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Les traits dialectaux de la langue des actes mérovingiens et le Formulaire de Marculf

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(1)

LES TRAITS DIALECTAUX

DE LA LANGUE DES ACTES MÉROVINGIENS

ET LE FORMULAIRE DE MARCULF

Depuis le XVI e siècle, bien des érudits se sont intéressés au problème concernant la date et le lieu d'origine d'un formulaire juridique compilé à l'époque mérovingienne par le moine Mar-culf 1 . Sans prétendre à vouloir donner une solution définitive de ce problème difficile, nous présenterons ici un nouveau procéd é pour l'entamer, procédé qui, nous l'espérons, sera aussi d'un certain intérêt pour tous ceux qui étudient la latinité médiévale _ Une étude comparative de quelques mots et formules nous a donné la conviction que, aux premiers siècles du Moyen Age, les traditions locales étaient assez indépendantes pour permettre l'existence de certains traits dialectaux dans la langue des actes . En ce qui concerne Marculf, c'est surtout l'étude du mot vindi-care v atteindre » et de la formule d'appartenance cura domibus , villabus etc . qui sera utile .

Vindicare . Marculf s'éloigne de la plupart des actes en c e

que, dans la formule fréquente quod repetit, vindicare non valea t « il ne pourra pas obtenir ce qu'il exige », il préfère la form e vindicare et évite la formeevindicare . Cette forme-là se trouve

Il

3 p . 7 6 , 1 4 ; II 4 p . 77, 23 ;

Il

6 P . 79,

II ;

II 7 P . 8o, 13 ; II

Io

p . 8z, 18 ;

Il

Il

p . 83, 8 ;

Il

13 p . 84, 6 ; II 14 p . 84, 27 ;

Il

1 7 p . 88, 18 ; II 18 p . 89, 7 ;

Il

19 p . 89, 25 ; II 23 p. 91, 24 ;

Il

24 p . 92, 8 ; II 29 P . 94, 15 ; II 32 P . 95, 24 ; II 39 P. 99, 19 ; II 52 p . 106, 2z ; evindicaremanque entièrement . Nous en concluon s que Marculf a vécu dans une région où la forme vindicare étai t assez fréquente . C'est là une conclusion importante, parce que ces deux mots se sont épanouis dans des parties différentes de l a

(2)

~1S

France, chose que l'examen des actes et formulaires suivants montrera . Lesrésultatsde la recherche apparaissent sur la cart e

ci-jointe1 , dont les données ont les sources suivantes 2 :

Sithiu Pard . II, 88, 15 ; 198, 5b ; 265, 20 ; 277, 6b.

Traiectum : Pard . II, 264, 11 b ; 266, 12 ; 280, rob ; 284, 6b ; 294, 5 347, 9b ; 34 8 ,51) ; Pertz p . 99, 2 5 .

Suestra : Pard . II, 290, 4 ; Pertz p . 9 6 ,5 . Tulpiacus : Pertz p . loo, 31 .

Prumia : Pard . II, 329, ,4b .

Epternacus :Pertz pp . 94, 16 ; 95,9 ; 97, 28 . Malbodium : Pard . II, 117, iib.

Maricolas : Pard . II, 156, 15 . Careciacus : Pertz p . loi, 46 . Reims : Pard. II, 301, 13 . Verdun : Pard . II, 165, 9b .

Metz : Pard . II, 214, 6b ; 215, 15 ; 278, 8b ; 302, izb ; Pertz p . 92, 18 .

Wissembourg : Pard . II, 425, lb ; 427, 15 ; 429, 22 etc . ; 436, 6 b . Strasbourg : Pard . II, 355, 12 ; 411, 9 .

Saint-Gall : Pard . II, 187, lob ; 362, 9b ; 368, 9 ; 39 1, 9 ; Form . p. 389, 18 . Murbais : Pard . II, 357, 3 b ; 363, 4b.

Paris : Pard . II, 220, 3 .5 ; 63,1 . Stampae : Pard . II, 150, 23 . Sens : Pard . I, 133, 18 .

Cenomanni : Pard . I, 74, 13 ; 98, II ; 136, 13b ; 223, 711

Angers : Form . pp . 5, 36 ; 6, 11 ; 6, zo ; 6, 29 ; 7, 5 . 36 etc ., 25, 14, cf . p . 25 , 27 .

Tours : Form . pp . 136, 15 ; 1 37, 25 ; 138, 14 ; 1 39, 5 etc . ; Form . pp. 241 , 22 ; 2 44, 3 s .

1. Cette carte et celle qui suivra sont esquissées d'après G . DROYSEN,

Histo-rischer Handatlas, Bielefeld und Leipzig 1886, p . 20 . Les indications de lieu sont complétées à l'aide de SPRUNER-MENKE, Atlas antiquus (Europa n e 13, Deutschland n° 2, Frankreich n° 1) aussi bien que des index de PARDESSUS et de PERTZ .

2. Nous n' indiquons que les pages et les lignes (b = du bas) . Pour les diffé-rentes localités, nous avons présenté comme sources, en premier lieu, les docu-mentsdressés dans la localité en question, en second lieu, en parlant des monas-tères et églises, ceux qui ont été dressés en faveur de ces institutions et qui sem-blent rédigés selon la tradition du monastère ou de l ' église . Pour les actes faux , nous avons mis la date entre parenthèses . Les dates sont empruntées de PERTz

et de PARDESSUS. Pour Pard . pp . 355, 363 et 457, nous renvoyons à LEVISON ,

NA 27, pp . 382, 37 2 et 373 .

3. ZEUMER, Form ., p . 240, ne sait pas si les Formulae Salicae Merkelianae proviennent de Tours ou de Paris . Les concordances en ce qui concerne les formules d 'appartenance plaident décidément en faveur de la première alter-native (cf. Table 3, n09 63-69) .

(3)

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Autun : Pard . II, 238, 9b ; 401, 8b . Novaliciae : Pard . II, 378, 9b . Cordoue : Form . p . 581, 6 .

La carte indique que evindicare domine dans la Neustrie du nord et la plus grande partie de l'Austrasie, vindicare dans le reste de la Neustrie, en Aquitaine et en Bourgogne aussi bie n que dans le vieux formulaire de Cordoue . Pour les domaines entr e l'Austrasie d'un côté et la Neustrie et la Bourgogne de l'autre , aucuns témoignages ne sont â obtenir . Notre recherche montre que le formulaire de Marculf n'est probablement pas originaire d'Austrasie ou de la Neustrie du nord .

(4)

50

A ce propos, il faut observer que les formulaires de Tours écri-vent toujours vindicet au lieu de vindicare valeat 1 , ce qui nous

empêche de placer Marculf dans cette ville .

La formule d'appartenance . Pour spécifier la donation

d'une propriété, les notaires énuméraient souvent les diverse s espèces de bâtiments, de terres, de cultivateurs subordonnés etc . Cette formule d'appartenance varie considérablement d'après le temps et les conditions régionales 2 . Dans les diplôme s royaux, on peut suivre l'évolution de cette formule, qui est pour -tant normalisée après 690 en ce qui concerne le vocabulaire et l'arrangement des parties a-d . L'on peut aussi observer (voi r Table I) que les diplômes expédiés en même lieu ou en faveur d u même monastère ont une formule d'appartenance en principe conforme, p . ex . D27 et D45 .

Les variantes de cette formule chez Marculf sont données dan s notre table II . Lesnos 1, 2, 5, 8, 9, 13, 16, 17 sont très

ressem-blantes, surtout dans les parties a-d ; nous désignerons cett e variante sous la lettre A . Les nos3, 6, Io, ii, 12, 15 peuvent être

regardées comme des abréviations du type A ou comme une form e antérieure du même type ; nous la désignerons sous la lettre a . Pour fixer d'où proviennent les deux types aussi bien que le s nos 4, 7, 14, 18, qui diffèrent entre elles et aussi des types A a , nous avons essayé, à l'aide des diplômes royaux, des chartes privées et des formulaires, de cartographier les variantes de la formule (Table III et la carte ci-jointe 3 ) .

Les matériaux donnent lieu aux conclusions suivantes : Sauf

110 5, les variantes de Crisciacus, Sithiu, Blandinium, Suestra ,

Traiectum, Epternacus, c .-à-d . celles de la Neustrie du nord e t de l'Austrasie du nord et de l'est, omettent le mot vineis, ce

L De mêmePARD ., II,no 5 8 7, p . 401, 8b (Autun 746) et les formulaires d ' An-gers, n o 37, p . 17, 4, et de Bourges, n09,p . 172, 37 .

2, Cette formule et sa base ancienne a été étudiée au point de vue de l'histoir e du droit, par M . A . STEINWENTER, Fundus cum ivastrumento, dans la Sitz . ber. d. Akad . d . Wiss, in Wien, Phil .-hist. Kl . 221 (1942) .

3 . Les chiffres des tableaux indiquent la place du mot en question dans l a formule. Les dates des diplômes faux ont été mises entre parenthèses . — Le tableau III n'a pas la prétention d' être complet ; il veut seulement donner une idée de ce qui est de coutume dans les diverses régions . Il ne comprend donc pas les variantes toutes divergentes du temps avant 65o ; il n'a pas non plus été nécessaire de présenter toutes les variantes identiques d'une région .

(5)

51

qui dépend évidemment du peu d'importance de la viticultur e dans ces régions . Marculf tient à écrire le mot vineis . Si ce mo t se trouvait dans les actes antérieurs, ,ceux-ci ne proviennent sans doute pas des régions mentionnées . En tout cas, Marculf semble avoir composé son formulaire dans une contrée où la viticulture était assez importante . Il est donc invraisemblable que son for-mulaire ait été composé dans la Neustrie du nord ou dans l'Aus-trasie nord-est .

A côté de domibus, nous rencontrons dans certaines variantes le synonyme ca si s . Après 69o, ce mot se trouve dans les varian-tes nos 9-14, 22, 23, 25, 26, z8, 29, 36, 43-45, 47, 7 0, 76, c.-à-d dans les actes de Suestra, Traiectum, Malmundarium, Prumia , Trèves, Wissembourg, Metz, Verdun, Reims, Bourges et Maslacus . Il est donc fréquent en Austrasie, et comme Marculf ne connaî t pas le mot, nous pouvons constater encore une fois que notr e moine ne travaillait pas dans ce pays .

Marculf ne connaît pas non plus le mot l i b e r t i s, qui se trouve, après 69o, dans les variantes nos 43, 63, 64 (65 et 66 ont libertins), 69, 8o, 8r, 83, 84, 86, c .-à-d à Metz, Tours 1 , Flavigny, . Autun et Murbais, et en outre dans D '73, expédié de Carraciacus . Les quelques actes conservés de Bourgogne (n os 80-84) ont, sauf une exception, adopté libertis, ce qui montre que le mot était courant en Bourgogne . Cela plaide contre l'hypothèse que Mar-culf ait vécu en Bourgogne, à Tours, à Murbais ou à Metz .

Il y a aussi un critérium orthographique : Marculf écrit tou-jours adiecentiis pour adiacentiìs . Bien entendu, les actes qui ne sont pas autographes sont peutêtre corrigés, mais il est pour -tant d'un certain intérêt de voir que la forme adiecentiis ne s e trouve que dans les variantes suivantes : n08 55, 61, 63-65, 8 1 (Stampae, Angers, Tours, Flavigny) et dans les diplômes D 57 , D 83, D 94 (en faveur de SaintDenis) et D 73 (en faveur de Saint -Germain des Prés) . Les variantes d'Austrasie ont sans exception adiacentiis .

Marculf, ms . Al, écrit toujours a q u e r ii m pouraquarum . Cett e forme-là reflète la prononciation 2 , de même que la graphie

r . Pourlibertisdans les formulairesdeTours, voirG .CAROdansla HV Neue Folge 6 :3 ( 19 0 3), p . 322 .

(6)

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Gregis cum pastoribus Le numéro, le lieu d'expédi-tion et la date de l'acte .

Lo .P W H Agri s Territoriis Terris Mansi s Basilicis Comanenti s Casticiis Curtiferi s Curtilibu s Casis Domibus Villabu s Aedificii s ca w -P w w -P v -t> coN Mancipii s Accolabu s Liberti s Vineis Silvis Campis Pratis Pascuis

Aquis aquarumve decursibus co A, oo ' ÿ H ~ON H tp a O w t w Appendiciis Adiacentiis Adiunctis Accessibu s Praesidiis Cummuniis Pecuniis Beneficiis

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(20)

6 6

adiecentiis

1 ;

nous avons trouvé un seul parallèle, dans le dipló-me D 57 (en faveur de Saint-Denis) .

La formule d'appartenance .

= localité avec une formule du type A .

= localité avec une formule ressemblant au type A .

= limite méridionale du territoire où vineis manque après 69o .

= limite occidentale du territoire avec oasis après 69o . = limite septentrionale du territoire avec libertis après 6go. = localité avec une formule tout à fait dissemblable .

Les variantes de Tours manquent entièrement du mot

cam-p is ; chez Marculf, ce mot se lit dans 12 des 18 formules .

Malgré la grande ressemblance entre les variantes de Tours e t la variante du type A de Marculf à d'autres égards, la différence indiquée et celle concernant libertisnous empêche de placer Mar-culf A Tours .

La variante du type A nous offre un critérium positif . Marcul f a employé cette variante trois fois dans son premier livre . Il

VIELLIARD, p . 16 .

Mer'.

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(21)

6 7

emploie aussi d'autres variantes (n O8 3, 4, 6), mais cela montre seulement qu'il n'a pas normalisé la formule mais qu'il l'a pris e telle quelle de ses modèles, c .-à-d. des diplômes royaux . Aussi

la variante du type A se trouve-t-elle dans ces diplômes, à savoir dans D 67, D 75 et D 94 . Les variantes des diplômes D 73 et D 83 se rapprochent assez intimement du type A . Ce fait es t très intéressant au point de vue de la chronologie, parce qu e D 67 date de 695 . Nous pourrons obtenir un terminus ante que m nonen examinant l'ordre des mots mancipiiset accolabus . Nous appelons le premier mot met le second a . Dans les diplômes qu i

contiennent les deux mots, l'ordre entre eux est le suivant : D 32 m a, D 46 m a, D 53 m a, D 57 (688) m a, D 67 (695) a m , D 73 a m, D 75 a m, D 83 a m, D 94 a m . Entre 688 et 695, la chancellerie royale a donc commencé à écrire, d'une manière générale, a m au lieu de m a . Marculf écrit toujours a m, dans le premier livre (3 cas) aussi bien que dans le second (9 cas) — nou s faisons abstraction de la variante divergente n° 4 . Il a donc écrit après 688 .

Dans les chartes privées, les variantes suivantes s'appro-chent du type . A : n0s 2, 16, 30, 55, 67, 86 . De ces variantes, le s

n 08 2, 16, 30, 67 possèdent les caractéristiques régionales qui , comme nous l'avons montré, sont contraires à la pratique d e Marculf. N o 86 se trouve dans un acte de Murbais qui a subi l'influence de Marculf . Il nous reste no 55 (de Stampae = Ltam-pois, au sud de Paris) qui n'a pourtant pas une ressemblanc e aussi frappante avec la formule de Marculf que les diplômes si-gnalés .

A propos de ceux-ci, nous pouvons maintenant faire une

obser-vation intéressante . Nous avons vu que les diplômes expédiés

en faveur du même monastère ont une formule d'apparte-nance conforme 1 . L'on peut même constater que les diplôme s royaux et les chartes privées dressées en faveur du même monas-tère ont une variante conforme, p . ex. D 56 (en faveur de Sithiu 687) et Pard . II no 404 p . 198 (en faveur de Sithiu 685 ; Table IIIn082, 3) . D 27 (en faveur de Malmundarium et Stabulens e

v. 664) et D 45 (de même 677) ont une variante tout à fait identique et ils s'approchent de D 62 (en faveur des même s

(22)

68

monastères 692 ; Table III nos 19, 20, 22) . Évidemment, quand le s rois donnaient quelque chose à un monastère, certaines parties du diplôme pouvaient être rédigées par le monastère, de mêm e que les donations privées s'accordent souvent avec la traditio n du monastère gratifié ; cf . la conformité des variantes de Traiectum, Trèves, Wissembourg, Verdun, Tours et Angers . On attachait donc une grande importance à la formule d'appar-tenance, qui devait être exacte — vu son rôle juridique — e t contenir des mots dont les significations étaient assez connue s dans la contrée 1 . Sans doute, les monastères ont souvent mi s leurs scribes à la disposition du donateur privé et même du roi , Les diplômes royaux qui s'accordent le plus avec IVfarculf, e n ce qui concerne la formule d'appartenance, à savoir D 67 , D 75, D 94 (le type A) et D 57 (le type a) ont tous été expédié s en faveur de l'abbaye Saint-Denis, tandis que D 73 qui s'éloign e du type A seulement en quelques détails a été expédié en faveur de l'abbaye Saint-Germain des Prés . Les diplômes contemporains (qui possèdent des variantes dissemblables ont été expédiés e n faveur d'autres monastères ; cf . D 53, D 56, D 62, D 76, D 79 , D 8g . Parmi les chartes privées, Pard . II n o 361 (Table III n a 55) possède une formule d'appartenance assez ressemblante au type A . Selon les hypothèses de M . Levillain, dans la BECh 105 (1944) p . 12, le monastère auquel s'adresse cette charte était la filiale de Saint-Denis, dont l'abbé a signé le document . Nou s trouvons ainsi que Marculf a employé une variante de la formul e (Table IIn08 I, 2, 5, 8, 9, Io, 12, 13, 26, 17 =

Io

cas) qui était évidemment courante dans la chancellerie de Saint-Denis aprè s 688 .

Marculf et l'abbaye Saint-Denis . Bien entendu, la variant e

du type A était peut-être d'usage dans d'autres monastères auss i dont nous n'avons pas gardé les documents . Ces monastère s présumés étaient pourtant assez importants, et, tout bie n pesé, ils n'ont pas pu être trop éloignés de Saint-Denis . Au con-traire, comme nous l'avons montré dans notre thèse p . 21, il y 1 . Nous avons noté que, dans une donation anglaise écrite en latin (Codex diPiomaticus aevi Saxonici I, Londini 1839, p . 1), la formule d'appartenanc e est écrite en anglo-saxon,

(23)

69

a plusieurs circonstances qui plaident en faveur d'une relatio n intime entre Marculf et l'abbaye Saint-Denis .

Nous trouvons donc que le formulaire de Marculf est origi-naire de la France centrale, vraisemblablement de Saint-Denis . Vu que le premier acte connu influencé par Marculf est le docu-ment n o 12 de Scliöpflìn 1, daté de 731 /2, nous en tirons la

con-clusion que les Formulae Marculfi furent composées enviro n entre 688 2 et cette dernière date .

Visby

I . Voir LEVISON dans NA 27, p . 372 . 2 . Voir p . 67 .

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