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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Histoire du corps dans la ville de Medellin dans les années cinquante à soixante du siècle dernier

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A. GIORDAN, J.-L. MARTINAND et D. RAICHVARG, Actes JIES XXVI, 2004

HISTOIRE DU CORPS DANS LA VILLE DE MEDELLIN

ANNÉES CINQUANTE ET SOIXANTE DU SIÈCLE DERNIER

Cruz Elena ESPINAL PÉREZ

Université EAFIT, Medellin (Colombie)

MOTS-CLÉS : CORPS CIVIL – CORPS ET CONTRÔLES – FORMES DE RÉGULATION CIVILE

RÉSUMÉ : Cette recherche a pour objectif la réalisation d’une étude de la ville de Medellin dans les années cinquante et soixante. Il s’agit d’une histoire du corps basée sur des sources historiques. Le travail d’archives a permis la visualisation d’un idéal de corps du citoyen, qui a impliqué l’analyse de la notion de « corps civil », notion travaillée dans cette étude sous les aspects : « corps et contrôles », « formes de régulation civile » et « discours et pratiques à Medellin dans les années cinquante ».

ABSTRACT : This research will study the city of Medellin during the 1950 and 1960 decades. It is about the story of the body accomplished through historical sources. The documentary research allowed to visualize an ideal of the citizen body and the analysis of the “civil Body”, a concept that was rebuilt on the investigation : “Bodies and Controls”, “Civil Regulation Ways. Speeches and Practices” in Medellin in the 19750´s decade.

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1. INTRODUCTION

Cette recherche a été faite à partir des théories de l’analyse du discours et de l’orientation méthodologique de l’historiographie, et ainsi ont été explorés les discours qui configurent un certain corps civil dans la ville de Medellin en Colombie. Le sujet sur lequel s’est faite l’analyse est une histoire du corps, faite à partir de la révision des sources historiques données par les archives, ainsi que de l’analyse des études réalisées sur la ville de Medellin.

2. ÉTUDE DES CONCEPTIONS 2.1 Approche à la notion de corps civil

La notion de corps civil fait référence non seulement au domaine de production publique et de culture urbaine mais aussi à l’ensemble des technologies du corps, de ses formes de régulation et des forces qui ont orienté le processus civilisateur particulier dans la ville pendant les années cinquante et soixante.

2.2 À propos des traits d’une ville moderne

La ville de Medellin a expérimenté une modernité particulière : en tant que matrice civilisatrice elle a réinventé la ville dans les années cinquante. L’industrialisation, les processus d’urbanisation, de circulation et de commerce ont affecté l’espace-temps urbain dans l’univers des socialités urbaines, autrement dit dans la construction du corps civil. Chaque expression rendait compte, à sa façon, du mouvement de la ville sous les dispositifs socio-techniques qui la traversaient. Par tradition, le centre ville de Medellin possédait une espèce de pouvoir attirant où les habitants vivaient l’expérience publique ; mais la ville commençait à s’accompagner d’un déploiement de population qui s’installait d’autres lieux avec d’autres références d’identités.

La ville expérimentait une rhétorique du loisir qui s’est étendue comme une pratique modernisatrice introduisant la nouveauté comme force d’attraction ou exhibition de la diversité des techniques éloignant de la routine quotidienne. Malgré cela, le spectacle était seulement vécu dans la ville diurne, en opérant comme un dispositif de médiation qui réorganisait les relations entre le réel et l’imaginaire, les déterminations sociales du pouvoir, la qualification des espaces et des temps urbains, les relations intersubjectives, en un mot, la vivification du corps social.

Comme un exemple de ceci on peut présenter les actes de fondation et les monuments comme des espaces-temps ritualisés qui qualifiaient les espaces, comme centres d’un système de référence particulier de l’identité, comme symbole urbain ou fiction du fait social dont ils ont actualisé la

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mémoire civile. D’une manière différente, la ville a vécu le déploiement technique du cinéma et ses effets de choc dans le monde perceptif de l’homme ; le cinéma a inversé les rythmes et le monde des habitudes sociales, étant une expression qui a eu rapport à toutes les couches sociales. À partir d’une perspective religieuse identifiée avec le discours de l’hygiène sociale, on considérait que le cinéma ne faisait pas seulement du monde un récit, mais qu’il était aussi une possibilité de péché en se constituant en un risque national et dans un exemple des dangers portés par la modernité à la santé du corps et de l’âme.

2.3 La Sociedad de Mejoras Públicas,

agent constructeur d’une des formes expressives du corps civil

La Sociedad de Mejoras Publicas de Medellin fut, sans aucun doute, un des agents constructeurs d’une forme expressive du corps civil. En correspondance avec les idées de progrès et la réalisation de ses œuvres de mérite, cette Société a participé aux affaires politiques et administratives de la ville. Cette élite a construit diverses formes d’être et de penser à partir d’un devoir être, que nous pourrions comprendre comme une expression particulière de l’idéal civilisateur. En ce sens, le corps des habitants s’est tourné en objet de préoccupation et d’abstraction.

Les normes civiques avaient la prétention d’orienter les formes de territorialités urbaine : construire le corps civil. Cependant, cette figuration métaphysique a dû affronter l’attaque des forces inciviles qui lui faisaient opposition. La construction de la norme opérait sous la dichotomie inclusion-exclusion, visibilité-invisibilité, qui, dans la ville, s’est cachée sous la figure du bienfaiteur ou de la charité chrétienne institutionnalisée. Néanmoins, la force des déviances avait tendance à effacer les frontières. La dichotomie, alors, comme figuration historique, a toujours couru le risque de se dissoudre. Les sociétés bienfaitrices se sont occupées de la régulation des bourgeonnements incivils et ont aussi généré leurs propres dispositifs de contention orientés vers le contrôle de la maladie, la rééducation de l’enfance, le traitement des fous et le bourgeonnement du danger communiste. Les expressions inciviles ont été conçues dans une spatialité qui remettait à un dehors de la ville où devait habiter l’autre proscrit, il s’agissait d’une logique binaire d’opposition que la norme a présentée (on est ou on n’est pas). Dans ce sens, l’incivil s’est déployé vers des groupes, lieux et pratiques dans la ville, c’est-à-dire vers d’autres expressions politique-urbaines, vers d’autres logiques territoriales.

La prolifération de manuels, de conseils et de recommandations morales dans les revues, conférences et journaux promus par la SMP dévoile la manière qu’a le discours de la civilité pour modeler les relations publiques, le monde des relations sociales, les sociabilités qui impriment des formes ou des manières qui, en dernière instance, tendent vers la configuration du corps civil et qui, malgré cela, ont affronté des résistances et des réorganisations.

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2.4 La ville : symptôme et cause de maladie

L’eugénisme constitue un mouvement qui a représenté l’inclination des scientifiques à croire dans le perfectionnement de l’espèce humaine par le biais de la biologie ; comme mouvement, il alimentait des idéaux hygiénistes renforcés avec les découvertes du XIXe siècle. Le moment culminant de ces idéaux en Colombie est arrivé en 1920 lors d’un débat public autour de la dégénérescence de la race et la nécessité de la lutte contre ce fléau qui faisait obstacle au développement du pays. Le débat sur l’eugénisme imprimait un sens précis au corps et à sa participation dans le processus de modernisation. Le débat incluait des composantes importantes de la modernité, dont le corps est une des scènes d’élaboration symbolique les plus prolifiques dont dispose l’imagination moderne. En Colombie, l’image de la dégénérescence du corps a nourri l’ingérence du discours médical dans la pensée sociale. De cette manière, l’hygiène s’est constituée dans une norme de vie qui comprenait des dimensions morales. La médecine proclame un discours de physiologie morale et les disciplines sociales et humaines ont agi sur le corps pour induire l’idée de progrès.

En Colombie, depuis les années trente, les mécanismes pour discipliner la race ont été concentrés dans l’alimentation, l’hygiène, le bon sommeil, l’éducation physique et morale, les jeux bien compris et organisés, des programmes d’études sélectionnés et contrôlés, entre autres ; il s’agissait de fortifier le potentiel biologique et de neutraliser la décadence morale. Les hygiénistes chargés de la salubrité publique défendaient la formation à partir de l’enfance d’une race forte et saine, et cette responsabilité retombait directement sur les parents. Il était donc important pour les hygiénistes d’exercer un contrôle sur les corps qui étaient disposés à se marier : le corps devait être examiné en détail afin de déterminer la capacité pour engendrer des enfants sains. La régulation de l’institution matrimoniale s’accompagnait de la diffusion de la puériculture et de centres spécialisés dans la protection maternelle et infantile. La formation du citoyen compromettait l’apprentissage de l’hygiène et l’accès à des techniques modernes comme les examens et les vaccins, qui garantissaient des corps aptes pour le monde du travail. L’hygiène mentale avait pour but faire des sujets avec des habitudes morales adaptables aux circonstances du milieu, considérant que la ville imposait ses rythmes mécaniques, qui attentaient aux rythmes naturels, et qui apportaient à la ville des maladies mentales et nerveuses. En ce sens prenaient force les dichotomies campagne/ville, semaine de travail/repos dominicaux, travail/récréation, jour/nuit, production/sommeil.

2.5 Médiations dans la construction d’une « subjectivité féminine »

Dans les années quarante et cinquante du dernier siècle à Medellin, la diffusion de l’idéal de beauté se faisait au moyen des journaux, des revues féminines, des mannequins et des stars du cinéma qui

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arrivaient à la ville avec leurs corps suggestifs et leurs modes qui exaltaient les formes et la coquetterie féminine. Ainsi a été alimentée la circulation des stéréotypes et des produits de beauté et, par conséquent, leur consommation. La ville commence alors à expérimenter les premiers bourgeonnements d’une culture narcissique accompagnée du surgissement du féminisme, la déclinaison du centralisme économique du foyer en tant qu’unité de production, la démocratisation des formes de vie et l’emploi de femmes. L’apogée de la beauté comme impératif d’urbanité émerge dans la ville, justement, en plein processus de modernisation et d’urbanisation. Pour cette raison, la régulation du corps a un caractère scientifique et rationnel, de là se dérivent les pratiques de conservation du corps : les régimes, les stratégies personnelles de santé, la médecine préventive, les embellissements (cosmétologie), enfin, tout un ensemble de techniques dédiées à obtenir l’ordre de l’apparence.

Les revues féminines ont participé dans la construction d’une subjectivité féminine, elles ont eu comme tâche la préparation de la femme pour son entrée au monde urbain. Cela a été possible à travers la publicité de la mode, des styles de vie, des règles de politesse et d’étiquette, ainsi que les rhétoriques vestimentaires, qui remplissaient l’univers des sociabilités régulatrices du corps civil dans la ville. Cependant, cette arrivée de la femme au monde public a été assumée comme une extension de son foyer domestique étant le principe régulateur de son exercice en tant que citoyenne. De telle sorte que le « mouvement féministe » a fait des pactes avec les forces de la tradition en rendant compte des transformations que le processus historique de modernité suscitait dans la ville. Le droit au suffrage, et en particulier, à l’éducation supérieure chez la femme, étaient des expressions modernes qui inversaient le foyer et l’univers privée de la femme.

Les discours qui parlaient de l’existence d’une « nature » féminine, ont permis de reconnaître que toute « nature » est toujours une construction théorique, que, dans ce cas, on cherchait à déterminer les limites de la vie sociale chez la femme. En ce sens, en tant que construction historique, la « nature » est toujours extérieur, c’est-à-dire sociale. S’il y a des différences biologiques entre les hommes et les femmes, il faut signaler que ces différences sont historiques et interviennent par la culture. En suivant ce raisonnement, on peut observer que l’idée de genre et la biologie se trouvent socialement médiées ; c’est-à-dire qu’elles ont toujours besoin d’une perspective et qu’il s’agit d’une invention sociale, d’un effet de pratiques culturelles, sociales et historiques.

Jusqu'aux années quarante, il existait à Medellin un certain équilibre ou ordre social-corporel, basée sur une série de différences codifiées entre les hommes et les femmes ; aussi bien les hommes que les femmes voyaient leurs fonctions sociales assignées et délimitées et suivaient, pour la plupart, des patrons de conduite définis par ce qui était considéré comme approprié et correspondant à son genre, définition basée en des constructions traditionnelles nourries d’ éléments religieux, qui pendant plusieurs générations prescrivaient ce qu’un homme et une femme « devaient être et

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paraître ». Étant donnée cette situation, la femme maintenait une certaine cohérence parmi ces activités, son image d’elle même et la reconnaissance sociale, tout cela pourvu que la femme ne dépassait pas le limites assignées et institués socialement. C’est-à-dire, l’apparence de la femme sur sa propre subjectivité, structurée à partir de la relation féminité-maternité-service-sacrifice - l’idéal de Marie, la femme angélique - et les attentes familiales - la femme comme synonyme de bonne épouse et mère-. Une image de femme associée à l’être pour les autres, qui se traduisait par une identification de la femme comme protectrice ou rédemptrice. C’est ainsi que les hommes et les femmes affirmaient leur identité en deux univers différenciés et codifiés, où chacun avait déterminé, d’avance, son destin.

3. CONCLUSION

La recherche rend compte des transformations qui marquent le devenir-ville, ainsi que les formes par lesquelles les habitants vivent ces transformations, c’est-à-dire, la manière qu’ils ont de changer leurs habitudes ou leurs pratiques afin de s’intégrer dans la logique urbaine. Le fait d’avoir travaillé les deux processus a permis de décrire les particularités qui consolident la conformation et la construction du corps civil. Les documents consultés montrent les moments significatifs qui ont fait partie de la mémoire des habitants. La mémoire opère comme une trace visible à travers des constructions-monuments, dans les pratiques et les narrations qui rendent compte, non seulement des façons d’habiter, mais aussi des formes d’inscription qui marquent les corps. La pertinence de ce travail de recherche sur les phénomènes culturels - comme le corps - obéit à une nécessité de penser les processus de la culture et de la subjectivité, processus qui ont trait à la façon dans laquelle le sujet construit ces représentations dans le monde contemporain.

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