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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Les corps détournés ou Comment la barbarie prend son visage dans les corps de sportifs de haut niveau ?

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Academic year: 2021

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LES CORPS DÉTOURNÉS

OU COMMENT LA BARBARIE PREND SON VISAGE

DANS LES CORPS DES SPORTIFS DE HAUT NIVEAU

Jean DELORD

P R A G, Laboratoire ERT 34 IUFM Midi-Pyrénées

MOTS-CLÉS : CORPS – DEVENIR – ORGANE – TRANSFORMATEURS – INDIVIDUATION

RÉSUMÉ : On s’interrogera sur ces étranges trajectoires sportives qui métamorphosent les corps sujets de leur jouissance essentiellement agencements désirants, en corps instrumentalisés organisés et territorialisés uniquement sur et par la performance ? Pourquoi les corps des sportifs ne représentent-ils plus que de la facticité et de la déréliction ? Que deviennent l’incarnation, le souci de soi, l’effort de persévérer dans son être et le désir dans les stades ? Autrement dit, comment les sportifs peuvent-ils retrouver leur “ corps propre ” ou au moins le civiliser ?

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“ Hors personne n’a jusqu’à présent déterminé quel est le pouvoir du corps… ”. Spinoza Éthique Scolie de la Proposition 2 de la partie III traduction R Misrahi, Paris, PUF p159.

1. LE CORPS SPORTIF : “ SEMA ” OU “ SOMA ”,

SIGNE DU DEVENIR OU TOMBEAU DE L’EXISTENCE ?

Alors que le corps devrait se définir par ses puissances et ses devenirs intenses, il est réduit par la philosophie à l’état d’instrument, de tombeau. Alors que le corps se pense par la coïncidence avec ce qu’il peut, pour la philosophie, comme dans le sport, il perd ses peaux, son génie, sa sensibilité, ses formes et surtout sa capacité à multiplier ses métamorphoses. De corps qui peut, il devient corps héroïque, mystifié et impuissant. D’autre part, si, contre la tradition philosophique qui dévalorise le corps, on le définit par ce qu’il veut, on s’aperçoit que les corps sportifs sont devenus les corps mêmes du nihilisme, des corps incarnés seulement dans le vouloir du capital à travers un humanisme de pacotille.

Dans ces conditions la possibilité de retrouver un corps non pas Saint mais sain devient difficile dans tous les sports soumis à la compétition et au spectacle de masse. Que le corps sportif retrouve sa puissance de devenir, sa volonté de puissance différent de la volonté des pouvoirs, cela paraît un chemin aussi rare que difficile. On a pu voir, lors des derniers jeux olympiques, à quel point les “ valeurs éternelles du sport ” faisaient disparaître les “ corps glorieux ” au profit de la pratique du sport spectacle capitaliste (des corps dopés et des corps marchandises) et que la sphère céleste de l’idéal de Coubertin coïncidait en fait avec l’impératif catégorique des peu reluisantes lois du marché. On voit bien ainsi que, par une série d’équations perverses, la capacité pour le sportif dit de haut niveau d’échapper à la violence illégitime de toutes les tyrannies qui l’environnent (spectacle, marche, mondialisation, impératifs de résultats, propagande politique et sociale) est réduite.

Comment une esthétique de la sensation est-elle encore possible au cœur de dispositifs où la fausse conscience tient lieu de bien moral, où, par exemple et pour faire bref et frappant, on achève bien les chevaux (pensons à tous ces sportifs mourrant dans la fleur de l’âge de mort naturelle), où des personnes présentées pendant longtemps comme des modèles pour la jeunesse (Pantani, Maradona, le Canadien Ben Johnson, le cubain Sotomayor, les Britanniques Chambers et Christie, l’Autrichien Schonfelder) voient leurs corps réduits à ceux des toxicos ? Dans tous ces cas, les organismes sportifs révèlent leur dramatique impuissance, voire leur négligence, et parfois leur coupable

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complaisance envers cette hécatombe programmée de corps qui n’ont plus rien de propres1 à tous les sens de ce terme. Comment les corps sportifs quand ils ne sont pas des corps barbarisés par la compétition et l’idéologie2 qu’elle implique peuvent-ils redevenir des corps artistes, des corps qui retrouvent un devenir et un sens ?

2. LES CORPS SPORTIFS SONT-ILS DES CORPS TRANSFORMATEURS ?

2.1 Les trois Axiomes de Spinoza (Comment se constituer un corps transformateur)

1) Premièrement le corps dépasse la connaissance qu’on en a, parce que la pensée ne se réduit pas à la seule conscience qu’on en a. Il y a donc, dans l’esprit, des choses qui dépassent notre conscience, comme il y a dans le corps des choses qui dépassent nos organes. Saisir la puissance du corps au-delà des conditions données dans notre connaissance revient aussi à saisir la puissance de l’esprit au-delà des conditions données de notre conscience. Quand et où, dans les sports, ces dépassements sont-ils possibles, alors que les techniques et les sciences qui veillent au devenir du sportif l’enferment dans un dualisme simplifié. Si je suis corps, je ne suis pas un esprit.

2) Deuxièmement, prendre le corps pour modèle, c’est manifester que la conscience est le lieu d’une illusion. Sa nature est telle qu’elle recueille des effets mais ignore les causes. Or les causes expliquent ceci : chaque corps dans l’étendue, chaque idée dans l’esprit sont constitués par des rapports et ces rapports, et eux seuls, composent les parties de ce corps et les parties de cette idée. Dans le sport, la cristallisation de la conscience par le biais du souci de la performance (compétition) et de la conformité aux modèles sociaux (médiatisation) continue au contraire à renforcer les formes modernes de l’illusion de la conscience ; un des sommet de cette illusion se rencontre dans l’idéologie de la neutralité axiologique du sport, qui culmine dans l’olympisme qui

1 Propres les sports se promettent de le devenir. Ceci en dit long sur l’absence de devenirs de tous ces corps déjà

contrôlés positifs, ou qui le seront, à l’exemple des relayeurs du 4fois 400 mètres des USA dont nous venons d’apprendre la disqualification aujourd’hui avec deux ans de retard. Mais si le corps propre renvoie à ce qui définit notre expérience du monde au sens où le corps n’est ni un objet ni un sujet mais l’esquisse provisoire de mon être total on voit mal comment les sports de haut, niveau peuvent ne pas réduire cette expérience sans laquelle nous n’avons pas d’autres moyens de vivre. Si je ne peux connaître mon corps qu’en le vivant et à travers cette synthèse qu’est mon vivre du monde, il est clair que la plupart des sports de haut, niveau sont ceux qui en fixant le corps comme un objet m’empêchent en réalité de le vivre autrement qu’à travers la pseudo réflexivité de la performance. Sur la notion de corps propre au sens philosophique cf. Maurice Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception ? Paris : NRF, Gallimard, 1945, p 173 à 179.

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nie le rôle du sport comme entreprise d’abrutissement et de chloroformisation des masses, surtout dans les métropoles impérialistes mais aussi dans le tiers-monde.

3) Là même où la conscience ne peut plus s’imaginer cause première pour l’organisation des fins, elle invoque à sa place un dieu. Il s’agit là de l’illusion théologique. En méconnaissant le corps, la conscience est inséparable de la triple illusion qui la constitue. Elle n’est qu’un rêve les yeux ouverts. Ce qui tient lieu de dieu dans le corps athlétique, dans le sport, c’est l’expressionnisme reconnaissable dans sa fanatisation

2.2 L’“ expressionnisme ” du sport

1) Premier moment de l’expression, nous croyons que la conscience, qui ne recueille que des effets, renverse l’ignorance en renversant l’ordre de la nature. Elle prend les effets pour des causes : c’est l’illusion des causes finales. Quand on prête une finalité à la course, au match, une finalité et une intention réflexive et consciente pour le moi et seulement par rapport à cet “ ego ”, alors le sport serait l’expression du corps comme sa réalisation dans le dépassement de soi et le mouvement et la motricité sportives son seul acte signifiant. On oublie par exemple que le sportif est aussi une personne ; que son corps n’est pas seulement un organe de performance et de mouvement mais ce avec quoi il traverse la totalité de sa vie et fait des gestes. Comme chacun d’entre nous, le sportif n’a pas un corps, il est son corps, il le vit. Mais quand le sportif peut-il danser dans son sport et réaliser de véritables gestes 3, comme le peintre peint avec son corps et pas seulement avec ses yeux. La réduction du corps qu’opère et réalise le sport de haut niveau à l’expression du geste sportif (faut-il dire de l’automate sportif), ramène le corps à un corps athlétique, à un corps condamné à s’inscrire sur le tracé d’une piste par exemple, sur la surface d’un terrain.

2) Deuxième moment de l’expression : la conscience invoque donc un pouvoir sur le corps. Il s’agit de l’illusion des décrets libres, disons de la volonté. Cette illusion se retrouve aussi dans l’histoire de l’Art et dans l’histoire des Sports. L’artiste serait libre de tout et totalement indépendant, pourvu d’une sorte de liberté et de génie alors qu’en réalité le corps artiste est obligé de s’inventer des contraintes, de déplacer, de déjouer ces problèmes de territorialisation. Le corps athlète vit de l’illusion de la démagogie de la liberté. Cette démagogie unanimiste ne résiste pas un seul instant au

3 On admettra ici que ce que nous entendons par geste c’est ce qui réorganise le schéma corporel au lieu de l’appauvrir ou d’en faire un automatisme. Le geste forme un nouveau nœud de signification ce qui nous fait rapprocher le corps artiste du corps transformateur. Dans cette transformation par les gestes une signification plus riche que celle qui est impliquée dans la motricité et dans le champ perceptif. Le geste est un évènement un avènement qui réorganise notre équilibre et comble notre existence. La question serait, ici, à quel moment le moment le sportif peut-il cesser d’être une marionnette articulant seulement des mouvements pour devenir un individu faisant des gestes qui donnent du sens à sa vie. Cette transformation est-elle seulement possible dans les sports ?

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principe de réalité : ni le football des cités, le street ball, le sport pour tous n’ont pu empêcher que la fracture sociale ne s’aggrave et ne renvoie qu’à une liberté de ghettos

3) Troisième moment de l’expression : Ce qui remplace Dieu comme cause finale de la conscience, dans le sport, c’est la notion de consensus sportif, la “ grégarisation ”, “ l’idéal sportif ”, les extases nationales, et la réalisation de l’idéologie de la neutralité axiologique dans deux de ces instances. a) La croyance à une organisation progressiste du sport qu’on retrouve dans les tendances de

gauche et qui fait croire que le sport émancipe (les femmes, les jeunes des banlieues, les célibataires, etc.), qu’il combat le racisme, qu’il contribue à intégrer dans la république, qu’il est un ascenseur social et qu’il promeut la culture. Dans ce cas, on oppose un vrai sport éducatif et purifié, un sport à visage humain, à l’affairisme, au dopage, à la corruption. Un sport qui ressemble au modèle platonicien et qui ne cesserait d’être déchu par les simulacres, par la dénaturation qu’il subirait dans la réalité. Dieu ici n’est pas mort, il ressuscite périodiquement sous la forme des anneaux olympiques et sous les étendards laïques de l’amateurisme.

b) La notion de consensus est comme la voix de ce Dieu qui règne sur tous les terrains et les stades. Grégarisation, massification, mobilisation totale, pour ne pas dire totalitaire, des foules lors des championnats du monde ou autre manifestation nationale, seraient les preuves de l’universalité de l’idéal sportif. Il est des extases nationales qui saturent l’espace public en cas de victoires et où certains amis du sport se plaisent à reconnaître une union sacrée régénératrice. Dieu, ce sont ici et alors ces champions dans lesquels on reconnaît l’avant-garde d’une société réconciliée avec elle-même. Dieu, c’est-à-dire ces idoles bleues qui seraient entrées dans l’éternité.

2.3 Les quatre incorporations de l’expressionnisme sportif

D’où vient cette expressivité des corps sportifs, cette production de la possession d’une corporéité qui ne s’autonomise que dans l’espace et le temps du capital. Puisqu’en effet, l’incorporation4 sportive se réalise essentiellement dans l’image, dans cette image du capital lui-même qui nous oblige à voir les champions comme des stars de cinéma et du show-biz et comme un modèle publicitaire à suivre. Nous pensons que cette expressivité qui mène ces corps aux frontières de la barbarie vient :

1) Premièrement, de l’esprit de compétition, qui répète la lutte des instances du capital et de la société libérale, où ne triomphe, depuis la philosophie de John Locke, que l’égoïsme le plus

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possessif. Le corps sportif ne s’individualise que dans l’égoïsme maximal de la loi du plus fort qui nous tient lieu de loi du marché.

2) Deuxièmement, de la transformation de l’aire de jeu qui aurait quelque chose à voir avec le sacré comme espace défini, par opposition à l’espace profane du terrain, de la surface qui, dans son traçage même, empêche la chair de s’incarner et le sportif de devenir un homo ludens. Que l’on compare, du simple point de vue de l’espace, le lieu où se joue la marelle et les tracés sportifs et l’on verra comment du différencié devient indifférence. De même en ce qui concerne les anciennes implantations des frontons de pelote basque et leur réorganisation dans le stade moderne. Qu’on regarde aussi, de ce seul point de vue du topos, ce qui sépare la cour de récréation ou tout autre espace encore ludique et donc différencié, d’un terrain de sport

3) Troisièmement, de la présence du public, et donc du marché de la seule performance, que sont devenus les sports de haut niveau et de toute la démagogie qui accompagne ce marché dans une espèce de pandémie sportive qui élargit la sphère d’influence des sports de l’univers impitoyable des gagnants à la vie quotidienne

4) Quatrièmement, de la transformation du corps en corps sujet et assujetti. Le corps charnel, le corps artiste ou amoureux, le corps transformateur s’organise en states, en affect, en puissance. Il s’enrichit, dans la rencontre avec le monde et surtout avec autrui, de gestes qui sont autant de moment de reconnaissance. Au lieu de cela, dans le corps sportif, on assiste à une fixation en sujet, en organe fonctionnel. Cette sujétion domine dans l’idée des dieux du stade, des légendes vivantes, des “ héros ” du “ on est champion ”, qui sont autant de figures d’un autisme inquiétant. Fin du nomadisme fondamental des corps propres qui, pour se réaliser, font nécessité de dépasser les mouvements dans des modulations existentielles. Le corps du champion ignore le corps nomade et ses passages ; il reste l’esclave des territoires existants et, au lieu d’inventer ses peaux en les réchauffant à des terra incognita, il se fixe dans une sédentarisation totale.

3. CONCLUSION : COMMENT RETROUVER L’INDIVIDUATION DANS LES CORPS SPORTIFS ?

Les incidents graves dans les stades, le racisme etc., ne sont malheureusement pas des bavures mais la conséquence de la victoire à tout prix qui prévaut dans nos institutions. Et Dieu, c’est la jungle sportive qui ne fait que refléter la jungle de la mondialisation libérale. Dans ces conditions, comment le sportif peut-il échapper à cette foi de l’idéal sportif et comment son corps peut-il

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retrouver des possibilités de devenir et d’individuation. D’autant que ces normalisations de l’expression du corps sportif s’expliquent par trois trahisons du désir

1) Le “ désir manque ” implique les innombrables castrations que le corps du sportif doit subir pour parvenir à la jouissance.2) Le désir-plaisir du pseudo hédonisme ; comme si le désir cessait quand le plaisir était atteint. 3) L’impossible adéquation du désir et de la satisfaction, soit l’impossible réalisation de l’idéal, le manque à jouir qu’est le sport de haut niveau. C’est alors comme si le sport accomplissait l’ascétisme le plus fruste, celui qui se sert de la souffrance pour satisfaire un masochisme primaire, ce qui rend impossible la réalisation du corps dans ses individuations.

On se retrouve toujours dans ce contexte dans le sport : d’un côté un corps et de l’autre une surface : le footballeur et le terrain de foot, l’athlète et la piste. L’individuation n’est pas une scène, un décor où se constituent des corps sujets ou objets. Il y a des moments où le corps cesse d’être un objet, où un sujet peut devenir un événement et finalement retrouver le jeu, le plaisir, non comme sommation ou norme, mais comme principe. Un plaisir du plaisir pour le plaisir5 et non un plaisir qui met un terme au désir parce qu’il en serait son Dieu.

Du point de vue de l’individuation, il n’y a pas d’un côté des corps déjà formés et de l’autre des corps qui se construiraient spatio-temporellement par des successions de mouvements. Le temps de l’individuation est le temps indéfini de l’événement et non le temps des choses, qui détermine le sujet et fixe le corps de l’athlète sur la piste ou le court. C’est la ligne flottante des gestes qui ne connaît que des vitesses, des lenteurs, ce qui arrive et qui est en deçà du déjà là et donc pas encore là.

BIBLIOGRAPHIE

On aura reconnu des allusions à G. DELEUZE in Mille Plateaux, Seuil, Paris, 1980

5 Cette affirmation païenne du désir et de l’individuation, nous l’avons rencontrée dans un gymnase étrange, celui de l’institut CSES, Centre Spécialisé d’Enseignement secondaire, Jean Lagarde au Parc St Agne à Ramonville prés de Toulouse. Nous avons pu, grâce à la complicité d’une collègue professeur d’EPS dans cet établissement pour enfants invalides, découvrir ce qu’était un plaisir qui n’épuisait pas le désir dans une séance de Torball où tous ces sportifs retrouvaient un corps propre. Étrange coïncidence qui faisait cohabiter des handicaps moteurs les plus graves (en fauteuils) avec de la non-voyance, de la surdité. Chacun dans ce match retrouvait ces devenirs imperceptibles dans une joie et une affirmation qui dépassait l’objectif initial d’amélioration de leur motricité. Marine par exemple, en montant ses mains et en redressant son buste, ne faisait pas que projeter un ballon, ce sont toutes ses existences imperceptibles qu’elle révélait. De même Ariel qui , déjà mal entendant, décida pour mieux s’amuser de rejoindre le non voyant en se

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BROHN J.-M., PERELMAN M. (2002). Le football, une peste émotionnelle. Paris : Édition de la Passion.

VASSORT P. (2002). Football et politique. Paris : Édition de la Passion.

Références

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