedos Vieux-Chalet Oui ÉCHARLENS

Auberge de la Croix-Verte

T. 026/915 15 15 F. 026/915 17 70 MUussar^CimMCiitldi

Dimanche soir

et lundi 120 places A-B- N-S

Cuisses de grenouilles

Spécialités de saison Oui GRUYÈRES

Hostellerie St-Georges T. 026/921 83 00

F. 026/921 83 39 Dimanche soir et lundi

Ferm. annuelle déc.-fév. 200 places A-B-C-

E-N-S Suggestions gastronomiques Non MORLON

Café Gruyérien T. 026/912 71 58

F. 026/912 16 84 [ Mardi 10 à 120 places

Accès chaise roulante A-B-

N-S Filet de sandre du lac Oui SALES

Hôtel de la Couronne T. 026/917 81 121

F.- 1 Lundi Jusqu'à 250 places A-B-

N-S Petit menu gastronomique Oui

SINGINE "V.LÏ *'

ILAC-NOIR/SCHWARZSEE IT. 026/412 16 32

iHôtel Primerose au Lac I F. 026/412 12 661 ■40,100,160 places IA-B-C-I

E-N-S Spécialités de saison Oui

■">vr SARINE lECUVILLENS

| Auberge Communale IT. 026/411 01 10 I Dimanche soir I à 2ftft I A - B - C ■

lF. 026/411 01 09 I et lundi | U a iW' places | E-N-S Cuisine du terroir

Spécialités de saison Oui IFARVAGNY

■Restaurant du Lion-d'Or IT. 026/411 1130

IF. 026/411 11 45 Mercredi I 60 à 500 places | A-B-C

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