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Transitions magnétiques dans des alliages Pd-Co hydrogénés

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00209554

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00209554

Submitted on 1 Jan 1982

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Transitions magnétiques dans des alliages Pd-Co hydrogénés

B. Souffaché, J.P. Burger

To cite this version:

B. Souffaché, J.P. Burger. Transitions magnétiques dans des alliages Pd-Co hydrogénés. Journal de

Physique, 1982, 43 (11), pp.1717-1720. �10.1051/jphys:0198200430110171700�. �jpa-00209554�

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Transitions magnétiques dans des alliages Pd-Co hydrogénés

B. Souffaché et J. P. Burger

Laboratoire de Physique des Solides, Université de Paris-Sud, Bât. 510, 91405 Orsay, France

(Reçu le 24 mai 1982, révisé le 12 juillet, accepté le 28 juillet 1982)

Résumé. 2014 Nous avons mesuré les transitions magnétiques du type verre de spin dans les alliages Pd-Co hydro- génés. Les températures d’ordre observées sont beaucoup plus petites que dans les alliages non hydrogénés et

évoluent de manière systématique avec la concentration x d’hydrogène. Pour les alliages les plus dilués, nous

pouvons relier cette variation à celle de la structure électronique de PdHx. Les alliages plus concentrés en Co font vraisemblablement intervenir des interactions à courte portée en plus des interactions oscillantes à longue portée.

Abstract.

-

We have measured the spin-glass type magnetic transitions of hydrogenated Pd-Co alloys. The corres- ponding ordering temperatures Tc are drastically reduced compared to the hydrogen-free case and they vary in

a systematic way with the hydrogen concentration x. For the most dilute alloys, we can relate this variation to

the variations in the electronic structure of PdHx. For larger concentrations of Co we observe a different behaviour,

due probably to the appearance of short-range interactions superimposed onto the long-range oscillating inter-

actions.

Classification

Physics Abstracts

75 . 30K

1. Introduction.

-

Les proprietes magnetiques d’alliages dilues a base de Pd ont fait l’objet de nom-

breux travaux [1] et run des principaux resultats de ceux-ci a ete de mettre en evidence un comportement

ferromagnetique pour des concentrations de 1’ordre de 1 % de Fe ou de Co avec apparition de moments magnetiques geants et de temperatures de transition anormalement elevees (Tc - 40 K pour 1 % de Co

par exemple). Ceci peut etre mis en relation avec les particularites de la structure electronique de Pd dont

la principale est la position du niveau de Fermi dans

un pic de la densite d’etats 4d. On sait en effet que les interactions a longue distance entre impuretes magn6- tiques sont proportionnelles a la susceptibilite de

Pauli de la matrice laquelle depend directement de la densite d’etats ; les interactions electron-electron dans le gaz electronique amplifiant encore cette suscep- tibilit6 par un facteur de Stoner de 1’ordre de sept.

11 est possible par hydrogenation de ces alliages

d’abaisser considerablement la densite d’etats au

niveau de Fermi car 1’electron ajoute par chaque

atome d’hydrogene contribue a remplir la bande 4d.

Le niveau de Fermi se deplace de ce fait de cette

bande vers les bandes 5sp de plus faible densite d’etats.

Ceci permet de transformer en quelque sorte le metal

de transition Pd en un metal PdHx de structure 6lec- tronique analogue a celle d’un metal simple tel que

Ag. 11 nous faut cependant considerer deux domaines de concentration en hydrogene : en effet, le systeme PdHx est biphase pour 0 x 0,6 et comprend une phase a diluee en hydrogene, assimilable en premiere approximation a du Pd pur et une phase fl de concen-

tration x, - 0,6 [2]. Il est par contre monophase

pour x > x, et il devient de ce fait possible de faire

varier continument la structure electronique du sys-

t6me PdHx en changeant la concentration x. Des

mesures du coefficient y de chaleur electronique [3]

montrent que la densite d’etats N(EF) decroit forte- ment quand x passe de 0 a xb. et qu’elle continue de decroitre mais plus lentement quand x croit au-dela

de x, : ceci est en accord qualitatif avec ce que l’on sait de la structure electronique theorique de PdH [4].

Les mesures de susceptibilite magnetique d’alliages Pd 1 - yCoyHx que nous presentons ici font partie

d’une etude systematique des modifications par hydro- g6nation du magnetisme d’alliages a base de Pd [5, 6].

Nous nous proposons surtout d’etendre nos mesures

a toute la gamme possible des concentrations d’hy- drogene, la valeur maximum de x se situant toujours

au voisinage de l’unit6 [7] quand tous les sites intersti-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:0198200430110171700

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tiels octaedriques sont occupes. En fait, nous donnons

surtout 1’evolution des temperatures d’ordre magn6- tiques en fonction de x d y fixe.

2. Technique experimentale.

-

Les alliages Pd I - ycoy sont obtenus par fusion au four a induction

puis lamines pour obtenir des rubans d’une epaisseur

de l’ordre de 100 g appropriee pour une hydrogenation homogene. Ils sont ensuite recuits sous vide a 800 °C

puis hydrogenes par electrolyse a - 80 °C jusqu’a

saturation [7] soit a des valeurs x voisines de l’unit6.

Les valeurs de x inferieures a cette valeur maximum sont obtenues par deshydrogenation partielle a une temperature comprise entre - 80 °C et + 20 °C. Ceci evite le danger de precipitation de la phase a, pheno-

mene qui risquerait de se produire si l’on cherchait à atteindre une valeur x dans le sens des x croissants car on devrait dans ce cas traverser le domaine de coexis-

tence des phases a et fl. Les echantillons ainsi prepares

sont intrinsequement instables et nous les refroidissons immediatement a la temperature de 1’azote liquide

pour empecher la desorption spontanee de 1’hydro- gene. Toutes les manipulations ulterieures durant le

cycle de mesure se font en dessous de cette tempera-

ture, mise a part les remontees de temperature n6ces-

saires pour changer la concentration x.

Pour mesurer la susceptibilite x, nous soumettons les alliages a un champ d’excitation alternatif d’une

amplitude de quelques gauss et nous mesurons 1’ai- mantation induite au moyen d’une bobine receptrice.

Le signal electrique recueillraux bornes de celle-ci est analyse en amplitude et en phase grace a une

detection synchrone couplee a un pont dephaseur.

3. R6sultats.

-

L’essentiel de nos resultats est repre-

sent6 sur les figures l, 2 et 3. Tout d’abord on remarque

sur la figure 1 la forte chute de T c quand on passe des

alliages non hydrogenes aux alliages hydrogenes ;

Fig. 1.

-

Variation des susceptibilites magnetiques pour différentes concentrations en Co et en hydrogene. Les amplitudes relatives des signaux sont indiqu6es entre parentheses.

[Variations of the magnetic susceptibilities for different Co and hydrogen concentrations. The relative amplitudes of

the signals are indicated in parentheses.]

Fig. 2.

-

Variation des susceptibilites magnetiques X’(T)

pour un alliage a 3 % de Co et differentes concentrations

d’hydrogene.

[Variations of the magnetic susceptibilities X’(T) for a 3 %

Co alloy and several hydrogen concentrations.]

I’alliage,i 0,5 % de Co presente vers 15 K une transition

de type ferromagnetique, alors que nous n’observons

aucune temperature d’ordre pour le meme alliage hydrogene, du moins au-dessus de 1,5 K. Les temp6-

ratures d’ordre dans les alliages hydrogenes (avec

x > x.) n’apparaissent qu’a partir de 1,5 % de Co;

la figure 1 montre trois de ces transitions pour trois concentrations differentes de Co mais avec des concen-

trations en hydrogene tres voisines : T c croit regu-

lierement avec y et la nature de la transition est plutot

du type verre de spins. La forte chute de T c quand

on passe du cas x

=

0 a celui ou x > x,, est de tgute

evidence liee a la diminution du facteur de Stoner et a la disparition des moments geants [8]. Mais nous

nous interessons dans le present travail au cas des

Fig. 3.

-

Variation des temperatures d’ordre Teen fonction

de la concentration d’hydrogene pour trois concentrations de cobalt.

[Variation of the ordering temperatures Teas a function of

the hydrogen concentration for three concentrations of

cobalt.]

(4)

alliages hydrogenes et il est bon de remarquer a ce propos que les temperatures T c ont dans ce cas le

meme ordre de grandeur que dans les metaux simples

du type Cu, Ag, Au. La figure 2 montre quelques

variations de X’(T) pour l’alliage a 3 % de Co et

diff6rentes concentrations en hydrogene : toutes les

courbes presentent un maximum en fonction de T et nous prendrons la temperature associee a ce

maximum comme representative de l’intensit6 des interactions magnetiques dans l’alliage. On constate

sur cette figure deux faits essentiels : i) T c diminue

avec x, ii) le pic de susceptibilite diminue en intensite

si x croit.

Ces deux types de comportement se retrouvent d’une maniere amplifiee dans l’alliage a 5 %. La

variation de l’amplitude du pic est a notre avis une

indication que ces alliages relativement concentres

en Co ne sont pas des verres de spin purs mais qu’une composante ferromagnetique, liee vraisemblablement a des interactions a courte portee s’y superpose.

L’alliage le plus dilue, a 1,5 % de Co a de fait un com- portement different : T c croit legerement avec x,

passant de 1,75 K a 2,37 K pour l’alliage le plus

concentre en hydrogene ; la variation est faible mais

dTc/dx est indeniablement positif. Rappelons que toutes les mesures en fonction du taux d’hydrogene

sont faites sur un meme alliage c’est-a-dire la concen-

tration y est rigoureusement constante ; ceci augmente la precision de la mesure de T c qui est superieure à 0,1 K. L’ensemble des valeurs de T, est represente sur

la figure 3 ou l’on distingue nettement les deux domai-

nes de concentration x > xfJ et x x,. Dans ce dernier domaine, ou domaine biphase, on observe

deux transitions tres nettement separees en temp6-

ratures : l’une correspond a la phase a c’est-a-dire

x = Xa ~ 0 et l’autre est caracteristique de la phase j8

c’est-a-dire x = x, L-- 0,6. La premiere temperature de

transition n’est pas representee sur la figure 3 (elle

se trouve par exemple vers 60 K pour l’alliage à 1,5 % de Co) alors que la deuxieme transition, qui peut etre suivie jusqu’a des valeurs tres faibles de x,

ne depend pas de la valeur de x, en accord avec la nature biphasee des alliages.

4. Discussion.

-

L’inversion du signe de dTc/dx

en fonction de y est egalement observee dans les

alliages Pd-Fe-Hx [9]. Par contre, pour les alliages Pd-Mn-Hx, on observe toujours dTc/dx > 0 ind6-

pendamment de la valeur de y [6]. Le fait de trouver, pour les alliages les plus dilues un signe positif de dTc/dx, quelle que soit la nature de l’impuret6 nous

amene a penser que i) ce comportement est directement lie a des variations avec x de la structure electronique

de PdHx et que ces variations reagissent sur l’intensit6 des interactions oscillantes et a longue portee entre impuretes magnetiques, ii) que l’inversion de signe de dTc/dx, quand on augmente y, est lie a des interactions a courte portee entre impuretes magnetiques. Mon-

trons d’abord que le premier effet est en accord avec

ce que 1’on sait de la structure electronique de PdHx

et de celle de l’impuret6 Co.

L’interaction longue portee entre deux impuretes i et j de spin S; et Sj est de la forme [ 1 ] :

rij est la distance entre les 2 impuretes et J une int6-

grale d’echange entre electrons localises sur l’impuret6

et electrons de conduction. Nous admettons qu’il n’y a pas de facteur de Stoner et que la susceptibilite

de Pauli Xp est directement proportionnelle a la densite

d’etats N(BF) au niveau de Fermi. 11 est raisonnable de penser que la variation de T c avec x est essentielle- ment due a celle du facteur J 2 N(EF). Suivant cette optique, on est amene a analyser la valeur de J.

Celle-ci resulte de la structure electronique d’un

atome de Co que 1’on peut representer par deux 6tats lies virtuels, un par direction de spin, centres

sur les energies Et (en dessous de EF) et El (au-dessus

de EF) ; ces deux etats sont elargis par les interactions entre electrons localises et de conduction et presentent

de ce fait une densite d’etat finie Pt (,) au niveau de Fermi. L’on peut montrer [10] a partir de ce modele

que l’interaction d’echange a la forme suivante :

Si 1’on varie maintenant x, on ajoute des electrons au

niveau de Fermi et celui-ci se deplace vers les energies plus elevees provoquant des variations de N(EF), de

P T (1) et 8 T (,). On s’attend a priori à ce que a s’éloigne

de SF ce qui doit conduire a une augmentation de 18 T - SF et a une diminution de p r ; pour des raisons similaires on s’attend a une diminution de I c I - EF I

et a une augmentation de p j. Compte tenu de ces

variations opposees on peut admettre qu’elles inter-

viennent peu dans la valeur de J et que cette derniere

uantite varie surtout comme I Si tel est le cas,

q N(BF)

il en est de meme de Eij et donc de Tc. L’experience [3]

aussi bien que la theorie [4] etant en accord avec une

diminution de N(SF) avec x, on a la une explication

raisonnable du signe positif de dTc/dx.

En ce qui concerne les alliages a teneur plus elevee

en cobalt (ou en fer), il est tres vraisemblable que des interactions a courte portee entre les moments magne- tiques qui arrivent a s’y trouver en situation de seconds

voire de premiers voisins se superposent aux interac- tions oscillantes a longue portee precedemment decri-

tes. 11 a ete montre [11] que ce couplage direct avait la

forme suivante :

(5)

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ou Vij est une integrale de transfert entre deux impu-

retes voisines et U

=

6j - 8 une integrale coulom-

bienne intra-atomique.

Le signe de Jij est en regle generale celui observe dans les metaux de transition purs correspondants

c’est-a-dire fortement positif pour Fe et Co et faible- ment n6gatif pour Mn et Cr. Ces aspects qualitatifs permettent d6jA d’expliquer la legere tendance au ferromagnetisme observee pour y

=

3 et 5 % de

cobalt. La variation avec x de ces interactions est

vraisemblablement dominee par celle de Vij qui doit

etre tres sensible a la distance rij entre les deux impu-

retes considerees. Or cette distance augmente conti- nument avec x a cause de la dilatation du reseau par

1’hydrogene interstitiel. Ceci peut conduire au signe n6gatif de d T c/d,OC dans ce cas. On peut aussi compren- dre a partir de la que dTc/dx soit constamment positif

pour le cas des alliages Pd-Mn-Hx : les interactions directes sont dans ce cas tres faibles car le Mn est souvent situe dans une region ou J¡j change de signe.

Le fait que ces interactions directes d6jd faibles soient de plus negatives ne permet pas non plus de les dis-

cerner facilement des interactions oscillantes.

Nous allons maintenant discuter brievement quel-

ques autres possibilites pouvant intervenir dans les variations de T, avec x. Nous avons d’abord admis

implicitement l’hypothèse d’une distribution homo-

gene de 1’hydrogene dans 1’alliage ; or il est certain que les atomes de Co repoussent localement 1’hydro- gene [12]. La structure de l’impuret6 et de son envi-

ronnement direct sont alors susceptibles de varier au

fur et a mesure que l’on force I’hydrog6ne a occuper les sites les moins favorables car les plus proches du Co.

Le spin local S; pourrait alors garder pour des valeurs de x pas trop fortes une reminiscence de ce qui se

passe dans le Pd pur c’est-a-dire avoir une valeur

legerement augmentee par un effet local de polarisa-

tion de la bande 4d. Un tel effet peut donner des valeurs negatives de dTc/dx mais nous ne voyons pas comment il peut expliquer le changement de signe de dTc/dx. Remarquons aussi que le moment local S;

doit en principe diminuer avec x car 1’etat lie virtuel s,

se peuple de plus en plus au fur et a mesure que le niveau de Fermi monte : cet effet est en apparence

masque par la variation de J(x) discutee ci-dessus.

Pour terminer mentionnons egalement que les inter- actions a longue distance sont sensibles au libre

parcours moyen des electrons et que celui-ci diminue

en principe avec x au fur et a mesure que l’on remplit

les lacunes du reseau de 1’hydrogene : ceci pourrait

conduire a dTc/dx > 0.

5. Conclusion.

-

En conclusion, nous pouvons dire que nous avons observe les temperatures de tran-

sitions magnetiques d’alliages Pd-Co-Hx. Elles sont en

valeurs absolues nettement inferieures a ce qu’elles

sont dans les alliages non hydrogenes correspondants.

Pour des concentrations d’impuretes magnetiques

y - 1 %, nous observons que dTc/dx > 0 alors que pour y >, 3 % on a dTc/dx 0. Le premier cas est

en accord qualitatif avec ce que l’on attend d’interac- tions oscillantes a longue distance et de 1’evolution de celles-ci avec la concentration x. Dans le second cas,

on a vraisemblablement un systeme plus complique melangeant a la fois des interactions a longue distance

et des interactions ferromagnetiques a courte dis-

tance.

Remerciements.

-

Notre gratitude va au Dr. B.

Coqblin pour les discussions theoriques interessantes

qu’il nous a offertes; nous remercions egalement

Mme M. Boix qui assure la preparation des alliages, depuis leur fusion jusqu’au recuit apres laminage.

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Références

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