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Calcul de l'influence des diffusions inélastiques sur le contraste des images de défauts d'empilement en microscopie électronique

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(1)

HAL Id: jpa-00209130

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00209130

Submitted on 1 Jan 1979

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Calcul de l’influence des diffusions inélastiques sur le contraste des images de défauts d’empilement en

microscopie électronique

H. Peyre, P. Duval, L. Henry

To cite this version:

H. Peyre, P. Duval, L. Henry. Calcul de l’influence des diffusions inélastiques sur le contraste des images de défauts d’empilement en microscopie électronique. Journal de Physique, 1979, 40 (5), pp.489-494. �10.1051/jphys:01979004005048900�. �jpa-00209130�

(2)

Calcul de l’influence des diffusions inélastiques

sur

le

contraste

des images de défauts d’empilement

en

microscopie électronique

H. Peyre, P. Duval et L.

Henry

Laboratoire de Physique des Solides (*), Bâtiment 510, Université Paris-Sud, 91405 Orsay Cedex, France (Reçu le I S novembre 1978, révisé le 19 janvier 1979, accepté le 22 janvier 1979)

Résumé. 2014 La prise en considération des diffusions inélastiques selon le modèle qui consiste à traiter le cône de diffusion qui a pris naissance à l’intérieur du cristal comme un cône d’éclairage divergent permet de rendre compte d’observations expérimentales concernant les images de défauts d’empilement.

Abstract. 2014 Taking into account inelastic scattering for the model which treats the scattering cone with its origine

inside the crystal as divergent illumination allows a description of the experimental observations of stacking faults.

Classification

Physics Abstracts

61.70P

La théorie

dynamique

de la diffraction

électronique lorsqu’elle prend

en compte les

phénomènes

d’ab-

sorption

permet de

prévoir

le contraste des

franges

observées en

microscopie électronique

par transmis- sion sur les

images

de défauts

d’empilement qui

se

forment dans les monocristaux (le cas traité ici sera

celui des défauts

d’empilement qui apparaissent

dans les monocristaux de silicium contenant des

impu-

retés).

Cependant,

dans le cas des cristaux très

épais,

il apparaît sur les images un effet de bord, dont ne

rend pas compte la théorie

dynamique,

caractérisé par une perte de contraste à l’intersection de la faute avec la face de sortie du cristal.

Cet effet a été étudié

expérimentalement

en détail

par

Kamiya,

Nakai et Nonoyama [1, 2], il est d’autant

plus important

que pour une tension d’accélération des électrons donnée,

l’épaisseur

du cristal est

grande.

Ces auteurs ont

également

observé sur des échantil- lons

d’épaisseur

moindre que cette perte de contraste demeure

importante lorsque l’image

est formée par

les électrons diffusés

inélastiquement

au

voisinage

des taches de Bragg.

Il

apparaît

donc que cet effet de bord doit être attribué à la contribution à la formation de

l’image

des électrons

qui

ont subi, lors de la traversée du cristal, une diffusion inélastique. Différentes méthodes de calcul ont été utilisées pour traduire l’influence de ces diffusions sur les divers types de contrastes de diffraction observés sur les

images

de la

microscopie électronique

par transmission [1-9]. Nous nous pro-

(*) Associé au C.N.R.S.

posons de montrer ici que l’utilisation du modèle

qui

consiste à traiter par la théorie

dynamique classique

les faisceaux diffusés à l’intérieur du cristal comme un

ensemble de faisceaux incidents

divergents [10],

per- met de calculer dans le cas

général

l’influence de la dif- fusion

inélastique

sur le contraste des images des fautes

d’empilement

et de rendre compte convenablement de l’effet de bord observé dans le cas

particulier

des

échantillons très

épais.

Pour effectuer le calcul du

profil

d’intensité le

long

d’un défaut

d’empilement,

nous nous sommes

placés

dans le cas

simple

de la théorie

dynamique

à deux

ondes avec

absorption.

Dans ce cas, en l’absence de toute diffusion

inélastique

pour un faisceau incident

parallèle écarté de A9 de la direction de Bragg, il

correspond

à un

point

du défaut situé à la

profondeur

t’ dans un cristal

d’épaisseur t

les intensités transmise

It =

g(t’)

et diffractée

Ig

=

Ig( t’)

dont les

expressions

ont été données par Hashimoto, Howie et Whelan [ 11 ].

Ces intensités sont évidemment fonction de l’écart

w

= gçg

A0 à

l’angle

de Bragg du faisceau incident

(çg

est la distance d’extinction pour la réflexion

considérée), de

l’épaisseur

du cristal, du

déphasage

a

qu’introduit

la faute et des valeurs

adoptées

pour les coefficients

d’absorption (§ et ç;.

Une des

caractéristiques

des

profils

d’intensité ainsi calculés réside dans le fait que, si les

images

en

fond clair sont

symétriques,

par contre les images en

fond noir sont

asymétriques :

à l’intersection de la faute avec la surface d’entrée du cristal (haut de la

lame cristalline) les contrastes en fond clair et en fond noir sont semblables mais à l’intersection avec la face

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01979004005048900

(3)

490

de sortie du cristal (bas de la lame

cristalline)

ils sont

complémentaires.

Si l’on admet le modèle suivant

lequel

un faisceau

diffusé

inélastiquement

dans le cristal conduit à des

phénomènes

de diffraction

identiques

à ceux que

produirait

un faisceau incident

divergent

de même

répartition angulaire

d’intensité, la théorie

dynamique

permet de calculer de façon

simple

la

répartition

de

l’intensité au niveau de

l’image.

Ainsi à un faisceau

d’éclairage divergent

contenu dans un cône dont l’axe est écarté de A0 de la direction exacte de Bragg et dont l’intensité en fonction de

l’angle fi

avec l’axe varie suivant une relation

f (fi), correspondent

au niveau

de

chaque point image

les intensités

Jt(t’)

pour le fond clair et

Jg(t’)

pour le fond noir obtenues en

intégrant

sur toute l’ouverture du

diaphragme d’objectif

les

fonctions

It(t’, w).f(fl)

et

Ig(t’, w).f(P).

Et

puisque

l’on traite l’ensemble des faisceaux issus de

l’objet (élastique

et

inélastiques)

comme un ensemble de faisceaux incidents

divergents

l’intensité totale en un

point

sera donnée par la somme des intensités dues à chacun de ces faisceaux, étant entendu qu’à

chaque

faisceau

correspond

une fonction

f (fi) adaptée

à la

nature

de la diffusion.

En ce

qui

concerne les échantillons de faible et moyenne

épaisseur, lorsque

l’intensité transmise et diffractée

élastiquement

conserve une valeur appré- ciable, on peut considérer que

l’image globale

de la

microscopie électronique classique

résulte essentielle- ment de la

superposition

de

l’image

formée par le faisceau

élastique

et de celles formées par les faisceaux

inélastiques

diffusés par les

plasmons

de volume.

Ces diffusions s’effectuent en effet au

voisinage

des

taches de Bragg et franchissent pour une grande part le

diaphragme placé

au niveau du

foyer

de

l’objectif.

Les calculs ont été effectués pour le cas

particulier

de la réflexion

(220) produite

dans un cristal de sili- cium éclairé par un faisceau incident d’ouverture

égale

à 2 x 10-4 radian, la tension d’accélération des électrons étant choisie

égale

à 85 kV. La diffusion

élastique

s’effectue dans un cône d’ouverture

égale

à

celle du faisceau incident et la

répartition

d’intensité y est

supposée

uniforme. En ce

qui

concerne les

diffusions

multiples

par

plasmons,

les

répartitions

d’intensité en fonction de

l’angle

de diffusion ont été

déterminées par convolutions successives pour les

cinq premières

diffusions par

plasmons [12].

Ceci

nous a

permis

de calculer

séparément

les contrastes

de

l’image élastique,

des

images inélastiques

et de

l’image globale.

Sur les

figures

1, 2 et 3 sont

reproduits

pour une ouverture 2 aob délimitée par le

diaphragme d’objectif égale

à 10-’ radian (soit pour un

diaphragme

de

diamètre

égal

à 30 p pour une distance focale

d’objectif

de 3,3

mm)

les

profils

d’intensité des

images élastique

(traits

discontinus)

et

globale (traits pleins)

d’un défaut

d’empilement

calculés en fond clair et en fond noir

avec t = 4

g,

a = 2

n/3, çg/ç;

= 0,07 et cela pour

trois valeurs de w (w = 0, w

= g/8, w

=

g/4).

Pour

Fig. la. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ

clair : 2 aob = 10-’ radian. Image élastique ---. Image globale [Computed stacking fault image profile. Bright field :

Fig. lb. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ

sombre : 2 (lob = 10-2 radian. Image élastique ---. Image globale -.

[Computed stacking fault image profile. Dark field : 2 (lob =10-2 ra-

dian. Elastic image --- Total image -.]

faciliter la

comparaison

des contrastes nous avons

ramené sur

chaque

figure les intensités des

images

en dehors du défaut (cristal

parfait)

à la même valeur.

On constate que si pour w = 0 les modifications de contraste dues à la diffusion

inélastique

sont peu

importantes,

il n’en est pas de même pour w * 0.

Dans ce cas sur

l’image globale

en fond clair on observe

une perte de contraste au centre du défaut et un ren- forcement sur les bords, et en fond noir une

dissy-

métrie

importante

caractérisée par une forte perte de

contraste au niveau du bas du cristal et un fort ren-

forcement au niveau du haut du cristal.

Des calculs effectués avec d’autres valeurs de aob

nous ont montré que l’on retrouve

systématiquement

les mêmes

phénomènes,

les modifications de contrastes

(4)

Fig. 2a. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ

clair : 2 aob =10-2 radian. Image élastique ---. Image glo-

bale .

[Computed stacking fault image profile. Bright field :

Elastic image --- Total image -.]

Fig. 2b. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ

sombre : 2 aob = 10-2 radian. Image élastique --- Image globale -.

[Computed stacking fault image profile. Dark field : 2 aob = 10-2 ra-

dian. Elastic image - - - - -. Total image 2013.]

étant d’autant

plus importantes

que l’ouverture

d’objectif

choisie est

grande.

Remarquons que la

dissymétrie qui n’apparaît qu’en

fond noir dans nos résultats pour w 0 est observée

expérimentalement

de façon courante en

microscopie électronique,

cette

dissymétrie

est indé-

pendante

de l’effet de bord

caractéristique

des cristaux de très forte

épaisseur

et

qui

a été observée essentielle- ment en fond clai

Nous avons par ailleurs calculé les

profils

d’inten-

sité des défauts

d’empilement

des

images

formées

par les diffusions successives par

plasmon.

Pour la

première

diffusion par

plasmon qui

s’effectue dans

un cône de très faible ouverture, les

profils

sont très

voisins de ceux des images élastiques, pour les diffu-

Fig. 3a. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ clair : 2 (lob =10-2 radian. Image élastique - - - - . Image glo-

bale .

[Computed stacking fault image profile. Bright field :

Elastic image --- Total image -.]

Fig. 3b. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ

sombre : 2 Ctob =10-2 radian. Image élastique ---. Image globale -.

[Computed stacking fault image profile. Dark field : 2 ocob = 10-2 ra-

dian. Elastic image - - - - -. Total image -.]

sions

multiples

suivantes

qui

s’effectuent dans des cônes d’ouvertures de plus en

plus importantes,

les

profils

se rapprochent

progressivement

de ceux des

images globales.

Dans le cas d’échantillons très

épais, lorsque

l’inten-

sité

élastiquement

transmise et diffractée devient

négligeable,

les électrons subissent pour leur plus grande part des diffusions successives de natures différentes et les faisceaux diffusés s’étalent

largement

sur le

diagramme

de diffraction. Le calcul de la

répar-

tition des intensités est alors peu aisé et nous avons

choisi dans ce cas de déterminer

expérimentalement

la

fonction

f (B)

que nous avons pu assimiler

approxima-

tivement pour nos calculs à une fonction de Lorentz.

Nous avons observé que les diffusions autour de la

(5)

492

direction du faisceau incident s’étendent avec une

intensité non

négligeable

à des distances supérieures

aux distances entre taches de Bragg. Par

exemple

la fonction

f(P)

enregistrée sur un

diagramme

de

diffraction d’un échantillon de silicium d’épaisseur

voisine de 5 200 A

(7,5 çg

à 85 kV) montre que l’inten-

sité diffusée mesurée dans une direction telle que

j8 = 2

Bgragg représente

30 pour cent de celle mesurée dans la direction transmise.

Dans ces conditions, si on considère un faisceau d’éclairage incident dans la direction exacte de Bragg (w = 0), une partie

importante

du faisceau incident transmis s’écarte de cette direction d’un

angle égal

à

2

BBragg,

c’est-à-dire dans la direction du faisceau diffracté. Cette

partie

du faisceau diffusé se comporte alors comme un faisceau incident ’écarté de 2

0a

Fig. 4a. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ

clair : w = 0. Image élastique - - - - -. Image globale . [Computed stacking fault image profile. Bright field : w = 0.

Elastic image --- Total image -.]

Fig. 4b. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ

sombre : w = 0. Image élastique ---. Image globale . [Computed stacking fault image profile. Dark field : w = 0. Elastic

image --- Total image -.]

de la direction de Bragg. Le

diaphragme

d’objectif

étant

placé

autour de la tache centrale recueille dans

ce cas l’intensité transmise élastiquement, une intensité

transmise

inélastiquement

et une intensité diffractée

inélastiquement. L’image globale

résulte donc de

l’image élastique

en fond clair, d’une

image inélastique

en fond clair et d’une

image inélastique

en fond noir.

Remarquons que c’est en tenant compte de cette

superposition plus

ou moins

importante

du faisceau directement transmis et du faisceau diffracté que

nous avons par ailleurs [13] rendu compte de la forma- tion des bandes de Kikuchi.

Le même raisonnement montrerait que

l’image globale

en fond noir résulte de

l’image élastique

en

fond noir, d’une

image inélastique

en fond noir et

d’une

image inélastique

en fond clair. De même les

Fig. 4c. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Image inélastique : w = 0.

[Computed stacking fault image profile. Inelastic image : w = 0.]

Fig. 4d. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Image inélastique : w = 0.

[Computed stacking fault image profile. Inelastic : w = 0.]

(6)

Fig. 5a. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ

clair : w = 0. Image élastique - - - - -. Image globale . [Computed stacking fault image profile. Bright field : w = 0.

Elastic image --- Total image -.]

Fig. 5b. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Champ

sombre : w = 0. Image élastique ---. Image globale -.

[Computed stacking fault image profile. Dark field : w = 0. Elastic

image - - - - -. Total image -.]

images inélastiques

obtenues par

déplacement

du

diaphragme d’objectif

hors des taches de Bragg

résultent toutes d’une

image

en fond clair et d’une

image

en fond noir, l’intensité de chacune étant fonction de la

position

du

diaphragme.

On peut donc

prévoir

dans ces cas une perte de

contraste sur

l’image globale

au niveau de l’intersec- tion du défaut avec la face de sortie du cristal

puisqu’à

ce niveau le contraste de l’image en fond clair et celui de

l’image

en fond noir sont

complémentaires.

C’est bien ce que l’on obtient sur les figures 4 et 5

qui reproduisent

les

profils

calculés pour t =

7,5 çg

(w = 0, a = 2 n/3,

çg/ç;

= 0,07) en fond clair et en

fond noir

pour

différentes

positions

du

diaphragme d’objectif

et deux valeurs de 2 (lob (3 x 10-3 et 10-2 radian). La perte de contraste au bas du cristal

Fig. 5c. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Image inélastique : w = 0.

[Computed stacking fault image profile. Inelastic image : w = 0.]

Fig. 5d. - Profil d’intensité d’un défaut d’empilement. Image inélastique : w = 0.

[Computed stacking fault image profile. Inelastic image : w = 0.]

est

particulièrement importante lorsque

le

diaphragme d’objectif

est

placé

hors des taches de Bragg, c’est

précisément

ce

qui

a été observé

expérimentalement

par Nonoyama, Nakaï et

Kamiya

[2]. Du reste

l’examen attentif des

images présentées

par ces auteurs

permet de constater que c’est l’ensemble du contraste observé le

long

du défaut

qui

est semblable à celui

obtenu par nos calculs. En effet dans les deux cas on

observe une atténuation

progressive

du contraste

des

franges depuis

le haut du cristal avec

cependant

une rémontée

plus

ou moins

importante

mais inatten- due du contraste des toutes dernières

franges

au bas du

cristal.

De

plus

sur les figures 4d et

5d qui correspondent

aux

images inélastiques

au

voisinage

de la tache de diffraction, on observe apparemment une inversion

(7)

494

du contraste de la

première

frange au bas de la faute,

ce résultat est en fait à la

disparition

complète du

contraste de la

première frange

brillante. Un effet

analogue d’inversion de contraste au bas de la faute

a été observé expérimentalement par Kamiya et

Nakaï [1] pour w :0 0 lorsque le

diaphragme d’objectif

est situé en certaines régions au voisinage de la direc- tion exacte de diffraction.

La méthode que nous avons utilisée au cours de cette étude pour déterminer l’influence des diffusions inélas-

tiques

sur les

images

de défauts

d’empilement

nous a

conduits à des résultats qui sont toujours en accord

convenable avec les observations courantes ou

parti-

culières concernant les images de la

microscopie électronique.

Ceci nous semble confirmer la validité du modèle que nous avons utilisé.

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