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Sujet 24 : Pourquoi parle-t-on de lien entre la nourriture et les émotions?

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Academic year: 2022

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Sujet 24 : Pourquoi parle-t-on de lien entre la nourriture et les

émotions ?

FIN Océane

Etudiante en deuxième année de Bachelor Diététique et Nutrition Humaine

Travail de recherche présenté à : Madame LOWIE – ACT

Madame LEPOUTRE – Psychologie

EDNH Lille

Date : 17 décembre 2020

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Table des matières :

Introduction………...…... 1

I. Qu’est-ce que l’alimentation émotionnelle ? ………...…………..……… 2

1. Alimentation émotionnelle dès la naissance ………..……...……….… 2

2. Différence entre la faim, l’envie et l’appétit ……….……..…….…………. 2

II. Aspect physiologique des effets de nos émotions sur notre alimentation ………....3

1. Le rôle des hormones ………..………….……..……….………. 3

2. Le rôle d’une bonne alimentation ………...……….. 4

III. Vers les excès comportementaux avec la nourriture, liés aux émotions…………5

1. Les troubles du comportement alimentaire (TCA)……….5

2. Les addictions ………6

Conclusion ………...………....7

Annexes ………..….8

Bibliographie ………....10

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Introduction :

Manger est l’une de nos fonctions vitales, mais nous ne mangeons pas seulement pour faire avancer notre corps, nous mangeons également pour le réconfort et le plaisir que cela nous procure.

Tristesse, colère, fatigue, stresse, joie, surprise, sont toutes des émotions qui peuvent avoir un impact sur notre alimentation.

En effet, une étude coordonnée par l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (INSERM, INRA, CNAM, Université Paris 13), publiée dans The American Journal Of Clinical Nutrition en 2009, montre que sous le coup d’une émotion 52% des femmes mangent, contre 20% des hommes.

Les émotions négatives comme la tristesse, le stress, l’anxiété… nous font nous réfugier vers de la nourriture sucrée ou grasse pour nous apaiser et nous consoler.

Une émotion selon le Robert de 1993 est un mot issu de « motion » qui signifiait le mouvement, puis du latin « emovere » qui signifiait mettre en mouvement.

La définition actuelle se rapproche de celle émise au XVIe siècle : un état de conscience complexe, généralement brusque et momentané, accompagné de signes physiologiques comme la rougeur, sudation etc.

Nos émotions sont reliées à notre système sympathique et parasympathique (ils s’occupent des fonctions automatiques de notre corps, comme la respiration ou le battement du cœur) sous l’excitation des zones thalamiques.

Mon intérêt de mettre un lien entre la psychologie et la nutrition m’a donné envie de me renseigner sur l’alimentation émotionnelle mais également sur les effets physiologiques des effets de nos émotions sur notre alimentation, et sur les excès comportementaux liés à la nourriture.

Mon étude aura pour objectif principal d’expliquer qu’est-ce que l’alimentation émotionnelle, ainsi que son aspect physiologique.

Dans un premier temps, nous verrons la définition de l’alimentation émotionnelle ainsi que la différence entre une faim et une envie qui joue sur nos émotions.

Ensuite nous verrons le rôle des hormones sur nos émotions, mais également le rôle d’une bonne alimentation

Nous finirons par les troubles du comportement alimentaire ainsi que les addictions à la nourriture.

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I. Qu’est-ce l’alimentation émotionnelle ?

1. Alimentation émotionnelle dès la naissance

L’alimentation émotionnelle est l’inverse de la faim physiologique.

Il ne s’agit pas de manger parce qu’on a faim, mais plutôt de manger pour combler un vide, un manque, pour se réconforter mais aussi pour se récompenser.

C’est en 2010 dans un rapport de l’ANSES que l’alimentation apparait pour la première fois comme une réponse à un équilibre psychologique en plus d’une réponse à nos besoins biologiques.

Les émotions liées à la nourriture débutent dès le plus jeune âge, lors du premier biberon ou de la première tétée. Le bébé va ressentir une sensation de soulagement, d’apaisement et donc de bien-être. C’est à ce moment-là que l’enfant va avoir ses premières émotions, mais qu’il va également lier le goût aux émotions et à l’affection. En effet les biberons ou les tétées se font souvent avec un câlin, un bisou ou un moment tendre.

Lorsque l’enfant grandit et qu’il devient autonome, le lien entre les émotions et la nourriture se développe encore plus. La nourriture devient une récompense mais aussi un réconfort, l’entourage va sans le vouloir conditionner l’enfant.

« Si tu es sage tu auras un bonbon », l’enfant fait donc le lien entre nourriture et

comportement, mais aussi « tiens pleure pas voilà un bonbon » et ici le lien entre nourriture et émotion.

La plupart du temps se sont des aliments sucrés qui vont être associés aux émotions.

Dans l’âge adulte, ce lien se poursuit.

La nourriture est alors utilisée comme fonctions sociales lors des repas de famille, des fêtes, des anniversaires etc.

La nourriture devient un outil d’échange et de communication.

On remarque néanmoins que les émotions comme la tristesse, la colère, l’anxiété peuvent aussi nous couper l’appétit, alors que les émotions comme la joie, la bonne humeur nous donne au contraire envie de nous rassembler. (Annexe 1)

2. Différence entre la faim, l’envie et l’appétit

La faim physiologique est une sensation que notre corps nous transmet pour dire qu’on manque d’énergie et qu’on a besoin de manger.

Souvent associer à des sensations physiques comme les gargouillements, des crampes d’estomac, de la faiblesse etc.

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L’appétit est le désir de satisfaire un besoin.

Notre système digestif se réveille lorsque l’on pense à la nourriture, vient ensuite l’odorat et l’ouïe qui nous donne envie de manger un aliment, puis vient le goût qui permet de découvrir les saveurs comme le salé, le sucré, l’acide ou encore l’amer…

Enfin, l’envie est une faim psychologique liée à l’alimentation émotionnelle.

Elle arrive souvent en dehors des heures de repas et se manifeste comme un besoin irrépressible de manger.

C’est notre cerveau qui contrôle ce trouble et est accentué lorsqu’il y a des émotions que l’on n’arrive pas à contrôler.

C’est en 1968 que Schachter, Goldman, Gordon ont eu le pressentiment que les effets physiologiques des émotions négatives comme l’anxiété, la tristesse etc, causeraient une baisse de la prise alimentaire chez les personnes à poids normal.

Puis en 1994, Greeno & Wing ont prouvé cette hypothèse grâce à des expériences menées sur des animaux.

Enfin en 2008, Macht a montré que la prise alimentaire serait influencée par les réactions émotionnelles mais aussi par l’aptitude à les contrôler. Elles influenceraient également la quantité, la vitesse de consommation ainsi que la diversité (sucré, salée, amer, acide…)

II. Aspect physiologique des effets de nos émotions sur notre alimentation

1. Le rôle des hormones

Les hormones ont un rôle important dans l’effet de nos émotions sur notre alimentation.

Une hormone est une substance chimique produite par une glande, puis transportée par le sang pour agir sur une cible (organes, tissus). Elle intervient comme un messager.

La première hormone est la sérotonine, souvent sécrétée en fin de journée.

Aussi appelée hormone du bonheur, elle est présente dans des régions cérébrales intervenant dans la régulation des émotions.

Richard Wurtman, nutritionniste qui travaille à l’Institut de technologie du Massachusettes (MIT) a prouvé que les repas riches en sucres augmenteraient la concentration sanguine de l’acide aminé tryptophane qui est un précurseur de la sérotonine.

C’est pour cela que manger du chocolat quand on est triste ou angoissé, libérerait de la sérotonine qui améliorerait l’humeur.

Néanmoins, pour que la sérotonine face effet sur notre organisme, il faut avoir un métabolisme sensible à la quantité de tryptophane.

Une autre étude a permis d’affirmer qu’en cas d’anxiété, tristesse ou autre émotions négatives, nos glandes surrénales mais aussi l’hypothalamus libéreraient des glucocorticoïdes comme le cortisol qui est une hormone du stress.

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Une étude menée en 2003 par la psychologue Mary Dallman à San Francisco, montre que manger des aliments riches en calories libéreraient moins d’hormone du stress.

Elle a enfermé des rats dans un espace réduit durant 3h pendant 5 jours pour leur donner un stress énorme.

Les rats sont ensuite séparés en 2 groupes : le premier recevait de la nourriture normale, et le deuxième recevait de la nourriture riche en sucres, en graisses et caloriques.

Les résultats montrent que les rats qui recevaient de la nourriture riche libéraient moins de cortisol, l’hormone du stress.

La deuxième hormone est la dopamine, souvent sécrétée le matin.

Aussi appelé hormone du plaisir, la dopamine aide à contrôler les circuits de récompense et de plaisir dans notre cerveau, mais aide également à gérer les réactions émotives qui permet de percevoir des récompenses.

C’est pourquoi manger des aliments qui nous font plaisir, comme un bon café le matin, un carré de chocolat après une dure journée de travail, libérerait de la dopamine qui

améliorerait notre humeur.

2. Le rôle d’une bonne alimentation

La prise alimentaire d’aliment que l’on aime quand on est triste, angoissé ou en colère, pourrait nous rendre plus joyeux et de meilleure humeur (annexe 2).

Mais une bonne alimentation pourrait également être favorable pour notre cerveau et notre humeur. Une étude a montré que notre façon de manger a un rôle important sur notre façon de gérer nos émotions.

Privilégier certains aliments meilleurs pour notre santé, mais aussi avoir une activité physique régulière pourraient nous aider à avoir des émotions positives.

Une alimentation riche en oméga 3, antioxydant, vitamines, minéraux, oligo-élément, pourrait avoir des conséquences sur notre comportement : moins agressive, de meilleure humeur, moins de dépression.

Bernard Gesch, chercheur en nutrition et en criminologie à l’université d’Oxford en Angleterre, a publié une étude dans The British Journal of Psychiatry en 2002.

Cette étude montre le changement de comportement suite à un changement d’alimentation (plus riche en oméga 3, vitamines…) chez des prisonniers agressifs.

Pendant plusieurs jours, les prisonniers ont consommés des plats fait maison, sans colorants, conservateurs, friture, sodas, et riches en protéine, céréales complètes, fruits, légumes.

Au bout de quelques jours, le comportement des prisonniers a complétement changé, ils étaient moins agressifs, plus disciplinés, plus concentrés, de meilleure humeur et prêt à tout pour s’en sortir.

Quelques exemples d’aliments à privilégier.

Tout d’abord le chocolat noir, il est riche en cacao et renferme du magnésium, plus le taux en cacao est élevé, plus on sera de meilleure humeur.

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Le chocolat noir contient du tryptophane qui est transformé par la vitamine B6 en sérotonine, qui nous rend joyeux.

L’orange, riche en acide citrique, aurait un effet bénéfique sur nos émotions. Riche en vitamines, minéraux et fibres, il permet de fluidifier le sang et de stimuler la digestion.

Une étude montre également que l’orange permet de réduire l’apparition de cancer, de troubles de la mémoire et de maladies cardiovasculaires.

Les vitamines permettent de nous apporter de l’énergie et solidifier le système immunitaire.

Ensuite, les poissons gras, riches en oméga 3, ils permettent d’augmenter nos apports en sérotonine qui contrôle nos humeurs et notre fatigue en diminuant notre stress.

Une alimentation riche en poisson gras permet donc d’éviter la dépression et de maintenir l’équilibre nerveux.

Il y a également les germes de blé, riches en sélénium et vitamines B, ils permettent d’éviter la dépression psychologique.

Pour finir, les céréales complètes, comme le riz, riches en glucides complexes qui

permettent d’être heureux à long termes, contrairement aux glucides simples qui permettent d’être de bonne humeur mais à court terme.

III. Vers les excès comportementaux avec la nourriture, liés aux émotions

1. Les troubles du comportement alimentaire (TCA)

L’alimentation permet de nous maintenir en bonne santé ou de nous mener à l’apparition de problèmes de santé, selon les éléments nutritionnels apportés, mais elle prend également en compte l’aspect psychologique, affectif et social.

L’alimentation intuitive c’est lorsque nous écoutons notre corps selon notre faim ou notre satiété, lorsque nous avons une faim émotionnelle comme vu précédemment, c’est-à-dire des compulsions mais également le fait de « manger nos émotions », nous avons un comportement alimentaire perturbé.

Mais lorsque cette faim émotionnelle devient de plus en plus fréquente, elle devient par conséquent problématique. On commence alors à parler de troubles du comportement alimentaire, comme l’anorexie, la boulimie ou l’hyperphagie (annexe 3)

Premièrement, la boulimie est une conduite alimentaire où il y a absorption de grandes quantités de nourriture, de façon rapide et compulsive, souvent par crise et dans des moments solitaires.

Les crises sont associées à un sentiment de perte de contrôle et sont souvent suivies de comportement compensatoires inappropriés (vomissement, laxatifs, sport intense…), elles peuvent durer 1-2h.

Les facteurs déclenchant peuvent être des facteurs psychologiques, familiaux, sociaux…

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La boulimie touche principalement les adolescents, en effet 40% ont moins de 25 ans, 4-8%

sont étudiants, mais également plus les femmes, 83% sont des femmes contre 17%

d’hommes.

L’hyperphagie : c’est une augmentation des apports au moment des repas de façon compulsive mais contrairement à la boulimie il n’y a pas de comportements compensatoires.

Il y a également la notion de perte de contrôle et d’isolement, puisque la personne mange une très grande quantité pendant une courte durée et seul pour se cacher.

Après la crise, il y a une notion de mal-être voire même de dégoût.

Elle peut occasionner un surpoids ou de l’obésité voire même une souffrance psychique.

Environ 10% de la population est concernée, avec autant d’hommes que de femmes.

Et enfin, l’anorexie mentale qui est un refus de manger pendant une longue période, pour perdre du poids ou ne pas en prendre.

Ces personnes ont une peur intense de grossir, mais ont également une image négative de leurs corps et une mauvaise estime de soi.

Elles sont tellement alimentées par leurs problèmes extérieurs qu’elles n’arrivent plus à s’alimenter physiquement.

Elle touche principalement des jeunes filles adolescentes entre 14-17 ans, il y a entre 3000 et 6000 nouveaux cas chaque année.

2. Les addictions

Une addiction alimentaire est une dépendance très forte ici à la nourriture, qui entraine une conduite compulsive.

L’addiction alimentaire est souvent liée à un aliment riche en graisse ou en sucre, et avec une texture solide comme le chocolat, les bonbons, les frites…

Elle est fréquemment observée chez les patients obèses, chez les personnes ayant des troubles psychologiques comme la dépression ou encore chez les personnes célibataires (l’addiction est souvent liée à la solitude).

En effet, la personne addict ressent une sensation de plaisir, une réduction de sa souffrance lorsqu’elle mange des aliments qui lui donne envie, cela peut tomber dans une perte de contrôle.

Cette addiction nécessite une prise en charge psychologique, social et pharmacologique.

Serge Ahmed, chercheur au CRNS de Bordeaux, a été le premier à étudier l’addiction alimentaire en France dans les années 2010.

Grâce aux animaux, il a démontré que l’addiction au produits sucrés, riche en sucre raffinés serait associée à l’altération fonctionnelle des circuits neurobiologiques qui sont impliqués dans l’apprentissage de la récompense, motivation, et contrôle de la récompense.

Il fait également la différence entre l’addiction aux produits sucrés riches en sucres raffinés et l’addiction aux produits salés, qui elle pourrait augmenter le taux de surpoids et d’obésité.

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Conclusion :

Pour conclure, l’alimentation émotionnelle est l’inverse de la faim physiologique, en effet il ne s’agit pas de manger parce qu’on a faim, mais il s’agit de manger pour combler un vide, un manque, pour se réconforter, mais aussi pour se récompenser.

On est lié à nos émotions dès le plus jeune âge lors de la tétée ou du biberon, mais

s’accentue en grandissant ou la nourriture devient une récompense, ou même un réconfort, puis elle devient un lien d’échange et de communication.

Ce sont le plus souvent nos émotions négatives qui nous poussent à nous jeter sur la nourriture, que l’on soit triste, angoissé, stressé, en colère. On mange souvent des choses qui nous font plaisir, c’est-à-dire des aliments sucrés, qui nous redonne le plus souvent le moral, la bonne humeur.

Les hormones ont un rôle important dans ce changement d’humeur. En effet, la sérotonine, la dopamine sont des hormones du plaisir, du bonheur, qui sont libérées dans notre corps lorsque nous mangeons des choses que nous aimons, et nous permettent d’être joyeux, de meilleure humeur.

Notre façon de manger peut aussi être important dans notre changement d’humeur, en effet, une alimentation riche en oméga 3, antioxydant, vitamines, minéraux, oligo-élément, pourrait avoir des conséquences sur notre comportement : moins agressive, de meilleure humeur, moins de dépression.

Mais lorsque cette faim émotionnelle devient de plus en plus fréquente et problématique, on commence à parler de troubles du comportement alimentaire, comme l’anorexie, la boulimie ou l’hyperphagie, voire même d’addiction.

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Annexes :

Annexe 1 : nos besoins et sensations en fonction de nos humeurs

Annexe 2 : différences d’intensité d’une émotion négative ou positive

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Annexe 3 : vers un trouble du comportement alimentaire

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Bibliographie :

Cairn.info – manger ou ne pas manger, quelle est l’émotion ? Corps, culture matérielle, et émotions en situation – 01 juin 2017

Cairn.info – la catégorisation des émotions – 19 février 2016

INSERM / Université de Paris Nanterre – affectivité et alimentation : étude de leurs liens au travers des concepts d’alimentation émotionnelle et d’addiction à

l’alimentation – 6 décembre 2017

INSERM – anorexie mentale – 08 octobre 2020

INSERM HAL - L’addiction à l’alimentation : définition, mesure et limites du concept, facteurs associés et implications cliniques et thérapeutiques –

INSERM HAL – addiction alimentaire – 16 novembre 2016

HAL – évolution historique des concepts de faim, satiété et appétit -

IES Genève – les aliments qui ont une influence positive sur notre humeur – 20 aout 2016

La sensation de faim, une illusion ? – La faim physiologique et psychologique – 2015

Cosmopolitan – envie de manger sans faim : qu’est-ce que l’alimentation émotionnelle – 29 octobre 2015

NosPensées – lien entre émotion et alimentation – 17 février 2020 Psychologies – Manger change-t-il nos émotions ? – 11 aout 2020

Nature Sense – les 6 émotions secrètes qui nous font manger – 30 novembre 2016 Muula – bien comprendre l’alimentation émotionnelle en 5 points – 25 septembre 2018

Psychologue.net – la relation entre alimentation et émotions – 11 mars 2019 La lettre à table – émotions & alimentation – 22 décembre 2017

Greenweez magazine – émotion et alimentation, un lien étroit – 12 octobre 2018

Références

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