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Remarque sur la réponse de MM. Leduc et Sacerdote

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Texte intégral

(1)

A NNALES DE LA FACULTÉ DES SCIENCES DE T OULOUSE

H. B OUASSE

Remarque sur la réponse de MM. Leduc et Sacerdote

Annales de la faculté des sciences de Toulouse 2

e

série, tome 5, n

o

1 (1903), p. 127

<http://www.numdam.org/item?id=AFST_1903_2_5_1_127_0>

© Université Paul Sabatier, 1903, tous droits réservés.

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(2)

REMARQUE SUR LA RÉPONSE DE MM. LEDUC ET SACERDOTE,

PAR M. H.

BOUASSE,

Professeur à l’Université de Toulouse.

MII. Leduc et Sacerdote m’accusent d’avoir faussé le texte de Nl. Violle pour prouver que M. Violle connaissait les

phénomènes.

Je souliens que la citation

complète

a exactement le même sens que ma citation

tronquée.

Il faut

distinguer

en effet deux stades dans le

phénomène,

un stade

l’équilibre

existe encore; la

goutte

s’étrangle

très

légèrement.

Puis

l’équilibre

ne

peut plus subsister,

elle se

rompt

par

étranglement

à

partir

d’une circonférence d’un diamètre peu différent de celui de

l’orifice,

c’est-à-dire que

l’étranglement

se propage

brusquement.

La

preuve que telle est bien la

pensée

de l’auteur est au renvoi

qui

suit immédiate-

ment le mot « orifice ». Voici cette Note :

C’est par suite de la formation et de l’étranglement coniplet d’un

pareil

sac

qu’un

grain

de

plomb

peut traverser une membrane de liquide

glycérique

sans la crever.

Si

,je

n’ai pas

jugé

à propos de citer tout le passage, c’est

qu’il

me

semblait que quand

un auteur dit

explicitement

que les forces de cohésion n’interviennent pas,

on ne

peut

pas supposer

qu’il

veut dire que la rupture se fait contre ces forces de cohésion. C’est lui

prêter

une absurdité

gratuite.

D’ai lleurs Leduc et Saccr- dote ne songent pas à

répondre

à ce que dit Plateau sur le sectionnement des

cylindres pleins

et creux.

Quant

à la distinction de

l’équilibre

et du

non-équilibre

que

je

fais

ci-dessus,

rien n’est

plus

facile que de

répéter l’expérience

pour se convaincre de sa nécessité.

Enfin MM. Leduc et Sacerdote ne trouvent rien à

objecter

à tout ce que

je

dis

sur

l’historique

de la cohésion et sur le

degré

de nouveauté de leurs

expériences.

Je maintiens donc mes conclusions.

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