Séries entières
I. Rayon de convergence
Proposition 1 – On ne change pas le rayon de convergence...
En changeant l’indice de départ :
• Les séries entières X
nÊn0
anznet X
nÊn1
anznont le même rayon de convergence.
En prenant la valeur absolue des coefficients :
• Les séries entièresX
anznetX
|an|znont le même rayon de convergence.
En passant d’une variable réelle à une variable complexe :
• X
anxn(var. réelle) etX
anzn(var. complexe) ont le même rayon de convergence.
Lorsque les coefficients sont équivalents :
• Si an ∼
n→+∞bn, alorsX
anznetX
bnznont le même rayon de convergence.
En multipliant les coefficients par n :
• Les séries entièresX
anznetX
nanznont le même rayon de convergence.
Plus généralement, en multipliant ou en divisant par une puissance de n :
• Si p∈Z, alorsXanznetX
npanznont le même rayon de convergence.
Proposition 2 – Inégalités sur le rayon de convergence SoitP
anznune série entière de rayon de convergence R et soit z0∈C. On a les résultats suivants :
(1) Si la suite(anz0n)est bornée, alors RÊ |z0|; (2) Si la suite(anz0n)converge, alors RÊ |z0|; (3) Si la sérieP
anz0nconverge, alors RÊ |z0|; (4) Si la suite(anz0n)n’est pas bornée, alors RÉ |z0|; (5) Si la suite(anz0n)n’est pas convergente, alors RÉ |z0|; (6) Si la sérieP
anz0nn’est pas convergente, alors RÉ |z0|.
Remarque. Les inégalités peuvent être strictes.
Proposition 3 – Inégalités obtenues par des comparaisons SoientP
anznetP
bnzndes séries entières de rayons de convergence respectifs Raet Rb. On a les résultats suivants :
(1) Si|an| É |bn|à partir d’un certain rang, alors RaÊRb; (2) Si an= O
n→+∞(bn), alors RaÊRb; (3) Si an= o
n→+∞(bn), alors RaÊRb;
"Remarque. SianÉbn, on ne peut rien dire.
II. Opérations
Notation : SiP
nÊ0anznetP
nÊ0bnznsont deux séries entières, alors :
• Leur somme est la série entièreP
nÊ0(an+bn)zn;
• Leur produit (de Cauchy) est la série entièreP
nÊ0cnznavec :∀n∈N,cn=
n
X
k=0
akbn−k.
Proposition 4 – Opérations SoientP
anznetP
bnzndes séries entières de rayons de convergence respectifs Raet Rb. On note :
• Rsle rayon de convergence de la série entière somme(P
anzn)+(P bnzn);
• Rp le rayon de convergence de la série entière produit (de Cauchy) (P
anzn)× (P
bnzn).
On a les résultats suivants :
(1) RsÊmin(Ra,Rb)et si de plus Ra6=Rbalors Rs=min(Ra,Rb); (2) RpÊmin(Ra,Rb).
Remarque. Les inégalités peuvent être strictes.
III. Propriétés de la somme
Proposition 5 – CVN sur tout segment de l’intervalle ouvert de convergence SiP
anxnest une série entière de rayon de convergence R >0et si r est un réel tel que 0<r<R, alors la série de fonctionsP
anxnconverge normalement sur le segment[−r,r].
2
III. Propriétés de la somme
Proposition 6 – Cas réel : intégration et dérivation SoitP
anxnune série entière (variable réelle) de rayon de convergence R et soit f sa somme.
On a les résultats suivants :
(1) f est de classeC∞sur]−R,R[;
(2) Le rayon de convergence de la sérieP
(n+1)an+1xnest égal à R et :
∀x∈]−R,R[, f0(x)=
+∞X
n=0
(n+1)an+1xn=
+∞X
n=1
nanxn−1
(3) Plus généralement :∀k∈N, ak= f(k)(0) k! ; (4) Le rayon de convergence de la sériePanxn+1
n+1 est égal à R et :
∀a,b∈]−R,R[, Z b
a
f(t) dt=
+∞X
n=0
an
n+1(bn+1−an+1) et en particulier :∀x∈]−R,R[,
Z x
0
f(t) dt=
+∞X
n=0
an
n+1xn+1. Proposition 7 – Cas complexe : continuité
SiP
anzn est une série entière (variable complexe) de rayon de convergence R, alors sa somme f est continue sur le disque ouvert de convergence.
Corollaire 8 – Unicité des coefficients / Unicité du DSE SoientP
anxnetP
bnxndeux séries entières de rayons de convergence respectifs Raet Rb. S’il existe r tel que0<r<min(Ra,Rb)et :
∀x∈]−r,r[,
+∞X
n=0
anxn=
+∞X
n=0
bnxn alors :∀n∈N, an=bn(et Ra=Rb).
Remarque. Si f est la somme de la série entièreP
anxnalors pour tout entiern: f(x)=a0+a1x+ · · · +anxn+ o
x→0(xn)
Remarque.Sif etgsont des sommes de séries entières, de rayons de convergence respectifs RetR0et si il exister∈]0, min(R,R0)] tel que :
∀x∈]0,r[, f(x)=g(x)
alorsR=R0et f(x)=g(x) pour toutx∈]−R,R[. On a même f(z)=g(z) pour toutz∈C
avec|z| <R.
IV. Fonctions développables en série entière
Définition 9 – Fonction DSE
On dit qu’une fonction f est développable en série entière au voisinage de0lorsqu’il existe un réel r >0et une série entièreP
anxnde rayon de convergence RÊr tels que :
∀x∈]−r,r[, f(x)=
+∞X
n=0
anxn Proposition 10
Si une fonction f estDSEsur]−r,r[, alors f est de classeC∞sur]−r,r[et :
∀x∈]−r,r[, f(x)=
+∞X
n=0
f(n)(0) n! xn
"Remarque. La réciproque est fausse. Pour une fonction f de classe C∞sur ]−R,R[, on
peut définir la série entière
X
nÊ0
f(n)(0) n! xn
On l’appelle série de Taylor def. Si sa somme est égale à f, alors f est DSE au voisinage de 0 mais ce n’est pas toujours le cas. Si f est DSE au voisinage de 0, alors son DSE est
nécessairement sa série de Taylor.
Remarque. Si une fonction possède un DSE sur ]−r,r[, alors elle possède un DLn(0) pour tout entiern. En particulier, si :
∀x∈]−r,r[, f(x)=
+∞X
n=0
anxn
alors pour tout entiern∈N: f(x)=a0+a1x+ · · · +anxn+ o
x→0(xn).
Proposition 11 – Opérations sur les fonctionsDSE
Si f et g sont des fonctionsDSEau moins sur]−r,r[, alors : (1) Quels que soientλ,µ∈C,λf +µg estDSEsur]−r,r[; (2) Le produit f g estDSEsur]−r,r[;
(3) La dérivée de f sur]−r,r[estDSEsur]−r,r[; (4) Toute primitive de f sur]−r,r[estDSEsur]−r,r[.
4
Proposition 12 – DSE des fonctionsexp, ch, sh, cos, sin
Les fonctionsexp,ch,sh,cosetsinsontDSEsurRet :
∀x∈R, expx=
+∞X
n=0
xn
n!, chx=
+∞X
n=0
x2n
(2n)!, shx=
+∞X
n=0
x2n+1 (2n+1)!
cosx=
+∞X
n=0
(−1)nx2n
(2n)! sinx=
+∞X
n=0
(−1)nx2n+1 (2n+1)!
(ces séries entières sont de rayon de convergence infini).
Proposition 13 – Séries géométrique etDSE de la fonctionln
Les fonctions x7→(1−x)−1et x7→(1+x)−1sontDSEsur]−1, 1[et :
∀x∈]−1, 1[, 1 1−x =
+∞X
n=0
xn et 1 1+x =
+∞X
n=0
(−1)nxn
La fonction x7→ln(1+x)estDSEsur]−1, 1[et :∀x∈]−1, 1[,ln(1+x)=
+∞X
n=1
(−1)n−1xn
n .
Ces trois séries entières ont pour rayon de convergence1.
Proposition 14 – Fonctionarctan
La fonctionarctanestDSEsur]−1, 1[et :∀x∈]−1, 1[,arctanx=
+∞X
n=0
(−1)nx2n+1 2n+1. Cette série entière a pour rayon de convergence1.
Proposition 15 – Fonctions puissances
Soitα∈R. La fonction x7→(1+x)αestDSEsur]−1, 1[et :
∀x∈]−1, 1[, (1+x)α=
+∞X
n=0
α(α−1)· · ·(α−n+1)xn n!
La série obtenue a pour rayon de convergence1. En particulier :
∀x∈]−1, 1[, p 1+x=
+∞X
n=0 1
2(12−1)· · ·(12−n+1)xn n!
Proposition 16 – Séries géométrique et exponentielle d’une variable complexe
(1) La série entière X
nÊ0
zn
n! a pour rayon de convergence+∞et :∀z∈C,
+∞X
n=0
zn
n! =exp(z).
(2) La série entière X
nÊ0
zna pour rayon de convergence1et si|z| <1:
+∞X
n=0
zn= 1 1−z.
Les résultats à connaitre
• Lemme d’Abel.
• Rayon de convergence (définition, disque ouvert de convergence, caractérisation).
• Inégalités sur le rayon de convergence.
• Utilisation de relations de comparaisons.
• Rayon de convergence deP
npanzn,p∈Z.
• Rayon de convergence de la somme et du produit de deux séries entières (connaitre un contre exemple pour montrer que l’inégalité pour la somme peut être stricte).
• Séries entière d’une variable réelle : caractère C∞, dérivation, intégration et expression des coefficients.
• Unicité des coefficients.
• Série entière d’une variable complexe : continuité sur le disque ouvert de convergence.
• Fonction DSE.
• Une fonction DSE est de classe C∞, expression des coefficients.
• Opérations sur les fonctions DSE.
• Les DSE des fonctions usuelles.
Quelques objectifs du chapitre
• Savoir déterminer un rayon de convergence.
• Savoir établir des inégalités sur le rayon de convergence.
• Savoir calculer la somme d’une série entière.
• Savoir manipuler une fonction définie comme une somme de série entière.
• Savoir effectuer des DSE (penser aux opérations).
En pratique
Ï
Comment déterminer le rayon de convergence ?
SoitP
anznune série entière. En utilisant la définition et le(s) lemme(s) d’Abel :
• Si pour|z| < R, la suite (anzn) converge vers 0 et pour|z| > R, la suite (anzn) ne converge pas vers 0, alors le rayon de convergence estR;
• Si pour|z| <R, la suite (anzn) est bornée et pour|z| >R, la suite (anzn) n’est pas bornée, alors le rayon de convergence estR;
• Si pour|z| <R, P
anzn converge et pour|z| >R, P
anzn diverge, alors le rayon de convergence estR.
Typiquement, la dernière propriété s’applique lorsque l’on utilise la méthode de d’Alembert (cf. exemples du cours). Plus généralement, on peut obtenir des inégalités (qui peuvent éventuellement être strictes) :
• SiP
anznconverge, alorsRÊ |z|;
• Sianzn−−−−−→
n→+∞ 0, alorsRÊ |z|;
• Si (anzn) est bornée, alorsRÊ |z|;
• SiP
anzndiverge, alorsRÉ |z|;
• Si (anzn) ne converge pas vers 0, alorsRÉ |z|;
• Si (anzn) n’est pas bornée, alorsRÉ |z|. SiP
anznetP
bnznsont deux séries entières de rayons de convergence respectifsRaetRb, on peut utiliser des comparaisons :
• Si|an| É |bn|à partir d’un certain rang, alorsRaÊRb;
• Sian=O(bn), alorsRaÊRb;
• Sian=o(bn), alorsRaÊRb;
• Sian∼bn, alorsRa=Rb.
Ï
Quelles sont les propriétés de la somme d’une série entière ?
• SiP
anxnest de rayon de convergenceRet de sommeS, alors la fonctionSest définie et de classe C∞sur ]−R,R[.
• SiP
anznest de rayon de convergenceRet de sommeS, alors la fonctionSest définie et continue sur {z∈C| |z| <R}.
Ï
Comment calculer la somme d’une série entière ?
• Revoir les méthodes de calcul de la somme d’une série numérique (série géométrique, série exponentielle, développements de Taylor et sommes télescopiques) ;
• Reconnaitre la dérivée ou une primitive d’une série entière connue ;
• Si la suite (an) vérifie une relation de récurrence, faire apparaitre cette relation dans le calcul de la somme et faire apparaitre une équation différentielle.
Ï
Comment développer une fonction f en série entière ?
Pour montrer quef est DSE et calculer les coefficientsandu développement, on peut :
• Utiliser les opérations (sommes et produits, dérivation et intégration) ;
• Sif est une fraction rationnelle, utiliser une décomposition en éléments simples de la fonction f ;
• Si f est définie par une intégrale à paramètres, écrire la fonction dans l’intégrale comme somme d’une série et faire une interversion série-intégrale :
f(x)= Z
I
F(x,t) dt= Z
I
µ+∞
X
n=0
bn(t)xndt
¶
=
+∞X
n=0
µZ
I
bn(t) dt
¶
=an
xn
avec les justifications nécessaires ;
• Sif est de classe C∞, utiliser un développement de Taylor et montrer la convergence sur un intervalle ]−r,r[ (rare en pratique).
Si on sait quef est DSE, alors on peut obtenir les coefficientsandu développement :
• Avec la relationan= f(n)(0)
n! pourn∈N, si les f(n)(0) sont faciles à expliciter ;
• En utilisant une équation différentielle dont f est solution pour obtenir une condition sur les coefficientsandu développement (on verra dans le chapitre sur les équations différentielles que l’on peut également démontrer ainsi que f est DSE).
Ï
Quels sont les DSE usuels ?
Fonction=DSE Valable sur (Rayon) exp(x)=
+∞X
n=0
xn
n! R (+∞)
ch(x)=
+∞X
n=0
x2n
(2n)! R (+∞)
sh(x)=
+∞X
n=0
x2n+1
(2n+1)! R (+∞)
cos(x)=
+∞X
n=0
(−1)nx2n
(2n)! R (+∞)
sin(x)=
+∞X
n=0
(−1)nx2n+1
(2n+1)! R (+∞)
1 1−x =
+∞X
n=0
xn ]−1, 1[ (1)
1 1+x =
+∞X
n=0
(−1)nxn ]−1, 1[ (1)
ln(1+x)=
+∞X
n=1
(−1)n−1xn
n ]−1, 1[ (1)
arctanx=
+∞X
n=0
(−1)n x2n+1
2n+1 ]−1, 1[ (1)
(1+x)α=
+∞X
n=0
α(α−1)· · ·(α−n+1)xn
n! ]−1, 1[ (1)
p1+x=
+∞X
n=0 1
2(12−1)· · ·(12−n+1)xn
n! ]−1, 1[ (1)
Illustrations du cours
Exercice 1Rayon de convergence. Déterminer le rayon de convergence des séries entières suivantes :
(a) X
nÊ1
lnn
2nn2zn(règle de d’Alembert) ; (b) X
nÊ1
lnn
n2+1zn2(règle de d’Alembert) ; (c) X
nÊ1
µ ln
µ 1+1
n
¶
−1 n
¶
zn(utilisation d’un équivalent) ; (d) X
nÊ0
sin(n)zn(établir des inégalités sur le rayon de convergence) ; (e) X
nÊ0
n((−1)n)zn(établir des inégalités sur les coefficients de la série).
Exercice 2Rayon de convergence et calcul de la somme.
(a) Déterminer le rayon de convergence de la série entière X
nÊ0
nxn 2n . (b) Déterminer la somme de la série numérique X
nÊ0
n 2n. Exercice 3Développement en série entière.
(a) Démontrer que f :x7→ln(3+x) admet un DSE que l’on déterminera.
(b) Faire de même avecg:x7→ln(3−x) eth:x7→ln(9−x2).
Exercice 4SolutionsDSEd’une équation différentielle. SoitF définie pourx∈Rpar : F(x)=e−x2
Z x
0
et2dt (a) Montrer queF est développable en série entière en 0.
(b) À l’aide d’une équation différentielle, déterminer les coefficients du développement deF.
Exercice 5Utilisation d’unDSE. On considère l’application f définie par : f : R∗ → R
x 7→ sin(x) x
(a) Démontrer que l’application f est prolongeable par continuité en 0. On note fece prolongement.
(b) Démontrer que feest développable en série entière surR.
(c) En déduire quefeest de classe C∞surRet déterminer ˜f(n)(0) pourn∈N.
Exercice. À faire vous-même pour voir si vous avez compris. Déterminer le rayon de convergence de la série entière :
X
nÊ1
ch(n) n xn
Déterminer la somme de cette série, sur l’intervalle ouvert de convergence.
Vrai/Faux
On considère une série entièreP
anxnde rayon de convergenceR.
(1) SiP
andiverge, alorsR<1.
(2) SiP
anconverge, alorsRÊ1.
(3) Si la suite (an) ne tend pas vers 0, alorsRÉ1.
(4) Les séries entièresP
a2nx2netP
a2n+1x2n+1ont le même rayon de convergence.
(5) La série entièreP
a2nx2na pour rayon de convergenceR.
(6) La série entièreP
n2anxna pour rayon de convergenceR.
On considèrez1,z2∈C. (7) Si|z1| É |z2|etP
anzn1 diverge, alorsP
anz2ndiverge.
(8) Si|z1| É |z2|etP
anzn2 converge, alorsP
anz1nconverge.
(9) Si|z1| < |z2|etP
anzn1 diverge, alorsP
anz2ndiverge.
(10) Si|z1| < |z2|etP
anzn2 converge, alorsP
anz1nconverge.
(11) Si|z1| < |z2|et (anz2n) est bornée, alorsP
anz1nconverge absolument.
(12) SiP
anzn1 diverge, alors|z1| >R.
(13) SiP
anzn1 converge absolument, alors|z1| <R.
On considère une deuxième série entièreP
bnxnde rayon de convergenceR0. (14) SianÉbn, alorsRÉR0.
(15) SianÉbn, alorsRÊR0. (16) Sian ∼
n→+∞bn, alorsR=R0. (17) Sian= o
n→+∞(bn), alorsRÊR0. (18) Sian= O
n→+∞(bn) etbn= O
n→+∞(an), alorsR=R0. (19) Pour toutz∈Ctel que|z| <Ret|z| <R0, la sérieP
(an+bn)znconverge.
(20) Siz∈CetR< |z| <R0, alors la sérieP
(an+bn)zndiverge.
(21) Siz∈CetR< |z|etR0< |z|, alors la sérieP
(an+bn)zndiverge.
On supposeR>0, on notef la somme de la série entièreP
anxnsur l’intervalleI=]−R,R[.
(22) La fonctionf est continue surI.
(23) La fonctionf est intégrable surI. (24) La fonctionf est dérivable surI. (25) La fonctionf est bornée surI.
(26) SiR6= +∞, alors f admet une limite finie enR−. (27) Si∀n∈N,anÊ0, alors la fonction f est positive surI. (28) Si∀n∈N,a2n+1=0, alors la fonction f est paire surI. (29) ∀x∈R∗, e1/x=
+∞X
n=0
x−n n! . (30) ∀x∈R, cos(−x)+sin(−x)=
+∞X
n=0
xn n!.
1f2v3v4 f5 f6 v7f8f9v10
v11v1 2f1 3f14f1 5f1 6v17 v18v1 9v20v 21f22v2 3f2 4v25 f26 f2 7f28v29 v30f
10