• Aucun résultat trouvé

(Systèmes d information)

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "(Systèmes d information)"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

( Systèmes d’information )

Les avantages offerts par ce nouveau mode d’exploitation en ligne des logiciels semblent faire du SaaS un passage obligé. Mais en y regardant de plus près, toutesles fonctions de la supply chain ne s’y prêtent pas.

Performance insuffisante des réseaux de communications, coûts cachés, etc. La prudence doit tempérer l’engouement.

Le SaaS, souvent avantageux,

mais à manier avec prudence

(2)

proposer un outil standardisé, peu ou prou identique d’un client à l’au- tre, avec une mutualisation des don- nées au niveau des serveurs. »

Un mode de consommation. La performance de ce mode de “consom- mation” du logiciel, d’autant plus fort que le marché du logiciel B to B est proche de la stagnation, s’appuie donc sur un certain nombre d’avan- tages pour ses utilisa- teurs, répétés à l’envi par les éditeurs : la fac- ture est à la hauteur de la consommation, inu- tile d’investir dans des infrastructures infor- matiques, plus besoin de recruter des compétences externes pour les fonc- tions informatiques, les mises à jour se font automatiquement, la stan- dardisation de l’outil assure son bon fonctionnement, sa mise en œuvre est rapide et facile, il n’y a pas les coûts cachés de la licence liés aux mises à jour et à la maintenance.

Et surtout,« le SaaS permet aux entre- prises de se recentrer sur leur cœur de métier », affirme Philippe Seguin, directeur application et cloud chez

S

on succès est indéniable.

Le chiffre d’affaires du SaaS, ou Software as a Service, a progressé de 28 % en 2014 sur le mar- ché de l’Hexagone. Chez les édi- teurs français, il représente désor- mais 17 % de leur activité. En 2015, il devrait représenter 1,5 milliard d’euros, tous éditeurs

confondus, selon le Syntec Numérique* (cf encadré). Mais qu’est- ce que le SaaS ? « Il se définit selon deux aspects : la facturation et la technologie utili- sée, rappelle Philippe Guilhaumou, dirigeant

et fondateur du conseil BestFree- Choice. En SaaS, le client ne possède plus le logiciel mais le loue et paie un abonnement à hauteur de sa consommation. Il ne faut pas le confondre avec une location où le prix serait le même tous les mois, quel que soit le nombre de flux trai- tés. Dans ce cas, il y a des chances que l’outil proposé soit en mode ASP, ou Assistance Service Provi- der. Ce qui amène à parler de la technologie : le mode SaaS revient à

La standardisation de l’outil assure son bon fonctionnement, sa mise en œuvre est rapide et facile, il n’y a pas les coûts cachés de la licence.

©Fotolia ©Fotolia

(3)

( Systèmes d’information )

Generix, éditeur qui a décidé il y a quelques années de ne plus proposer que du SaaS à ses nouveaux clients.

Plutôt dédié à ses débuts aux petites entreprises qui ne pouvaient pas finan- cer une licence et se retrouvaient condamnées au fameux papier-crayon, le SaaS semble aujourd’hui faire des émules à tous les niveaux. Ainsi, Sim- ply Market, enseigne de supermarchés du groupe Auchan, a adhéré au WMS en SaaS en mai 2014, et FM Logistic a aussi choisi la même application pour sa filiale russe sur les activités produits frais.

Pour Didier Santurette, directeur du développement de l’intégrateur et édi- teur ACSEP, cela ne fait aucun doute,

« demain tout le monde sera en SaaS. Depuis trois ans que nous proposons cette solution avec notre WMS IzyPro, nous n’avons plus vendu une seule licence. Tous nos clients demandent le SaaS. »Il cite ainsi aussi bien un e-commerçant comme Aliséo, qui ne souhaitait pas investir dans une licence, que le groupe Labatut qui a fait le choix du SaaS lors de l’ouverture d’un nouvel entrepôt dédié au e-com- merce.

Des limites à ne pas ignorer.

Cependant, des éditeurs, même impli- qués dans ce nouveau mode d’exploi- tation logicielle, en voient certaines limites. C’est le cas de Negsys, qui avait lancé en mars 2014, lors de la SITL, l’opération « 180 jours pour être satisfait

> Est-ce que le mode SaaS est adapté à mon activité et à mes contraintes ?La question a l’air naïve et pourtant elle est essentielle. Il est important de simuler et de comparer les coûts d’une licence et du SaaS, en prenant en compte les coûts cachés, comme une mise à jour du logiciel lorsqu’on est en mode licence.

> Que comprend mon contrat ?L’importance de la lecture du contrat n’est pas à sous-estimer. Tous les éditeurs n’intègrent pas les mêmes services dans leur contrat. Les éléments à regarder de près sont : la réversibilité, l’accès à la hotline (par téléphone ou par mail, la couverture horaire, la remontée de l’incident récurrent, etc.), les conditions de mise à jour, le temps de réponse garanti, l’accès au logiciel, les conditions de sauvegarde des données…, etc.

Ne pas oublier non plus que le mode SaaS comprend dans son prix les mises à jour, contrairement à l’ASP (Assistance Service Provider), qui se présente lui aussi comme un abonne- ment, mais qui ne fluctue pas selon le nombre de données échangées ou le nombre d’utilisateurs et pour lequel il n’y a pas de mutualisation pour l’éditeur.

> Est-ce que je dispose d’un débit suffisamment élevé pour une bonne communication avec l’éditeur-hébergeur ?Un débit trop faible par rapport au type d’activité peut entraîner des temps de réponse trop longs ou des interruptions à des moments gênants. Certains éditeurs proposent dans ce cas l’installation d’une ligne dédiée qui représente un coût supplé- mentaire, parfois important lorsque l’entreprise se situe dans une région reculée.

> Quel est le niveau de sécurité garanti nécessaire à mon projet ?Une sauvegarde de données supplémentaires aura un coût. Demander à disposer d’un serveur dédié (pas de mutua- lisation avec d’autres entreprises) sera également facturé par l’éditeur.

> Quelles garanties et dédommagements en cas de défail- lance de l’éditeur ? L’éditeur est-il fiable ?La solidité économique de l’éditeur est encore plus importante en mode SaaS qu’en mode licence. En effet, si l’éditeur disparaît, tous les services s’arrêtent, contrairement au mode licence qui laisse le temps de changer de fournisseur.

Les questions à se poser à propos du SaaS

(4)

et remboursé »et consacre aujourd’hui 70 % de son activité d’éditeur au SaaS.

Pour son directeur commercial, Patrick Rehel, «toutes les entreprises ne feront pas ce choix. Nous atteindrons peut-être un jour les 85%, mais il n’y aura pas 100%, notam- ment parce qu’il s’agit d’une politique d’en- treprise. Certains dirigeants, certains sec- teurs d’activité, ne sont pas prêts

à perdre la main sur leur outil informatique et préféreront tou- jours assurer sa gestion en interne. »Ce constat n’em- pêche pourtant pas Philippe Rehel d’envisager de deve- nir un pure player du SaaS dans les prochaines années.

Face à l’engouement, quelques voix s’élèvent en effet pour mettre en garde contre une adhésion trop incondition- nelle. «Pour commencer, le contrat doit être regardé d’aussi près que s’il s’agissait d’une licence, prévient Didier Santurette. Il faut se poser toutes les questions et obtenir toutes les informations de la part de l’édi-

teur »(cf. encadré « Les questions à se poser avant d’opter pour le SaaS »).

Ensuite, il est également important de ne pas voir dans le SaaS un Graal que toute entreprise se doit de chercher.

«Lorsque nous avons lancé notre solution On demand en 2013, beaucoup d’entreprises nous ont contactés, se souvient Evelyne Ray- naud, directrice d’a-SIS, filiale informatique de Savoye.Après discussion avec les équipes d’a-SIS, le SaaS n’a pourtant pas été sys- tématiquement la solution choisie. »Pour l’éditeur, ce mode d’accès n’est pas adapté aux installations mécanisées, «qui exigent un temps de réponse très court, ce que ne peut garantir un logiciel hébergé à dis- tance, et mutualisé. Dans ce cas, il convien- drait d’installer une ligne de connexion dédiée à l’installation et dans certaines situations géographiques. Cet ajout coûterait tellement cher qu’il ferait perdre l’avantage économique du SaaS. » Évelyne Raynaud préfère donc

Il est important de ne pas voir dans le SaaS un Graal que toute entreprise se doit de chercher.

©Fotolia

(5)

( Systèmes d’information )

Logistiques Magazine : Comment évolue le marché du SaaS ?

Laurent Baudart :Selon l’enquête semestrielle Syntec Numérique-IDC, sur un marché français du logiciel B to B de 10,6 milliards d’euros en 2014 (2 % de croissance), le SaaS

représente déjà près de 11 %,

soit 1,15 milliard d’euros. Et cette part s’élèvera à 13,5 % l’an prochain. En effet, le chiffre d’affaires du SaaS a progressé de 28 % en 2014 et devrait continuer de progresser sur le même rythme l’an prochain pour approcher le milliard et demi d’euros de chiffre d’affaires.

Chez les éditeurs français

(6 % de croissance en 2013), ce sont même 17 % du chiffre d’affaires (9,2 milliards d’euros) qui étaient réalisés en SaaS en 2013 (55 % en licences), selon le dernier panorama Top 250 Syntec Numérique-EY.

Enfin, pour les entreprises dont le chiffre d’affaires n’excède pas 50 millions d’euros, et qui sont généralement celles qui ont une offre pour la logistique, le SaaS représente aujourd’hui 26 % de leur

activité. La tendance engagée il y a quelques années se confirme donc, et un retour en arrière semble impossible. Clairement, la croissance du marché est tirée par les recettes du SaaS et tous les éditeurs s’y sont mis ou envisagent de s’y mettre.

L.M. :Le mode SaaS suppose d’importants investissements pour la plupart des éditeurs (développements,

hébergement, réorganisation des forces commerciales, etc.). Comment expliquer alors son succès ?

L.B. :Avec le SaaS, les éditeurs n’ont plus à travailler que sur une seule version de leur logiciel. De plus, les mises à jour se font de façon centralisée et non plus client par client. L’ensemble est donc plus facile à gérer. Mais attention néanmoins, le virage vers le SaaS suppose une certaine solidité économique de l’entreprise, non seulement parce qu’il y a des investissements importants à engager au début,

mais aussi parce que les recettes seront étalées dans le temps, ce qui n’est pas le cas lorsqu’il s’agit de vendre des licences. Beaucoup demandent donc à leurs clients une durée d’engagement minimale.

De notre côté, nous les aidons directement en leur proposant la solution de financement MoneySaaS qui leur permet d’éviter cet impact financier et de gérer en douceur cette délicate phase de transition.

L.M. :Le SaaS est-il surtout réservé à certains secteurs d’applications ?

L.B. :Le SaaS a d’abord connu beaucoup de succès dans les domaines de la gestion de la relation clients (CRM), des ressources humaines, de la paie, de la comptabilité et de la gestion des achats. Mais d’autres domaines applicatifs sont aujourd’hui concernés. Par exemple dans le domaine de la supply chain, en plus des achats, les secteurs en pointe sont le transport (TMS) et la gestion des stocks (WMS). En informatique de production (notamment le MES), les applications hébergées sont aussi de plus en plus fréquentes, avec des modes d’exploitation dégradés ou en batch lors des coupures réseaux.

Le SaaS s’impose ainsi partout, mais à un rythme différent en fonction des contraintes et de la taille du catalogue applicatif existant.

Propos recueillis par Éloïse Leydier

Un marché d’un milliard d’euros

3

1

2 3

Laurent Baudart, délégué général du Syntec QUESTIONS À…

tolia

(6)

continuer à ne pas miser entiè- rement sur le SaaS. Dans le même temps, elle reconnaît l’avantage d’une telle solu- tion pour les petites entre- prises aux moyens restreints et va jusqu’à intégrer dans son contrat une durée d’engage- ment nulle pour ces TPE, quand d’autres la fixent à 36 mois, pour que les insatisfaits puissent changer de formule quand ils le veulent, sans pénalités.

Alternatives au SaaS. Même ana- lyse chez l’intégrateur Zetes, qui conti- nue de proposer ses outils en option ouverte. « Lorsqu’une entreprise ne sou- haite pas avoir à installer et gérer un logiciel chez elle, et que le SaaS ne convient pas pour des raisons techniques ou fonctionnelles, elle peut recourir au cloud privé, à l’ASP, à la licence hébergée », liste de son côté Sébastien Sliski, country manager France chez

Zetes. Il souligne que dans le cas d’une licence, le contrat protège l’éditeur, alors que dans le cas du SaaS, il pro- tège a priori l’utilisateur sur un certain nombre d’éléments de service.

Tous les éditeurs ne sont pas una- nimes sur le sujet. Il convient de rap- peler toutefois que la qualité de la connexion peut avoir son importance, ne serait-ce qu’au moment des mises à jour effectuées par l’éditeur ou pen- dant les opérations de maintenance. Il

est donc judicieux de demander un test avant- ventein situ, pour vérifier l’adéquation de la solution mise en place avec l’acti- vité, mais aussi avec les autres solutions logicielles présentes au sein de l’en- treprise, voire également, si besoin, chez ses clients et fournisseurs. « La qualité du réseau n’a pas le même impact pour tous, explique Sébastien Sliski.

Les lenteurs ne sont pas toutes des chemins critiques : un temps de réponse long n’aura pas les mêmes incidences sur une solution de reconnaissance vocale que pour une solu- tion logicielle de relations clients. L’entre- prise doit se poser la question de son seuil de tolérance. » « C’est la raison pour laquelle une approche au cas par cas est essentielle », estime Évelyne Raynaud. «Et un modèle technique et tarifaire, adapté aux contraintes et aux besoins de l’entreprise, doit être trouvé

©Fotolia

(7)

( Systèmes d’information )

en confrontant les outils à leur utilisation sur le terrain», ajoute-t-elle.

Un coût pour les éditeurs.Reste que la hausse continue des ventes, affi- chée ces dernières années par les achats de prestations informatiques en mode SaaS, montre que ce type de produit répond aujourd’hui à une demande forte.

Mais les éditeurs le reconnaissent : le mode SaaS a d’abord été un produit d’offre. En effet, s’il nécessite un cer- tain nombre d’investissements pour les éditeurs, comme des partenariats avec des hébergeurs tels que IBM, CetSI, HP ou encore Amazon, des serveurs pour gérer les flux de données, une réorganisation des forces commer- ciales, etc., il leur permet également de n’avoir à déployer qu’une seule ver- sion de leur logiciel qui pourra être ajustée aux contraintes du client dans certaines limites de souplesse de l’ou- til. En outre, les mises à jours se font de façon quasi instantanée, et les res- sources peuvent être mutualisées sur un seul applicatif. Plus besoin non plus pour les éditeurs de développer plusieurs ver- sions pour chaque système d’exploitation.

Le SaaS a per- mis également à des éditeurs, j u s q u ’ a l o r s contactés uniquement par des entre- prises de taille moyenne ou grande, d’adresser leurs outils à des TPE qui ne faisaient pas partie de leur cible.

« Nous proposons nos solutions à l’interna- tional, en particulier en Italie, pays au tissu économique composé de nombreuses PME, confie Évelyne Raynaud. Mais il ne faut pas oublier que les ventes de licences nous permettent de financer notre Recherche &

Développement. »

Avant de se lancer dans le SaaS, les éditeurs sérieux doivent surveiller leurs liquidités disponibles au risque de ne pas tenir longtemps sur le marché. Car leurs recettes sont désormais étalées dans le temps et « il faut attendre environ trois ans pour que le revenu lié au SaaS devienne suffisamment récurrent pour assurer la sur- vie d’un modèle économique. L’éditeur qui

Créée en 2006, Ensovo a été reprise en 2011 dans le giron de ïgroup (marques Okaïdi, Jacadi, Oxybul Éveil &

Jeux, etc.) dans le cadre d’une démarche RSE. Cette entreprise d’in- sertion, axée sur la formation aux métiers de l’entreposage, a depuis repris son indépendance grâce à un rachat par des cadres du groupe.

Aujourd’hui, ïgroup ne détient plus que 20 % du capital.

En reprenant l’entreprise, François Ferrand, l’un des trois directeurs asso- ciés en charge des systèmes

d’information et de l’organisation, avait en tête de développer Ensovo en

démarchant de nouveaux clients.

« Jusqu’au rachat, l’entrepôt faisait 4 000 m2et la gestion des flux hors textiles dont nous nous occupions pouvait encore se faire sur fichier Excel, explique-t-il. Mais avec notre croissance, notre entrepôt s’étend aujourd’hui sur 7 000 m2et occupe 25 salariés. Les 300 000 lignes de commandes annuelles et le million de pièces textile que nous traitons chaque année nous ont amenés à nous équiper d’un WMS. »

Disposant de peu de compétences internes en informatique et d’une capacité financière limitée, le dirigeant a logiquement pensé au mode SaaS :

« Ne payer que ce que l’on consomme et faire évoluer nos organisations et nos systèmes en fonction de la volu- métrie était attractif, explique-t-il. En

outre, nous ne souhaitions pas héberger la solution chez nous. » Ce n’est pourtant pas la solution qui a été choisie au final. « Après discussion avec les équipes de l’éditeur avec lequel nous étions en rapport, en l’es- pèce a-SIS qui proposait son WMS Magistor On demand, nous nous sommes en effet rendu compte que les outils en mode SaaS n’avait pas la richesse fonctionnelle que nous atten- dions, ni la possibilité d’être

paramétrés de façon aussi souple qu’en mode propriétaire. »

Ensovo opte donc pour la licence, mais en mode hébergé : elle est propriétaire de son logiciel et il est paramétré selon ses besoins et ses contraintes, mais c’est à l’éditeur, toujours a-SIS, de s’occuper de l’héber- gement, de la maintenance, des mises à jour, etc.

Par ailleurs, l’entre- prise, qui forme à la logistique des personnes éloignées du monde du travail depuis un certain temps, avait besoin d’un outil souple, capable de s’adapter aux profils d’aptitude du personnel,

« par exemple lorsqu’il s’agit de para- métrer la ramasse pour qu’il y ait une pause au bout de 10 colis ou de 5 emplacements ou de tant de kilos, ou encore quand il s’agit de confirmer ou pas une quantité de pièces prélevées ».

Avec des clients de secteurs divers, en B to B ou en B to C, un traitement produits allant du textile au boulon, en passant par des flux non marchands comme des cintres ou des PLV, il fallait en effet qu’Ensovo puisse garder la main, et facilement, sur le paramé- trage de son outil de gestion. D’autre part, avec la volonté d’ouvrir un deuxième site d’ici trois ans, François Ferrand voulait une solution adaptée à une gestion multisite, « et le mode propriétaire nous a alors semblé être le plus pertinent ».

Pas de SaaS pour Ensovo…

solides », analyse Philippe Guilhaumou de BestFreeChoice. Et c’est ce que les clients potentiels devront également apprendre à surveiller : si l’éditeur venait à disparaître, le risque pris n’est pas le même quand le logiciel est en licence et quand il est en SaaS… Dans

ner pendant un temps, même sans édi- teur, dans l’autre… tout s’arrête !

Éloïse Leydier

*Le Syntec Numérique (ex-Syntec informatique) est la chambre professionnelle des entreprises de service du numérique, (ESN), des éditeurs de logiciels et des sociétés de conseil en technologies.

Il représente 1 500 sociétés membres, soit 80 %

Plus besoin

pour les éditeurs

de développer

plusieurs versions

pour chaque

système

d’exploitation.

Références

Documents relatifs

The first stated principle of registry allocation policy is conservation: “Fair dis- tribution of globally unique Internet address space according to the operational needs of

Sur 39 puits et sources captées, des mesures – niveau de l'eau pour les puits et débit pour les sources captées – des données sont fournies pour 32.. Le niveau moyen des puits

Une tendance géné- rale des systèmes d’information à s’orienter vers une offre de services que constate aussi Thomas Descours, Manager chez PEA Con sul ting : « Le mode SaaS

Si, à la suite d’un Accident survenu à votre Domicile et ayant entraîné une Hospitalisation imprévue supérieure à 24 heures, vous vous trouvez dans l’impossibilité

 Saumon en deux façon (cuit à l’étouffer et fumé) sauce a l’oseille, crémeux de pomme de terre a la ciboulette et asperge verte. 4€/pers (Saveurs à définir avec

Les spécialistes des pro blèmes de la mémoire sont Les noms, les visages se fixeront plus facilement dans formels cela vient du fa1t que les premiers appliquent votre

Le dispositif "plus de maîtres que de classes" est donc destiné à mieux répondre aux besoins des élèves pour réussir dans leurs apprentissages, au sein même de la classe.

Ces articles proposent des états de l’art plus ou moins fournis dans différents do- maines en lien avec les entités nommées : la REN (reconnaissance d’entités nom- mées),