• Aucun résultat trouvé

Les couleurs des portraits de la collection du Musée du Bardo

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Les couleurs des portraits de la collection du Musée du Bardo"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

1

Les couleurs des portraits de la collection du Musée du Bardo Elisabetta Neri,

En collaboration avec :

Matthias Alfeld, Caroline Bouvier, Alain Brunelle, Noémie Kopczynski, Nesrine Nasr, Laurence de Viguerie, Philippe Walter

La collection des portraits du musée du Bardo réunit des œuvres avec des traces exceptionnelles du programme polychrome antique. Le travail mené dans le cadre du catalogue raisonné des sculptures de la collection a permis de commencer à documenter de façon systématique les traces visibles à l’œil nu, avec la volonté de continuer, dans les années à venir, l’étude physico-chimique complète de toutes les pièces. Bien que préliminaire, le travail effectué non seulement introduit un élément remarquable de nouveauté, mais permet de mieux comprendre la richesse du fonds.

Quatrième dimension de la sculpture, la couleur est de plus en plus valorisée en tant qu’élément constitutif à part entière de la statuaire et de l’architecture1, sans lequel il est impossible de comprendre signification et perception collective des œuvres et des monuments dans leur contexte de réception antique.

La richesse de la collection du musée du Bardo a des raisons multiples : représentative de l’ensemble des territoires de l’Afrique Proconsulaire, elle est constituée de pièces qui ont, pour beaucoup, une provenance connue et sont issues par ailleurs d’ateliers très divers, locaux, grecs, micrasiatiques ou romains ; leur variété typologique ouvre d’autre part sur différents aspects de la société ; enfin l’état de conservation des couleurs est pour un certain nombre d’œuvres exceptionnel. Ces caractéristiques offrent non seulement la possibilité d’étudier les techniques de réalisation, la palette utilisée, ainsi que l’entretien et les restaurations des statues selon les pratiques d’ateliers différents, mais aussi d’évaluer le rôle de la polychromie dans son contexte de réception.

La question de la signification socio-religieuse des couleurs des statues romaines peut ainsi être posée, grâce à un corpus qui concerne une province entière de l’Empire dans laquelle l’assimilation de la culture romaine s’exprime à travers la réalisation des monuments surtout au cours du IIe siècle2, au moment où les apologètes chrétiens développent une polémique contre les idoles et leurs couleurs3. La coïncidence entre la christianisation et l’expression monumentale de la romanité, qui s’exprime aussi à travers les statues, a créé une dialectique particulièrement riche sur ce territoire, où, tandis que le paysage se peuple des statues d’hommes et de dieux, les Pères de l’Eglise invitent à détruire les faux dieux, qui avaient une nature anthropomorphe4.

La couleur des portraits qui peuplaient le paysage statuaire de l’Afrique proconsulaire a donc été cherchée à travers l’enregistrement des restes de peinture conservés sur les

Cette synthèse a été rédigé par Elisabetta Neri, mais les données sur lequel se base ont été acquis avec une équipe interdisciplinaire dont les noms sont indiqués parmi les collaborateurs. Ils sont tous remercié chaleureusement par leur contribution.

1 Pour la première synthèse sur la polychromie à la période romaine voir : Bradley 2009 ; Liverani 2014 ; Abbe 2015 ; Østergaard 2018.

2 Hurlet 2000 ; Lassère 2015 ; Gilhaus 2015.

3 Lepelley 2002 ; Leone 2013, 180ss. Contre la représentation anthropomorphe par exemple : Tertullien,

De idol., 7-8 ; Ad Nat. 1.10, Apol. 13.

4 Caseau 2014 ; La destruction des faux dieux a été parfois mise en relation à une vision iconoclaste qui respecte l’interdit biblique de la représentation divine e.g. Lactance, De mort. Pers., 11.88-89 ; Tertullien,

(2)

13

Pères de l’Eglise africains – contemporains des statues étudiées et avec un regard biaisé sur les statues– l’activation d’une statue est un processus complexe et difficilement vérifiable par l’archéologie. Ces textes sont toutefois à traiter avec prudence, parce que leur point de vue était fortement orienté à défendre la culture chrétienne, en soulignant la dimension trompeuse de celle païenne. Ils démontrent alors l’inanité des statues et comment leur divinisation dépendait d’un rituel humain. Si le rituel décrit est réel, malgré ce filtre particulier, l’activation divine d’une statue commençait lors de “la fabrication de l’idole”, et se poursuivait par l’invocation de la divinité et la consécration, à laquelle succédaient la dédicace et l’adoration. C. Michel d’Annoville, étudiant en particulier Arnobe, a décrit les actes rituels destinés aux statues : la prosternation, l’effleurement les pieds, le toucher des genoux, la prière, les sacrifices et l’immolation, et l’encens brûlé devant un autel56. Ces actes pratiqués au tournant du IIIe siècle et jusqu’au Ve siècle en Afrique ne laissent que rarement – sauf le dernier – des traces matérielles, mais usent les surfaces des statues et comprennent un entretien des statues et en particulier de leur aspect superficiel, si important pour suggérer l’idée de la vie.

Si les statues étaient souvent offertes non seulement par des communautés, mais aussi par les sujets même qui sont honorés, la reconnaissance de la communauté civique s’exprimait ainsi non seulement dans l’offrande de la statue, mais était en outre renouvelée par la communauté qui l’observait, la soignait, prolongeait et rénovait son rôle tant que les personnages représentés avaient une signification pour la collectivité ; quand elles perdaient leur signification on les mettait au rebut pour laisser place et visibilité à de nouveaux personnages. La communauté était donc invitée, par les couleurs et par leur entretien, à renouveler les honneurs offerts aux empereurs et aux personnages privés que l’érection de leur statue comportait. Soignant les images du pouvoir, on gardait active la relation entre les élites locales et l’Urbs qu’elles représentaient.

Ainsi nous pouvons en conclure que dans l’organisation structurée et hiérarchisée de la société romaine, la couleur constituait un medium de communication qui rendait encore plus présents dans l’espace civique les personnages publics et privés qui peuplaient le paysage statuaire. En entrevoyant sur les statues jusque-là analysées l’un de codes chromatiques à travers lesquelles la société romaine communiquait, nous découvrons également que certains personnages, comme le particulier casqué de l’odéon de Carthage ou la tête colossale du théâtre de Dougga, avaient droit aux même codes chromatiques et dimensionnels que les portraits impériaux : cet honneur était donc élargi aux personnages qui étaient, par rapport à l’empereur, des présences plus connues de la société civile africaine et qui se donnaient en modèles à atteindre.

Le corpus du Bardo semble donc progressivement nous révéler les diverses facettes d’une polychromie non plus purement décorative, mais également chargée d’une signification sociale et religieuse.

56 Michel D’Annoville 2015 ; Arnobe, Adversus Nationes, 4.10, 6.10.7 (prosternation), 6.16 (effleurement des pieds), 6.16.6 (toucher des genoux), 6.9 (actes rituels et sacrifices).

(3)

14

Abbe, M.B. (2010) : “Recent research on the painting and gilding of roman marble

statuary at Aphrodisias”, in : Brinkmann, V., Primavesi, O. et Hollein, M., éds., Circumlitio.

The polychromy of Antique and Medieval Sculpture, Munich, 277-289.

Abbe, M.B. (2015) : “Polychromy”, in : Friedland, E.A., Sobocinski, M.G. et Gazda, E.K., éds., The Oxford Handbook of Roman Sculpture, Oxford, 173–188.

Alfeld, M., Mulliez, M., Devogelaere, J., de Viguerie, L., Jockey, Ph. Et Walter, Ph. (2018), “MA-XRF and hyperspectral reflectance imaging for visualizing traces of antique polychromy on the Frieze of the Siphnian Treasury”, Microchemical Journal, 141, 395-403.

Artal-Isbrand, P., Becker, L. et Wypyski, M.T. (2002) : “Remains of gilding and ground layers on a Roman marble statue of the goddess Hygieia,” in : Hermann, J.J. Jr., Herz N. et Newman R., éds., ASMOSIA 5. Interdisciplinary studies on ancient stone, Londres, 196-200. Aubert, M.F. & Cortopassi, R. (1998) : Portraits de l'Égypte romaine : Catalogue de

l’exposition, Paris, Musée du Louvre, 5 octobre 1998-4 janvier 1999, Paris.

Balcar, N., Langlois, J. et Vandenberghe, Y. (2014) : “Caractérisation d’une cire d’abeille sur un portrait en marbre antique dit de Bérénice II”, in : Bourgeois, éd. 2014, 81-83. Baldassarre, I., Pontrandolfo, A., Rouveret, A. et Salvadori, M. (2006), Pittura romana, Milan.

Baratte, Fr., Neri, E. et Béjaoui, F. (sous presse) : “Un militaire en Diomède : l'Hadrien controversé de l'odéon de Carthage”, in : Gaggadis-Robin, V. et Biard, G., éds., Actes des

IIIes rencontres autour de la sculpture romaine, Arles, 8-9 novembre 2019, Bordeaux.

Born, H. (2004) : “ ‘…Anche i bronzi erano variopinti…’ ”, in : Liverani, éd. 2004, 157-162. Botticelli, G., Freccero, A. et Matteini, M. (2012) : “Reproduction of pictorial techniques using beeswax, Punic wax, encaustic and other”, in : Omarini, S., éd., Encausto : Storia,

Tecniche e Ricerche = Encaustic : History, Technique and Research, Florence, 141–151.

Bourgeois, Br., éd. (2014), Thérapéia. Polychromie et restauration de la sculpture dans

l’Antiquité, Techné, 40, Paris.

Bourgeois, B. (2014) : “Étudier et conserver la polychromie antique”, in : Bourgeois, éd. 2014, 3-7.

Bourgeois, B. & Jockey, Ph. (2002), “Polychrome Hellenistic sculpture in Delos. Research of surface treatments of ancient marble sculpture. 1”, in: Lazzarini, L., éd., ASMOSIA 6. Interdisciplinary studies on ancient stone, Venise, 497-506.

Bourgeois, Br. & Jockey, Ph. (2005), “La dorure des marbres grecs. Nouvelles enquêtes sur la sculpture ellénistique de Delos”, Journal des savants, 253-316.

Bourgeois, Br., Jockey, P. et Karydas, A. (2011) : “New Researches on Polychrome Hellenistic Sculptures in Delos III: The Gilding Processes. Observations and Meanings”, in : Jockey, Ph., éd., ASMOSIA 8. Interdisciplinary studies on ancient stone, Paris, 645-661. Bradley, M. (2009) : Colour and Meaning in Ancient Rome, Cambridge.

Brecoulaki, H., Kavvadias, G. et Verri, G. (2014) : “Colour and Luxury,” in : Østergaard & Nielsen, éds. 2014, 152-165.

(4)

15

De Viguerie, L., Alfeld, M. et Walter, Ph. (2016) : “La lumière pour une imagerie chimique des peintures”, Reflets de la physique, 47-48, 106-111.

Descamps-Lequime, S., éd. (2007), Peinture et couleur dans le monde grec antique, Paris.

Dorigo, W. (1966) : La pittura tardoromana Milano

Doxiadis, E. & Thompson, D.J. (2015) : Portraits du Fayoum. Visages de l’Égypte ancienne, Paris.

Fermo, P., Andreaoli, M., Piazzalunga, A. et De Vos, M. (2013) : “A multi analytical approach for the study of the pigments used in wall paintings from a building complex on the Caelian Hill (Rome)”, Applied Physics A, 113, 1109–1119.

Fink-Jensen, P. (2013) : “An archaeometric study of lead pigments from a 1st century BCE Roman marble sculpture. Investigations of lead provenance, material heterogeneity and ancient ore processing techniques”, in : Østergaard, ed. 2013, 36-62.

Fishwick, D. [1987-1992] (1994) : The imperial cult in the Latin West : studies in the ruler

cult of the Western provinces of the Roman Empire, Leyde.

Gilhaus, L. (2015) : Statue und Status : Statuen als Repräsentationsmedien der städtischen

Eliten im kaiserzeitlichen Nordafrika, Antiquitas I,66, Bonn.

Heim, Fr. (1992) : “L’animation des statues d’après les apologistes du IIIe siècle”, Revue

des Etudes Latines, 22-23.

Heim, Fr. (1996) : “L’animation des statues chez les apologistes du IIIe siècle”, in : Dion, J., éd., Culture antique et fanatisme, Paris, 95-103.

Hurlet, F. (2000) : “Pouvoir des images, images du pouvoir impérial. La province d'Afrique aux deux premiers siècles de notre ère”, MEFRA, 112-1, 297-364. Karydas, A.G., Brecoulaki, H., Bourgeois, Br. et Jockey, Ph. (2009) : “In situ X-Ray Fluorescence analysis of raw pigments and traces of polychromy on Hellenistic sculpture at the archaeological museum of Delos”, in : Maniatis Y. (éd.), ASMOSIA 7.

Interdisciplinary studies on ancient stone, Athènes, BCH Suppl. 51, 811-829.

Kopczynski, N., de Viguerie, L., Neri, E., Nasr, N., Walter, Ph., Bejaoui, F. et Baratte, Fr. (2017) : “Polychromy in Africa Proconsularis : investigating Roman statues using X-ray fluorescence spectroscopy”, Antiquity 91 (355), 139-154.

Lahusen, G. (1999) : “Es ist nicht alles Gold, was glänzt. Vergoldete Statuen in Rom”, in : von Steuben, H., éd., Antike porträts. Zum Gedänkinis von Helga von Heintze, Mohonese, 79-106.

Lahusen, G. & Formigli, E. (2001) : Römische Bildnisse aus Bronze. Kunst und Technik, Munich.

Lassère, J.-M. (2015) : Africa, quasi Roma, 256 av. J.C .-711 ap. J.-C., Paris.

Leka, E. (2014) : “La thérapéia des scultpures en Grèce ancienne : le témoignage des sources textuelles”, in : Bourgeois, éd. 2014, 61-68.

Leone, A. (2013) : The end of the pagan city. Religion, economy, and urbanism in Late

Antique North Africa, Oxford.

Lepelley, Cl. (2002) : “La diabolisation du paganisme et ses conséquences

psychologiques : les angoisses de Publicola, correspondant d'Augustin”, in : Mary, L. et Sot, M., éds., Impies et païens entre Antiquité et Moyen Age, Paris, 81-96.

(5)

16

Liverani, P., éd. (2004) : I colori del bianco. Policromia nella scultura antica, Rome. Liverani, P. (2014) : “Per una ‘Storia del colore.’ La scultura policroma romana”, in : Liverani, P. & Santamaria, U., éds., Diversamente bianco. La policromia della scultura

romana, Rome, 9–23.

Michel d’Annoville, C. (2015) : “Penser les images des dieux païens au tournant du IIIe siècle. Les réflexions d’Arnobe sur les statues divines (Contre les gentils, VI, 8-26)”, in : Prost, Fr., Huet, V., Estienne, S. et Lissarrague, Fr., dirs., Figures de dieux. Construire le

divin en images, Rennes, 223- 240.

Muller-Dufeu, M. (2006) : “Les couleurs du bronze dans les statues grecques, d'après les textes antiques”, in : Rouveret, A., Dubel, S. et Naas, V., dir., Couleurs et matières dans

l’antiquité. Textes, techniques et pratiques, Paris, 79-92.

Østergaard, J.S., éd. (2010) : Tracking Colour. The polychromy of Greek and Roman sculpture in the Ny Carlsberg Glyptotek, Preliminary Report 2, Copenhague.

Østergaard, J.S., éd. (2013) : Tracking Colour. The Polychromy of Greek and Roman

sculpture in the Ny Carlsberg Glyptotek. Preliminary Report 5, Copenhague.

Østergaard, J.S. et Nielsen, A.M., éds. (2014) : Transformations. Classical sculpture in

Colour, Copenhague.

Østergaard, J. S. (2018) : “Polychromy, sculptural, Greek and Roman”, in : The Oxford

Classical Dictionary, Oxford. DOI: 10.1093/acrefore/9780199381135.013.8118

Paolucci, F. (2018) : “Gold unveiled. The gilding on marble statues of the Roman era in the Uffizi Galleries”, in : Bracci, S., Giachi, G., Liverani, P., Pallecchi, P. et Paolucci, F., éds.,

Polychromy in ancient Sculpture and Architecture, Florence, 139-148.

Pekàry, Th. (1968) : “Goldene Statuen der Kaiserzeit”, Mitteilungen des Deutschen

Archäologischen Instituts, Römische Abteilung 75, 144-148.

Powers, J., Abbe, M., Bushey, M., Pike, S.H. (2020) : “New evidence for ancient gilding and historic restorations on a portrait of Antinous in the San Antonio Museum of Art”, in : Matetić Poljak, D. & Marasović, K., éds., ASMOSIA 9. Interdisciplinary studies on ancient stone, Split, 783-792.

Ramer, B. (1979) : “The technology, examination and conservation of the Fayum portraits in the Petrie Museum”, Studies in Conservation, 24(1), 1-13.

Rebeillard, E. (2016) : “‘Peuple chrétien’ et destruction des statues païennes : le dossier africain à la lumière de textes d’Augustin”, in : d’Annoville, C.M. et Rivière, Y., éds., Faire

parler et faire taire les statues : de l’invention de l’écriture à l’usage de l'explosif, Rome,

417-432.

Rosing, M.T. & Østergaard, J.S. (2009) : “Preliminary results from geochemical analysis of pigments on ancient Greek & Roman marble sculptures”, in Østergaard, J.S., éd., Tracking

colour: the polychromy of Greek and Roman sculpture in the Ny Carlsberg Glyptotek, preliminary report 1, Copenhague, 41–47.

Rosso, E. (2009) : “Le message religieux des statues divines et impériales dans les théâtres romains : approche contextuelle et typologique”, in : Moretti, J.-Ch., éd., Fronts

de scène et lieux de culte dans le théâtre antique, Actes de la table-ronde de Lyon (janvier 2007), TMO 52, Lyon, 89-126.

(6)

17

Sargent, M.L. et Therkildsen, R.H. (2010) : “The Technical Investigation of Sculptural Polychromy at the Ny Carlsberg Glyptotek 2009–2010 – An Outline”, in : Østergaard, éd. 2010, 11-26.

Skovmøller, A. & Sargent, M.L. (2013) : “Painted portrait sculpture from the Sanctuary of Diana Nemorensis at Nemi,” in Østergaard, éd. 2013, 9-35.

Skovmøller, A. and Therkildsen, R.H. 2011. “On the High Gloss Polish of Roman

Sculpture,” in Østergaard, J.S., éd., Tracking Colour. The polychromy of Greek and Roman

sculpture in the NyCarlsberg Glyptotek. Preliminary Report 3, Copenhague, 35-46.

Skovmøller A. et Therkildsen R.H. (2014) : “A reconstruction. Portrait of a Young Roman Man”, in : Østergaard & Nielsen, éds. 2014, 257-267.

Solé, V.A., Cotte, M., Papillon, E., Susini, J. et Walter, Ph. (2007) : “A multiplatform code for the analysis of energy-dispersive X-ray fluorescence spectra”, Spectrochimica Acta

Part B: Atomic Spectroscopy 62, 63–68.

Stacey, R.J., Dyer, J., Mussell, C., Lluveras-Tenorio, A., Colombini, M.P., Duce, C., La Nasa, J., Cantisani, E., Prati, S., Sciutto, G., Mazzeo, R., Sotiropolou, S., Rosi, F., Miliani, C.,

Cartechini, L., Mazurek, J, et Schilling, M. (2018) : “Ancient encaustic: An experimental exploration of technology, ageing behaviour and approaches to analytical investigation”,

Microchemical Journal 138, 472–487.

Virgili, P. (1989) : Acconciature e maquillage, Roma.

Wunsche, R. (2004) : “La policromia della testa bronzea con la benda da vincitore a Monaco”, in : Liverani, éd. 2004, 163-186.

(7)

Références

Documents relatifs

Ainsi, c’est grâce à cette activité de rétrospection que le lecteur va découvrir des épisodes dont il n'a pas eu connaissance jusqu’à ce moment de lecture (Rachid révèle

Pour dépasser cette opposition stérile et esquisser une typologie des systèmes de contrôle ou de gouvernance, il nous semble intéressant de distinguer et de croiser deux

 Août 2006, pages 12 et 13 Une crise d'intégration des jeunes de milieux populaires Retour sur la grande révolte des banlieues françaises Neuf mois après les troubles qui,

Sur la feuille de classeur, réponds aux questions suivantes par des phrases complètes. c) Décris l’armée romaine en trouvant trois adjectifs qui expliquent comment elle est. 

d) En quelle année Jules César a-t-il entrepris la conquête de la Gaule ? e) Où ont eu lieu les deux batailles entre les Gaulois et les Romains ?. Histoire CM1 - La conquête de la

De chaque côté de cette anse, sont attachées deux autres ficelles représentant les branches d’une bride, de façon qu’il suffit d’une traction même légère, à droite ou

Président de la Commission de Territoire de La Hague et Conseiller délégué à l’Aménagement Numérique du territoire.

On conclut que les points A', Ge , I sont alignés si et seulement si le triangle ABC est isocèle en A ou rectangle