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ORGANISATION PARIS, POUVOIR EXÉCUTIF5. Par le D'UN NO U VE A U. R an I er. De e Imprimerie de C. F. CagnioN. Vont l impression a été ordonnée par

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Texte intégral

(1)

ORGANISATION

'

D'UN NO U VE A U

POUVOIR EXÉCUTIF

5,

Par

le

Citoyen DÜNOUY,

Vont

l’

impression a

été

ordonnée par

la Section des Sans-Culottes.

A PARIS,

De e’Imprimerie de C. F. CagnioN

Place Dauphine, A

0.

3i.

R an I

er.

de

la

République françaises’

ÏHE NEWBERWf UBRARY

(2)

NOTÉ DE L’AUTEUR.

C e t ouvrage fut

écrit

un mois avant

le

dix août

,

jour qui

,

enfin, a assuré,

pour toujours

, la liberté

à

la

France mais en renversant

le traître

Louis

, il

falloit

un pouvoir exécutif qui

le

rem-

plaçât

, et je fis celui-ci.

NI

(3)

ORGANISATION

D'UN NOUVEA U

POUVOIR EXÉCUTIF,

Qui

liera

indivisiblement toutes

les

parties de VEmpire sans avoir

besoin*

de

rien,

changer à son organisation

$

et

qui assurera au peuple

,

de la manière ta plus certaine

,

sa souve

*

raineté

,

qui n a

été

jusqu à présent que chimérique

, et

consolidera pour jamais sa

liberté.

N O T R E

constitution est sublime dans ses bases; mais, se trouvant dénaturée par la ré- vision illégale, abusive et nulle, qui en a été faite sous l’influence

du

drapeau rouge, et votée par

deux

cents quatre-vingt-dix

mem-

bres qui avoient protesté contre toute la cons- titution , ne pourra jamais

marcher

, si la

convention nationale n’en détruit les incohé- rences

, et si le pouvoir exécutif, qui en

QH

A

a

(4)

le

moteur

, n’en est l’ami

, # soutien et le défenseur.

Tant

que les institutions

humaines

seront contre nature , loin de pouvoir sub- sister, elles ne pourront

même

s’asseoir. C’est contre nature

que

les loups gardent les brebis contre leurs cbiens ,

que

les voleurs soient les gardiens des trésors

, et

que

les tyrans soient lesconservateurs de la liberté. C’est aussi con- tre nature que notre

ennemi aime

ce qui lui fait

du mal,

et, se détruise

pour

nous

com-

plaire.

Or

, c’est

un

grand

mal pour

un tyran, qu’une constitution qui entrave

ou

arrête ses volontés.

Comment

s’est-il

faire

que

l’on

ait osé déclarer Louis le traître le soutien et le restaurateur de la liberté, tandis que c'est contre lui

que

nous avons pris les armes ?

Comment

a-t-on osé lui remettre en

main

le

balancier qui devoir faire

mouvoir

toute la

machine? L’on

devoir bien penser qu’il ne le

remuerok que peu, ou

point,

ou

en sens con- traire ; et c’est ce qui est arrivé. Il a profité adroitement de tous les

moyens que

l’on lui a donnés, et au lieu de faire

marcher

la révo- lution, ill’aen clouéej et

même

faitrétrograder.

Par son

énorme

liste civile , ila

corrompu

tout ce qu’il pouvoit

corrompre;

il a rempli dêtres perfides Jes milliers de places qui étoient à sa

(5)

disposition; il ne s’est entoure' que des plug cruels

ennemis

de la liberté; il a suscite à îa nation tous ceuxqu’il a

; il aprotégé"tousles conspirateurs; enfin , il a conspire

lui-même

la perte totale de la liberté et le massacre de tous lespatriotesdel’empire. Peut-être devons- nousàtant de scélératessela crise terrible, mais salutaire

, qui nous agite ; ettout cequ’il afait, ille devaitfaire,parcequ’il étoit

homme

et des- pote.

Mais

s’ila

machiné

notre perteetnotre es-*

clavage par tousles

moyens

possibles

, iln’a

pu

empêcher

les lumières et la philosophie de se répandre; au contraire

, ses perfidies et ses parjures multipliés ont

provoqué

notre réflexion etnotre courage;ilsnous ontfaitinstruirede nos droits; ils ont fait naître et croîtrel’esprit pu-*, blic entièrement engourdi; ils nous ont con- traint d’examiner quels étoient nos pouvoirs et nos forces; ils nous ont forcm'a'calculer ce qu’il vaut intrinsèquement

, et ce

que

nous

valons comparativement.

Nous

nous

sommes, demandé

: qu’a

donc

fait cet

homme

,

pour

avoir tant de puissance et de richesses

, et

se trouver en

même

tems par son inviolabilité au-dessus ae toutes les lois

? Quelle différence

y

a-t-ilentrelui etnous 1 A-t-ilunetaillegigan- tesque

, un genie transcendant, des connais-?-

(6)

( 6 )

lancessurnaturelles?-Sa

forme

est-elleautrement

que

la nôtre? Ses facultés et ses sens sont-ils plus multipliés

que

les nôtres? Est-ilinvulné- rable , infaillible? N’est-il pas,

comme

nous, sujet aux infirmités , aux maladies, àla

mort

?

Cet examen

, quin’estpasàson avantage , nous apersuadé qu’il étoittems quelaraison ait enfin le dessus, etqu’une bête féroce cesse de gou- vernerdes êtres raisonnables

, qu’elle atoujours regardés

comme

devant lui servir depâture. Il est tems

que

lestyransdelaterre apprennentdes Français

que

lespeuples ne sont pointleurap pa- ssage, et ne

peuvent

se vendre

ou

s’échanger

comme

bêtes de

somme.

Cet homme

dit inviolable , mais qui a tout- viole , est

une

monstruosité politique, qu’il faut sempresser d’étouffer, ne pouvant plus souffrirqu’aucun êtresoitau-dessus delaloi

, et

puisse tôt

ou

tard anéantir nos droits et notre liberté; et Louis ne nous a

que

trop

prouvé

cetteimpérieusenécessité. Ilfaut

donc

, si nous voulonsêtreetresterlibres,pourvoir très-promp-

tement

au

remplacement

'decepouvoirexécutif, vicieuxdansles

moyens

, vicieux dansla

forme

,

et totalement contre nature : il nous en faut

un

qui nepuissejamaissortir delaligne quilui sera tracée , sous peine,de

mort

; sans quoi

, pa*d&

(7)

( 7 )

liberté ; car la première condescendance

pour l’homme

en place chargé d’une grande respon- sabilité, en nécessite ensuite

une

plus grande;

et c’est ainsique tous lespeuplesont perduleur liberté.

La

composition

du

pouvoir executif, que je présente , ne changera rien à l’organisationde

larépublique

, quece quiluiestrelatifjet en as-*

surant pourjamais notreliberté, ilporteralana^

tion au plus haut dégré de prospérité possible ,

etla souveraineté

du

peuple neseraplusalors

un

vaintitre.

Pour

le former, il sera

nommé un

député

ad

hoc pardépartement,mais individuellement% et

non

par délégués : et pour que 1intriguenait

aucune

partàce choix d’aucune manière que ce

soit,

chaque

département convoqueratoutes les assemblées desonarrondissement,soit

commua

nesdansles

campagnes ou

sections dansles villes a

etleur ferapasser avecle motifde leurconvoca*

tion, rénumérationdes vertuset des talens

que

devrontavoirlescandidats., tellesqu’uneprobité à toute épreuve ,

un

caractère

ferme

et résolu , avoir été

constamment

les amis et défenseurs de la révolution et de la liberté, une capacité

connue

dansleurs diverses opérations,soit com-%.

jnerciales

cm

autres :alorschaque assemblée

foW

A

4,

(8)

)

(8

)

mera

lineliste de tous ceux qu’eîîe croira capa*?

ï>les de remplir cettepénible et honorablefonc^

tion.

Lorsque chaque

liste sera faite

, elles seront toutes envoyées au departement, avec la de-

meure

et 1état de

chacun

; etle departement ne formera du tout qu’une seule liste

, qu'il ren- verra à toutes les assemblées. Alors

chaque commune

dans les

campagnes

et sections dans

les villess assembleront

ccmstammènt pour

dis- cuterlescandidatsl’un aprèsl’autre.

Là, chacun

sera libre dedire tout cequ’il saura contre

eux,

avec preuve

, à

mesure

qu’ilsseront scrutés; et jusqu’à un

manque

de délicatesse dans le com=?

me

rtedelavie

, sera

un motif

de radiation de

4

liste.

\

Cetteradiationnepourra être

un déshonneur

,

puisque ce n’estpoint

un

crimed’avoir

moins

de capacité

, de taîens

ou

decaractère qu’un autre

,

etque ces scrutinsne tendront qu’àchercher et àapprocherleplu$ possiblede laperfection dans les individus : chacun, d’ailleurs

, devra être d’autant plus sévère, qu’ilnefaudra qu’un

mem?

hre par département, et

que

de sa capacité et de samoralité dépendrale

bonheur

del'empire.

Lorsqu’une assemblée aura trouvé des motifs yaisqnnabl.es de rayer

un

candidat de la liste

t

(9)

C 9 )

^elie lefera savoir aussitôtaudepartement, qui le fera connoître à

mesure

à

chaque

assemblée de son arrondissement; et lorsque la liste ne sera plus que de

douze noms,

elle ne seraplus dis- cutéeque dansleschefs-lieux de districts; mais

les habicans des

communes

d’alentour, en

en

justifiant

, pourrontvenirparticiper àla discus- sion,

Lorsque

laliste serare'duite à trois

noms

, les candidats ne seront plus discutes que dans le chef-lieu de département, toujours en

compa-

rantles talens et les differens

moyens

physiques et

moraux

de chacun , afin de

tomber

s’ilesc possible , au plus parfait.

il seraabsolumentindifferent de quelétat sera le

membre

qui emporteral’entière opinion des suffrages, pourvuqu’ilaitune probitépure,

du

caractère etune capacité' connue. Il vaudratou- jours

mieux

que tousceux quiontremplile

mi-

nistère jusqu’à présent, à qui il nefalloit d’au- tres talens pour

y

parvenir et

y

rester, que de réunir tous les vices , de servir le despoteet de haïrlepeuple.

Avant

quede remettrelacopie

du

procès-ver- bal au

membre

qui aura remporté tous les suf- frages, il lui sera faitlecture de la rigueur des devoirs auxquels

H

sera assujetti

, dans le cas

(10)

( 10 )

parlesortilferoit partie

du

pouvoirexecutif;

afinque s’ilnesesentoit pas la conscience assez pure , ouassez de capacité

, ouenfinle courage nécessaire

, ilpuisserenoncer à cethonneur.

Les

quatre-vingt-trois députés ayant accepté

,

se rendrontàParis; ausein

du

corpslégislatif; et lorsqu’ils

y

seront tous réunis , les quatre- vingt-trois

noms

serontmisdans

une

urne, etle

premierenfant

que

l’on trouvera sera pris

pour

en tirervingt-quatrel’un aprèsl’autre.

Les

vingt-quatre personnes désignées par les vingt-quatre

noms

, se réuniront dansle milieu de la salle

, et le président de l’assemblée leur fera lecture des obligations et des devoirsqu’ils

auront à remplir, et de la peine de

mort

pro-

noncée

contre la première violation de la loi

ou

le premier abus

du

pouvoir , sans qu’il soit

besoin d’autre

jugement que

la preuve

du

délit qu’ils auront signé.

Surcettepreuve

communiquée

àl’assemblée, le président prononcera l’ordre d’exécuter la loi, et aussitôt laforcepubliquefera enleverle délinquant , en quelqu’endroit qu’il soit, pour

la faire exécuter.

Lorsque

les vingt-quatre

membres

auront acceptélaplacede

membre

du poimfirexécutif, le président leur remettra à chacun

une

large

(11)

( 11 )

médaille d’or, qu’ils seront'obligés de porter d’une manière très-apparente , et sur laquelle sera gravé d’un côté :

La

nation

m’a

faitce que je suis; et de l'autre, six bâches d’armes réunies

en

faisceaux •liés et couronnés de feuilles de

chêne

, avec cette devise :

Qui

nous a reunis

,

pourra nous rompre. Surlecordon :LiherieFran- çaise , avec la date du jour

elle auraété si

formellementconsolidée.

Les

vingt-quatre

membres que

le sort aura dêsignéspourformerlepouvoirexecutif,sepaita»*

gerontles six ministères, selonle genre de con- noissances et de talens dont ils se connoitront susceptibles.

Les

quatre

membres

de chaque ministère se partageront egalement les operations , de

ma-

nièrequ’ilsneserontindividuellement que chefs de bureaux; maisréunis,formerontleministre, dont

chacun

aura la signature successivement pendant trois mois mais que les trois autres garantiront, étant responsable solidairement1

un

pourl’astre.

Les

vingt-quatre

membres

réunisen conseil

,

formeront le pouvoir executif.

Ç

est dans ce

conseil quese partageront toutesles opérations delarépublique.

Un

seulauralasignature; mais avant que. de signer, il faudra qu’elle soit ajt*

(12)

prouvée

par uné délibération préalable du con-

seil, devantlesengager solidairementl’un

peur

l’autre.

Pour

que cettte signature soitvalable dans le conseil

comme

dans

chaque

ministère

, ilfaudra

qu

elleait les trois quarts des voix.

-La signature ne sera nécessaire au conseil

,

que

lorsqu’il

y

aura concordance de plusieurs ministères; car

lorsqu’une opération ne regar- deraqu’unseulministère,ilsera*seulresponsable.

Un

des

membres

aurasuccessivementlasigna- ture

pendant deux

mois; de cettemanière, les sixministresaurontétéenfonctionsdansl’année;

etdanslesquatre ans

, lesvingt-quatre

membres y

auront été.

ï!s ne pourrontremplir cesfonctions plus de quatre ans

, et ne pourront être réélus qu’après le

même

laps

detems. Aucune

considérationne pourraenfreindrecette loi.

Dans

la première formation

, il sortira au sort, au bout de

deux

ans

,

deux membres

par ministère

, et le sort décidera également de

ceux

qui devront les remplacer dans les cin- quante-neufautres restantdes quatre-vingt-trois.

^

Ceux

qui n auront pas participé au ministère dans l’espace des quatre

ans > pourront être réélus parleurdépartement.

(13)

(

n

)

Aucun membre

de l'assemblée constituante ni de celle législative ne pourront être élus à cette première nomination.

Les èmolumens

de ce pouvoir exécutif se-

ront de cent mille livres par individu par an ,

ce qui feraen

somme

celle de 2,400,000livres.

Il sera également tiré au sort dans les cin- quante-neuf

membres

restant, vingt-quane in- dividus,

pour

servir de principal secrétaire à

chacun

des

membres du

pouvoir executif, et

leurs

émokmens

seront de 10,000 livresparan.

Le

pouvoir exécutif aura laplus grande auto-

rité sur toutes les administrations qui corres- pondront directement avec lui. Il les rendra responsables de lanon-execution

ou

de la dété- rioration des ordres donnés sous sa garantie *

afin d’être certainquesestravauxneseront point infructueux.

Chaque

administration aurala

même

auto-

rité sur tousleurs ensous-ordre ; car sans cette sévérité , le

gouvernement

ne pourrasasseoir,

et l’ordrene pourrarevenir.

Que

l’on necraigne

pas d’abus de pouvoirs; puisque, le premier prouvé ,n’importe de qui, sera aussitôtpuni de mort.

D’après

une

réflexion que

m’a communiquée

(14)

(

H

)

le citoyen

Robert

,j’ai

cm

devoir en tirerpartii ce plan n’étantpointencoreimprime'.

La

voici>

Le

ministrede la guerre

, qui a besoin de

h

plus grandecéléritédansses combinaisons et ses opérations

, ne pourra remplir ses fonctions

qu

avec lenteur en tems de guerre

, s’il estnéces- sairede l’accord des quatre

membres pour

cha- cune d’elles.

Voici ce

que m’a

suggéré' Cette sage réflexion:

d’abord

,

chaque

ministère remplissant parfaite-

ment

sesfonctions

, sera

complètement

pour-

vu

àtout avant que d’être en e'tat de guerre ; ensuite, c’estquedetellecélérité qu’ilsoitnéces- saire dans les combinaisons de ce ministère

, il

fautau

moins

la réflexion

pour combiner

sage-

ment

, et les réflexions de quatre personnes seront toujours plus sagesque cellesd’une seule; mais cependant

,

pour

que les choses aillent aussi vite qu’il est possible qu’elles aillent;

lorsque l’assemblée nationale aura déclaré

que

lanation esten étatde guerre

, alors les quatre rhembresde ceminstère se partageront les di- verses opérations , de manière que pendanttout ce tems-, ils agiront seuls

, chacun dans leur partie.

Un

serachargé des réparationsetrecons- tructions des forteresses, ainsi que d’en

com-

pletterles garnisons;

un

autre sera chargé des

(15)

( 15 )

vivres et fourages, ainsi que de ravitaillement des placesen munitions de

bouche

et fourages ;

un

troisième sera chargé

du complément

des régimens, tant d’infanterie que de cavalerie , de leurhabillement , etdela

remonte

deschevaux;

le quatrième serachargé de l’artillerie , de ses chevaux et b'agages, desarmesde touteespece,

etdes munitionsde guerre.

Parcette séparation , chacun mettra dans ses opérations toute la célérité possible; et

aucun

ne pourra éviterla responsabilité , sinecessaire dans un

gouvernement

représentatif.

Mais

, dira-t-on , les

membres

du pouvoir

exécutif seront chargés d’une grande , d’une terrible responsabilité ;

l’homme

est sujet à

l’erreurparcequ’il est

homme

:

comment

distin-

guerl’erreur

du

crime1

Je vais résoudre cette objection; car il ne faut pas

que

ceux qui feront partie du pouvoir exécutifsoient arrêtés dansleurs opérations par cette crainte.

Sans doute,

l’homme

est sujet à l’erreur;mais

comme

il n’y aura pas qu’un seul

homme

par

ministère

ou pour

le pouvoir exécutif, ilseroit bien étonnant qu’ils adoptassent tous la

même

erreur avantque d’approuverlasignature, étant

(16)

solidaires l’un

pour

l’autre. Ils de'libe'reront

tU

re'fiechiront

, et n’approuveront qu’avec con- noissance de cause : alors ils ne pourront fein- dre ignorance et rejetter le crime surTerreurj alorsilsserontcharges detoutelaresponsabilité.

Si l’onlaissoit ainsi

un

e'chappatcireaux prévari- cateurs, les plus grands crimes ne seraient à leurs

yeux que

deserreurs.

D U N O U Y

, Ingénieur, ennemi de tous les tyrans»

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