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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Mots et choses des sciences dans une école à l'hôpital pour enfants à Florianopolis, Brésil : possibilités et limites

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Academic year: 2021

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MOTS ET CHOSES DES SCIENCES DANS UNE ÉCOLE

À L’HÔPITAL POUR ENFANTS À FLORIANOPOLIS, BRÉSIL :

POSSIBILITÉS ET LIMITES

Adriana MOHR, Caroline Z. LINHEIRA et Suzani C. DE SOUZA Universidade Federal de Santa Catarina (Brésil)

MOTS-CLÉS : ÉCOLE À L’HÔPITAL – ENSEIGNEMENT DES SCIENCES

RÉSUMÉ : Nous présentons les problèmes que se présentent pour enseigner les sciences naturelles dans une classe développée dans un hôpital. La structure de la classe, les caractéristiques de l'environnement hospitalier et la diversité des élèves sont des aspects étudiés au cours des recherches que nous montrent des limites et des possibilités intéressantes pour l'enseignante des sciences.

ABSTRACT : In this paper we discuss problems related to natural sciences teaching for hospitalized children. Size and composition of the classes, characteristics of hospital environment, and the diversity of student backgrounds and medical conditions were analyzed in the course of our research, and they uncovered interesting possibilities for the teaching of science.

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1. UNE SALLE DE CLASSE À L'HÔPITAL : besoins de fonctionnement et de recherche Au Brésil depuis 1995 la législation prévoit le fonctionnement, dans les hôpitaux pour enfants et jeunes, des Classes à l'Hôpital (CH) de façon que les élèves puissent suivre leurs études scolaires même en étant hospitalisés (BRASIL, 1995). Si les CH du primaire sont déjà assez nombreuses, on constate une quasi-inexistence d'expériences ou des références méthodologiques pour faire fonctionner des CH de collège. À Florianópolis, une classe de CE1 à CM2 existe à l'Hôpital pour Enfants Joana de Gusmão (HIJG) depuis 1999.

Défiés par cette absence de repères didactiques et pour cette nécessité pédagogique, depuis 2003 des enseignants de didactique de différents domaines (Pédagogie, Géographie, Mathématiques, EPS, Langue Étrangère/Anglais et Sciences Naturelles) de l'Université Fédérale de Santa Catarina (UFSC) et de la Section de Pédagogie de l'HIJG assurent le fonctionnement de la CH 6e - 3e du HIJG. L'activité est développée en étroite liaison avec une recherche didactique qui est en train de fournir des bases pour des propositions et des orientations des routines pour ces types de classe, lesquelles sont développées, comme nous le verrons ci-après, dans des conditions assez spéciales. La CH collège du HIJG fait aussi partie du cadre de la formation professionnelle des futurs enseignants, dirigés par des formateurs de l'UFSC, puisqu'ils sont responsables par une partie des contenues des programmes développés dans la CH durant l'année scolaire.

Nous pouvons ainsi dire que le Projet se développe en trois volets : formation professionnelle (pour les futurs enseignants), apprentissage (pour les élèves de la CH) et recherche (pour le groupe de didactique).

2. L’HIJG ET SA CLASSE 6e-3e

Quelques caractéristiques de la CH et de l'HIJG sont indispensables à connaître pour pouvoir faire face au défi didactique de développer des classes des sciences à l'hôpital. Nous résumons les principaux : (1) le jeune peut fréquenter la CH quel que soit le temps qu'il reste à l'HIJG ; (2) il y a un changement quotidien très grand des élèves dans la CH ; (3) il y a une seule classe pour les élèves des 4 niveaux du collège ; (4) la cause de l'hospitalisation n'est pas une limitation en soit pour fréquenter la CH ; (5) l'enseignement de chaque discipline scolaire s'appuie fortement sur ses contenus ; (6) la CH n'est pas obligatoire aux jeunes hospitalisés ; (7) la salle de la CH est petite mais assez bien équipée (ordinateur, bibliothèque) et (8) l'HIJG est un hôpital général, polyvalent et

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Figure 1 : salle de classe du primaire à l’HIJG – Figures 2 a 6 : salle de classe du collège à l’HIJG Figure 7 : activité des élèves du collège hors de l’Hôpital – Figure 8 : coin soleil à l’HIJG

Figures 9 et 10 : Atelier Biologie à l’HIJG Figure 11 : Atelier Physique à l’HIJG

Quant aux caractéristiques des élèves, elles nous mènent à affirmer que la diversité et l'hétérogénéité sont la règle de la CH. Pour donner quelques exemples (avec des donnés d’avril 2005) : 39 élèves ont assisté aux classes. Leur appartenance aux différents niveaux du collège était respectivement 6e : 13 ; 5e : 12 ; 4e : 8 ; 3e : 4 ; 2e : 2. En ce que concerne le rapport âge/niveau scolaire, 74 % des élèves étaient dans le niveau correct. 87 % des élèves étudiaient dans des écoles publiques et 5 % dans des écoles privées (pour 3 élèves nous n'avons pas pu identifier leurs écoles d'origine). Finalement, quant au lieu de domicile, 60 % des élèves habitaient la région de Florianópolis et 40 % étaient des habitants de province.

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3. ENSEIGNER LES SCIENCES DANS UN HÔPITAL ?

Depuis la création de la CH du HIGJ en 1999, l'équipe pédagogique de l’Hôpital a voulu qu'elle soit en quelque sorte éloignée de l'environnement hospitalier. Ainsi, une de ses caractéristiques principales est d’être un espace-temps d'apprentissage sans que soit question de parler de maladie ou de d'éléments qui puissent rappeler le processus d'hospitalisation. Il existe, par contre, d'autres expériences (au Brésil et ailleurs) ou la maladie ou le fait d'être hospitalisée sont pris comme points des départs pour des activités d'enseignement.

En ce que concerne l’enseignement des sciences naturelles à la CH 6e - 3e, depuis 2003, nous avons choisi la méthode de la contextualisation et de la problématisation (Freire, 2000, Delizoicov et Angotti, 1992). Ainsi les contenus sont développés à partir des thèmes ou des sujets significatifs pour les élèves. Ce choix a été fait parce que nous identifions de la part des élèves soit un intérêt direct par tout ce qu'est lié à leur maladie, soit un intérêt accru si on partait de leur réalité immédiate pour commencer un contenu de chimie ou physique, par exemple.

Cette perspective – assez contradictoire avec celle antérieurement existante pour la classe du primaire – nous a encouragés à développer des recherches pour essayer d'établir des bases plus solides pour la construction des situations didactiques dans ces environnements scolaires si spéciaux. Les questions de recherche établies peuvent être ainsi résumées : Mots et choses des sciences dans une école à l'hôpital pour enfants… Peut-on les utiliser ? Doit-on les utiliser ? Dans quelle mesure les utiliserions-nous ? Dans quelles situations didactiques les utiliserions-nous ? Comment former les enseignants à bien les utiliser ? Quels mots ? Quelles choses ? - Quel contenu ?

Pour arriver à des éléments de réponse, on a dû faire le trajet suivant : (1) connaître ce qui a été publié sur les CH. Santos a fait une première révision et a identifié les thèmes privilégiés dans les travaux (Santos e Mohr, 2005). (2) Observer et comprendre les routines pédagogiques et de l'hôpital ainsi qu'identifier les difficultés des enseignants dans leur activité. Ce travail d'observation, d’enregistrement systématique et d'analyse a été fait par les futurs enseignants au cours de son stage professionnel dans le CH.

Finalement nous en sommes à l'étape de connaître ce que pense (a) le personnel de santé de l'hôpital, (b) les parents ou responsables par les jeunes par rapport à la CH et (c) nous interrogeons également les jeunes élèves-patients sur leurs attentes et désirs d'apprentissages dans la CH. Cette étape est en train d'être réalisée par des entretiens semi-structurés enregistrés en magnétophone. Les figures 12 à 14 présentent les guides d’entretiens et les figures 15 et 16 les cartes-figurines pour

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aborder avec les jeunes leurs thèmes/sujets de prédilection ou dégoût pour les classes des sciences. Ce sont quelques résultats de ces entretiens que nous allons résumer ci-dessous.

4. DES PISTES POUR AIDER L'ENSEIGNANT AVEC LES MOTS ET LES CHOSES DE SCIENCES À LA CH

En ce que concerne le personnel de santé, nous avons fait des entretiens avec une infirmière, un physiothérapeute, une psychologue, un médecin et un technicien.

Leurs routines sont distinctes et ce fait, à notre avis, conditionne leurs visions de la CH. D'une manière générale, on peut dire que tous les professionnels interviewés voient la CH comme un refuge ou un cachet pour un retour (même si passager) à une vie normale ou quotidienne (avant hospitalisation). Il faut dire que l'école est une des identités sociales importantes de l'enfance et des jeunes par rapport à notre société.

Les professionnels de santé reconnaissent l'importance de la relation enseignant-élève (même celle dans le domaine affectif), la relation élève-connaissance et l’importance de la continuité du processus de scolarisation. Par contre, le rôle de l'enseignant de la CH, les objectifs et la dynamique de travail pédagogique de la CH ne sont pas aperçus avec précision. Nos entretiens nous ont montré que quelques professionnels aimeraient avoir plus de rapports avec la CH, au cas où celle-ci pourrait leur fournir des données intéressantes sur ses patients. Invités à nous suggérer des thèmes à développer en classes de science, leurs réponses ont été : le corps, l'hygiène et « d'éléments faisant parties de leur réalité ». Ces professionnels sont unanimes à reconnaître la motivation positive des élèves et les résultats positifs de leur fréquentation de la CH et ils reconnaissent également que l’équipe pédagogique de la CH, mais le potentiel de participation de l’enseignante de la CH dans la compréhension par l’élève des concepts importants en relation avec son hospitalisation n’est pas si clair que cela.

Nous avons fait cinq entretiens avec parents ou responsables d'élèves. Nos principaux résultats sur la perception de la CH, sa fonction et sa structure dans l'hôpital avec ce public peut-être résumé en trois points :

(1) L'importance principale attribuée à la CH est d'être un élément de rupture avec la routine hospitalière au même temps qu’une activité pour « remplir le temps vide » des jeunes. Secondairement, la CH aide les rapports du jeune avec son année scolaire, sa rentrée ou sa séquence des contenus.

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(2) Il y a pourtant des parents qui, dès leur entrée, à l’hôpital cherchent l'appui institutionnel pour résoudre des problèmes scolaires (absentéisme et notes surtout). Ceux-là indiquent que la CH est une nécessité pour les étudiants.

(3) Quelquefois les parents perçoivent le service scolaire à l'hôpital comme un renforcement scolaire, ce que nous montre leur préoccupation avec la progression de ses enfants.

En ce qui concerne les jeunes élèves ils nous ont fourni des informations importantes pour la réorganisation du programme et de la dynamique de la CH. Un aperçu général des réponses peut être schématisé comme suit.

La CH est une nouveauté intéressante même pour les adolescents qui rejettent la première invitation pour la classe. Les élèves plus jeunes aiment les contenus, la dynamique, les enseignants et la liberté que cette école différente leur permet. Les adolescents aiment plutôt l'espace d'interaction sociale qui permet des choses communes à leur âge malgré l’hospitalisation (comme la connaissance des nouveaux(lles) ami(e)s).

À la lecture des entretiens avec les parents et celles avec les jeunes, il nous semble que le fait d'être hospitalisé est en soi un processus qui cause une inhibition et une tendance à la passivité. Les gens deviennent « patients » (qui doit faire preuve de patiente) et aussi « passifs » (le mot « patient » a aussi ce sens en portugais) et doivent seulement répondre quand ils ont été questionnés. Il n'y a pas des encouragements organisés dans le sens de leur autonomie. Cela se reflète énormément ce qui se passe dans la CH si on veut utiliser une dynamique plus active et demander plus de participation et d’initiative de l'élève.

Les entretiens nous ont permis d'apercevoir qu'il y a des élèves qui montrent une curiosité pour connaître la routine de l'hôpital et des procédures médicales et qui veulent en savoir plus, mais ne se sentent pas autorisés à questionner ou à poser des questions. Une donnée assez troublante est apparue au cours des entretiens : la plupart des jeunes démontrent avoir une expérience scolaire très pauvre - les connaissances plus fondamentales sont absentes et ils ne savent même pas ce qu'ils avaient comme cours à l'école il y avait à peine une semaine.

Une analyse des résultats révèle donc qu'existent de la part des élèves une certaine curiosité et des questions sur l'hôpital et sur son hospitalisation auxquelles les jeunes aimeraient avoir réponse. Beaucoup d'entre eux, néanmoins, nous disent avoir honte de les poser au personnel de santé. Cette donnée confirme la position de passivité des jeunes patients par rapport à son traitement et renforce l'importance de l'enseignant comme médiateur entre les questions et les connaissances. Ce résultat devrait aussi générer beaucoup des questionnements dans le comportement des professionnels de santé concernés !

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Il est encore trop tôt pour dire s'il existe une préférence généralisée des jeunes pour des thèmes liés à l'hôpital par rapport à ceux que sont développés dans des classes des sciences ordinaires. Ces résultats seront plus approfondis et développés dans un travail de Master qui va être présenté à l'UFSC par une de nous (LINHEIRA) en 2006.

Ainsi, nous pensons avoir avancé un peu dans la connaissance nécessaire à cet environnement scolaire, mais il reste encore beaucoup d'autres questions à travailler : comment est-ce qu'on peut, dans une situation de salle de classe, identifier s'il y a un intérêt de l'élève pour tel ou tel thème ? Comment peut-on travailler dans une salle de classe où quelques-uns veulent parler sur leurs maladies et d'autres pas ? Comment l'enseignement des sciences peut contribuer pour la construction de l'autonomie de l'élève-patient ? Est-il possible de développer un contenu de 4e (qui relève des notions des cellules, par exemple) dans une salle qui contient aussi des élèves de 6e ? Comment ? À partir du moment qu'on a choisi un thème comme sang, rayon X, sérum, etc., comment établir le programme pour la 6e, pour la 3e ? Comment les autres secteurs de l'hôpital ou d'autres professionnels peuvent-ils participer de la CH sans masquer ou substituer le rôle de l'enseignant ? Où trouver les ressources didactiques que parlent sur des choses de l'hôpital ?

BIBLIOGRAPHIE

BRASIL, 1995. Conselho Nacional dos Direitos da Criança e do Adolescente. Direitos da Criança e do Adolescente Hospitalizados. Resolução nº 41 de outubro de 1995. Brasília : Imprensa Oficial. DELIZOICOV D., ANGOTTI, J. A. (1992). Metodologia do Ensino de Ciências. 2ª ed. S. Paulo : Cortez.

FREIRE P. (2000). Pedagogia do Oprimido. 29ª ed. São Paulo : Paz e Terra.

SANTOS D., MOHR A. (2005). O ensino de ciências na classe hospitalar : identificação da literatura e análise da temática presente nos artigos. In Atas V Encontro Nacional de Pesquisa em Educação em Ciências, Bauru, Brasil. CDRom.

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Ficha para entrevistas dos profissionais de saúde

____________________________________________________Dados pessoais Nome :

Idade : sexo :

Apelido para sigilo : Escolaridade : Cargo :

Tempo de serviço no HIJG : Aluno-paciente que atende : 1. Outros locais de trabalho. 2. Rotina do seu atendimento. 3. Paciente questiona atendimento.

4. Conhecimento sobre o atendimento em classe hospitalar e recreação. 5. Comentários dos pacientes sobre os atendimentos.

6. Opinião sobre o atendimento na classe hospitalar.

7. Complementaridade entre o atendimento de saúde e o pedagógico. 8. Sugestões finais.

Figure 12 : Guide d’entretien - personnel de santé

Ficha para entrevistas dos acompanhantes

__________________________________________Dados pessoais Nome :

Idade : sexo :

Cidade : urbana ou rural ? Apelido para sigilo : Nome do paciente : Escolaridade :

1. Sobre a estada em outro hospital como acompanhante. 2. Partes do hospital mais freqüentadas.

3. Profissionais no hospital com quem se relaciona, além do médico. 4. Motivo da internação do acompanhado.

5. Conhecimento sobre a doença e os procedimentos realizados. 6. Conhecimento sobre a classe hospitalar e recreação. 7. Comentários do acompanhado sobre esses atendimentos. 8. Opinião sobre o atendimento escolar no hospital. 9. Sugestões finais.

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Ficha para entrevistas dos alunos-pacientes

____________________________________________________Dados pessoais Nome :

Idade : sexo :

Cidade : urbana ou rural ? Apelido para sigilo :

_____________________________________________Dados da Hospitalização Doença :

3. Outras internações ? ( ) não

( ) sim aqui. Quantas vezes ? _________

( ) sim em outro hospital. Qual : _____________________ Quantas ? __________ ___________________________________________________Dados escolares Escola :

Série : Cidade :

1. Sobre o aluno-paciente. 2. Sobre a escola de origem.

3. Conhecimento sobre a escola no hospital. 4. Sobre as aulas de ciências na escola de origem.

5. Relações entre os conteúdos de ciências e a hospitalização. 6. Espaços de aprendizagem.

7. Aprendizado durante a hospitalização. 8. Motivo da hospitalização.

9. Estudo sobre a doença. 10. Jogo de cartas. 11. Reprovações :

Motivo ( ) internações ( ) outro______________________

Figure 14 : Guide d’entretien – élève

Figure

Figure 1 : salle de classe du primaire à l’HIJG – Figures 2 a 6 : salle de classe du collège à l’HIJG Figure 7 : activité des élèves du collège hors de l’Hôpital – Figure 8 : coin soleil à l’HIJG
Figure 12 : Guide d’entretien - personnel de santé
Figure 14 : Guide d’entretien – élève

Références

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