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300 SSMIGMédecine interne générale: la relève au centre des préoccupations

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Academic year: 2022

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(1)

Bulletin des

médecins suisses

BMS – SÄZ Schweizerische Ärztezeitung – Bollettino dei medici svizzeri – Gasetta dals medis svizzers

Offizielles Organ der FMH und der FMH Services www.saez.ch

10 7 . 3 . 2 01 8

295 Editorial

Revenu des médecins:

la transparence par les faits

320 Tribune

Tabakproduktegesetz:

Ein Umdenken ist erforderlich

330 «Et encore…»

par Matthias Scholer

Les esprits que j’ai appelés

300 SSMIG

Médecine interne générale:

la relève au centre des préoccupations

(2)

Psychotherapie Psychosomatik Psychiatrie Persönlich und diskret.

SOMMAIRE 293

Rédaction

Dr méd. et lic. phil. Bruno Kesseli, membre de la FMH (Rédacteur en chef); biol. dipl. Tanja Kühnle (Managing Editor);

Dr méd. vét. Matthias Scholer (Rédacteur Print et Online);

Dr méd. Werner Bauer, membre de la FMH; Prof. Dr méd. Samia Hurst;

Dr méd. Jean Martin, membre de la FMH; Dr méd. Jürg Schlup, président de la FMH; Prof. Dr méd. Hans Stalder, membre de la FMH;

Dr méd. Erhard Taverna, membre de la FMH

Rédaction Ethique

Prof. Dr théol. Christina Aus der Au, p.-d.; Prof. Dr méd. Lazare Benaroyo, membre de la FMH; Dr phil., biol. dipl. Rouven Porz, p.-d.

Rédaction Histoire de la médecine

Prof. Dr méd. et lic. phil. Iris Ritzmann; Prof. Dr ès sc. soc. Eberhard Wolff Rédaction Droit

Me Hanspeter Kuhn, chef du Service juridique de la FMH

FMH

ÉDITORIAL: Jürg Schlup

295 Revenu des médecins: la transparence par les faits 296 Nouvelles du corps médical 

Organisations du corps médical

SSMIG: Jean-Michel Gaspoz, François Héritier, Drahomir Aujesky, Regula Capaul, Romeo Providoli, Donato  Tronnolone, Franziska Zogg, Bernadette Häfliger Berger

300 Médecine interne générale: la relève au centre des préoccupations La médecine interne générale (MIG) est confrontée à un problème de relève, tant dans le domaine ambulatoire qu’hospi- talier. D’où la décision de la Société Suisse de Médecine Interne Générale (SSMIG) de mettre sur pied un programme global de promotion de la relève.

Courrier / Communications

304 Courrier au BMS

308 Examens de spécialiste / Communications

FMH Services

309 Praxiscomputer-Workshop

313 Emplois et cabinets médicaux (version imprimée uniquement)

Tribune

POINT DE VUE: Theodor Abelin

320 Tabakproduktegesetz: Ein Umdenken ist erforderlich La loi sur les produits du tabac doit être reformulée, ce qui nécessite un changement de paradigme. Le modèle commercial de l’industrie du tabac s’appuie sur une dépendance souvent insurmontable à la nicotine, qui apparaît lors d’une consommation ordinaire et enfreint ainsi le droit humain fondamental à l’intégrité physique.

(3)

ANNA

SOMMAIRE 294

Impressum

Bulletin des médecins suisses Organe officiel de la FMH et de FMH Services

Adresse de la rédaction: Elisa Jaun, Assistante de rédaction BMS, EMH Editions médicales suisses SA, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 72,

fax +41 (0)61 467 85 56,

redaktion.saez@emh.ch, www.saez.ch Editeur: EMH Editions médicales suisses SA, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 55, fax +41 (0)61 467 85 56, www.emh.ch Marketing EMH / Annonces:

Dr phil. II Karin Würz, responsable marketing et communication, tél. +41 (0)61 467 85 49, fax +41

personne de contact, tél. +41 (0)61 467 86 08, fax +41 (0)61 467 85 56, stellenmarkt@emh.ch

«Office de placement»: FMH Consul- ting Services, Office de placement, Case postale 246, 6208 Oberkirch, tél. +41 (0)41 925 00 77,

fax +41 (0)41 921 05 86, mail@fmhjob.ch, www.fmhjob.ch Abonnements membres de la FMH:

FMH Fédération des médecins suisses, Elfenstrasse 18, 3000 Berne 15, tél. +41 (0)31 359 11 11,

fax +41 (0)31 359 11 12, dlm@fmh.ch Autres abonnements: EMH Editions médicales suisses SA, Abonnements,

Prix de l’abonnement: abonnement annuel CHF 320.–, port en sus.

ISSN: version imprimée: 0036-7486 / version en ligne: 1424-4004 Paraît le mercredi

© FMH

Le Bulletin des médecins suisses est actuellement une publication en libre accès (open access). Jusqu’à révoca- tion, la FMH habilite donc EMH à ac- corder à tous les utilisateurs, sur la base de la licence Creative Commons

«Attribution – Pas d’utilisation com- merciale – Pas de modification 4.0 International», le droit, non limité dans le temps, de reproduire, distribuer et communiquer cette création au public.

Le nom de l’auteur doit dans tous les

de l’autorisation de EMH et sur la base d’un accord écrit.

Note: Toutes les données publiées dans ce journal ont été vérifiées avec le plus grand soin. Les publications signées du nom des auteurs reflètent avant tout l’opinion de ces derniers, pas forcément celle de la rédaction du [BMS]. Les doses, indications et formes d’application mentionnées doivent en tous les cas être comparées aux notices des médicaments utilisés, en particulier pour les médicaments récemment autorisés.

Production: Schwabe SA, Muttenz, www.schwabe.ch

Tribune

POINT DE VUE: Michel Romanens, Flavian Kurth, Walter Warmuth

324 Gefährliche Fehllenkung durch Wirtschaftlichkeitsverfahren Les experts s’accordent aujourd’hui sur le fait qu’un traitement médicamenteux trop rapide de maladies psychiques telles que la dépression et les troubles anxieux peut, en cas d’affection légère, entraîner une chronicisation ou, dans le pire des cas, une invalidité des patients, ce qui, outre des souffrances évitables, génère aussi des coûts évitables. Que ce soient précisément les procédures d’économicité de santésuisse qui favorisent cette évolution défavorable ne peut donc que surprendre. Comme le montre l’article en s’appuyant sur un exemple particulièrement flagrant, les médecins traitants n’ont souvent pas d’autre choix que d’adopter un tel comportement pour que leurs coûts ne paraissent pas anormaux dans les statistiques.

Horizons

ACTUEL: Jean Martin

328 Rapport final du PNR 67 «Fin de vie»

NOTES DE LECTURE: Elisabeth Seifert 329 Das Alter ist ein begleitender Freund

Et encore…

Matthias Scholer

330 Les esprits que j’ai appelés

(4)

Revenu des médecins:

la transparence par les faits

Jürg Schlup

Dr méd., président de la FMH

Les assurés et les contribuables ont le droit de savoir comment leur argent est utilisé pour financer la santé.

Et comme les salaires représentent une part de ces dé­

penses, la transparence sur la partie des revenus des médecins financée solidairement devrait aller de soi.

C’est pourquoi la FMH a publié chaque année une étude à ce sujet durant plus de trente ans. Mais elle a été contrainte de la stopper en 2013 parce que l’Office

fédéral des assurances sociales (OFAS) a interdit la transmission des données des caisses de compensa­

tion utilisées pour les calculs, au motif qu’il n’existait aucun intérêt public prépondérant pour leur publica­

tion [1].

Les reproches entendus si souvent dans les médias sur la culture du secret des médecins manquent totale­

ment de pertinence parce qu’une grande trans­

parence prévaut en matière de salaires, aussi bien en milieu ambulatoire qu’en milieu hospitalier. En effet, des milliers de médecins exerçant en cabinet privé transmettent à l’Office fédéral de la statistique (OFS) des données détaillées sur leurs dépenses et recettes, et donc sur leur résultat d’exploitation [2]. Or, ces chiffres n’ont pas encore été publiés. De même, la parution de l’étude sur les salaires des médecins [3], an­

noncée par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) pour fin 2017, se fait toujours attendre.

La FMH n’étant plus autorisée à publier les revenus des médecins et le Département fédéral de l’intérieur (DFI) ne publiant pas les données existantes, la rumeur des

«médecins millionnaires» se répand comme une traî­

née de poudre dans les médias [4]. Ceux­ci font état de revenus très élevés, mais ne présentent aucune donnée vérifiable, alors que, mathématiquement, les chiffres cités ne peuvent pas provenir seulement de l’assurance de base. Personne ne précise non plus qu’un même nu­

méro de concordat peut être utilisé par plusieurs mé­

decins, ni que le revenu brut correspond à 30% seule­

ment du chiffre d’affaires. Nous, les médecins, voulons

la transparence – mais nous attendons aussi un débat honnête et basé sur des chiffres réels.

La transparence des salaires est également donnée pour les médecins hospitaliers. Les hôpitaux four­

nissent aussi des informations complètes à la Confédé­

ration [5]. Il suffit d’une simple recherche sur Internet pour constater qu’après six ans d’études, les méde­

cins­assistants (soit plus de la moitié des médecins hospitaliers) commencent leur carrière avec un salaire mensuel de 7100 francs, pour 56 heures de travail par semaine (exemple du canton de Berne) [6]. Les chefs de clinique, représentant 19% des médecins hospitaliers, reçoivent un salaire mensuel de 9600 francs après six ans d’études master et six ans de formation postgra­

duée [6]. Selon une enquête réalisée en 2016, les reve­

nus des médecins­chefs sont proches de 370 000 francs par année, même si les petites cliniques y sont pro­

bablement surreprésentées [7]. S’il est légitime que des cadres hautement qualifiés reçoivent des salaires élevés, les excès par contre ne sont pas acceptables!

Les  employeurs sont les premiers responsables des contrats de médecins­chefs, à savoir les directeurs et détenteurs d’hôpitaux, par conséquent aussi les direc­

teurs cantonaux de la santé.

Il existe des déséquilibres dans la répartition des reve­

nus au sein du corps médical. C’est un fait. Rétablir un tarif ambulatoire approprié permettrait d’y remédier:

un tarif approprié ne répond pas seulement à une dis­

position légale et à un objectif d’équité vis­à­vis des as­

surés et entre collègues. C’est aussi le meilleur moyen de lutter contre les incitatifs négatifs et le manque d’ef­

ficience. La FMH et l’ensemble de ses associations par­

tenaires consacrent d’importantes ressources à la révi­

sion tarifaire, car nous sommes persuadés que ce qui compte à long terme, ce sont des données validées et des arguments concrets.

Références

1 Bosshard C. Etude sur le revenu: la fin du commen­

cement! Bull Méd Suisses.

2013;94(31–32):1149. URL:

https://www.fmh.ch/

files/pdf11/SAEZ_31­32_

Edito_Einkommens verhaeltnisse_F.pdf 2 Office fédéral de la

statistique (OFS); division Santé et affaires sociales;

section Services de santé;

Statistique des services de santé – La statistique des soins ambulatoires dans le cadre du projet MARS;

version 6.2 du 16.10.2017.

3 SRF 10vor10. Blackbox Ärztelöhne. 20.4.2017.

4 Medinside, 19.2.2018. URL:

medinside.ch/de/post/

5,2­millionen­franken­aus­

der­grundversicherung 5 Statistique des hôpitaux

2017: rapport annuel des hôpitaux sur leurs prestations ambulatoires et stationnaires, leur personnel et leurs comptes d’exploitation.

6 https://vsao­bern.ch/de/

news/2018/debatte­

verguetung­von­

medizischen­leistungen­

der­lohn­der­assistenz­

und­oberaerzte­im­

kanton­bern/ (26.2.2018).

7 Bär T. Wie hoch sind die Chefarztlöhne wirklich. Der Ruf nach Transparenz wird lauter. Tagblatt. 23.2.2018.

Durant plus de trente ans, la FMH a publié les revenus des médecins – jusqu’à ce que l’OFAS s’y oppose.

Dans le canton de Berne, les médecins-assis- tants, soit plus de la moitié des médecins hospitaliers, commencent avec un salaire de 7100 CHF.

FMH Editorial 295

(5)

Todesfälle / Décès / Decessi Carlo Albani (1947), † 17.12.2017, Facharzt für Neurologie 8023 Zürich

Piero Valli (1978), † 25.12.2017, Facharzt für Gastroenterologie und Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, 8006 Zürich

Roger Spiller (1938), † 18.12.2017,

Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, 8038 Zürich

Günter Waldeck (1951), † 3.1.2018,

Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, 8003 Zürich

Jürgen K. Willmann (1972), † 8.1.2018, Facharzt für Radiologie,

CA 94305 Stanford, US

Frank Gafner (1921), † 26.1.2018, Facharzt für Ophthalmologie, 4410 Liestal

Beat von Albertini (1944), † 29.1.2018, Facharzt für Nephrologie,

1003 Lausanne

Katharina Burri-Bräm (1953), † 31.1.2018, Fachärztin für Allgemeine Innere Medizin, 8580 Amriswil

Ljubisav Djordjevic (1930), † 6.2.2018, 4917 Busswil b. Melchnau

Praxiseröffnung /

Nouveaux cabinets médicaux / Nuovi studi medici

AG

Scherwin Talimi,

Facharzt für Urologie. Cordulaplatz 6, 5400 Baden

VD

Michele Zanzi,

Spécialiste en chirurgie plastique,

reconstructive et esthétique, place Bel-Air 1, 1003 Lausanne

ZH

Andreas Schönbeck,

Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, Altstetterstrasse 118, 8048 Zürich

Aargauischer Ärzteverband

Zur Aufnahme in den Aargauischen Ärzte- verband als ordentlich praktizierende Mitglieder haben sich angemeldet:

Elza Dimitrova, 8965 Berikon,

Fachärztin für Gynäkologie und Geburtshilfe, Praxis eröffnung in Praxisgemeinschaft in Berikon seit 5. Februar 2018

Thomas Ernst, 4312 Magden, Facharzt für All- gemeine Innere Medizin, FMH, Praxiseröff- nung in Rheinfelden per 16. April 2018

Martin Ghedina, 8634 Hombrechtikon, Facharzt für Physikalische Medizin und Rehabillitation, FMH, angestellt in Praxis in Schafisheim seit 16. Januar 2018

Christine Heneka, 5073 Gipf-Oberfrick, Fach- ärztin für Allgemeine Innere Medizin, FMH, angestellt in Praxis in Sisseln seit 1. März 2018

Andrea Krümmer Käch, 6006 Luzern, Fachärztin für Gynäkologie und Geburts- hilfe, angestellt in Praxis in Zofingen seit 1. März 2018

Afrim Kurtani, 4535 Hubersdorf, Facharzt für Chirurgie, Praxiseröffnung in Praxisgemein- schaft in Wohlen seit 1. Februar 2018

Eva Simon-Glaab, 5022 Rombach,

Fachärztin für Allgemeine Innere Medizin, FMH, angestellt in Praxis in Aarau per 1. April 2018

Als Assistenz- und Oberarztmitglieder hat sich angemeldet:

Fabienne Renetseder, 5000 Aarau, Assistenz- ärztin im Kantonsspital Aarau seit 1. März 2017

Diese Kandidaturen werden in Anwendung von Art. 5 der Statuten des Aargauischen Ärzteverbandes veröffentlicht. Einsprachen müssen innert 14 Tagen seit der Bekannt- machung schriftlich und begründet der Geschäftsleitung des Aargauischen Ärztever- bandes eingereicht werden. Nach Ablauf der Einsprachefrist entscheidet die Geschäftslei- tung über Gesuch und allfällige Einsprachen.

FMH Nouvelles du corps médical 296

Nouvelles du corps médical

(6)

Ärztegesellschaft des Kantons Bern Ärztlicher Bezirksverein Bern Regio Zur Aufnahme als ordentliches Mitglied hat sich angemeldet:

Michael Glenck,

Facharzt für Radiologie, Lindenhofspital, Bremgartenstrasse 117, 3012 Bern

Helmut Swart, Praktischer Arzt, Sanacare Gruppenpraxis, Bubenbergplatz 10, 3011 Bern

Zur Aufnahme als ordentliches Mitglied in unselbständiger Tätigkeit hat sich angemeldet:

Till Schnittfeld,

Facharzt für Kinder- und Jugendpsychiatrie und -psychotherapie,

Mühlemattstrasse 62, 3007 Bern

Einsprachen gegen diese Vorhaben müssen innerhalb 14 Tagen seit der Veröffentlichung schriftlich und begründet beim Präsidenten des Ärztlichen Bezirksvereins Bern Regio eingereicht werden. Nach Ablauf der Frist entscheidet der Vorstand über die Aufnahme der Gesuche und über die allfälligen Einsprachen.

Ärztegesellschaft des Kantons Schwyz Zur Aufnahme in die Ärztegesellschaft des Kantons Schwyz hat sich angemeldet:

Jens Busche,

Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, FMH, plant Übernahme Praxis Dr. Renggli Küssnacht a.R. 02/2019

Jürg Gresser, Leitender Arzt Chirurgie Spital Einsiedeln, FMH

Debbie Rauchenstein-Kleinert, Fachärztin für Gynäkologie und Geburtshilfe, FMH, eröffnet ab Mai 2018 Kinderwunschzentrum Kopelli Klinik Pfäffikon SZ.

Einsprachen gegen diese Aufnahme richten Sie schriftlich innert 20 Tagen an

Dr. med. Uta Kliesch, Maria-Hilf-Strasse 9, 6430 Schwyz oder per mail an

uta.kliesch@hin.ch

Ärztegesellschaft des Kantons Luzern Zur Aufnahme in unsere Gesellschaft Sektion Stadt hat sich gemeldet:

Katja Röllin Galliker, Fachärztin für Kinder- und Jugendmedizin, FMH, ab 1. April 2018:

Kinderarztpraxis am Bahnhof, Robert-Zünd- Strasse 2, 6005 Luzern

Renate Müller, Fachärztin für Kinder- und Ju- gendpsychiatrie, FMH, ab Mitte April 2018:

Praxis für Kinder- und Jugendpsychiatrie, Maihofstrasse 52, 6004 Luzern

Einsprachen sind innert 20 Tagen nach der Publikation schriftlich und begründet zu richten an: Ärztegesellschaft des Kantons Luzern, Schwanenplatz 7, 6004 Luzern

Ärztegesellschaft Thurgau

Zum Eintritt in die Ärztegesellschaft Thurgau haben sich gemeldet:

Marion Buchwald, Konstanzerstrasse 45, 8280 Kreuzlingen,

Fachärztin für Kinder- und Jugendmedizin

Bernhard Jäschke, Imterstrasse 42, D-88326 Aulendorf, Praktischer Arzt

Andreas David Kistler Weber, Seidenstrasse 17, 8400 Winterthur,

Facharzt für Allgemeine Innere Medizin und Facharzt für Nephrologie, FMH

Gabriela Cristina Rossi Ezeanyika, Freudenbergstrasse 11c, 9512 Rossrüti, Fachärztin für Allgemeine Innere Medizin, FMH

Unterwaldner Ärztegesellschaft Zur Aufnahme in die Unterwaldner Ärzte- gesellschaft hat sich angemeldet:

Marcelo Sebastian Walker, Facharzt für Allgemeine Innere Medizin, FMH, ab 1.4.2018 Praxistätigkeit: Praxis Dr. med. Martin Sigg, Seestrasse 49, 6052 Hergiswil/NW

Einsprachen gegen diese Aufnahme sind mit Begründung innert 20 Tagen an die Präsidentin der Unterwaldner Ärztegesell- schaft, Dagmar Becker, Mondmattli 3, 6375 Beckenried, zu richten.

Ärzte-Gesellschaft des Kantons Zug Zur Aufnahme in die Ärzte-Gesellschaft des Kantons Zug als ordentliches Mitglied hat sich angemeldet:

Anne Tai Zweifel,

Fachärztin für Ophthalmologie, FMH, spez.

Ophthalmochirurgie, Feldhof 7, 6300 Zug Einsprachen gegen diese Kandidatur müssen innerhalb 14 Tagen seit dieser Veröffentlichung schriftlich und begründet beim Sekretariat der Ärzte-Gesellschaft des Kantons Zug eingereicht werden. Nach Ablauf der Einsprachefrist entscheidet der Vorstand über Gesuch und allfällige Einsprachen.

FMH Nouvelles du corps médical 298

(7)

Projet de promotion de la relève SSMIG

Médecine Interne Générale: la

relève au centre des préoccupations

Jean-Michel Gaspoza, François Héritierb, Drahomir Aujeskyc, Regula Capauld, Romeo Providolie, Donato Tronnolonef, Franziska Zoggg, Bernadette Häfliger Bergerh

a Prof., coprésident SSMIG; b Dr, coprésident SSMIG; c Prof., membre du comité SSMIG, responsable du groupe de travail Promotion de la relève;

d Dr, membre du comité SSMIG; e Dr, membre du comité SSMIG; f Dr, membre du comité SSMIG; g Dr, membre du comité SSMIG;

h  Avocate, MAS NPPM, secrétaire générale SSMIG

La Médecine Interne Générale (MIG) est confrontée à un problème de relève, tant dans le domaine ambulatoire qu’hospitalier. D’où la décision de la Société Suisse de Médecine Interne Générale (SSMIG) de mettre sur pied un programme global de promotion de la relève. Elle lance une campagne d’image ciblée visant à attirer l’attention de la relève médicale sur l’attrait de l’aspect généraliste de la discipline médicale qu’elle représente.

Selon l’étude Work Force réalisée en 2015 [1], près de 60%

des médecins de famille actuellement en exercice ces- seront leur activité en cabinet pour raison d’âge dans les dix prochaines années. Sur la base d’es timations de l’Observatoire suisse de la santé, il faut s’attendre à ce que jusqu’à 40% des consultations en médecine de base ambulatoire ne puissent plus être assurées en 2030 si des mesures adaptées ne sont pas prises [2].Ce que le public sait moins, c’est que dans le secteur hospi- talier, de nombreux médecins-chefs et méde- cins-cadres expérimentés prendront leur retraite au cours de ces prochaines années, et que la pénurie concerne aussi les internistes généralistes actifs sur le plan académique. Bien souvent, les postes de méde-

cin-chef tant convoités autrefois ne parviennent que difficilement à être pourvus.

Une enquête réalisée en 2015 par le Berner Institut für Hausarztmedizin auprès des Jeunes médecins de pre- mier recours Suisses (JHaS) révèle que pour la nouvelle génération, hommes et femmes confondus, l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée est essentiel, plus encore que les conditions salariales. Dans leur majo rité, ils sont intéressés par un emploi à temps par- tiel [3]. Cette tendance est confirmée par les résultats de l’enquête représentative sur Internet de l’ASMAC, Berne, d’avril 2016 [4]. Près d’un tiers des personnes y ayant participé, qui travaillent aussi bien dans le sec- teur hospitalier que dans celui ambulatoire, souhai- teraient un poste à temps partiel, et elles évoquent comme principale raison une meilleure conciliation entre la famille et la carrière.

Cette évolution démographique et sociétale représente un nouveau défi, tant pour les soins stationnaires à l’hôpital que pour la pratique ambulatoire en cabinet.

En raison du vieillissement de la population, la société et les assurances sociales se retrouvent face à de nou- veaux problèmes. Une estimation réalisée en 2008 par les ligues de la santé aboutissait au chiffre de 2,8 mil- lions de cas de maladie chronique en Suisse [5]. La mul- timorbidité est fréquente. L’accompagnement et le trai- tement de ces patient-e-s nécessitent non seulement une approche de prise en charge globale et continue, mais aussi une étroite collaboration interdisciplinaire et interprofessionnelle. C’est pourquoi les généralistes auront à l’avenir un rôle encore plus important à jouer.

Figure 1: Près de 60% des internistes généralistes ont plus de 50 ans.

ORGANISATIONS DU CORPS MÉDICAL SSMIG 300

(8)

Du fait de son orientation croissante vers la spéciali- sation et de la fragmentation qui en résulte dans le traitement des patients, la formation postgraduée et l’enseignement, le système de santé suisse n’est pas préparé de manière optimale à cette évolution.

En raison du concours des trois facteurs (démographie, fragmentation des soins médicaux, besoin accru rela- tif à de nouveaux modèles de travail), il sera nécessaire au cours de ces prochaines années de former nette- ment plus d’internistes généralistes, tant pour le sec- teur hospitalier que celui ambulatoire, de façon à pou- voir continuer de garantir une prise en charge de base de qualité sur l’ensemble du territoire.

Rendre plus attrayante la profession d’interniste généraliste

La SSMIG a reconnu l’urgence de la situation 2016 et a lancé un vaste projet de promotion de la relève lors de son assemblée des délégués 2016. Au cours de ces der- niers mois, un groupe de travail spécialement consti- tué dans ce but sous la direction du Prof. Drahomir Aujesky et du Dr François Héritier, avec des repré- sentant-e-s de la MIG ambulatoire et hospitalière, des organisations assurant la relève en MIG et du domaine académique, a réalisé une analyse globale de la situa- tion et formulé diverses recommandations.

L’analyse d’études provenant essentiellement de pays anglo-saxons révèle que de nombreux facteurs per- sonnels intrinsèques tels que des représentations de

faibles revenus, de mauvaises notes, l’envie de for- mations postgraduées plus courtes, le manque d’inté- rêt pour la recherche et une orientation extra-profes- sionnelle plus forte entrent en ligne de compte dans le choix de la profession de généraliste. Cela pourrait s’expliquer, du moins en partie, par le fait que la MIG a moins de prestige. Parmi les facteurs de motivation en faveur de la MIG sont cités les grandes exigences intel- lectuelles, les modèles de rôle positifs, les expériences positives lors de l’apprentissage et de la formation postgraduée, la qualité du mentorat, la diversité pro- fessionnelle, mais aussi la grande autonomie. Inver- sement, certains facteurs ont un impact négatif sur le choix de la profession, tels qu’une mauvaise expé- rience et une mauvaise ambiance de travail lors d’un stage, le traitement de patient-e-s âgés multimorbides parfois jugé peu attrayant, le manque «d’action» et l’ex- cès de tâches administratives.

Le groupe de travail est convaincu que pour promou- voir la relève, il est urgent d’améliorer l’attrait des conditions-cadres professionnelles de la MIG et d’offrir des perspectives d’avenir à long terme. Cela implique également des modèles de temps de travail plus flexibles tels que le job sharing et les emplois à temps partiel.

En  raison de la spécialisation croissante, une perte insidieuse de compétences en termes d’aptitudes pra- tiques est survenue au cours de ces dernières années, avec une fuite des cerveaux vers d’autres spécialités sur le plan des activités de recherche. Selon le groupe de travail, il faut y remédier. À cause du faible de nom- bre d’internistes généralistes exerçant des fonctions académiques, une évolution de l’enseignement d’une approche globale vers des thématiques relativement restreintes de la médecine spécialisée est observée, ce qui a entre autres un impact négatif pour la MIG lors du choix de la spécialité.

Une formation postgraduée adaptée aux réalités d’aujourd’hui

Dans un environnement complexe, l’interniste géné- raliste ne s’occupe pas seulement de la prise en charge médicale de base, mais aussi de la coordination de la collaboration interdisciplinaire et interprofessionnelle.

Il est nécessaire pour cela de disposer de vastes connais- sances, d’aptitudes pratiques et de sens relationnel. Le groupe de travail recommande de revoir le catalogue spécialisé des objectifs de formation, de mettre sur pied des cursus de formation postgraduée systéma- tiques et coordonnés, de même qu’un mentorat actif, de telle sorte que les contenus didactiques standardi- sés déterminants pour l’exercice efficace de la profes- sion puissent effectivement être acquis en 5 ans et en- Figure 2: Évolution de l’âge moyen des patient-e-s

ORGANISATIONS DU CORPS MÉDICAL SSMIG 301

(9)

seignés par les internistes généralistes eux-mêmes. En milieu hospitalier précisément, des profils profession- nels attrayants doivent être développés pour la MIG.

Comme les médecins-assistants ne passent plus qu’un quart de leur temps de travail au chevet des patient-e-s [6], il est nécessaire de prendre des mesures pour réduire les charges administratives qui augmentent (p. ex.: recrutement de coordinateurs/-trices des soins, introduction d’anamnèses électroniques conviviales).

Comme la recherche et le développement sont indis- pensables au prestige d’une spécialité et lui donnent des perspectives, la recherche doit retrouver ses let- tres  de noblesse dans la MIG en tant que discipline porteuse d’avenir. Cette mesure doit être promue dans les hôpitaux universitaires et les instituts de méde- cine générale par la création de carrières académiques.

Dans cette optique, il faut créer au sein de la MIG elle- même des possibilités de recherche supplémentaires, notamment dans la recherche clinique axée sur les patients. La pratique de reconnaissance des institu- tions de formation postgraduée, qui était relativement libérale jusqu’ici, et où les contenus relevant de la MIG n’occupaient pas le premier plan, devra également être repensée.

L’étape suivante: un catalogue de mesures à mettre en œuvre

Au sein de quatre projets partiels, la SSMIG continuera de travailler à l’amélioration des recommandations du groupe de travail et proposera ou mettra en œuvre des mesures concrètes:

Les autres priorités sont le soutien et l’encouragement des organisations assurant la relève de la SSMIG, des JHaS et des Swiss Young Internists (SYI), qui ont vu le jour l’année passée et entendent, par leur activité asso- ciative, mieux communiquer au sujet de l’attrait de la médecine interne hospitalière et développer un réseau

pour les jeunes médecins-assistants en MIG. Le pro- chain congrès de printemps de la SSMIG (qui se tiendra du 30 mai au 1er juin 2018, à Bâle) sera également consa- cré au thème de la relève («La relève: notre capital») et lors d’après-midis thématiques spéciales, il s’adressera également au public des étudiant-e-s et des méde- cins-assistants. Lors de ce congrès, une nouveauté sera introduite: les rencontres «Meet-the-Professor» et les séminaires méthodologiques (grant writing course) auront pour but de stimuler les personnes intéressées par une carrière académique. La SGAIM Foundation soutient en outre la recherche sur la relève médicale dans le cadre de son appel à projets de cette année.

Campagne de promotion

La fascination pour une discipline médicale très géné- ra liste et polyvalente, que cela soit dans le secteur ambulatoire ou hospitalier, mais aussi dans le domaine de la recherche et scientifique, doit être au cœur de la campagne de promotion de la SSMIG. Pour la cam- pagne, un slogan un peu provocateur a été choisi déli- bérément: «Médecin. Tous les ne sont que spécialistes».

Par des activités en ligne sur les réseaux sociaux, par des kits imprimés à l’intention des médecins, ainsi que par un examen approfondi du sujet, par exemple dans le cadre de congrès, la campagne lancée cette semaine illustrera à quel point les tâches et les perspectives des spécialistes en MIG sont multiples et intéressantes dans les soins médicaux de base, que l’on travaille en milieu hospitalier, dans le domaine scientifique ou la médecine de famille.

Crédits photo:

Figure 1: Statistique médicale de la FMH (http://aerztestatistik.

myfmh2.fmh.ch, état le: 13.02.2018)/SSMIG Figure 2: Hôpitaux Universitaires Genève Figure 3: SSMIG

Références

1 Zeller A, Tschudi P. «Anamnese und Status» bei Schweizer Hausärzten. Primary and Hospital Care 2016;16(15):277–80.

2 Senn N, Ebert ST, Cohidon C. (2016) La médecine de famille en Suisse. Analyse et perspectives sur la base des indicateurs du programme SPAM (Swiss Primary Care Active Monitoring) (Ob- san Dossier 55). Neuchâtel: Observatoire suisse de la santé.

3 Gisler L, Streit S.«Erst angestellt, dann selbständig in ärzteeige- nen Gruppenpraxen», Schweizerische Ärztezeitung, 2017;98:09 4 Hess B. Ein Drittel will Teilzeit arbeiten. VSAO JOURNAL 2016,

Nr. 2, unter https://vsao-bern.ch/de/downloads/sektionsnach richten/2016/april-teilzeit-arbeiten.pdf [Stand: 13.02.2018]

5 Oggier W. Gesundheitswesen Schweiz 2015–2017, Hogrefe Verlag;

2015., 5. Auflage, S. 82 ff.

6 Wenger N et al. FM276: Quantitative and objective assessment of resident’s workday organization: the Medical Day study (abs- tract). Swiss Primary and Hospital Care, 2016. 16 Suppl (9): p. 21–2.

Correspondance:

SSMIG

Monbijoustrasse 43 Case postale CH-3001 Berne Tél. 031 370 40 00 info[at]sgaim.ch

Figure 3: Structure du projet de promotion de la relève de la SSMIG

ORGANISATIONS DU CORPS MÉDICAL SSMIG 302

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Das neu geartete Genfer Gelöbnis entspricht einem Staatsstreich

Brief zu: Wiesing U, Parsa-Parsi R. Der Weltärztebund hat das Genfer Gelöbnis revidiert. Schweiz Ärztezeitung.

2018;99(8):247–9.

Das neu geartete Genfer Gelöbnis, verabschie- det an der 68. Generalversammlung des Welt- ärztebundes am 14. Oktober 2017 in Chicago, entspricht einem Staatsstreich. Mit der Ein- führung des Wellbeing des Arztes und der Ökonomisierung bricht es mit der humanitä- ren Tradition, an die gerade im Genfer Gelöb- nis von 1948 angeknüpft werden sollte, nach- dem durch die Teilnahme zahlreicher Ärzte an Gräueltaten, nicht nur in Nazideutschland, viele Menschen das Vertrauen in die Ärzte verloren hatten. Die Einführung des Well- being ist ein Schlag ins Gesicht für alle Notlei- denden und Kranken auf dieser Welt und de- ren Ärzte, die bis zur Erschöpfung versuchen, Krankheiten zu heilen und Leben zu retten.

Die Quellenlage, auf die Wiesing verweist, um zu belegen, dass erwiesen sei, dass «ermü- dete» Ärzte unnötige Fehler machen, ist der- massen dürftig, dass es jedem verantwor- tungsvollen Arzt die Schamesröte ins Gesicht steigen lässt, zu dieser Berufsgruppe zu ge- hören. Wiesing verweist zum Ersten auf ein

«WMA Statement On Physicians Well-Being», verabschiedet an der Generalversammlung der WMA in Russland im Oktober 2015, in der die Vertreter der WMA sich darauf einigten, diesem Aspekt Beachtung zu schenken, ohne Beleg für die Notwendigkeit. Die zweite Litera- turquelle ist eine Abhandlung von Wiesing selbst im Sinne philosophischer Erwägungen über die ethischen Dilemmata von Ärzten, die sich an feste Arbeitszeiten halten, um eben- falls auf äusserst dürftiger Quellenlage zum Schluss zu kommen, dass Wellbeing für die Ärzte notwendig ist, da sie andernfalls ihren Patienten Schaden zufügen können (insbeson- dere unter Berücksichtigung der Genderpro- blematik und von Arbeitszeitverkürzungen in Spitälern der industrialisierten Länder). Der Beleg, auf den Wiesing verweist, ist also kei-

ner und es gibt ihn nicht. Die angeblich neue Errungenschaft, dass nicht nur Schüler ihre Lehrer zu respektieren haben, sondern auch umgekehrt, ist geradezu lächerlich, beschreibt doch das Genfer Gelöbnis ebenso wie der hippokratische Eid eine Lebenshaltung des- jenigen, der den Beruf des Arztes ausübt, eine Lebenshaltung, die sich nicht nur auf die unmittelbare Ausübung der Profession be- schränken darf, also selbstverständlich auch den Respekt gegenüber Schülern wie auch ge- genüber jedem andern Menschen impliziert.

Die Tradition des Genfer Gelöbnisses hat be- wusst die Frage der Ökonomisierung der ärzt- lichen Tätigkeit nicht berücksichtigt gehabt (die in jeder Diktatur eine Rolle gespielt hat), ebenso wie dies beim hippokratischen Eid der Fall war, um hervorzuheben, dass der Arzt immer seinem Patienten verpflichtet ist und mit den vorhandenen Möglichkeiten (die in einem Industrieland anders sind als in einem Kriegsgebiet) alles tut, um Krankheiten zu heilen und Menschenleben zu retten. Mit der Einführung des Wellbeing und der Ökonomi- sierung in das Gelöbnis sind Grundlagen ge- schaffen, die geeignet sind, dass entsprechend disponierte Ärzte sich legitimiert fühlen kön- nen, unter dem Deckmäntelchen der Huma- nität Menschenleben zu zerstören, wobei den Schöpfern dieser Kreation vielleicht zugute- gehalten werden darf, dass sie nicht wissen, was sie tun. In einer Welt, in der wie 2016 in Kolumbien geschehen die «Mafia», sprich die FARC, den Friedensnobelpreis erhält, wäre es dringlich gewesen, dass die Ärzte zum Aus- druck bringen, dass sie ungeachtet der Wirr- nisse in dieser Welt in der Lage sind, an ihren humanitären Grundlagen festzuhalten.

Dr. med. Catja Wyler van Laak, Zürich

Genfer Gelöbnis revidiert

Brief zu: Wiesing U, Parsa-Parsi R.

Der Weltärztebund hat das Genfer Gelöbnis revidiert.

Schweiz Ärztezeitung. 2018, 99(8):247–9.

Vielen Dank für den Artikel und Lob für die Arbeitsgruppe. So wenig und so Wichtiges einzubringen, grenzt heute schon fast an ein Wunder. Mir geht es aber um etwas Anderes.

War ich damals krank, auf Reisen, einfach un- aufmerksam oder nicht eingeladen? Ich kann mich nicht entsinnen, jemals aufgefordert worden zu sein, irgend ein Gelöbnis abzuge- ben. Den Eid des Hippokrates haben wir im Griechischunterricht übersetzt, aber ich habe ihn nie schwören können, dürfen, müssen.

Umgang mit Sterben und Tod

Brief zu: Kind C. Revidierte Richtlinien zum Umgang mit Sterben und Tod. Schweiz Ärztezeitung. 2017;98(49):1642–3.

In den revidierten Richtlinien der SAMW wird versucht, zwischen verschiedenen Wertvor- stellungen zu vermitteln. Dies führt zu stö- renden logischen Widersprüchen. So lehnen die im Anhang erwähnten allgemein aner- kannten Ziele der Medizin eine aktive Beendi- gung des Lebens ab. Standesethisch wäre so- mit von der ärztlichen Suizidbeihilfe klar Abstand zu nehmen. Stattdessen wird es dem einzelnen Arzt überlassen, ob dies für ihn sel- ber mit den Zielen der Medizin vereinbar sei oder nicht. Damit wird einer moralischen Subjektivierung Vorschub geleistet und auf eine klare standesethische Position verzich- tet. Die Richtlinien bleiben in wichtigen medizinethischen Fragen ambivalent. Die Aufforderung zur Respektierung berufsethi- scher Normen wird zur kraftlosen Worthülse.

Auch die Aufnahme von SAMW-Richtlinien in die Standesordnung der FMH ändert nichts Entscheidendes, wenn angesichts nicht ver- tretbarer Praktiken bei der ärztlichen Sui- zidhilfe [1] keine klaren Konsequenzen ge- zogen werden.

Die etablierte Suizidhilfepraxis wird in der Schweiz nicht mehr ernsthaft hinterfragt.

Zudem breitet sich eine Nivellierung ethi- scher Grenzen auch unter Medizinern aus.

Man beachte dazu die Stellungnahmen von H. Stalder [2] oder von G. D. Borasio, der sich auch Suizidhilfe für Hochbetagte vorstellen kann [3]. Die  neuen Richtlinien kennen eine allgemeine Ausweitung der Suizidhilfe auf Pa- tienten mit Sterbewunsch [4]. Ältere Menschen und Lebens müde mit «unerträglichen» Funk- tionsstörungen im Alltag werden angesichts der flexiblen Ausführungen davon nicht aus- zunehmen sein.

Medienpräsenz, Lobbyarbeit und semanti- sche Veredelungen durch Suizidhilfeorgani- sationen (Freitod) verfehlen ihre Wirkungen nicht und haben zu einem Gewöhnungseffekt geführt.

Ein Blick über die Grenzen lohnt sich, wenn er nicht nur an Belgien, Holland oder Oregon haften bleibt. Stellungnahmen wie diejenige Ging das meinen Kolleginnen und Kollegen auch so? Oder eben fiel ich wie oben gesagt durch die Maschen? Ich studierte übrigens in Zürich.

Dr. med. Mario Etzensberger, Windisch

COURRIER redaction.bms@emh.ch 304

Courrier au BMS

Lettres de lecteurs

Envoyez vos lettres de lecteur de manière simple et rapide. Sur notre site Internet, vous trouverez un ou- til spécifique pour le faire. Votre lettre de lecteur pourra ainsi être traitée et publiée rapidement. Vous trouverez toutes les informations sous:

www.bullmed.ch/publier/remettre- un-courrier-des-lecteurs-remettre/

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der Lehrstuhlinhaber für Palliativmedizin in Deutschland gegen den ärztlich assistierten Suizid oder der British Medical association gegen «all forms of assisted dying» [5] werden in der Schweiz vermisst.

Bei der Suizidhilfe gibt es zumindest bei schwer Behinderten praktische Übergänge zur Tötung auf Verlangen. Eine Studie über Entscheidungen am Lebensende in der Schweiz zeigt, dass 2013 trotz Verbot in 11 Fäl- len effektiv eine Tötung auf und in 25 Fällen gar ohne Verlangen erfolgt ist [6]. Dieser Be- fund ist bis heute stillschweigend übergangen worden.

Im aktuellen Paradigma des selbstbestimm- ten Sterbens besteht die Gefahr, dass der Arzt zum Dienstleister degradiert wird, etwa wenn ein urteilsfähiger Patient das Abstellen eines Respirators verlangt, und er im Grunde gegen seine eigene Überzeugung handeln soll. Hier zeigt sich auch die wenig beachtete Grauzone zwischen Absicht und In-Kauf-nehmen.

Kritisch ist auch die kontinuierliche Sedie- rung bis zum Tode wegen ihrer möglichen Statthalterfunktion für die Tötung mit oder ohne Verlangen. Trotz Hinweis auf fachliche Standards wird es schwierig, in diesem Kontext übliches medizinisches Handeln von aktiver Lebensbeendigung zu unterscheiden.

Max Horkheimer, Vertreter der Frankfurter Schule schrieb vor 48 Jahren: «Ohne Hinweis auf ein Transzendentes wird Moral zur Sache von Geschmack und Laune». Auch darüber wäre heute wieder nachzudenken.

Dr. med. Peter Ryser-Düblin, Seftigen

1 Zentrale Ethikkommission der Schweizerischen Akademie der Medizinischen Wissenschaften (SAMW). Probleme bei der Durchführung von ärztlicher Suizidhilfe. Schweiz Ärztzeitung.

2012;93(11):411–2.

2 Stalder H. Sterbehilfe – welche Rolle übernimmt der Arzt? Schweiz Ärtzezeitung.2018;99(6):194.

3 Borasio GD. Replik zu den drei vorangegangenen Briefen. Schweiz Ärtzezeitung.2015;96(50–51):1854.

4 Mediengespräch der SAMW vom 17.11.17 5 Dokumentiert in: Was heisst in Würde sterben?

Springer 2015

6 JAMA 2016, 176, 555–6; Swiss Med Wkly 2016, 146, w14307

Haben wir keine anderen Probleme?

Brief zu: Kovic M. Werkzeuge gegen kognitive Verzerrungen im klinischen Alltag. 2019:99(6):185–7.

Nach dem Lesen des Artikels in der SÄZ habe ich gerade mit Erfolg in der pädiatrischen Pra- xis einen 6-jährigen Jungen behandelt. Die Verzerrungen dieses Problems des klinischen Alltags habe ich erkannt, mein Gehirn nach Heuristiken abgefragt und angestupst (nud- ging) und endlich die NaCl-Tropfen verschrie-

ben, im Einklang mit dem debiasing für teure Medikamente.

Übrigens empfehle ich auch das nudging in der Beratung Obstipierter, da diesem Krank- heitsbild ja offensichtlich eine kognitive Ver- zerrung zu Grunde liegt. Mit einem erlösen- den Ahh kann man dann vom debiasing Gebrauch machen. Dies ist doch eine super Anwendung im klinischen Alltag.

Eine solche kognitive Verwirrung kann dem noch einigermassen vernünftig denkenden Mediziner im klinischen Alltag nur von je- mandem vorgeschlagen werden, der noch nie im klinischen Alltag dabei gewesen ist. Ich empfehle jedem Leser dieser Zeilen, sich in die Internetseite der ars cognitionis, der Quelle des vorliegenden Artikels, einzulog- gen, um die hehren Ziele dieser Gmbh mit selbst ernannten Businessangels zu erken- nen. Man fragt sich allen Ernstes wie eine Zeitschrift der Standesorganisation für Medi- ziner zur Publikation eines solchen Artikels kommt. Haben wir keine anderen Probleme als die hier dargestellten? Es wäre wirklich mal zu empfehlen, die Publikationsstruktur dieser Zeitschrift zu überdenken, um die kog- nitive Verzerrung zu erkennen. Wie die ars cognitionis auf ihrer Homepage wörtlich schreibt, vertreibt sie keinen Bullshit; einen grösseren als den hier dargestellten habe ich noch nie gelesen.

Prof. em. Dr. med. Martin H. Schöni, Münsingen Ehemals Chefarzt kindermedizinische Poliklinik, Universität Bern, Inselspital

Medizinische Anwendung von Cannabis: Evidenz statt Vorurteile!

Die administrativen Hürden für die medi zi- nische Anwendung von Cannabis sind ge- messen am  Nutzen-Risiko-Profil anderer Substanzen (Opiate, Benzodiazepine) unver- hältnismässig hoch. Ausserdem ist der Pa- tient betreffend Kostenübernahme der Will- kür der Krankenkassen ausgeliefert, mit teilweise gravierenden Folgen. 

Eine hochbetagte Patientin litt an ausser- ordentlich starken chronischen Schmerzen, welche auf verschiedene Analgetika un - genügend angesprochen hatten. Sie erlebte eine eindrückliche Verbesserung der Schmer- zen und der Lebensqualität durch Cannabis- Tropfen («zum ersten Mal seit Jahren fühle ich mich wieder wie ein Mensch»). Leider wurde die Kostengutsprache nicht verlängert. Dies trotz  Therapiekosten, die deutlich geringer waren als die Kosten von z.B. Targin oder Pale- xia, so dass die Therapie eindeutig wirksam, zweckmässig und wirtschaftlich war.  Zer-

mürbt durch die quälenden Schmerzen und den Kampf um die Kostenübernahme, hat sich die Patientin mit einer Überdosis von Medikamenten das Leben genommen. 

Eine vom Bundesamt für Gesundheit finan- zierte Metastudie hat eine gute Wirkung ins- besondere  bei chronischen oder bei durch Krebs verursachten Schmerzen sowie bei MS-bedingter Spastik belegt.  Auch bei Übel- keit als Nebenwirkung einer Chemotherapie, bei Gewichtsverlust von Aidskranken, bei Schlafstörungen sowie dem Tourette-Syn- drom zeigten sich positive Auswirkungen [1].

Die Nebenwirkungen werden meist gut tole- riert.

Es ist höchste Zeit, dass die administrativen Hürden sowie die Politik der Kostenüber- nahme der Evidenz angepasst werden und dass wir verschreibenden Ärzte die Indi- kation gemäss wissenschaftlichen Kriterien stellen,  anstatt diese therapeutische Option aufgrund von Vorurteilen unseren Patienten vorzuenthalten.

Sachs et al. schrieben treffend [2]: «The side ef- fects of conventional medications are weigh- ted against the potential benefits, but this same logic is rarely applied to discussions of medical cannabis. […]  Given these findings one option for the future direction of research on cannabis is to approach cannabis as a legi- timate therapeutic agent. This would include reclassification, as well as more stringent and uniform supervision of its use and distribu- tion in a safe, ethically, and scientifically justi- fied manner.»

Dr. med. Maja Strasser, Fachärztin Neurologie, Solothurn 

1 Whiting PF, Wolff RF, Deshphande S, et al. Cannabi- noids for Medical Use. A Systematic Review and Meta-analysis. JAMA. 2015;313(24):2456–73.

2 Sachs J, McGlade E, Yurgelun-Todd D.  Safety and To- xicology of Cannabinoids. Neurotherapeutics.

2015;12(4):735–46.

Oralmedizin: Interdisziplinarität fördern

In naher Zukunft wird sich der klassische zahnärztliche Beruf stark ändern, denn eine Vielzahl von Erkrankungen der Mundhöhle, des Kopf- und Halsbereiches sind zu diagnos- tizieren und zu therapieren. Vor allem gibt es immer wieder neue Erkenntnisse über Zu- sammenhänge oraler Erkrankungen mit dem allgemeinen Gesundheitszustand und Krank- heitsbildern. Im Allgemeinen ist bekannt, dass parodontale Erkrankungen das Risiko für kardiovaskuläre Beschwerden erhöhen und einen Risikofaktor wie z.B. Rauchen und Diabetes darstellen. Das Wechselspiel von Dia betes und Paradontitis ist geläufig. Die

COURRIER redaction.bms@emh.ch 305

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orale Medizin wird damit für den Zahnarzt in Zukunft ein Aufgabengebiet, das ihm zuneh- mend auch neue Chancen eröffnet. Nicht sel- ten gehen Patienten öfter zum Zahnarzt als zum Hausarzt bzw. zu einem Spe zialisten wie Kardiologen, Dermatologen oder Onkologen.

Aber auch das Gegenteil kann zutreffen, näm- lich dass Patienten seltener zum Zahnarzt ge- hen als zu ihrem Hausarzt.

Die Oralmedizin sollte deshalb auch in der all- gemein-internistischen Medizin mehr Beach- tung finden und einen höheren Stellenwert anstreben. Verstärkte Kooperationen mit den Zahnmedizinern in vernetzten Strukturen eröffnen grosse Chancen, dass sich die Oral- medizin zugunsten der Patienten entwickeln kann. Dies bedingt jedoch, dass sich diese Dis- ziplin erkennbar in beiden Richtungen ent- wickelt, denn nur so wird sich die Oralmedi- zin durchsetzen.

Obwohl die Zusammenhänge zwischen Mund- und Allgemeingesundheit beiden Medizin- gruppen teilweise bekannt sind, gibt es selten interdisziplinäre Kontakte oder Konzepte.

Folgende Aspekte sollen die Problematik ver- deutlichen: Alte bzw. geriatrische Patienten stellen Zahnärzte vor Herausforderungen prak- tischer Art, etwa in Bezug auf Verständigung (Schwerhörigkeit, Denk- und Merkfähigkeit), Bewegung (Gangunsicherheit, Sehschwäche) und Durchführung der Behandlung (mus- kuloskelettale Erkrankungen, Schmerzen, Tre- mor). Zudem müssen Grunderkrankungen und Pharmakotherapie in den Behandlungs- konzepten berücksichtigt werden. Dies be-

Der Mensch ist das Mass aller Dinge Die Psychiatrische Klinik Münsterlingen, bzw. deren ehemaliger Direktor Prof. R. Kuhn, steht, ähnlich wie mehrere andere psychiatri- sche Kliniken, seit einiger Zeit im Kreuzfeuer der Kritik wegen unerlaubter Medikamenten- versuche. Der Regierungsrat des Kantons Thurgau hat eine grosse Studie in Auftrag ge- geben, um abzuklären, unter welchen Bedin- gungen die Medikamentenversuche in Müns- terlingen von Anfang der 50er Jahre an stattgefunden hätten. Die Verdienste von Kuhn für die Entdeckung des ersten Antidepressi-

vums erfahren eine Schmälerung durch sein angeblich ungenügend behutsames Vorgehen zum Schutze der Patientenrechte. In einem grösseren Zusammenhang mit diesen Unter- suchungen stellt sich eine Frage, die ebenfalls genauer Reflexion bedürfte.

Wie ist es möglich, dass zwischen 1969 und 1974 (Aufenthaltszeit des Autors in der Psych- iatrischen Klinik als Assistenzarzt) die Klinik mit circa 700 stationären Patienten einzig vom Direktor, zwei Oberärzten und vier Assistenzärzten versorgt werden konnte?

Diesen Zahlen stehen heute in der Psych- iatrischen Klinik Münsterlingen für angeb- lich 260 stationäre Patienten ein Chefarzt, 18  Oberärzte und 20 Assistenzärzte gegen- über. Natürlich hat sich die Aufenthaltsdauer der Patienten stark verkürzt, kaum hingegen das psychopathologische Profil derselben.

Die  zur Verfügung stehenden therapeuti- schen Methoden sind unter den heutigen Be- dingungen sicher vielfältiger und gestatten eine bessere Behandlungseffizienz.

Bei Betrachtung der gegebenen Zahlen stellt sich doch ein gewisses Unbehagen ein mit der Frage, wo das richtige Mass eines therapeuti- schen Aufwandes zu liegen habe. Wo früher ein eindeutiges Ungenügen des therapeuti- schen Angebotes bestanden hat, findet man heute vielleicht ein Übermass jenseits eines sinnvollen therapeutischen Einsatzes. Leider findet man in Zeiten konstruktiver Reformen nicht sofort das optimale Mittelmass.

Dr. René Bloch, Psychiater, Therwil rührt auch die momentane sowie mittelfris-

tig zu erwartende Veränderung im sozialen Umfeld des Patienten (Übergang aus der Selb- ständigkeit in Pflegesituationen). Für Patien- ten in Pflegeheimen oder Hospizen gilt dies umso mehr. Daher ist häufig auch eine Rück- sprache mit betreuenden Haus- und Fachärz- ten sowie Pflegenden und Angehörigen not- wendig.

Gemeinsame und regional durchgeführte Fortbildungen oder interdisziplinäre Work- shops und/oder Qualitätszirkel könnten einen wesentlichen Beitrag zur Entwicklung der oralen Medizin beisteuern, ergänzt durch Fachartikel in medizinischen und zahnmedi- zinischen Medien.

Rudolf Wartmann, Wettingen

COURRIER redaction.bms@emh.ch 306

Sujet d’actualité en ligne –

www.bullmed.ch/fr/tour-dhorizon

Interview de Franz Immer, directeur de Swisstransplant

«Un registre est source de clarté et de sécurité.»

Pourquoi il est désormais temps, en Suisse aussi, de réfléchir à l’intro- duction du modèle de l’opposition au sujet des dons d’organes.

Le corps médical est ouvert à de nouveaux modèles de finance

Etude représentative sur mandat de la FMH.

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Examens de spécialiste Examen de spécialiste en vue de l’obtention du titre de spécialiste en néphrologie

Lieu: Berne

Date: 14 novembre 2018 (date de réserve:

15 novembre 2018)

Délai d’inscription: 31 août 2018

Vous trouverez de plus amples informations sur le site web de l’ISFM www.siwf.ch

→ Domaines spécialisés → Titres de spécia- liste et formations approfondies (formation postgraduée) → Néphrologie

Examen de spécialiste en vue de l’obten­

tion du titre de spécialiste en neurologie Première partie: examen écrit – examen à choix multiple en anglais

Lieu: Hôpital de l’Ile, Berne (Inselspital) Date et heure: vendredi le 31 août 2018 (14h00–18h00)

Deuxième partie: examen oral/pratique Lieu: Hôpital Universitaire de Zurich Date et heure: vendredi le 26 octobre 2018 (horaires individuels)

Délai d’inscription: 1er mars 2018 – 31 mai 2018 Vous trouverez de plus amples informations sur le site web de l’ISFM www.siwf.ch

→ Domaines spécialisés → Titres de spécia- liste et formations approfondies (formation postgraduée) → Neurologie

Examen de spécialiste en vue de l’obten­

tion du titre de spécialiste en Radiologie – 2e partie

Lieu: Zurich Date: 29–31 août 2018 Délai d’inscription: 1er mai 2018

Vous trouverez de plus amples informations sur le site web de l’ISFM www.siwf.ch

→ Domaines spécialisés → Titres de spécia- liste et formations approfondies (formation postgraduée) → Radiologie

Examen en vue de l’obtention de la formation approfondie en radiologie pédiatrique à adjoindre au titre de spécialiste en radiologie

Lieu: Zurich Date: 29 août 2018

Délai d’inscription: 1er mai 2018

Vous trouverez de plus amples informations sur le site web de l’ISFM www.siwf.ch

→ Domaines spécialisés → Titres de spécia- liste et formations approfondies (formation postgraduée) → radiologie

Examen en vue de l’obtention de la for­

mation approfondie en neuroradiologie diagnostique à adjoindre au titre de spécialiste en radiologie

Lieu: Aarau

Date: 27 et 28 août 2018 Délai d’inscription: 1er mai 2018

Vous trouverez de plus amples informations sur le site web de l’ISFM www.siwf.ch

→ Domaines spécialisés → Titres de spécialiste et formations approfondies (formation postgraduée) → Radiologie

Examen en vue de l’obtention de la forma­

tion approfondie en neuroradiologie invasive à adjoindre au titre de spécialiste en radiologie

Lieu: Aarau

Date: 27 et 28 août 2018 Délai d’inscription: 1er mai 2018

Vous trouverez de plus amples informations sur le site web de l’ISFM www.siwf.ch

→ Domaines spécialisés → Titres de spécia- liste et formations approfondies (formation postgraduée) → radiologie

Société Suisse de Médecine d’Urgence et de Sauvetage SSMUS

Examen Attestation de formation complémentaire médecine d’urgence hospitalière SSMUS 2018

Examen oral (français) Lieu: Neuchâtel Date: 23 novembre 2018

Examen pratique (français et allemand) Lieu: Neuchâtel

Date: 30 novembre 2018 Délai d’inscription: 15 août 2018

Coûts: CHF 600.00 pour les membres SSMUS / CHF 1 000.00 pour les non-membres

Vous trouvez des informations supplémen- taires sur le site de la SSMUS www.sgnor.ch – AFCs – AFC médecine d’urgence hospitalière SSMUS ou vous les recevez auprès le secréta- riat général: sekretariat[at]sgnor.ch

COMMUNICATIONS 308

Communications

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Praxiscomputer-Workshop

Der Workshop richtet sich an Ärztinnen und Ärzte, die vor einer Praxiseröffnung oder Pra­

xisübernahme stehen oder bereits praxistätig sind.

Themen

Anforderungen an Praxisinformationssys­

tem

Evaluationsprozess (projektorientiertes Vor­

gehen)

– Präsentation von sieben führenden Praxis­

informationssystemen (Leistungserfas­

sung, Abrechnen, Agenda, Statistik, Geräteein bin dung, Krankengeschichte, Fi­

nanzbuchhaltung usw.)

Daten

K13 Donnerstag, Zürich 22. März 2018 Technopark 13.15–17.45 Uhr

Folgende Softwareanbieter können Sie im Workshop kennenlernen:

Ärztekasse Genossenschaft, Urdorf (MediWin CB, rockethealth und web­

basierte Variante I)

Die Ärztekasse entwickelt und investiert dort, wo es für die Ärzte, Therapeuten und anderen Leistungserbringer sinnvolle, einfache und zahlbare Lösungen gibt. Beispiele: Mobile Kran­

kengeschichte auf dem Tablet, welche sich bei jeder Gelegenheit mit der Basis synchronisiert,

«Meine Impfungen» oder Kartenleser, welche die Daten einwandfrei in das System über­

tragen, sind drei einfache und pragmatische Lösungen der Ärztekasse. Integrierte elektroni­

sche Terminvereinbarung, Krankengeschichte, Laborschnittstellen, Interaktionsprüfung, Boni­

tätschecks sind weitere Möglichkeiten. Die Ärz­

tekasse stellt diese und weitere eHealth­Bau­

steine für ihre Mitglieder oft ohne Zusatzkosten bereit. Viele dieser Zusatzmodule sind für Ärz­

tekasse­Mitglieder kostenlos. Softwarevorteile:

Keine Investitionskosten, alle Module wie z.B.

Agenda und elektronische Krankengeschichte sind integriert und ohne Zusatzkosten erhält­

lich. Vollständige und umfangreiche Palette an Funktionen und Online­Diensten. Alle Pro­

grammupdates und Tarifanpassungen, Medi­

kamentenupdates bis hin zu neuen, aktuellen Versionen der Software sind kostenlos. Es sind individuelle Tarifanpassungen möglich, Schnitt­

stelle Apotheken, Röntgen, integrierte Perzenti­

len, automatische Laborschnittstelle und vieles mehr.

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xis von Grund auf. Die Software Achilles wird in  enger Zusammenarbeit mit Kunden konse­

quent und innovativ weiterentwickelt, um den kommenden Ansprüchen an ein digitales Ge­

sundheitswesen gerecht zu werden. Viele lang­

jährige Kunden bestätigen: Software, Hard­

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läufe. PRAXIS*DESKTOP ist in drei Pakete unter­

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dows, OS X, iOS und Android. Wir kombinieren die Vorteile einer Client­Server­Lösung mit denen einer webfähigen Software mit iden­

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lung.

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fassungsmöglichkeiten bis hin zur führenden, vollstrukturierten elektronischen Krankenge­

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heitswesen mit dem Ziel, effiziente IT­Lösungen für praktizierende Ärzte und Ärztinnen zu entwickeln und zu vertreiben. Die Applikation

«vitomed» ist das in der Schweiz meistverbrei­

tete Praxisinformationssystem, das sich auch in volldigitalen Grossumgebungen wie z.B. in medizinischen Zentren oder Praxisketten be­

währt. Mit dem Mietmodell «ASP» bietet Vito­

data der Kundschaft zudem eine komfortable (Web­)Lösung an, in der zu einem monatlichen Fixbetrag sämtliche IT­Leistungen (inkl. Hard­

und Software, Datensicherung, Wartung durch unsere Mitarbeitenden etc.) aus einer Hand zur Verfügung stehen. Mehr dazu unter www.

vitodata.ch

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