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Premières Synthèses 2009-24.2 - Forte augmentation des mouvements de main-d'œuvre en 2007 (06-24.2.PDF, 238.72 Ko)

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Texte intégral

(1)

MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE, DE L'INDUSTRIE ET DE L'EMPLOI

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES,

DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ

ET DE LA VILLE

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En 2007, le taux de rotation dans

les établissements de 10 salariés

ou plus (défini comme la

moyenne des taux d’entrée et

des taux de sortie) augmente

très nettement par rapport à

l’année 2006 (+3,7 points)

(tableau 1). Il avait progressé

seulement de 0,9 point en 2006.

Cette hausse, déjà nette au

pre-mier semestre 2007, se poursuit

au second semestre 2007 : les

taux de rotation s’élèvent à

11,2 % aux premier et deuxième

trimestres (contre

respective-ment 10,5 et 10,9 % aux

troi-sième et quatrième trimestres

2006,) puis à 11,5 % et 11,4 %

aux troisième et quatrième

tri-mestres (graphique 1). Au total,

en 2007, le taux de rotation

s’élève à 46 % (1) : pour un

effec-tif de 100 salariés en début

d’année, les établissements de

10 salariés ou plus procèdent en

Juin 2009 - N° 24.2

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FORTE AUGMENTATION DES MOUVEMENTS

DE MAIN-D’ŒUVRE EN 2007

moyenne à un peu plus de 46

entrées et 45 sorties. Il dépasse

ainsi le niveau déjà élevé atteint

en 2000 (43 %).

Cette forte progression des

rota-tions s’explique d’abord par la

croissance de l’emploi, 2007

étant la meilleure année à cet

égard depuis 2000 (encadré 1).

Cependant, la liaison entre la

croissance et l’augmentation des

mouvements de main-d’œuvre

n’est pas simple. En effet, en

2000, seule année à évolution

comparable du taux de rotation

(+4,2 points), la croissance de

l’emploi avait été très supérieure

(1) Le taux de rotation annuel n’est pas la

somme des taux trimestriels (cf. encadré

méthodologique).

(2)

(12 %) et la construction (10 %)

et plus élevé dans le tertiaire

(40 %). Il est particulièrement

faible dans l’industrie

automo-bile (3,9 %), qui a un taux

d’en-trée en CDI encore plus faible

(3,5 %), et est très élevé dans les

services aux particuliers (87 %).

La construction est le seul

sec-teur où le taux d’entrée en CDI

(14,3 %) est plus élevé que celui

en CDD : un peu plus d’une

per-sonne recrutée sur deux dans la

construction a un CDI, contre un

peu plus d’une sur trois dans

l’industrie et d’une sur quatre

dans le tertiaire.

Si le taux d’embauche en CDD

augmente (+2,3 points, soit

+8 %), celui en CDI augmente

encore plus en valeur relative

(+1,6 point, soit + 15 %). Ce

constat se retrouve, au niveau

sectoriel, pour l’industrie et le

tertiaire. Pour la construction, le

taux d’embauche en CDI

aug-mente fortement (+2,1 points,

soit +17 %) pour atteindre

14,3 % alors que celui en CDD

diminue (-0,3 point). C’est la

poursuite d’une tendance

lon-gue : en 1996, le taux

d’embau-che en CDI n’était que de 5 %.

Alors qu’en 1996 il y avait deux

embauches en CDD dans la

construction pour une

embau-à celle de 2007. En 1998 et en

1999, la croissance du taux de

rotation avait été plus modeste

(+2 points) avec une croissance

de l’emploi plus soutenue qu’en

2007. À sans doute contribué

aussi à la forte hausse du taux de

rotation en 2007, sans que cela

suffise à en expliquer l’ampleur,

un rattrapage par rapport à une

croissance du taux de rotation

en 2006 (+0,9 point)

relative-ment faible par rapport à

l’évolu-tion de l’emploi (+1,2 %) (cf.

gra-phique A de l’encadré).

Le taux de rotation augmente en

2007 dans presque tous les

sec-teurs. C’est dans les secteurs où

il est déjà élevé que sa hausse

est la plus forte : le turn-over

progresse de 4,5 points dans le

tertiaire pour atteindre 58 % en

2007, de 2,2 points dans la

cons-truction, où il s’établit à 26 % et

de seulement 1,3 point dans

l’in-dustrie (21 % en 2007). Au sein

du tertiaire, le taux de rotation

augmente de façon

exception-nelle (+38 points) dans les

activi-tés récréatives, culturelles et

sportives pour atteindre 163 %.

Le turn-over est moins

impor-tant dans la construction et

l’in-dustrie, ces deux secteurs

recou-rant davantage à l’intérim : le

taux de recours y est

respective-ment de 8,1 % et de 6,4 %,

contre 1,4 % dans le tertiaire

(ta-bleau 2).

Les entrées dans un

établisse-ment au cours de l’année

reflè-tent, pour l’essentiel, des

embauches et, dans une

moin-dre mesure, des transferts de

salariés entre établissements

d’une même entreprise. En

2007, le taux d’entrée dans les

établissements de 10 salariés ou

plus s’élève à 46 % et le taux

d’embauche en CDD, CDI ou

CNE à 43 %. Le taux d’embauche

en CDI est de 12 %,

s’échelon-nant entre 6 % dans l’industrie

et 14 % dans la construction et le

tertiaire. Le taux d’entrée en

CDD est de 30 %. Ce taux est

plus faible dans l’industrie

che en CDI, il y a, depuis 2005,

plus d’embauches en CDI qu’en

CDD. Cette évolution est

proba-blement la conséquence des

difficultés de recrutement du

secteur.

La composition des sorties

reflète largement celle des

entrées : en période de bonne

conjoncture les salariés

démis-sionnent plus facilement car ils

trouvent à se faire embaucher

ailleurs en CDI et des

embau-ches plus fortes en CDI

occa-sionnent plus de sorties pour fin

de période d’essai. Ce sont donc

les motifs de sortie

principale-ment liés aux embauches en

CDI qui sont les plus

dyna-miques, notamment dans la

construction : le taux de

démis-sion y augmente de 24 % (il

passe de 7,9 % à 9,8 %) et le

taux de fin de périodes d’essai de

50 % (de 0,8 % à 1,2 %). Tous

secteurs confondus, le taux de

fin de périodes d’essai dépasse

de peu son précédent pic de

2000 (2,0 % contre 1,9 %) alors

que le taux de démission (7,9 %)

reste inférieur à son niveau de

2000 (9,6 %).

Le taux de sortie pour

licencie-ment économique reste stable

en 2007 et atteint 0,6 %. Il est

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12,0 11,5 11,0 10,5 10,0 9,5 9,0 8,5 8,0 7,5 7,0 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Taux d'entrée Taux de sortie

Données trimestrielles CVS, en pourcentage

Champ : France métropolitaine.

Graphique 1

Mouvements de main-d'œuvre dans les établissements de 10 salariés et plus

Source : Dares, DMMO/EMMO.

(3)

Tableau 1

Mouvements d'entrée selon la nature du contrat et mouvements de sortie selon les principaux motifs

dans les établissements de 10 salariés ou plus

Données CVS en % Taux pour 100 salariés présents en début de trimestre ou année

Établissements Établissements Ensemble des établissements

de 10 à 49 salariés de 50 salariés ou plus de 10 salariés et plus

Annuels Trimestriels (2007) Annuels Trimestriels (2007) Annuels Trimestriels (2007)

2006 2007 T1 T2 T3 T4 2006 2007 T1 T2 T3 T4 2006 2007 T1 T2 T3 T4 Taux d'entrée Ensemble ... 45,0 47,9 11,7 11,4 12,3 12,0 40,7 45,2 11,0 11,2 11,3 11,4 42,3 46,2 11,2 11,3 11,6 11,6 Industrie ... 25,8 26,0 6,5 6,4 6,6 6,2 16,9 18,7 4,6 4,6 4,7 4,8 19,1 20,5 5,0 5,1 5,2 5,1 Construction ... 28,1 30,4 7,5 7,2 7,9 7,3 21,3 22,8 6,0 5,3 5,6 5,6 25,5 27,5 6,9 6,4 7,0 6,7 Tertiaire ... 53,1 56,4 13,7 13,4 14,3 14,3 54,7 60,1 14,7 14,9 14,9 15,1 54,1 58,6 14,2 14,4 14,7 14,8

Taux de recours à l'intérim

Ensemble ... 2,5 2,5 2,6 2,6 2,4 2,4 3,7 3,8 3,8 3,8 3,8 3,8 3,3 3,3 3,4 3,3 3,3 3,3 Industrie ... 4,2 4,5 4,8 4,6 4,6 4,2 6,7 7,0 7,0 6,9 7,0 7,0 6,1 6,4 6,5 6,3 6,4 6,3 Construction ... 6,6 6,4 6,1 6,4 6,4 6,7 10,4 10,5 10,9 10,9 10,4 9,9 8,1 8,1 8,0 8,2 8,0 8,0 Tertiaire ... 1,3 1,2 1,3 1,4 1,0 1,1 1,6 1,6 1,6 1,6 1,6 1,6 1,5 1,4 1,5 1,5 1,4 1,4 Taux d'entrée en CDD Ensemble ... 26,6 29,0 6,8 6,5 7,2 6,9 28,7 31,8 7,7 7,8 8,0 8,0 28,0 30,3 7,3 7,4 7,7 7,6 Industrie ... 14,1 14,7 3,7 3,6 3,8 3,5 10,3 10,9 2,7 2,7 2,8 2,8 11,3 11,9 2,9 2,9 3,1 2,9 Construction ... 12,7 13,0 3,3 2,8 3,0 2,8 7,0 7,2 1,8 1,6 1,9 1,8 10,5 10,2 2,7 2,3 2,6 2,4 Tertiaire ... 32,3 36,0 8,1 7,9 8,7 8,5 40,0 45,0 10,6 10,9 11,0 11,0 37,0 39,9 9,6 9,7 10,1 10,0

Taux d'entrée en CDI

Ensemble ... 13,0 16,0 3,7 3,5 3,8 3,9 9,0 10,2 2,4 2,5 2,6 2,6 10,4 12,0 2,9 2,9 3,1 3,1 Industrie ... 8,4 8,9 2,2 2,1 2,2 2,3 4,5 5,4 1,3 1,3 1,4 1,4 5,5 6,3 1,5 1,5 1,6 1,6 Construction ... 12,1 14,8 3,3 3,5 3,8 3,8 12,3 14,0 3,4 3,2 3,3 3,2 12,2 14,2 3,3 3,4 3,6 3,6 Tertiaire ... 14,4 18,0 4,1 3,9 4,2 4,4 11,1 13,0 2,9 3,0 3,2 3,2 12,4 14,1 3,4 3,3 3,6 3,7 Taux de sortie Ensemble ... 43,4 46,1 11,4 11,2 11,8 11,1 40,4 44,4 10,9 11,0 11,1 11,0 41,5 45,0 11,1 11,1 11,3 11,1 Industrie ... 25,6 25,1 6,4 6,3 6,2 5,9 18,7 20,1 5,3 5,0 4,9 5,0 20,4 21,3 5,5 5,3 5,2 5,3 Construction ... 24,3 27,1 6,4 6,8 7,4 6,0 17,9 19,2 4,7 4,5 4,6 5,0 21,8 24,0 5,7 5,9 6,3 5,6 Tertiaire ... 51,4 54,6 13,5 13,2 13,9 13,4 53,6 58,0 14,3 14,4 14,6 14,5 52,7 56,9 14,0 14,0 14,3 14,0

Taux de fins de contrat à durée déterminée Ensemble ... 21,3 24,0 5,5 5,4 6,0 5,2 24,7 28,0 6,7 6,8 6,9 6,8 23,5 25,5 6,3 6,3 6,6 6,2 Industrie ... 10,3 11,0 2,7 2,7 2,5 2,2 8,0 8,1 2,1 2,1 2,0 2,0 8,6 8,6 2,2 2,2 2,1 2,1 Construction ... 6,9 6,9 1,7 1,8 1,9 1,4 3,6 3,7 0,9 0,9 0,9 0,9 5,6 5,7 1,4 1,4 1,5 1,2 Tertiaire ... 26,7 30,0 6,9 6,7 7,5 6,6 35,1 38,8 9,5 9,5 9,7 9,6 31,8 34,5 8,5 8,4 8,9 8,4 Taux de démissions Ensemble ... 9,2 12,0 2,7 2,6 2,7 2,7 5,4 6,1 1,5 1,5 1,6 1,6 6,8 7,9 1,9 1,9 2,0 2,0 Industrie ... 5,8 7,0 1,5 1,5 1,6 1,6 2,5 2,9 0,7 0,7 0,7 0,8 3,3 3,8 0,9 0,9 1,0 1,0 Construction ... 9,1 11,9 2,7 3,1 3,3 2,6 6,0 6,5 1,6 1,6 1,6 1,6 7,9 9,8 2,3 2,5 2,6 2,2 Tertiaire ... 10,1 13,0 2,9 2,8 2,9 3,1 6,9 7,7 1,8 1,9 2,0 1,9 8,2 9,4 2,3 2,3 2,4 2,4

Taux de licenciements économiques

Ensemble ... 0,8 0,7 0,1 0,2 0,2 0,2 0,5 0,5 0,2 0,1 0,1 0,1 0,6 0,6 0,1 0,1 0,1 0,1

Industrie ... 1,3 1,0 0,2 0,2 0,3 0,3 1,0 1,0 0,3 0,2 0,3 0,2 1,0 1,0 0,3 0,2 0,3 0,3 Construction ... 0,4 0,4 0,0 0,2 0,1 0,1 0,1 0,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,3 0,3 0,0 0,1 0,1 0,1 Tertiaire ... 0,7 0,6 0,1 0,1 0,2 0,2 0,3 0,3 0,1 0,1 0,1 0,1 0,4 0,4 0,1 0,1 0,1 0,1

Taux de autres licenciements

Ensemble ... 2,7 2,9 0,7 0,7 0,6 0,7 2,2 2,3 0,6 0,6 0,6 0,6 2,4 2,5 0,6 0,6 0,6 0,6

Industrie ... 2,3 2,1 0,5 0,6 0,5 0,5 1,4 1,5 0,4 0,4 0,4 0,3 1,6 1,6 0,4 0,4 0,4 0,4 Construction ... 2,7 3,3 0,9 0,7 0,6 1,0 2,4 2,5 0,6 0,6 0,6 0,6 2,6 2,9 0,8 0,7 0,6 0,8 Tertiaire ... 2,8 3,1 0,7 0,8 0,7 0,7 2,6 2,7 0,7 0,7 0,7 0,7 2,7 2,8 0,7 0,7 0,7 0,7

Taux de fins de période d'essai

Ensemble ... 2,1 2,8 0,7 0,5 0,7 0,6 1,4 1,6 0,4 0,4 0,4 0,4 1,6 2,0 0,5 0,4 0,5 0,5

Industrie ... 1,1 1,3 0,3 0,3 0,4 0,3 0,4 0,5 0,1 0,1 0,1 0,1 0,6 0,7 0,2 0,2 0,2 0,2 Construction ... 1,0 1,6 0,3 0,3 0,5 0,5 0,7 0,8 0,2 0,2 0,2 0,2 0,8 1,2 0,2 0,2 0,4 0,4 Tertiaire ... 2,6 3,4 0,9 0,7 0,8 0,7 1,9 2,2 0,5 0,5 0,6 0,6 2,2 2,6 0,7 0,6 0,7 0,6

Taux de départs en retraite

Ensemble ... 1,1 1,2 0,3 0,3 0,3 0,3 1,6 1,6 0,4 0,4 0,4 0,4 1,4 1,4 0,3 0,3 0,4 0,4 Industrie ... 1,3 1,4 0,4 0,4 0,3 0,3 2,1 2,2 0,5 0,5 0,5 0,6 1,9 2,0 0,5 0,5 0,5 0,5 Construction ... 1,4 0,9 0,2 0,3 0,3 0,2 1,7 1,8 0,4 0,4 0,4 0,4 1,5 1,2 0,3 0,3 0,3 0,3 Tertiaire ... 1,0 1,1 0,3 0,2 0,3 0,3 1,3 1,3 0,3 0,3 0,3 0,4 1,2 1,2 0,3 0,3 0,3 0,3 Taux de rotation Ensemble ... 44,2 47,0 11,5 11,3 12,1 11,6 40,6 44,8 11,0 11,1 11,2 11,2 41,9 45,6 11,2 11,2 11,5 11,4 Industrie ... 25,7 25,0 6,4 6,4 6,4 6,1 17,8 19,4 4,9 4,8 4,8 4,9 19,7 20,9 5,3 5,2 5,2 5,2 Construction ... 26,2 28,7 6,9 7,0 7,6 6,6 19,6 21,0 5,4 4,9 5,1 5,3 23,6 25,7 6,3 6,1 6,6 6,1 Tertiaire ... 52,2 55,0 13,6 13,3 14,1 13,8 54,1 59,3 14,5 14,6 14,8 14,8 53,4 57,8 14,1 14,2 14,5 14,4 Note : les CNE sont pris en compte dans l'ensemble des entrées et des sorties mais ne sont pas présentés isolément (voir encadré méthodologique).

Les taux annuels ne sont pas la somme des taux trimestriels (voir encadré méthodologique).

Le taux d’entrée annuel n’est pas la somme des taux d’entrée trimestriels (voir encadré méthodologique). Source : Dares, DMMO/EMMO.

(4)

5,0 4,0 3,0 2,0 1,0 0,0 -0,1 -0,2 -0,3 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007

Évolution du taux de rotation Évolution de l'emploi 5,0 7,0 6,0 4,0 5,0 3,0 2,0 1,0 0,0 4,0 3,0 2,0 1,0 0,0 -1,0 -2,0 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007

Taux d'entrée en CDI (évolution) Emploi (évolution)

Taux de démission (évolution) (Entrées-Fin) de CDD (échelle de droite)

Graphique A

Évolution de l’emploi et évolution du taux de rotation

Graphique B

Évolution de l’emploi et de quelques motifs d’entrée

et de sortie

Lecture : en 2000, le taux de rotation a augmenté d’environ 4 points et l’emploi a augmenté d’environ 4 %.

Champ : France métropolitaine. Source : Dares, EMMO/DMMO.

Lecture : en 2007, l’emploi a crû de 1,9 %, le taux d’entrée en CDI de 1,6 point et le taux de démission de 1,1 point (échelle de gauche). Le taux d’entrée en CDD était de 4,8 points supérieur au taux de sortie pour fin de CDD (échelle de droite).

Champ : France métropolitaine. Source : Dares, EMMO/DMMO.

Encadré 1

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L’évolution des flux de main-d’œuvre est très liée à celle de l’emploi. Une

progression de l’emploi favorise non seulement les entrées (embauches)

mais aussi les sorties. Et cette progression des flux de main-d’œuvre est

plus vive que celle de l’emploi (graphique A).

La composante des flux de main-d’œuvre la plus réactive à la conjoncture

de l’emploi est celle des entrées en CDD. Le taux d’entrée en CDD est

bien mieux corrélé à la variation de l’évolution de l’emploi (coefficient de

corrélation de 0,83) qu’à cette évolution elle-même (coefficient de

corré-lation de 0,51). Ainsi, le taux d’entrée en CDD a plus augmenté en 2004,

année durant laquelle la situation de l’emploi s’était améliorée (+ 0,2 %

après -0,3 % en 2003), qu’en 2001, où la croissance de l’emploi était plus

forte (+ 1,6 %) mais ralentissait (+ 3,9 % en 2000).

Le taux d’entrée en CDI et, de manière encore plus marquée, le taux de

démission sont fortement corrélés à l’évolution de l’emploi (coefficients

de corrélation de 0,86 et 0,93, respectivement, sur 1997-2007) mais peu

à son accélération Les salariés démissionnent d’autant plus facilement

qu’ils ont déjà trouvé, ou sont assurés d’avoir un autre contrat,

préféren-tiellement en CDI. Une meilleure conjoncture favorise donc ces

mouve-ments.

Enfin, la dernière des quatre principales composantes du taux de

rota-tion, le taux de sortie pour fin de CDD, n’est pas significativement

corré-lée à l’évolution de l’emploi. En effet, une amélioration de la conjoncture

a deux impacts contraires sur les sorties de CDD : un effet positif lié à

l’augmentation des entrées en CDD (et donc corrélativement des sorties

pour fin de contrats) ; un effet négatif (d’un point de vue statistique) lié

à l’augmentation des transformations de CDD en CDI. Les salariés qui

bénéficient de ces transformations sont comptés, lors de leur embauche,

parmi les entrées en CDD mais dans des motifs autres que les fins de

CDD (démission, licenciement…) lors de leur départ. La différence entre

les taux d’entrée en CDD et les taux de sortie pour fin de CDD – qui

cor-respond approximativement aux transformations de CDD en CDI (1) –

est très nettement corrélée à l’évolution de l’emploi (coefficient de

corré-lation de 0,84) (graphique B).

Ces variations conjoncturelles ne suffisent toutefois pas à rendre compte

du niveau atteint en 2007 par le taux de rotation, qui est supérieur à son

précédant pic de 2000, malgré une croissance de l’emploi bien moins

élevée. En fait, dans la plupart des secteurs, le taux de rotation en 2007

est inférieur à celui de 2000. Il est ainsi de 38,5 % dans les industries

agricoles et alimentaires en 2007, contre 47 % en 2000 et de 11,1 % dans

l’industrie automobile (14,4 % en 2000). Si le taux global est plus élevé

que celui de 2000 c’est que la hausse est particulièrement forte dans les

deux secteurs au plus fort turn-over : l’éducation, santé, action

sociale

(2), qui passe de 59,7 % à 77,8 % et, surtout, les services aux

par-ticuliers où le taux augmente de 25 points pour atteindre 128 % en

2007

(3). Sans ces deux secteurs, le taux de rotation serait moins élevé

en 2007 qu’en 2000.

(1) Aux décalages temporels prêt et en négligeant les sorties précoces de CDD pour fin de période d’essai ou, plus rarement, par démission.

(2) Ce secteur est le second en terme de taux de rotation depuis 2002, année où il a dépassé celui des services aux entreprises.

(3) À ces aspects sectoriels s’ajoute la hausse de la part du tertiaire dans l’éco-nomie.

beaucoup plus élevé dans

l’in-dustrie (1,0 %) que dans la

cons-truction (0,3 %) ou le tertiaire

(0,4 %). Le taux de sortie pour

licenciement autre

qu’écono-mique augmente légèrement :

2,5 % contre 2,4 % en 2006. À

l’inverse des licenciements pour

motif économique, il est plus

élevé dans le tertiaire (2,8 %) et

la construction (2,9 %) que dans

l’industrie (1,6 %). Après avoir

connu une forte progression en

2004, avec la mise en place des

retraites anticipées pour

carriè-res longues, le taux de départ en

retraite reste stable : 1,4 % en

2007 comme en 2006,

l’aug-mentation de ce taux dans

l’in-dustrie étant compensée par sa

diminution dans le bâtiment.

Le taux de sortie pour fin de

CDD augmente de deux points

pour atteindre 26 %. Seul le

ter-tiaire contribue à cette

augmen-tation.

Le taux de rotation pour les

fem-mes (58 %) est beaucoup plus

élevé que pour les hommes

(37 %). Mais la différence est

encore plus prononcée pour les

jeunes (tableau 3). Sur longue

période, le taux d’entrée en CDI

(5)

des femmes et celui des

hom-mes sont proches. Celui des

femmes, supérieur en 2002 et

2003, est resté constant de 2003

à 2006 et progresse de 1,3 point

en 2007 pour atteindre 11,4 %.

Le taux d’entrée en CDI des

hommes augmente depuis 2004

et s’élève à 12,4 % en 2007. La

différence selon le sexe est

beau-coup plus forte pour les entrées

en CDD : le taux des femmes est

le double de celui des hommes

(respectivement 43 % et 21 %).

Cela s’explique en partie par des

effets sectoriels : les hommes

sont plus nombreux dans

l’in-dustrie, où le recours à l’intérim

se substitue à celui du CDD, et

les femmes plus nombreuses

dans le secteur de l’éducation,

santé, action sociale, où le taux

de rotation est très élevé.

Toutefois, dans tous les secteurs

au niveau NES16, à l’exception

de la construction, le taux

d’en-trée en CDD est plus élevé pour

les femmes.

Le taux de rotation est de 104 %

chez les moins de 30 ans et de

28 % chez les 30 ans ou plus

(tableau 3). Logiquement, les

Tableau 2

Mouvements de main-d'œuvre par secteur d'activité en 2006 et 2007

Taux pour 100 salariés présents en début d'année

Industries agricoles et alimentaires... 37,8 38,4 38,2 38,6 29,7 6,4 17,6 22,3 0,9 2,0 5,8 1,5 1,7 6,3

Biens de consommation... 23,7 25,8 25,2 26,5 16,6 6,3 27,3 13,8 1,6 1,9 3,9 1,7 0,7 4,5

Habillement, cuir ... 27,4 28,7 27,8 29,6 19,8 5,7 22,2 16,3 1,8 1,7 4,1 1,8 0,9 1,7

Édition, imprimerie, reproduction ... 31,9 34,3 33,3 35,2 24,6 6,7 21,2 22,2 1,4 2,2 4,3 1,6 0,9 2,1

Pharmacie, parfumerie, entretien ... 18,7 21,0 21,8 20,1 12,2 6,8 35,8 9,3 1,0 1,7 3,2 1,5 0,5 5,2

Équipements du foyer ... 18,3 20,2 18,5 21,8 10,6 5,5 33,7 8,0 2,2 1,8 3,9 2,0 0,6 7,6

Industrie automobile ... 9,8 11,1 9,2 13,0 3,9 3,5 47,3 2,5 1,2 1,4 2,0 3,2 0,2 8,9

Biens d'équipements ... 16,2 17,5 18,0 17,0 8,1 7,9 49,1 5,2 0,7 1,3 4,0 2,0 0,6 7,2

Construction navale, aéronautique,

ferroviaire... 11,8 12,2 12,7 11,7 5,2 6,3 54,8 3,0 0,3 0,8 2,1 2,7 0,3 7,2

Equipements mécaniques... 18,3 19,5 20,2 18,8 9,8 9,0 47,4 6,2 0,7 1,5 4,9 1,9 0,7 7,9

Equipements électriques et électroniques 15,3 17,3 17,4 17,3 6,9 6,9 49,6 5,0 1,0 1,2 3,5 1,8 0,5 5,7

Biens intermédiaires ... 16,4 17,2 16,6 17,8 8,8 6,2 40,8 6,1 1,1 1,7 3,7 2,1 0,6 7,0

Production de produits minéraux... 15,0 15,9 15,8 16,0 8,3 6,1 41,8 5,1 0,7 1,7 3,5 2,4 0,4 7,1

Industrie textile ... 20,9 19,4 17,5 21,4 11,5 4,6 28,4 9,4 2,1 2,0 3,0 1,9 0,5 4,6

Industrie du bois et du papier ... 16,6 19,0 18,2 19,9 9,7 7,0 41,2 6,9 1,2 1,9 4,5 2,0 1,1 6,2

Chimie, caoutchouc, plastiques ... 15,6 16,3 15,4 17,1 8,3 5,7 40,4 5,7 1,5 1,7 3,2 2,0 0,5 6,9

Métallurgie, transformation des métaux . 16,6 18,1 17,7 18,5 9,2 7,1 42,8 6,1 0,9 1,7 4,2 2,3 0,7 7,5

Composants électriques et électroniques 16,5 15,6 15,4 15,9 7,3 5,5 43,0 5,3 1,0 1,3 3,1 1,9 0,4 7,6

Énergie ... 16,7 19,5 19,4 19,6 4,8 4,8 50,0 2,8 0,1 0,6 1,6 1,5 0,1 1,3

Production de combustibles et carburants 10,9 10,9 10,1 11,7 4,1 4,5 52,3 2,8 0,4 0,2 1,3 4,2 0,1 2,2

Eau, gaz, électricité... 17,6 20,6 20,6 20,6 4,9 4,8 49,5 2,8 0,0 0,7 1,7 1,2 0,2 1,2

Construction ... 23,6 25,8 27,5 24,0 10,2 14,3 56,1 5,7 0,3 2,9 9,8 1,2 1,2 8,1

Commerce ... 43,8 47,8 48,0 47,7 31,4 13,2 29,3 25,5 0,6 3,5 9,5 1,1 3,1 1,7

Commerce et réparation automobile ... 28,0 31,5 31,0 31,9 15,8 12,5 43,4 11,9 0,4 2,9 9,1 1,3 2,0 1,2

Commerce de gros ... 31,4 34,1 34,1 34,1 18,7 12,2 39,1 14,6 0,9 3,0 7,5 1,3 2,2 2,3

Commerce de détail, réparations ... 58,0 62,6 63,0 62,2 45,3 14,2 23,7 37,3 0,4 3,9 11,1 0,8 4,1 1,3

Transports ... 31,8 33,5 34,9 32,0 19,9 12,1 37,5 13,7 0,3 2,7 7,9 1,4 1,8 3,6

Activités financières ... 24,3 23,9 24,4 23,4 9,9 7,4 42,5 7,9 0,2 1,0 3,6 2,2 0,8 0,8

Activités immobilières ... 35,9 35,9 37,5 34,2 21,2 13,8 39,3 18,6 0,1 2,8 5,7 1,6 1,9 0,7

Services aux entreprises ... 55,5 58,6 60,3 56,9 37,2 17,0 31,3 31,4 0,5 3,6 9,8 0,9 2,6 1,5

Postes et télécommunications ... 39,3 41,7 41,7 41,7 18,4 9,9 34,9 15,5 0,3 2,2 6,5 1,1 1,5 1,3

Conseil et assistance ... 36,7 40,1 42,1 38,1 19,9 16,8 45,5 16,0 0,6 2,7 9,3 0,9 2,0 1,3

Services opérationnels ... 85,4 89,0 90,7 87,3 65,1 19,5 23,0 55,9 0,5 5,4 11,5 0,9 3,8 1,8

Recherche et développement... 27,4 26,3 27,5 25,2 16,6 7,8 32,0 15,0 0,2 1,0 3,7 1,4 0,6 1,4

Services aux particuliers ... 110,1 127,9 128,8 127,0 86,7 31,2 26,2 78,4 0,4 3,4 24,1 0,5 7,7 0,6

Hôtels et restaurants ... 106,7 116,7 118,1 115,2 71,0 38,3 34,6 61,6 0,3 3,9 29,8 0,5 9,8 0,7 Activités récréatives, culturelles

et sportives ... 125,0 163,2 163,0 163,5 129,2 17,3 11,8 123,0 0,5 2,6 12,6 0,6 3,4 0,5

Services personnels et domestiques ... 74,7 81,4 82,0 80,7 55,3 19,5 25,7 49,0 0,3 2,7 16,0 0,7 4,3 0,7

Éducation, santé, action sociale ... 73,4 77,8 78,8 76,9 67,5 8,9 11,6 63,1 0,2 1,4 6,6 1,5 1,0 0,6

Éducation... 47,5 54,5 54,0 55,1 44,0 8,3 15,8 40,6 0,3 1,1 6,2 1,6 0,7 0,5

Santé et action sociale... 76,6 80,5 81,7 79,4 70,3 9,0 11,3 65,7 0,2 1,4 6,7 1,5 1,0 0,6

Administrations ... 36,3 38,3 37,9 38,8 30,3 5,3 14,9 27,1 0,2 0,9 3,9 2,4 0,5 0,3

Activités d'administration publique ... 17,4 18,5 17,7 19,3 13,2 3,1 19,0 11,2 0,0 0,4 1,7 3,3 0,3 0,2

Activités associatives et extra-territoriales ... 62,3 63,7 63,8 63,7 52,3 8,1 13,4 47,4 0,5 1,6 6,8 1,3 0,8 0,4 Industrie ... 19,7 21,0 20,6 21,4 11,9 6,3 34,4 8,6 1,0 1,6 3,8 2,0 0,7 6,4 Construction ... 23,6 25,8 27,5 24,0 10,2 14,3 56,1 5,7 0,3 2,9 9,8 1,2 1,2 8,1 Tertiaire... 53,4 57,9 58,8 57,0 40,0 14,1 25,9 34,6 0,4 2,8 9,4 1,2 2,6 1,4 Ensemble ... 41,9 45,7 46,3 45,1 30,3 12,0 28,2 25,5 0,6 2,5 7,9 1,4 2,0 3,3

* Les embauches correspondent aux entrées en CDI, CDD ou CNE (hors tranferts entre établissements).

Note : Les embauches sous CNE et sorties pour fins de CNE, ainsi que les non-déclarations, les transferts en entrée et en sortie entre établissements d'une même entreprisee et les autres cas de sortie (accident, décès…) complètent ces motifs.

Champ : France métropolitaine, établissements de 10 salariés et plus. Source : Dares, DMMO/EMMO.

2007 Taux de recours à l’intérim Taux de fin de période d’essai Taux de départ en retraite Taux de démis-sion Taux d’autres licen-ciements Taux de licencie-ments écono-miques Taux de sortie pour fin de CDD Part des CDI dans les embau-ches Taux d’entrée en CDI Taux d’entrée en CDD Taux de sortie Taux de rotation Taux de rotation Taux d’entrée 2006 Secteur d'activité (nomenclature NAF 36 postes)

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Diirreeccttiioonn ddee ll’’aanniimmaattiioonn ddee llaa rreecchheerrcchhee,, ddeess ééttuuddeess eett ddeess ssttaattiissttiiqquueess ((DDAARREESS)),, 3399--4433,, qquuaaii AAnnddrréé CCiittrrooëënn,, 7755990022 PPaarriiss CCeeddeexx 1155.. w

wwwww..ttrraavvaaiill..ggoouuvv..ffrr ((RRuubbrriiqquuee ÉÉttuuddeess,, RReecchheerrcchhee,, SSttaattiissttiiqquuee ddee llaa DDAARREESS)) D

Diirreecctteeuurr ddee llaa ppuubblliiccaattiioonn :: AAnnttooiinnee MMaaggnniieerr..

Téléphone Publications : 01.44.38.22.(60 ou 61) Documentation : 01.44.38.23.(12 ou 14) / Télécopie : 01.44.38.24.43 Réponse à la demande : e-mail : dares.communication@dares.travail.gouv.fr

Rédactrice en chef : Alice Guerber-Cahuzac. Secrétariat de rédaction : Evelyn Ferreira et Francine Tabaton.

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Impression : Ateliers Modernes d’Impression, 19, rue Latérale, 92404 Courbevoie. Abonnements : dares.communication@dares.travail.gouv.fr Publicité : Ministère de l’économie, de l’industrie et de l’emploi et Ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville. Dépôt légal : à parution. Numéro de commission paritaire : 3124 AD. ISSN 1253 - 1545.

(32 %) mais c’est aussi pour

cette catégorie que

l’augmenta-tion par rapport à 2006 est la

plus forte (+3,4 points). La part

des démissions est la plus élevée

pour les ouvriers qualifiés

(30 %), sa croissance par

rap-port à 2006 étant également la

plus marquée (+2,6 points). Les

licenciements et les départs en

retraite sont des motifs de sortie

rares pour les contrats à durée

déterminée. Leur part dans les

sorties est donc le reflet inversé

de la part des CDD dans les

embauches.

Claude P

ICART

(Dares).

entrées sont supérieures – de

13 points – aux sorties chez les

moins de 30 ans et les sorties

supérieures – de 9 points – chez

les 50 ans ou plus. Chez les

moins de 30 ans, le taux d’entrée

en CDD est cinq fois plus élevé

que chez les 30 ans ou plus et le

taux d’entrée en CDI trois fois

plus. La tranche d’âge des moins

de 30 ans est aussi celle qui

connaît les taux de sortie les plus

élevés, que ce soit pour fin de

CDD (66 %), pour démission

(17 %), pour fin de période

d’es-sai (5 %) ou pour licenciement

autre qu’économique (3 %).

Seuls les licenciements

écono-miques et, bien entendu, les

départs en retraite, voient leur

fréquence augmenter avec l’âge.

Le taux d’embauche des salariés

de 50 ans ou plus est inférieur

d’un tiers à celui des personnes

de 30 à 49 ans (19 % contre

31 %). Mais, quand ils sont

embauchés, les salariés de

50 ans ou plus le sont

relative-ment moins souvent en CDI.

C’est aussi la seule tranche d’âge

pour laquelle les licenciements

sont plus fréquents que les

démissions. Enfin, le plus fort

taux d’entrée en CDD des

fem-mes se retrouve pour chaque

tranche d’âge.

Seuls les cadres sont embauchés

plus d’une fois sur deux sous

CDI (tableau 4). Ceci n’est

cependant plus vrai au-delà de

50 ans : pour cette tranche d’âge,

64 % des cadres sont

embau-chés sous CDD, soit une

propor-tion plus forte que pour les

ouvriers qualifiés (58 %). La fin

de CDD est le motif de sortie le

plus fréquent, quelle que soit la

catégorie socioprofessionnelle.

C’est pour les cadres que sa part

dans les sorties est la plus faible

Tableau 3

Mouvements de main-d’œuvre par sexe et âge dans les établissements de 10 salariés et plus, en 2007

Ensemble... 45,7 46,3 30,3 12,0 45,0 23,5 7,9 2,0 0,6 2,5 1,4 Hommes ... 37,0 37,5 21,3 12,4 36,5 16,9 7,9 2,0 0,6 2,6 1,6 Femmes ... 57,8 58,7 43,4 11,4 56,9 37,9 7,9 2,0 0,6 2,3 1,2 Moins de 30 ans ... 104,2 110,6 78,9 26,0 97,7 65,8 17,2 5,1 0,3 3,1 0,0 Hommes ... 82,7 89,1 57,7 26,4 76,3 45,4 16,7 4,8 0,3 3,5 0,0 Femmes... 132,2 138,6 107,1 25,3 125,9 93,0 17,7 5,3 0,3 2,6 0,0 30 à 49 ans ... 30,5 30,8 17,9 9,4 30,2 15,0 6,4 1,3 0,6 2,3 0,0 Hommes ... 25,6 25,8 12,1 10,0 25,4 9,6 6,7 1,4 0,6 2,4 0,0 Femmes... 37,4 38,0 26,1 8,4 36,9 22,7 5,8 1,2 0,6 2,1 0,0 50 ans ou plus ... 23,1 18,6 11,7 4,2 27,6 10,7 2,2 0,5 0,8 2,4 6,7 Hommes ... 19,8 15,1 7,9 4,3 24,5 6,9 2,1 0,6 0,8 2,3 7,2 Femmes... 27,8 23,6 17,4 4,0 32,0 16,2 2,4 0,5 0,8 2,4 5,7

Champ : France métropolitaine.

Taux de départ en retraite Taux d'autres licencie-ments Taux de licencie-ment écono-mique Taux de fin de période d'essai Taux de démis-sion Taux de sortie pour fin de CDD Taux de sortie Taux d'entrée en CDI Taux d'entrée en CDD Taux de rotation Taux d'entrée Sexe Âge Source : Dares, DMMO/EMMO.

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Tableau 4

Mouvements de main-d’œuvre par catégorie socioprofessionnelle

dans les établissements de 10 salariés et plus, en 2007

Cadres ... 43,5 31,6 22,3 3,9 2,1 8,5 4,9 Professions intermédiaires ... 66,8 54,0 18,3 3,8 1,5 4,9 3,5 Employés... 74,7 63,6 17,5 5,8 0,7 4,3 1,2 Ouvriers qualifiés... 54,5 36,7 30,2 5,7 2,4 9,3 5,0 Ouvriers non qualifiés... 82,2 66,2 15,3 3,5 1,0 4,8 1,3

Note : pour chaque catégorie socioprofessionnelle, la somme des parts des différents motifs de sortie ne vaut pas 100 car certains motifs ne sont pas indiqués : les transferts entre établissements d'une même entreprise (6 % des sorties en 2007), les fins de CNE (0,2 % des sorties en 2007) et d'autres motifs (acci-dents et décès, non déclarations…) complètent les parts affichées.

Champ : France métropolitaine.

Ventilation des motifs de sortie Autre licencie-ment Retraite Licencie-ment écono-mique Fin de période d’essai Démis-sion Fin de CDD Part des CDD dans les embau-ches

(7)

Encadré 2

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En 2007, pour la première fois, l’enquête EMMO interroge les établissements de moins de 10 salariés et couvre ainsi l’ensemble des

établisse-ments de moins de 50 salariés du secteur concurrentiel. Le nombre d’établisseétablisse-ments enquêtés reste stable (environ 50 000). Une fois intégrés les

résultats du dispositif DMMO, toutes les tailles d’établissement sont donc désormais couvertes. Il n’est toutefois pas encore possible de

présen-ter des résultats trimestriels corrigés des variations saisonnières, ni de commenprésen-ter les évolutions.

La prise en compte des établissements de moins de 10 salariés (TPE) porte le taux de rotation à 49 % au lieu de 46 % (tableau). En effet, le taux

de rotation est fonction décroissante de la taille : il est de 58 % en deçà de 10 salariés et de 48 % dans les établissements de 10 à 49 salariés (PE).

La différence est essentiellement attribuable à un plus fort recours aux CDD : le taux d’entrée en CDD et les fins de CDD sont nettement plus

importants dans les TPE. Le taux d’entrée en CDI est du même ordre de grandeur dans les TPE et les PE, légèrement plus faible dans les TPE

(15,6 % contre 16,1 %) si on exclut les embauches en CNE et légèrement supérieur si on ajoute les embauches en CNE à celles en CDI (17,0 %

contre 18,0 %. Parmi les motifs de sortie, les TPE se distinguent par un taux de licenciement économique nettement plus élevé (1,4 % contre 0,7 %

pour les PE et 0,5 % pour les moyens et grands établissements).

Les taux d’entrée (notamment en CDD) et de sortie semblent plus faibles dans les petits établissements de 10 à 49 salariés que dans les

établis-sements de 50 salariés et plus mais il s’agit en fait d’un artefact lié au mode de collecte : la DMMO est une déclaration mensuelle alors que

l’EMMO est une enquête trimestrielle : une période d’emploi de courte durée a une probabilité plus faible d’être collectée via l’EMMO que via la

DMMO. Si on désagrège la tranche de taille des 50 salariés et plus, on s’aperçoit nettement que le taux d’entrée, et plus particulièrement le taux

de recrutement en CDD, diminue avec la taille (graphique).

1 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 à 99 salariés 100 à 199 salariés 200 salariés et plus 60 50 40 30 20 10 0 Taux d'entrée Taux d'entrée en CDD Taux de sortie

Taux d'entrée en CDI-CNE

Les séries portant sur les établissements de 1 à 49 salariés ne sont pas comparables à celles portant sur les 50 salariés et plus car les pério-des d'emploi de courte durées sont moins fréquemment enregistrées pour les plus petits établissements.

Champ : France métropolitaine. Source : Dares, DMMO/EMMO.

Taux d’entrée et de sortie par tranche de taille (en %)

Taux de rotation, d'entrée et de sortie par tranche de taille et secteur d'activité (en %)

Ensemble... 49,0 49,9 33,4 13,3 0,9 48,1 27,8 9,2 2,0 0,8 2,6 1,4 Moins de 10 salariés... 59,0 60,0 38,7 15,6 2,4 57,0 31,4 11,8 2,1 1,4 2,8 1,2 10 à 49 salariés ... 47,1 48,0 29,5 16,1 0,9 46,2 23,7 11,5 2,8 0,7 2,9 1,2 50 salariés et plus ... 44,8 45,1 32,2 10,3 0,0 44,4 27,8 6,2 1,6 0,5 2,3 1,6 Industrie ... 23,0 22,8 13,6 7,0 0,4 23,2 9,9 4,7 0,9 1,1 1,7 1,9 Moins de 10 salariés... 36,0 37,0 21,9 10,6 1,6 35,0 15,3 9,0 1,7 1,2 1,8 1,2 10 à 49 salariés ... 25,5 25,9 15,2 9,1 0,6 25,0 10,5 6,5 1,3 1,0 2,1 1,4 50 salariés et plus ... 19,5 18,8 11,1 5,5 0,0 20,2 8,4 3,0 0,5 1,0 1,5 2,2 Construction... 32,0 34,0 15,2 15,8 2,1 30,0 8,6 11,5 1,3 0,8 3,3 1,1 Moins de 10 salariés... 42,0 43,9 22,3 17,4 3,8 39,1 13,0 13,9 1,3 1,5 3,8 0,9 10 à 49 salariés ... 28,8 30,4 12,7 15,5 1,8 27,1 7,1 12,1 1,6 0,4 3,3 0,9 50 salariés et plus ... 21,0 22,8 7,3 13,6 0,0 19,2 3,8 6,7 0,8 0,1 2,5 1,8 Tertiaire ... 59,8 60,9 42,3 15,1 0,9 58,6 36,2 10,3 2,5 0,7 2,8 1,2 Moins de 10 salariés... 65,0 67,0 44,2 16,1 2,3 63,0 37,2 11,8 2,2 1,4 2,7 1,2 10 à 49 salariés ... 55,4 56,0 36,0 17,9 0,8 54,8 29,9 12,7 3,4 0,6 3,1 1,1 50 salariés et plus ... 59,2 60,0 44,5 12,5 0,0 58,4 39,3 7,8 2,2 0,3 2,7 1,3

Champ : France métropolitaine, toutes tailles d'établissements. Source : Dares, DMMO/EMMO.

Taux de départ en retraite Taux d'autre licencie-ment Taux de licencie-ment écono-mique Taux de fin de période d'essai Taux de démis-sion Taux de sortie pour fin de CDD Taux de sortie Taux d'entrée en CDI Taux d'entrée en CDD Taux de rotation Taux d'entrée Taille Secteur Taux d’entrée en CNE

(8)

Encadré 2

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Les données sur les mouvements de main-d’œuvre sont issues de deux sources statistiques distinctes :

- La Déclaration mensuelle des Mouvements de Main-d'Oeuvre (DMMO) : chaque mois, les établissements de 50 salariés ou plus adressent à

l'administration un relevé détaillé des contrats conclus ou résiliés durant le mois précédent.

- L'Enquête sur les Mouvements de Main-d'Oeuvre (EMMO) : chaque trimestre, la Dares interroge par sondage stratifié, selon la zone d’emploi

et le secteur d’activité, les établissements de moins de 50 salariés à l'aide d'un questionnaire comparable au formulaire déclaratif. Au total,

environ 50 000 établissements sont interrogés. Jusqu’en 2006, seuls les établissements de 10 à 49 salariés l’étaient. Les établissements de

1 à 9 salariés le sont depuis 2007.

Le champ est celui du secteur concurrentiel (industrie, construction et tertiaire) de la France métropolitaine. Sont en particulier exclus les

admi-nistrations publiques, les collectivités territoriales, les principaux établissements publics, les établissements relevant de la Défense nationale et

les établissements de travail temporaire. Le nombre d’intérimaires est renseigné par les établissements uniquement en fin de trimestre (les

mis-sions d'intérim ne sont pas prises en compte dans les mouvements de main-d’œuvre au cours du trimestre).

Toutes les données (hors CNE) sont corrigées des variations saisonnières (CVS). Elles sont révisées chaque trimestre. Cette opération n’est pas

encore réalisable pour les établissements de moins de 10 salariés car ils n’étaient pas interrogés avant 2007.

Le ttaau

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on

n est la demi-somme du taux d’entrée et du taux de sortie. Pour une période donnée, le ttaau

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nttrrééee (respectivement de sso

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est le rapport entre le nombre total d’entrées (respectivement de sorties) de la période et l’effectif de début de période. Avec cette convention, le

taux d’entrée annuel n’est pas la somme des taux d’entrée trimestriels. La différence entre le taux d’entrée et le taux de sortie ne reflète

qu’approxi-mativement l’évolution de l’emploi car la prise en compte de la démographie des entreprises est très délicate. On ne commente donc pas cette

différence.

Pour chaque motif d’entrée et de sortie, on calcule dans la mesure du possible des taux. Un tel calcul est possible pour les ventilations par taille,

par secteur et par sexe. Les établissements indiquent dans l’enquête leurs effectifs de début et de fin de période ventilés par sexe. La ventilation

des effectifs par âge n’est en revanche pas disponible dans les DMMO-EMMO. Pour calculer les taux par tranche d’âge, on applique aux effectifs

totaux la structure par âge de la strate correspondante (taille d’établissement) obtenue, pour le champ MMO, à partir des Déclarations Annuelles

de Données Sociales (DADS). Cet exercice n’a été effectué que pour l’année 2007. On ne dispose donc pas encore de séries en évolution pour ces

taux. On ne calcule pas de taux pour les ventilations par catégories socioprofessionnelles.

Les CDD comprennent les contrats d’apprentissage et les contrats aidés, à la différence d’autres sources comme l’enquête Emploi de l’Insee.

Le ttaau

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m est le rapport entre le nombre d’intérimaires et la somme du nombre d’intérimaires et du nombre de salariés en fin

de trimestre.

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