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I à défendre Entrer dans un métierEntrer dans un métier

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Academic year: 2021

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à défendre Il fait l’objet de caricatures et d’attaques qui visent

à le fragiliser et le dénaturer. Les principales orien- tations affichées dans le cadre de la préparation de la nouvelle loi d’orientation, les modifications des règles de gestion des personnels, mises en œuvre sans réelle concertation, remettent en cause des aspects majeurs de notre métier. Il est question notamment :

• de développer notre mission éducative, au détri- ment de ce qui constitue le cœur de notre métier, à savoir la transmission des savoirs ;

• d’imposer un alourdissement des services aux nou- veaux recrutés, d’imposer à tous d’assurer en outre des missions de remplacement ;

• de mettre au pas l’ensemble d’une profession en développant le pouvoir des hiérarchies locales, en

attribuant un rôle primordial au chef d’établissement dans notre évaluation par exemple ;

• d’individualiser les carrières et développer l’arbi- traire, la gestion à « la tête du client » concernant les mutations et les promotions.

Or c’est d’un métier renforcé, revalorisé dont l’école a besoin pour progresser. Cela suppose en particulier d’améliorer les conditions d’exercice en début de carrière. C’est en ces termes que le SNES veut mener le débat avec vous, dans les établissements et par le biais de cette publication que nous vous adresserons plusieurs fois dans l’année.

Frédérique Rolet, cosecrétaire générale, Claire Dumont, Caroline Lechevallier, responsables nationales Notre métier est actuellement au cœur des débats. Il doit nécessairement

évoluer pour répondre aux attentes de la société à l’égard de l’école, à la nécessité de permettre à chaque jeune d’acquérir les savoirs indispensables et d’accéder

à une qualification reconnue, quelle que soit son origine sociale.

O n t p a r t i c i p é à c e t t e p u b l i c a t i o n : M a r y l è n e C a h o u e t , C l a i r e D u m o n t , C a r o l i n e L e c h e v a l l i e r , E m m a n u e l M e r c i e r

Signez les pétitions « mutations » et « promotions » en ligne sur le site du SNES : http://www.snes.edu

Entrer dans un métier Entrer dans un métier

©Clément Martin

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2 Entrer dans un métier- Supplément au n° 607 du 18 octobre 2004

T É M O I G N A G E

F. F., certifiée d’éducation musicale, deuxième année de titulaire.

« En ce qui concerne cette rentrée, ce qui me préoccupe le plus dans mon collège c’est de faire travailler le plus efficacement possible les élèves et ce dans un climat plus apaisé.

Les présentations ont été faites l’année précédente,

donc les élèves connaissent ma façon de procéder. Voilà mon principal souci, car de là dépend le contenu de mon cours.

Dans ma matière, l’éducation musicale, on est censé travailler trois séquences, c’est-à-dire chant / pratique instrumentale ou rythmique / audition.

Pour le moment, je ne réalise que deux séquences en moyenne.

C’est donc cette mise en condition au travail et au calme qui reste ma principale bataille. Pour le reste, je n’ai rien de spécifique à formuler que ce soit dans mes relations avec les collègues ou l’administration, tout baigne. »

Voilà, cela fait maintenant quelques semaines que vous êtes en poste, les premières évaluations ont eu lieu et un constat s’impose : les notes vont de 2 à 18 avec une très nette tendance à la dispersion. Eh oui, les classes sont hétérogènes… Comme pour tous les collègues cela devient l’une de vos pré- occupations principales, car de la gestion de cette difficulté découle une grande partie de la vie de la classe. Une étude (très sérieuse) de la direction de la Programmation et du Dévelop- pement (publiée en 2001) montre d’ailleurs que l’adaptation au niveau scolaire des élèves et des classes est un des soucis majeurs des ensei- gnants ayant une ou deux années d’exercice.

Pour arriver à surmonter cet obstacle, diffé- rentes stratégies peuvent être envisagées : adapter l’enseignement à chacun des élèves (quel rêve…), travailler en groupes d’élèves, créer des situations qui les obligeront à donner le meilleur d’eux-mêmes… Mais voilà, cela demande du temps, de l’énergie et beaucoup d’imagination. Alors n’hésitez pas, il peut être fructueux d’aller voir vos collègues, de leur demander conseils, de leur donner votre avis, de mutualiser vos compétences, vos documents. Il n’est pas toujours possible d’arriver au résultat escompté, mais ne dramatisez pas, même les plus « chevronnés » n’y réussissent pas toujours.

Quoi qu’il en soit, nous sommes convaincus d’une chose : il ne faut pas laisser tomber les élèves en difficulté.

C’est pourquoi nous demandons :

des équipes complètes pour suivre les plus fragiles : enseignants mais aussi conseillers d’éducation, conseiller d’orientation-psycho- logue, infirmière, assistante sociale ;

du temps pour dialoguer avec l’élève, sa famille, évaluer les difficultés, proposer des solutions ;

un suivi régulier sur toute la scolarité ;

•un effort particulier sur l’apprentissage de la langue française ;

•des cycles individualisés construits avec des lycées professionnels pour les plus âgés.

Le SNES a lutté par le passé contre toutes les formes de ségrégation par le savoir, il a par exemple porté l’idée d’un lycée pour tous, grâce à une diversification des lycées qui permet-

Vous, vos élèves et votre métier...

De nombreux néo-titulaires sont affectés en extension sur des zones de rempla- cement pendant les premières années d’exercice. En principe, la mission des TZR est d’assurer les remplacements à l’année et les suppléances de courte et moyenne durée.

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Unnee ssiittuuaattiioonn qquuii nnee cceessssee d

dee ssee déggrraaddeerr

Dans la réalité, la situation des TZR ne cesse de se dégrader. L’objectif affiché par le minis- tère d’améliorer le « rendement du rempla- cement » se traduit concrètement par :

•l’extension généralisée des limites des zones de remplacement ;

•l’obligation d’assurer des remplacements sur une zone limitrophe, ce qui revient parfois à intervenir dans toute l’académie ;

•des services à cheval sur deux voir trois éta- blissements ;

l’enseignement d’une seconde discipline en complément de service ;

la multiplication des affectations en SEGPA et en lycée professionnel ;

•des affectations après la rentrée, avec des avis antidatés, dans le but de ne pas payer d’ISSR.

Quand néo-titulaire rime avec TZR... et galère

Dans un contexte de recrutements insuffi- sants, la plupart des TZR sont affectés sur un remplacement à l’année. Faute de titulaires en nombre suffisant, les suppléances de courte et moyenne durée sont assurées par des vaca- taires 200 heures sans formation, ni droit au chômage ou au réemploi.

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Coonnnnaaîîttrree sseess ddrrooiittss e

ett nnee ppaass rreesstteerr iissoolléé((ee))

Nombre de jeunes collègues témoignent des pressions qu’ils subissent de la part de l’ad- ministration et de certains chefs d’établisse- ment. Peu ou mal informés de leurs droits, souvent isolés, ils sont d’une certaine manière des proies faciles pour la hiérarchie.

Connaître ses droits et ne pas rester isolé est donc indispensable.

Le SNES informeses syndiqués par des publi- cations régulières et un mémo spécial TZR disponible à la section académique.

Le SNES rassembleen organisant des col- lectifs TZR dont vous pouvez contacter les animateurs à la section académique.

trait l’intégration de nouveaux savoirs et la création de nouvelles voies de réussite. Le SNES pense qu’il faut porter à 18 ans la scola- rité obligatoire, y compris pour les jeunes en très grande difficulté scolaire. Le SNES défend l’accès à tous à une culture équilibrée, une cul- ture qui permet de comprendre le monde pour débattre, agir, s’exprimer à l’aide de solides connaissances acquises dans les principaux domaines : scientifiques, littéraire, des sciences humaines, technique, artistique, physique et sportif. Il faut de plus posséder un certain nombre de compétences pour ne pas être en difficulté dans la vie : être capable de maîtriser et d’analyser l’information, savoir travailler en équipe, avoir de l’esprit critique… Le SNES ne peut admettre que les faire acquérir à tous ne soit pas un objectif, pour tous nos élèves.

L’hétérogénéité est-elle un mal ?

Elle découle d’un legs dont nous n’avons pas à rougir: celui de la « massification ». Le collège unique date de la fin des années 70 (réforme Haby), mais jusqu’à la fin des années 80, il est resté un lieu de sélection sociale par l’évacuation de toute une partie des élèves après la Cinquième (rarement des enfants de cadres). Il a fallu attendre les années 90 pour que la presque totalité des élèves aille jusqu’en Troisième. Mais dans quelles conditions ? A-t-on donné aux collèges les moyens de scolariser tous les élèves, y compris ceux en grande difficulté ? Cette « démocratisation » du col- lège a permis une ouverture des lycées, notamment par la création des baccalauréats professionnels (1980 : 30 % de bacheliers, plus de 60 % aujourd’hui). Un constat trouble quand même : les ado- lescents des milieux populaires sont surreprésentés dans les formations technologiques et pro- fessionnelles, et la plupart de ceux qui choisissent une voie générale finissent leur scolarité dans une formation professionnalisante à bac + 2. Le niveau général s’élève grâce à une prolongation des études, mais les inégalités sont très loin de disparaître. Alors faut-il renoncer ?

(3)

Entrer dans un métier- Supplément au n° 607 du 18 octobre 20043

Échanger

et débattre sur les programmes et les pratiques

Le SNES a mis en place les

« Observatoires des programmes et des pratiques » : un lieu de débats, d’échanges, de réflexion sur l’enseignement

de nos disciplines, sur notre métier en donnant la parole aux véritables experts : les enseignants.

Ces travaux font l’objet de publications notamment grâce à ADAPT (www.adapt.snes.edu), qui recense et évalue également les sites Internet et les CD-ROM intéressants par discipline.

Droit à la formation syndicale

Le SNES organise de nombreux stages, ouverts aux adhérents.

Différents thèmes sont traités : les TZR, être élu(e) au CA de l’établissement, entrer dans le métier, stagiaires IUFM, enseigner sa discipline. Vous avez droit à 12 jours d’autorisation d’absence pour formation syndicale. Vous pouvez contacter la section SNES de votre académie pour connaître les stages proposés et consulter son site internet.

B R È V E S

Rupture après l’année de stage à l’IUFM

En tant que titulaire, vous avez obtenu un poste, souvent dans une nouvelle académie. Pour la rentrée, il faut donc déménager, souvent loin de sa famille et de ses amis, s’habituer à une nouvelle ville.

Ensuite, il faut s’adapter à un nouvel éta- blissement. Quel matériel est disponible ? Peut-on encore faire des commandes ? Quels projets sont proposés ? De nouveaux col- lègues, d’autres profils d’élèves et de familles.

Le passage de 4-6 heures de cours à 18 heures voire plus, avec de nouveaux niveaux, néces- site d’élaborer de nombreux cours souvent dans l’urgence. Il faut aussi faire face à l’aug- mentation du nombre de copies à corriger, d’élèves à connaître, à suivre, apprendre à être

professeur principal parfois. Cette rupture après l’année de stage peut engendrer un stress et des doutes sur ses capacités à exer- cer pleinement ce métier, sur les choix à faire pour permettre à la majorité des élèves d’ac- quérir les savoirs et les compétences au pro- gramme.

Pour faciliter l’entrée dans le métier, le SNES propose un allégement de la charge de travail grâce à un demi-service lors de la première année d’exercice et une décharge de 3 heures, la deuxième année, couplée à une limitation du nombre de niveaux. Cet allégement permettrait de faire face à la nouvelle charge de travail et de compléter si nécessaire sa formation.

Salaires

et pouvoir d’achat

En début de carrière, les dépenses s’ac- cumulent et génèrent souvent un endet- tement important (achat de matériel pédagogique et informatique, logement, véhi- cule…). Des aides existent, mais trop peu peu- vent en bénéficier, et elles ont été réduites

pour raisons budgétaires. La prime spéciale d’installation, par exemple, ne concerne que les néo-titulaires affectés en région parisienne ou dans l’agglomération lilloise. L’indemnité de première affectation a été supprimée.

Cette dégradation s’inscrit dans une baisse générale du pouvoir d’achat des fonction- naires dont les traitements ne sont plus indexés sur l’évolution du coût de la vie. Le retard accumulé depuis 2000 représente à l’heure actuelle l’équivalent d’un mois et demi de salaire.

Le SNES revendiquele retour à l’indexation sur les prix et un plan de rattrapage, avec une mesure immédiate d’augmentation de 50 points d’indice pour tous. Et pour les débuts de carrière, le rétablissement de l’indemnité de première affectation.

http://www.snes.fr

01 40 63 29 00 01 40 63 29 00

©DR/Sander Meilink

©DR/Philippe Pellerin

(4)

RAISONS

AUD'ADHÉRERD'ADHÉRER

S N E S SNES

efficacement dans son établissement l’image des profs auprès des parents et des élèves

d'une source d’informations très complète selon ses envies

PORTER

à celles des autres FROTTER SES IDÉES

INTERVENIR

ET REFAIRE LE MONDE ? RESTAURER

BÉNÉFICIER ÊTRE ACCOMPAGNÉ

et aidé dans sa carrière

S’ENGAGER

http://www.snes.fr IMAGINER ENSEMBLE

de nouvelles manières d’enseigner

les valeurs de l'école

SE BATTRE POUR L’ÉCOLE

avec la FSU,

et la société

01 40 63 29 00

Avoir été ou être

L’essentiel de ses recettes (95 %) est constitué par les cotisations de ses adhérents, le reste provenant de la publicité faite dans L’US(revue nationale du SNES). Le SNES ne perçoit aucune sub- vention.

La situation financière du SNES est claire et saine. L’équilibre financier est un élément important de l’indépendance du SNES.

Près du quart de nos ressources est consa- cré à la presse du SNES qui est un lien

Imaginez le ministre des Transports don- nant des leçons de pilotage à un comman- dant d’Airbus ou le ministre de la Santé donnant des consignes à un chirurgien. Ce serait drôle. Eh bien, le ministre de l’Éduca- tion nationale l’a fait. Des élèves sont en difficulté ? Le ministre prend la plume et par une circulaire officielle fait la leçon aux enseignants. Il faut rétablir la récitation, la dictée, recourir « aux exercices favorisant l’effort personnel et répété des élèves ».

Comme si on rappelait au pilote de l’avion la nécessité de sortir le train d’atterrissage avant de se poser.

Fillon fait comme si on n’apprenait plus la grammaire et l’orthographe dans les col- lèges !

Dans le discours du ministre, la dictée est un coup de baguette magique qui permet de remonter le temps et de nous faire revivre un prétendu âge d’or, celui du Grand Meaulnes. Mais il faudrait aller plus loin et réhabiliter la plume Sergent-Major, pour faire moins de fautes d’orthographe, l’encrier qui tache, les blouses bleues et roses des élèves, la baguette du maître, l’estrade et le bonnet d’âne… Le retour à l’autorité raide et domi- natrice à la place de l’autorité fondée sur le respect mutuel, l’écoute, les compétences.

Les enseignants n’attendent pas qu’on leur rappelle ce qu’ils font déjà : la grammaire, la lecture, la récitation, l’orthographe… Le pilote

Cotisations : les moyens de l’indépendance

Contacter le SNES national

Sites Internet du SNES

d’avion comme le prof connaît son métier : ce qu’il attend de son employeur, c’est un appa- reil plus performant, de meilleures condi- tions de travail. Pour affronter des conditions de vol plus difficiles, il a besoin d’une for- mation continue, d’échanger avec ses col- lègues, de modifier les programmes de vol sur la base d’une réflexion collective, de changer ses pratiques à partir de l’expé- rience.

Alors, Monsieur le ministre, au lieu d’inven- ter le passé, soignez le présent ! Écoutez les professionnels de l’éducation !

Marylène Cahouet

i n d i s p e n s a b l e e t a p p r é c i é . L e p o s t e

« salaires et charges » (près de 15 %) couvre les salaires des personnels tra- vaillant pour le SNES (secrétaire…). Béné- voles, les militants ne perçoivent aucune rémunération. Ce sont des collègues en exercice dans leurs établissements.

N.B. : Nous rappelons que le paiement de la cotisation syndicale ouvre droit à une réduc- tion d’impôt égale à 50 % de son montant.

T É M O I G N A G E

N. R.,certifié de physique-chimie, première année de titulaire.

« Lors de mon arrivée dans l’académie d’Orléans-Tours comme néo-titulaire, j’étais principalement préoccupé par l’obtention

de mon poste fixe.

En ce début d’année, mes principales interrogations concernaient évidemment l’environnement nouveau que constitue un premier établissement, et j’ai été

agréablement surpris du très bon accueil que j’ai reçu de la part de mes nouveaux collègues, dès le mois de juillet pour certains.

Ils m’ont permis de comprendre rapidement le fonctionnement et les habitudes de l’établissement et m’ont immédiatement intégré dans l’équipe pédagogique sans faire une distinction quelconque. En effet, il est important de sentir après l’année de stage et la titularisation que l’on est considéré comme un enseignant à part entière. C’est d’ailleurs pour cela que l’appellation néo-titulaire me gêne un peu.

En ce qui concerne les relations avec les élèves et le déroulement des cours, je n’avais pas

d’appréhension particulière car l’année de stage s’était bien déroulée, ce qui est aussi le cas en ce début d’année. La principale difficulté que je rencontre pour cette première année comme titulaire est de réussir à préparer correctement les cours de plusieurs nouveaux niveaux, sans pouvoir pour autant rallonger les journées ! »

Par téléphone : 01 40 63 29 57, secteur FIC-EDM (Formation initiale et continue des personnels.

Entrer dans le métier) •Par courriel : fmaitres@snes.edu

http://www.snes.edu : site général du SNES avec les mémos en ligne, les liens vers les sites des sections académiques, des services réser- vés aux syndiqués.

http://www.edm.snes.edu : « edm » pour

« Entrer dans le métier », site conçu pour les étudiants, candidats aux concours, stagiaires et nouveaux recrutés.

L’Université Syndicaliste, suppl. au no607 - 18 octobre 2004, hebdomadaire du Syndicat national des enseignements de second degré (FSU) 1, rue de Courty, 75341 Paris Cedex 07.

Directeur de la publication : Gérard Anthéaume - Compogravure : CAG, Paris - Imprimerie : SIPE (Paris) - NoCP 0108 S 06386 – ISSN no0751-5839

©DR/Jami Garrison

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