A. ETABLISSEMENT DE L'EQUILIBRE RESSOURCES-EMPLOIS 1980
V. VARIATIONS DE STOCKS UTILISATEUR
De 1977 à. 1983 la variation des stocks utilisateur est obtenue par solde de l'équilibre.
PRODUCTION
3702 Valeurs millions de francs
IV : indice de volume
3702 Valeurs millions de francs
tom+
:
ai ut
iii iei UEtl 51 1 M: $,I1 . 139W 1n4:1I mi II 3t
76;1 i
fl *1L
InM
ÿ.~ ttk + ~{ *41 tai
,tœ*
im i" Y iii wil !~I
iTrs ri i 44
2J 1UH 21 4P3!
lb tuqc qs bLpx
J.i3 niqOrb g; IOJ1JLJG.
-33-
SOUS-BRANCHE R3703 : CONSERVES DE POISSONS
On a éclaté cette sous-branche suivant la NODEP entre : - les poissons surgelés ou congelés ;
- les coquillages, crustacés et mollusques, surgelés ou congelés ;
- les poissons en conserve
- les coquillages, crustacés, mollusques en conserve - les poissons séchés, salés ou fumés.
On notera que tous les poissons congelés font partie de cette sous-branche, c'est-à-dire, en particulier tous ceux qui sont congelés à bord du bateau de pêche. Ceci complique sensiblement l'établissement de cet équilibre car, pour ne citer qu'un exemple, un bateau français pêchant et congelant immédiatement du thon sur le navire, le débarquant dans un port africain où il sera mis en conserve pour être importé par la France devrait voir son produit traité ainsi par la comptabilité nationale : il y aurait production de la branche S03, pêche, puis passage à la branche S37 qui produit le thon congelé puis l'exporte (mais il n'y a pas trace de passage en douane) ; il y a ensuite importation de conserve de thon par la branche S37. On a dû forcément simplifier ce schéma que les statistiques disponibles ne permettent pas de suivre mais dont elles retracent une partie, souvent variable suivant les produits.
-34-
A. ETABLISSEMENT DE L'EQUILIBRE RESSOURCES-EMPLOIS 1980
I. PRODUCTION ET LIVRAISONS 1. Production
1.1. Squrces r. et yuan t i t: és
On a utilisé les enquêtes de branches réalisées par
- la Fédération des industries et commerces utilisateurs de basses températures, congélation, surgelés et glaces (FICUR) ;
- le Syndicat national des fabricants de produits surgelés et congelés ;
- la Confédération française de la conserve, Division maritime ;
- le Syndicat des saleurs-saurisseurs.
1.2. Sources relatives aux prix
Il s'agit du prix résultant de l'enquête secteur-branche 1982 du SCEES déflaté par l'indice des prix de vente à la production de 1982 par rapport à 1980 du poste correspondant.
Les prix ont été calculés pour chaque produit de la NODEP, car on ne disposait pas de source systématique à un niveau plus fin correspondant à la nomenclature de l'enquête de branche.
Par conséquent, les valeurs de production ne sont également calculées qu'à ce niveau.
-35-
1.3. Calcul _ de_la oroduçtion
Produits Quantité Prix (en t) (en F/kg) Poissons surgelés ou congelés (n.-c. poissons panés)
anguille 88
truite 2 469
brochet 19
aut. pr.piscicult. 1 439
cabillaud 12 140
chinchard 961
églefin 432
lieu noir 5 378
lingue 1 632
maquereau 2 240
merlan 1 814
merlu 175
rascasse du nord 1 019
sardine 1 360
tacaud 624
thon 214
autres poissons 12 169
Total poissons surg. cong. 45 174 19,84
Valeur (en 1000F)
896 252 Poissons panés
Total poissons panés 25 566 14,88 380 422 Coquillages, crustacés et mollusques, surgelés ou congelés
crevettes 2 140
langoustines 984
autres crustacés 261 blanc de seiche 786 cairn., encorn., poulpes 5 501
-36-
coqu. St. Jacques 626 autres mollusques 75 chair d'escarg. 134
Total coquill.,crust.,moll. 10 507 38,44 414 396 Poissons en conserve
sardines 28 400
thons 24 700
maquereaux 26 040 harengs-célans 870 poissons de chalut 3 940 prép.à base d'anchois 3 674
Total poissons en conserve 87 624 15,45 1 353 510
Coquillages, crustacés, mollusques en conserve divers(crust.,civ.,moll.) 610
escargots 3 283
Total coq., crust., mol. 3 893 29,04 113 053 Poissons séchés, salés ou fumés
Total poiss.séchés, sal.,fumés 1 258 8,90 11 200
Total Conserves de poissons 3 157 633
Après arbitrage, le montant de 3 169 MF a été retenu pour la production des conserves de poissons.
2. Ventes, variations de stocks producteur et intraconsommations
Le niveau des ventes est celui du passage secteur-branche soit 4 081 MF.
-37-
On a calculé, d'autre part des variations de stocks producteur qui permettent d'aboutir à la production de la branche. Pour les poissons et crustacés en conserve, on a utilisé les montants de la Confédération Française de la Conserve publiés dans le rapport sur la production de l'industrie des pêches maritimes du Comité Central des Pêches Maritimes. Pour les poissons et crustacés surgelés, la FICUR publie l'état des stocks dans son rapport statistique. Les prix utilisés résultent de la moyenne des prix des sous-produits correspondants.
L'écart entre la production de la branche et la production effective est affecté aux intraconsommations de produits français qui sont dans ce cas importantes puisqu'elles recouvrent tous les poissons congelés destinés à une transformation ultérieure.
II. CONSOMMATION FINALE
1. Consommation des ménages
Après arbitrage entre les sources de consommation des ménages et celles du commerce, le montant retenu est de 4 054 MF.
2. Consommation intermédiaire des collectivités-hôtels, cafés, restaurants
Les données statistiques de consommation l'évaluent à 924 MF en 1979, ce qui donne un montant de 997 MF en adoptant l'évolution de la consommation des ménages.
III. CONSOMMATION INDUSTRIELLE
Il s'agit d'abord des conserves de poissons importées servant dans la fabrication française de conserver de poissons.
Ce montant est élevé dans la mesure où une grande quantité de poissons pêchés en mer et immédiatement congelés est utilisée dans la fabrication de plats surgelés ou de conserves.
Après arbitrage le niveau de 1 873 MF a été retenu.
IV. MARGES COMMERCIALES
D'après les informations d'origine professionnelle, le taux de marque sur la consommation des ménages est de 26,5 % pour les conserves, cette estimation étant une moyenne pondérée entre 19,9 %, taux de marque sur les conserves traditionnelles représentant 57,3 % de cette consommation et 35,4 %, taux de marque sur les surgelés qui représentent 42,7 % de la consommation des ménages. On a retenu 28,2 % après arbitrage.
On n'a pas retenu de marge sur consommation industrielle mais un taux de marque de 14 % (140 MF) pour les collectivités-hôtels, cafés, restaurants.
-39-
B. L'EVOLUTION 1977-1983
I. PRODUCTION ET LIVRAISONS 1. Production
1.1. Sources rel a i i ves aux gcian t i t E:5r
Les sources utilisées pour le calcul de la production en quantité sont les mêmes que celles de l'année 1980. Les quantités sont relevées au niveau le plus fin de l'enquête de branche et sont agrégées pour chaque poste de la NODEP.
1 .2. Sources relatives à .Z 'évolution des p.z ix
Il s'agit de l'indice des prix à la consommation des postes indiqués pour chacun des postes suivants de la NODEP
- pour les poissons surgelés ou congelés, l'indice des poissons surgelés ;
- pour les coquillages, crustacés et mollusques, surgelés ou congelés, l'indice des crevettes roses surgelées ; - pour les poissons en conserve l'indice des produits de
la pêche ;
- pour les coquillages, crustacés, mollusques en conserve, l'indice du crabe au naturel.
Pour les poissons séchés, salés ou fumés, les prix proviennent du rapport sur la production de l'industrie des pêches maritimes du Comité Central des Pêches Maritimes. Celui-ci fait apparaître, en effet, des statistiques en quantité et en valeur.
Les évolutions de prix sont appliquées à chaque poste de la NODEP.
tif
1.3. Evol
u
t i on de la productionL'évolution de la production est présentée dans le tableau "Production" ci-dessous.
Le tableau "Equilibre Ressources-emplois" ci-dessous présente les indices d'évolution du total de la production après arbitrage.
2. Évolution des ventes, des variations de stocks producteur et des intraconsommations
Les ventes en valeur sont calées sur la différence entre le passage secteur-branche de niveau 90 et les ventes introduites dans les trois autres équilibres des sous-branches des conserves.
Pour calculer les ventes en volume, on a déflaté les ventes en valeur par l'indice de prix de la production. Les variations de stocks producteur sont calculées directement à partir des mêmes sources qu'en 1980 en utilisant les mêmes indices de prix que pour la production. Les intraconsommations s'en déduisent par différence.
II. CONSOMMATION FINALE
1.Consommation des ménages
On retient l'évolution obtenue à partir des sources propres à la consommation des ménages. L'évolution des prix est celle de l'indice des prix à la consommation.
-41-
2. Consommation intermédiaire des collectivités-hôtels, cafés, restaurants
On retient l'évolution de la consommation des ménages en volume et en prix.
III. CONSOMMATION INDUSTRIELLE
De 1977 à 1983 la consommation industrielle est obtenue par solde de l'équilibre.
IV. MARGES COMMERCIALES
Le principe de départ retenu pour évaluer les marges en volume est de les faire évoluer comme les emplois correspondants, consommation des ménages et consommation des collectivités-hôtels, cafés, restaurants. Finalement les écarts de prix constatés entre les ressources et les emplois et la confrontation avec les sources relatives au commerce conduisent à des variations en valeur des marges très différentes de celles des emplois correspondants.
PRODUCTION
Valeurs : millions de francs IV indice de volume
EQUILÎBRE RESSÇ)UI.'CÉ,S Fn.1 ?I 01.5
3703 Valeurs millions de francs IV : indice de volume
-45-
SOUS-BRANCHE R3704 : PLATS CUISINES
On a éclaté cette sous-branche suivant la NODEP entre - les plats cuisinés surgelés ou congelés
- les pâtes alimentaires cuisinées ; - les plats cuisinés préparés divers.
Dans cet équilibre sont compris les plats cuisinés préparés par les traiteurs, non-compris dans la sous-branche 3504 'Charcuterie et conserves de viande'. La frontière entre ces deux sous-branches est, d'ailleurs parfois difficile à établir. La frontière avec la sous-branche 3502 'Conserves de légumes' est également parfois incertaine pour certains produits.
A. ETABLISSEMENT DE L'EQUILIBRE RESSOURCES-EMPLOIS 1980
I. PRODUCTION ET LIVRAISONS 1. Production
1..1. Sources re1at..ives aux cruantité5
On a utilisé les enquêtes de branches réalisées par - le Syndicat national des fabricants de produits
surgelés et congelés ;
- la Confédération française de la conserve ;
- la Fédération nationale de l'industrie de la salaison, charcuterie en gros et conserves de viandes.
-46-
1.2. Sources relatives aux prix x
Pour les plats cuisinés surgelés ou congelés et les plats cuisinés préparés divers, il s'agit du prix résultant de l'enquête secteur-branche 1982 déflaté par l'indice des prix de vente à la production (+ 23,9 %) de 1982 par rapport à 1980 pour les plats cuisinés.
Pour les pâtes alimentaires cuisinées on a retenu le prix résultant de l'enquête de 1982 préparatoire à la mise en place de l'indice des prix de vente à la production dans les IAA déflaté par l'indice des prix de vente à la production (+ 23,9 %) de 1982 par rapport à 1980 pour les plats cuisinés.
Les prix ont été calculés pour chaque produit de la NODEP, car on ne disposait pas de source systématique à un niveau plus fin correspondant à la nomenclature de l'enquête de branche.
Par conséquent les valeurs de production ne sont également calculées qu'à ce niveau.
1.3. Calcul de la production
Produits Quantité Prix Valeur
(en t) (en F/kg) (en 1000F) Plats cuisinés surgelés ou congelés (à base de viande)
Total plats cuis. surg. 25 365 16,97 430 444 Pâtes alimentaires cuisinées
raviolis 80 867
pâtes cuisinées 4 074
cannelonis 5 099
Total pâtes alim. cuisinées 90 040 4,25 382 670
-47--
Plats cuisinés préparés divers
cassoulet 71 742
couscous 27 578
quenelles 17 252
viandes et légumes 20 681 autres plats cuisinés 4 002 paellas et autr. pl. 10 548 haricots cuisinés 24 466 choucroute cuisinée 11 864 ratatouille 9 117 autres lég.cuis. 12 020
Total plats cuisinés prép.div.209 270 7,68 1 967 943
Total Plats cuisinés 2 420 308
Pour tenir compte de la production des traiteurs, ce dernier montant a été relevé pour se rapprocher du niveau des ventes du passage secteur-branche. On a retenu le niveau de 3 592 MF.
2.Ventes et intraconsommations
Par rapport à la production au sens de la comptabilité nationale, les ventes comprennent en plus les intraconsommations de produits français, arbitrées ici à hauteur de 50 MF.
II. CONSOMMATION FINALE
1. Consommation des ménages
Après arbitrage entre les sources de consommation des ménages et celles du commerce, le niveau retenu est de 4 030 MF.
Ce montant ne comprend pas l'autoconsommation, plats cuisinés fabriqués à domicile. Il s'agit d'une production non-marchande que la comptabilité nationale ne prend pas en compte.
2. Consommation intermédiaire des collectivités-hôtels, cafés, restaurants
Les données statistiques de consommation l'évaluent à 3 330 MF en 1979, ce qui donne un montant de 4 230 MF en 1980 en adoptant l'évolution de la consommation des ménages.
III. CONSOMMATION INDUSTRIELLE
On n'a pas retenu de consommation industrielle pour ces produits.
IV. MARGES COMMERCIALES
D'après les informations d'origine professionnelle le taux de marque sur la consommation des ménages est de 16,7 % pour les conserves traditionnelles et de 35,4 % pour les surgelés,
-49-
soit un taux de marque moyen de 24,7 %. On a retenu 26,5 après arbitrage. Un taux de marque de 8,5 % a été appliqué aux produits consommés par les collectivités-hôtels, cafés, restaurants.
B. L'EVOLUTION 1977-1983
I. PRODUCTION ET LIVRAISONS 1. Production
1 ..i . Sources rel a t.i_ ves aux quantités
Les sources utilisées pour le calcul de la production en quantité sont les mêmes que celles de l'année 1980. Les quantités sont relevées au niveau le plus fin de l'enquête de branche et sont agrégées pour chaque poste de la NODEP.
1.2. Source5 relatives à 1'évolution despr_zx
On a utilisé l'indice des prix de vente à la production.
Les évolutions de prix sont appliquées à chaque poste de la NODEP.
.1 . 3. E vol u t .ion de la production
L'évolution de la production est présentée dans le tableau "Production" ci-dessous.
Le tableau "Equilibre Ressources-emplois" ci-dessous présente les indices d'évolution du total de la production après arbitrage.
-50--
2. Evolution des ventes et des intraconsommations
On retient un niveau nul ou presque nul pour les intraconsommations. Les ventes se déduisent de la production par addition de ces intraconsommations.
II. CONSOMMATION FINALE
1. Consommation des ménages
On retient l'évolution obtenue à partir des sources propres à la consommation des ménages. L'évolution des prix est celle de l'indice des prix à la consommation.
2. Consommation intermédiaire des collectivités-hôtels, cafés, restaurants
Elle s'obtient par solde de l'équilibre.
III. CONSOMMATION INDUSTRIELLE
On ne retient pas de consommation industrielle pour cet équilibre.
-51-
IV. MARGES COMMERCIALES
Le principe de départ retenu pour évaluer les marges est de les faire évoluer comme les emplois correspondants, consommation des ménages et consommation des collectivités-hôtels, cafés, restaurants. Ce principe peut être respecté pour les marges sur la consommation des ménages mais celles sur la consommation des collectivités-hôtels-cafés-restaurants s'en éloignent sensiblement.
PRODUCTION
3704 Valeurs millions de francs
IV : indice de volume
EQV7ILIfRE EMPLOIS
t. ?S2 l âiï8~L.7]Lü
.a3n3 sb giulm : aiusLfV AOr£
i1ov sb soLhii : VI
, z
t iliRt t R # f 1 C ! t VI i i i-i _ rrrrrirrirrn i 1 . ! i f ! â
i_ –..-.._r{—,...-3°_-.._.-i— .i...____1 I---1--- .
t t I ' } f i 3 ! i 9 1 f I f i t 1 ..
. sv11.0m Iü1 t îo tLLif il'it l f+ lam4 I JDt t8 t t1 to m ) 'Isti« t ,iJ1 tifs ayai o;1 'Ki ( F s
iUt 14, t 18 tÇP 1&SU toton i ti1 itta1 f )MI } i ri II A-r ` 11
IL { t* z Çt g .F IS f n t' t ,.
a il# _u,i fla t ! It s tt
t t :moi ` +t> '.
- * 'j t
s
as * * : = zi* z z
z
h
Çl rt~. ~ i ~5• ~( ~ t r :r Y ' ?..X° 7 .~. L?•.y.`i• ✓~Y~ Jt+•`*4r & r !L t$ #iØ
t ~ ,. T ~ a• ~ ;~! U" _ r ! ~ 1. ~'t`•'J 't1 .eS ~ ,F~~ r- i ,~'.~
7?.~-•~, _ ~"~, ._~ .e. r~ r X19 c 1 ~r^'F` .1 -~. - ~ _ -2 ~.. ..h.! .. ~_~
~ 1 .!-.. 1 ~. / x- i~ `~ 4 ~. f^:e r"` .t• iu,
' _ - .~ ~ •1 t,f „ ~`-U;',C i1T f - (t F a~~ }-~•~4~~~_-:`.. ~ ay. IY -. ryyTl/a•
RÂ 1- - _f... j +j q L. L~ _t f j G.-!f
~r' 3.il,. I.~ 5 ~!- F ~yjŸt<•! 1't. `'t i d+ ~,`~+` 4• .M"c ~, .~
~r ; !.. _ .=, M •l~~N~V~~~~ y ir ~ .jr_ ~6 ~ - V~~ r ~:; Tü~ nS i, ~ _ .:.7 r.aw . ~., n ~ vi
~`' . ~j~ h. _ ' .,~ÿ , 7 tF::r.' x~i - 1. i ~ t~i ~i -? +~ ~ * ~ - e â1„~7 ~ ~;sfF. -• ~ ., y, ~u ? r ~r.
~ ~• -~:' Y v'. l.' tiV ( ~ [ y }Ai- .mot - ~ i .s t.` +, ir ~N.-i '+'~ R :°sFr v I ~.F N
- t. i.. ,•? •' ~ I ~ - _ :tom ~s Ÿ1i ~a ~r? A :* i ~. , tT -. +t'i{ }. -+t ~w: e•. F ,~, ~ --~yR:-7~
. ~ i• - 1 .~ -n i: ~ ati'~ l t l 7 ~~,•r,:~4, ~.j-1N 'y Yi``ir .. ~ S 1:~ t. .f: ,., eue, ~c Z _ 4 b.~ i,fi. :a.•b. :,e-... _- , K
4.
~ ,. }r = .~•s b J- il~.~.,a•~` .~ r.~ iL .-r' 7Rt .q...y, - t '^f n Sf 'a•C ~..1-.`.c.
. ,r ' .r lyu -{ -. ( .r„3-: 5►, ? ~i F,'; _' ~w,'S C✓b c.,.;^ é: !-'s .r -14v r ÿ~, `c`I'~ J ~~ - n. d° a:
f n~•ty,(c.fi?ti.~r~~r: ,~ ~f .3rçYY` ~ -Ç' a; ~` ? Î.~• '1 ss ..Id!7ti Ax ) .y ~-i',:~ti~~l y r~'~
_ ,~ ..r r>. ~.t . ~';, s -+*~`j, , ris. f, A~ - f ~ ~, :L ~g *:f' I~-~ ~i.'~# ' ~ . ✓ _ :l . ` i tâ ^-! V=: ~ v., l l.. ~r, ,•ri -t r; r ...i' 1:: 4 Vil!' Y ' x ÿ ~ ., t ;t ~ ,t ~, .I ,ÿ ~-~y ~ t •: r~+r'. • -- tr„~;. ' - W .a.
d: ..~1... 7' ~.i. ~ ~ f ;t t. ?~.~..r~ } r-S^~ r)i~ lr~~ ~+•- .-•ar ~, .,]'~k . ` {. rte: „-i~..~+.,~ r _ L' a ` ,. l~v.' -; y. ~. - ' t: ~•r ~Ss~ v '.:1 -n ) _ - ~ *~ ;.~ *7~ S ' s r :~ t cl- - : r.. ' i,2 cS t, ~ ilkt ;,+ a~:.~.~• ~~?: .s. a •t rr,~ r..i- ~?M.~,..~7~.y( - ,..1; ~y-.~-~ ;k ''r ,Y`. ~ • - -,2frrr .r..,..•'+iS• 2 a~ ..,i~ ::::~?.G r',,,,.~; ,ISF..y. 7. ~r t+ ~ - .Yÿ- •f.•. •4 ~, wk~c'.~.,.~.~- y.~, - C7 ~:ev y .%n; S ~ ..P: ~a. ,., b ..y1~ -. R, ~+ ~ c ti{C: :•,ces- t ! : n Tom.-fic'.
.. r ,.~; --. s_..,: ~. .'t~~w~?{, `~ .r±, •_ter _.r.,><-•_..,Lt~..
-55-
BRANCHE 538 : PAIN ET PATISSERIE
Cette branche comprend les boulangeries-pâtisseries industrielle et artisanale.
Alors que la nomenclature des produits ne comprend que les deux postes pain et pâtisserie, la nomenclature des activités distingue les trois postes fabrication industrielle de pain et de pâtisserie fraîche, boulangerie-pâtisserie, pâtisserie. Il y a donc recouvrement entre ces deux nomenclatures, interdisant toute utilisation des sources sectorielles à un niveau 600.
E1ême au niveau 90, la frontière est souvent mal perçue entre la fabrication industrielle de pain et pâtisserie fraîche (sous-branche R3810) et la biscuiterie (sous-branche R3902) qui comprend explicitement la pâtisserie industrielle et la panification fine. Ainsi les biscottes font partie de la branche S39 alors que le pain de mie industriel est dans la branche S38.
L'absence de sources spécifiques pour cette branche où les producteurs sont très nombreux et l'identité du traitement statistique des deux sous-branches "pain" et "pâtisserie"
conduisent à présenter les méthodes utilisées simultanément.
A. ETABLISSEMENT DE L'EQUILIBRE RESSOURCES-EMPLOIS 1980