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COVID-19, l'onde de choc

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Academic year: 2022

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COVID-19,

l'onde de choc

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Comprendre la dynamique psychologique de la pandémie

COVID-19, l'onde de choc

Séverine Némesin Olivier Müller

Cent Mille Milliards essai

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© Séverine Némesin, Olivier Müller et Cent Mille Milliards, 2021.

Les ouvrages édités par Cent Mille Milliards sont imprimés à la demande par un établissement certifié Imprim’Vert

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et un atout essentiel

pour la protection de l’environnement grâce à sa faible empreinte carbone.

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PRÉAMBULE

Tout a été dit, lu, écrit et entendu sur la pandémie – par- fois tout et son contraire. D’avis d’experts en comités scientifiques, ses mécanismes sanitaires et sociétaux ont été scrutés avec une acuité rare, permise par des médias qui ont atteint une puissance sans égale dans l’histoire de l’Humanité.

Pourtant, il semble manquer un niveau d’analyse.

Peut-être parce qu’il n’est pas visible, qu’il est intime, sensible, personnel, mouvant : l’analyse psychologique de la crise sanitaire. Si ses effets ont été très largement documentés, ses causes premières furent trop souvent passées sous le radar.

La psychologie de cette crise sanitaire pose parfois des questions qui dérangent : les « bébés COVID » vont- ils pouvoir grandir normalement dans un monde qu’ils ont toujours connu masqué et aseptisé ? Que signifie le « sacrifice » de la génération des 15-25 ans ? Quelles sont les injonctions induites par des postures d’autorité comme « être en guerre » ou se battre « quoi qu’il en coûte » ? Comment les parents ont-ils vécu le retour à

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la maison de l’école, mais aussi de leur propre travail ? En sortie de crise, pourra-t-on parler de « stress post- traumatique » à l’échelle de la Nation entière ? Quels ressorts intimes furent activés par la promesse d’un

« monde d’après » ?

Notre analyse se propose de mettre à jour la tecto- nique psychologique qui a structuré nos réactions face à la crise : rapport à l’intime, à la mort, à la sexualité, à l’autorité, au pouvoir, parmi d’autres. Sans jugement, sans justification, mais par la simple mise en lumière de concepts clés de la psychologie activés face à un ennemi massif, invisible, soudain, dont nous étions à la fois les principales victimes et les vecteurs.

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PREMIÈRE PARTIE

ANALYSE CONTEXTUELLE

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Les éléments d’une crise sans précédent

Une pandémie mondiale, l’explosion du concept de frontières

Le bonheur est individuel, la souffrance est universelle.

C’est, en creux, ce qu’est venue signifier à l’humanité la pandémie de COVID-19. Alors que les pandémies de l’Histoire de l’humanité s’étiraient sur plusieurs siècles – par exemple la peste justinienne, frappant les villes et croyances au gré des navigations qui en propageaient l’agent viral, la pandémie de la COVID-19 a envahi la pla- nète entière en six mois, principalement du 15 décembre 2019 au 15 mai 2020.

Ce fut une matérialisation excessivement rapide et offensive de multiples concepts que l’on croyait jusque-là restreints au champ économique : village global1, monde interconnecté, citoyens du monde. De belles notions qui, pour la plupart, revêtaient une épaisseur sémantique

1. Le village planétaire ou village global (en anglais Global Village), est une expression de Marshall McLuhan, tirée de son ouvrage The Medium is the Message paru en 1967, pour qualifier les effets de la mondialisation, des médias et des technologies de l'information et de la communication.

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plutôt positive. Le « village » charriait avec lui l’image de l’église dont elle était le centre, l’école communale, le cocon géographique – le village global étant devenu un concept assez flou bien éloigné d’une réalité faite de mégapoles et d’urbanisation galopante.

Même chose pour le « monde interconnecté », doublé d’un imaginaire de grands hubs aéroportuaires et de vidéos en streaming franchissant des dizaines de milliers de kilomètres en une poignée de secondes. Le « monde interconnecté » était la promesse délivrée aujourd’hui de ce que nous imaginions être le « monde de demain », inscrit dans une ère que l’on fantasmait tout numérique – en somme, le progrès à portée de main.

Il en allait de même pour les « citoyens du monde » que nous serions tous devenus. Des êtres hybrides trans- continentaux, écartelés entre un étant « citoyen », donc par essence rattachés à une « cité » empreinte de rites et institutions, et une nature « mondiale » qui recouvre exactement l’inverse par sa nature globale. Le « citoyen du monde », sous couvert de figurer une harmonie fra- ternelle globale, se rapproche en réalité d’un troublant oxymore. On ne peut pas être « citoyen » et en même temps « du monde », un monde qui n’est pas une cité ni ne présente aucun caractère d’homogénéité.

C’est l’ensemble de ces contradictions et illusions que la pandémie de COVID-19 est venue révéler. Et encore, « révéler » peut contenir quelque connotation positive : « explosion » serait plus juste. La pandémie a fait exploser en un temps record ces concepts dont l’hu- manité se berçait. Le village global dont on assurait la sécurité comme un village gaulois est un mythe qui s’est

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fracassé sur une pandémie moderne, transfrontalière, fulgurante, non maîtrisable. Le monde interconnecté, façon 3.0, fut à l’inverse de ses belles promesses numé- riques : il s’est révélé être éminemment humain, fragile, otage d’un SARS-CoV-2 attaquant sans frein le « citoyen du monde ».

Pourquoi la surprise et l’explosion de la COVID- 19 ? L’Histoire nous avait déjà dispensé quelques leçons.

Depuis des décennies, des experts nous alertaient sur le risque d’une pandémie. Pourquoi n’avons-nous rien entendu des signes d’alerte ?

Dans les premières pages de son livre Dancing Matrix paru en 1990, la journaliste et essayiste Robin Marantz citait le biologiste et prix Nobel Joshua Lederberg, qui nous offrait un élément de réponse. Il affirmait que

« le virus est la plus grande menace pour la domination continue de l’Homme sur la planète ». L’homme, aussi puissant soit-il, face au virus n’était donc rien. Accepter le principe d’une pandémie mondiale n’allait donc pas de soi. Il en va de même pour une autre menace globale, nucléaire cette fois, que l’on a nié pendant des décennies.

En 1986, le gouvernement français faisait même passer le message que le nuage de Tchernobyl s’était arrêté à la frontière franco-allemande… Trente-cinq ans plus tard, cette improbable audace, tant rhétorique que scientifique, ne tient plus. À l’incolore et inodore nuage radioactif qui ne laisse rien planer d’autre que le doute sur sa présence, la pandémie de COVID-19 oppose sa brutalité : détresse respiratoire, morts que l’on entasse dans des fosses com- munes. Des images de guerre, mais en temps de paix et au cœur de nos villes, de nos foyers.

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Difficile de nier, dans ces conditions, que la pan- démie est globale, mondiale, immédiate. Et surtout incontrôlée. La pandémie de COVID-19 est unique en ce qu’elle a fait sauter une double digue. D’abord, celle d’un discours politique aussi faux qu’il était rassurant. Plus personne, hormis quelques illuminés, n’a pu soutenir longtemps un message infantilisant, rassurant, naïf, sur la violence de sa propagation. Ensuite, la pandémie de COVID-19 a fait voler en éclat un concept fondamental de l’identité politique de tout citoyen : celui de frontière.

Ce n’est pas un simple constat géopolitique. Une frontière qui saute, c’est une protection qui n’est plus assurée. « Je ne suis plus en sécurité chez moi, car ce chez-moi n’existe plus. » Qui peut se sentir en sécurité dans une maison qui n’a ni mur ni porte ni fenêtre ? Personne. Au même titre que personne ne peut se sentir sous la protection d’un État qui n’a plus de frontière.

La pandémie de COVID-19 a dynamité la notion d’État qui, en droit international, se définit comme l’exer- cice d’une autorité sur une population permanente au sein de frontières établies. Plus de frontière, plus d’État – ce qui, dans un pays comme la France, reposant en grande partie sur le concept d’« État-providence », eut des conséquences psychologiques collectives colossales, à commencer par l’installation d’une hystérie collective ayant mené au développement en masse de symptômes physiques sans origine organique. Ces derniers, très ressemblants aux symptômes de la maladie, ont mené à de nombreuses confusions et porosités des concepts. Le virus était à peine à nos portes que de nombreux patients se présentaient à celles des cabinets médicaux avec des

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symptômes. Le phénomène était d’autant plus vrai que la population semblait être à risque.

Une parfaite simultanéité à l’échelle du globe

Autre caractère unique de la COVID-19 : pour la première fois, l’humanité a vécu une catastrophe dont le scénario se déroule en temps réel. Il faut vingt-quatre heures pour se rendre en Nouvelle-Zélande ? C’est aussi le temps qu’il faut pour « importer » le virus de la COVID-19 en France, par le biais de n’importe quel vol commercial entre Welling- ton et Paris. Quelques secondes suffisent pour échanger un SMS avec l’ami à qui l’on donne rendez-vous le soir pour aller au cinéma ? Il n’en faudra pas plus pour en recevoir les gouttelettes infectieuses qui contamineront les deux mêmes personnes, au même moment, au même endroit.

Cette simultanéité est dévastatrice car unique. Pour la première fois dans l’Histoire de l’Humanité, on doit affronter une pandémie galopante. On ne la devance pas, elle ne nous rattrape pas : nous sommes là, donc elle aussi.

Le temps de l’homme est le temps de la pandémie, et inver- sement. Je suis, donc elle est. Aucun décalage, aucune issue.

Pas de préparation possible, pas de mise sur pause. Inutile d’anticiper, de prévoir un « coup d’avance » : la pandémie est déjà là. La question n’est pas de savoir si l’on pourra l’éviter, parce qu’elle est déjà présente, mais si l’on peut la freiner, la contenir. Comment ? La réponse est dans la question : pour contenir la pandémie, il faudra contenir l’homme. Et cela aura des répercussions psychologiques majeures.

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La pandémie de COVID-19 ressemble à s’y méprendre à un film hollywoodien. Ce qui fait la force spectaculaire de ce dernier, c’est bien souvent la mise en simultanéité d’évènements qui, en théorie, ne peuvent se produire au même moment. Geostorm, Volcano, Le jour d’après sont précisément conçus pour faire intervenir en un temps comprimé à l’extrême (une heure et quarante minutes, générique compris) des évènements qui, à l’état naturel, se déroulent à l’échelle géologique. Temps minimal, impact maximal : telle est la base du film catastrophe hollywoo- dien. Fort heureusement, Bruce Willis et consorts sont là pour se sacrifier et sauver l’humanité – tout comme son délicieux golden retriever nommé Ralph, dans la plupart des cas.

Mais dans le cas pandémique de la COVID-19, si la simultanéité est bien présente, il n’y a pas de Bruce Willis. Il n’y a même pas les États-Unis. En fait, il n’y a personne. Ou plutôt, il y a tout le monde – au sens propre, le « monde entier » – au même stade d’ignorance, de surprise et d’incompétence. Que se passera-t-il au bout d’une heure et quarante minutes ? Rien, si ce n’est la promesse que ce scénario s’étendra sur plusieurs années.

Sans héros (ou presque, nous verrons la symbolique des médecins), ni « happy end ». De plus, le mythe du héros fait de lui un objet où la cristallisation en termes des représentations des ressources salvatrices s'opère. Il n’est pas un homme, d’ailleurs il se rapprochait dans la mythologie davantage des dieux que n’importe quel autre humanoïde, il était doté d’une force divine, impla- cable, sauf que là le héros, ce sont nos soignants, de simples hommes sans super-pouvoir, pire c’est moi, c’est

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mon voisin, mon boss. Le questionnement sur notre propre caractère héroïque, ou plutôt non héroïque, peut nous faire douter d’emblée de l’efficacité des mesures prises. La question était posée, allions-nous être capables de nous sauver nous-même ?

C’est une caractéristique propre à cette pandémie. À l’humanité qui se voulait globale mais protégée de fron- tières, la pandémie a opposé la brutalité d’une contagion excessivement pérenne, invisible, immédiate, imprévi- sible et, surtout, sans solution durable. À l’humanité pressée qui réclamait toujours plus de simultanéité, de rapidité de déplacement, la COVID-19 a appris qu’un virus pouvait en faire autant et se déplacer aussi vite qu’elle.

Et même parfois plus vite qu’elle.

Aucun précédent de cette nature ni de cette ampleur Les historiens les plus pointus fronceront les sourcils.

Après tout, peste, choléra, sida et même grippe sont des pandémies qui ont traversé les siècles et les continents au prix des ravages que l’on connaît. La grippe est d’ailleurs le parallèle le plus souvent évoqué avec la COVID-19 : une infection pulmonaire qui, dans les deux cas, peut conduire les plus fragiles à la mort.

La comparaison a toutefois des limites évidentes.

En premier lieu, le caractère saisonnier de la grippe, qui ne s’applique en aucun cas à la COVID. En deuxième lieu, la présence de vaccins – certes renouvelés tous les ans, mais dont les principes actifs sont connus et largement distribués.

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Enfin, en troisième lieu, une acceptation sociale quasi- ment complète : la grippe fait partie du paysage médiatique et médical depuis des décennies. Les services hospitaliers y sont préparés chaque hiver. Ils savent en détecter les signes avant-coureurs. Et l’on ne voit pas défiler, chaque mois d’octobre, des cortèges antivax contre la grippe. Si les modes de transmission et les symptômes peuvent se ressembler, l’épaisseur sociale et médicale des pandémies

« grippe » et « COVID » n’est pas du tout la même. Leur impact psychologique en sera tout aussi différent.

Ni sacrifice ni procession : comment s’en sortir ? Faut-il un responsable à tout ? Dans les faits, non. Nul n’est responsable des aléas des vents solaires, par exemple, ou de la disparition des dinosaures – évidemment pour cette disparition l’être humain avait la bonne excuse de ne pas être encore là. Mais dans l’inconscient collectif, oui.

Il faut un auteur à tout malheur pour à la fois canaliser la vindicte sociale et, dans un temps qui lui soit relative- ment proche, lui faire expier sa faute. Le procédé dépasse de loin la simple catharsis, tel que l’a démontré Michel Foucault2. Il s’agit de reprendre le cours et la maîtrise d’une histoire qui a été interrompue par un « accident », c’est-à-dire, étymologiquement, ce qui « tombe sur », un « évènement soudain qui entraîne des dégâts »3. En psychologie, nous appelons cela le traumatisme. Ici, il se

2. Surveiller et punir, Gallimard, 1975.

3. Dictionnaire historique de la langue française, Alain Rey, Robert, 1997.

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veut psychique et est donc le fruit de chocs émotionnels plus que physiques mais il crée des blessures aussi pro- fondes qu’irréversibles.

Définir l’auteur d’un mal, c’est en remonter la source pour la tarir. Dans le cas d’un mal d’origine humaine, les sciences humaines y contribuent : la psychologie individuelle, collective, l’histoire, l’économie, la politique, la philosophie, permettent de comprendre le maillage contextuel d’un évènement imprévisible, voire de pen- ser l’impensable, comme l’a démontré Hannah Arendt à propos du nazisme4. Mais qu’en est-il lorsque l’ennemi est un virus ?

Le réflexe premier est de continuer à chercher un coupable. On l’a appelé Chine, laboratoire secret, marines américains, chauve-souris ou pangolin. Et puis il fallait dès les premiers instants faire porter la culpabilité à un autre, cela rend les choses plus sup- portables d’identifier un ennemi externe, de l’incarner dans une figure étrangère. Peu importe, l’idée était la même : savoir d’où venait le mal, c’était tracer son origine pour pouvoir, à l’avenir, mieux l’identifier et le contrer. Las, la pandémie de COVID-19 a démontré sa remarquable habileté à se départir d’un auteur unique.

Pas d’auteur, pas de crime qualifié, donc pas de peine : vers qui les victimes allaient tourner la leur ? Les dif- ficultés à reconnaître son agresseur, comme dans cette crise qui ne dénonce aucun coupable mais une liste sans fin de suspects, ne seront pas sans conséquences sur la psychologie des victimes.

4. The Origins of Totalitarianism, Harcourt Brace & Co, New York, 1951 [Des origines du totalitarisme, 3 volumes].

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Nous verrons comment la non-reconnaissance de ce dernier empêche un moyen défensif important, décrit par Anna Freud en 1936 dans Le moi et les mécanismes de défenses, d’identification à ce dernier. Ainsi, l’ennemi identifié, objet de malveillance, permettrait une possi- bilité de retour pulsionnel vers l’extérieur de ce qui est vécu et intériorisé.

L’absence de coupable marque d’ailleurs une rup- ture dans l’histoire des processus de guérison collective.

Depuis trois mille ans, l’homme a toujours su substituer à un auteur identifié, punissable, des concepts qui savaient le remplacer afin d’apaiser les foules. La « colère des dieux » était invoquée depuis les civilisations précolom- biennes. Elle s’expiait par des sacrifices. L’animisme lui a substitué des offrandes – une approche encore visible auprès des kamis dans la religion shintoïste. Le mono- théisme a préféré les processions envers un dieu, un saint – on en voit encore les passages en Espagne, au Mexique.

L’ère moderne (postmoderne, dirait Derrida) a fragmenté l’individu et atomisé ses croyances. Il n’y a plus procession, offrande ni rituel qui aient la capa- cité unitaire de purger, à l’échelle de toute une société, un « accident » qui lui « tombe dessus ». La trame de croyances qui unifiait le tissu sociétal de plusieurs géné- rations s’est dissoute. Il y a « ce que croient les anciens » et « ce que croient les jeunes », mais plus seulement : il y a aussi ce que croit mon voisin de palier, mon collègue de bureau, ce que croit « l’étranger », parfois fort peu différent de « l’inconnu ». Pire encore : ce que l’on croit à midi n’est plus nécessairement ce que l’on croit à dix-huit heures ni même à vingt heures. Là encore, cette incapacité

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à identifier un responsable et à lui faire expier ses fautes aura des répercussions psychologiques majeures. Elle interrogera notamment une distinction mal appréhendée, objet de multiples abus de langage : la distinction entre coupable et responsable, animant chacune des réponses psychologiques différentes.

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