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(Une simple question de point vue mais qui reste déterminante) Si elle permet de justifier l’interprétation que nous donnons à certains

phénomènes, la thèse de l’expansion interroge sur son bien-fondé.

 Comment expliquer qu’un Univers en expansion montre quasiment la même température partout ? En se faisant l’avocat du diable, on pourrait toutefois rétorquer que si la région observable de notre Univers ne représente qu’une infime partie de celui-ci, il est normal que les différences de température à l’intérieur de ce périmètre accessible ne soient pas franchement perceptibles.  L’expansion présuppose une singularité de départ de dimension quasi nulle dans un espace encore inexistant. Il parait donc judicieux au regard de l’état actuel de notre Univers et des phénomènes observés à différentes échelles, d’essayer de déterminer son taux d’expansion et par la même son âge. Mais là rien ne va plus !

L’expansion au début devait être considérable pour décroître progressivement parallèlement à la chute de température de l’Univers. Il a même été avancé l’idée que cette expansion de départ aurait été plus rapide que la vitesse de la lumière. C’est oublier la relativité qui fait se rejoindre le temps et l’espace avec les premières intrications radiatives et qui fait que la vitesse des photons est déterminée par le degré d’occupation énergétique de l’espace. La vitesse lumière devient alors un indicateur de l’état de déconstruction de notre Univers, autrement dit de son âge. C’est aussi ce qui en fait une constante acceptable s’agissant d’événements rapprochés dans le temps.

On peut considérer que notre Univers plus jeune, celui dont nous recevons la lumière en provenance des galaxies les plus éloignées, a connu une période particulièrement tumultueuse avec un taux d’agitation (ou de dispersion rétrograde) plus élevé qu’aujourd’hui. Le « creusement dépressionnaire » de l’espace devait être beaucoup plus rapide que celui que nous constatons dans notre espace proche. Ceci fait que l’observation de l’espace lointain donne l’impression que notre Univers se dilate d’autant plus vite que les galaxies sont distantes.

 Cette fuite apparente accélérée des galaxies laisse supposer qu’après une période de forte expansion, l’expansion aurait fini par ralentir pour repartir de plus belle à la hausse. Indépendamment du fait que nous mélangeons

présent et passé, il reste à expliquer ce qui serait la cause de ce regain d’expansion qui nécessite énormément d’énergie.

Mais où trouver cette énergie ? La réponse par défaut serait l’existence d’une énergie indétectable, de nature inconnue. Prédite à l’état de pure hypothèse, elle sera baptisée énergie sombre.

 Cette vision inflationniste de notre Univers qui peut laisser sceptique ne permet pas de dire si l’expansion se poursuivra telle qu’aujourd’hui ou si elle ralentira un jour. L’Univers entrerait alors en déflation pour terminer comme il a commencé. Ce Big-bang à l’envers qui porte le nom évocateur de Big-Crunch a tout de l’effondrement final bien que ce processus récessif soit différent de celui proposé ici.

Comment dans ces conditions ne pas être tenté de reconsidérer l’expansion de notre Univers, sachant qu’en astrophysique, trop évident n’a pas toujours valeur de vérité.

Dans les tous premiers instants qui suivirent le Big-bang, photons et quarks primitifs étaient indiscernables car ils ne possédaient pas encore leurs particularités propres. Les premiers électrons résulteront du changement d’état de certains quarks primitifs, produits de neutrinos qui abondaient à ce stade. C'est alors seulement que les premiers atomes d'hydrogène (l’atome le plus simple constitué d’un proton et d’un électron) pourront se construire. La notion de masse devient alors l’indicateur reconnu le plus apte à nous instruire sur le niveau d’énergie de la matière ainsi créée et rassemblée. Formation de gaz puis corps stellaires plus ou moins chauds seront les préalables nécessaires à la formation de trous noirs, phase finale du processus. Ces astres singuliers qui phagocytent la matière, dépouillent l’espace et créent par leur masse considérable comme un "appel d'air" (appelé grand attracteur dans la version S.F.). L’expansion, du reste difficilement conciliable avec l'idée d'un Univers sans périmètre marqué, se résumerait donc à un effet d’optique.

L’énergie initiée par le Big-bang n’a pas vocation à rester « uniformément lisse ». Chaque nœud d’énergie qui peut être ramené à une particule élémentaire, amorce une dépression d’espace. Cette tendance dépressionnaire qui réalise l’assemblage des quarks en hadrons (particules composites), devient d’autant plus intense que le nombre de particules élémentaires rassemblées est important. Aussi l’effet dépressionnaire de notre Univers, en rapport avec l’augmentation de la masse totale de celui-ci, ne fait que s'amplifier, pouvant laisser croire à l’existence d’une force répulsive.

Pour mieux se représenter la nature de ces 2 phénomènes (attraction et dispersion) en relative opposition, mais qui n’en font qu’un, on pourrait faire à l’extrême et sur un seul point (celui de l’effarante complexité de certains événements), un parallèle très éloigné avec les organismes vivants. Ceux-ci ne sont autres que des modèles hiérarchisés de molécules, de cellules différenciées, d'organes diversifiés aux fonctions complémentaires. Ces composants vont se rassembler, se développer, se structurer avant de se reproduire génétiquement sur un modèle très particulier : le génome ADN. La chimie organique nous aide à comprendre certains mécanismes récurrents. Des interactions insoupçonnées, développées dans l'intimité de la matière, doivent pourtant intervenir dans cet assemblage complexe et programmé de particules, qui perpétue la vie en prélevant, regroupant, sélectionnant et éliminant au besoin, les innombrables constituants nécessaires. De plus, la quantité énorme d’énergie (m=E/c2) mise en œuvre doit satisfaire, pour les créatures les plus évoluées, à des conditions de température et d’environnement particulièrement restrictives et contraignantes.

Cette comparaison ne vaut que par l'égale difficulté à décrire les causes difficilement identifiables, d’interactions quasiment autoprogrammées qui interviennent dans ces phénomènes en apparence peu conciliables que sont la gravitation des corps et une dispersion rétrograde dans un rendu faussement expansionniste. Issue, comme toute chose, des premiers rayonnements, la vie qui n'est autre qu’un assemblage un peu particulier de molécules, n'échappe pas, triste ironie du sort, aux effets destructeurs de ces mêmes rayonnements à l’origine de la vie. Elle ne peut perdurer qu’en clonant de génération en génération, un embryon modèle, matrice perfectible du genre humain.

En poussant le parallèle, l’homme commence son existence au stade d’une insignifiante ovule (-) « réveillée » par l’incursion d’un spermatozoïde (+) alors que l’Univers naîtrait d’une conjonction de TNMM dans un contexte de symétries retrouvées (+ et -). Dans les 2 cas, sans considération d’échelle ; à petites causes, effets conséquents qui gardent toute leur opacité. L’homme se succède à lui-même, en revenant d’une certaine façon, à chaque fois, à un même point initial. Toutefois, chaque nouvelle génération ne peut s’identifier à celle qui l’a précédée. Il en est de même de notre Univers qui se succède à lui-même dans un continuum de système binaire d’univers en symétrie mais reste oublieux de son histoire. Chaque nouvelle descendance comme chaque génération d’Univers est en quelque sorte et en extrapolant un retour à la case départ.

Ce que nous voyons de notre Univers est de l’histoire ancienne. La composition actuelle et donc réelle de notre Univers n’est pas observable

au-delà d’un présent de proximité immédiate. Ceci fait qu’une grande partie de la matière, construite et rassemblée postérieurement à l’époque que nous sommes réduits à observer, n’est pas prise en compte dans nos évaluations de la masse globale de l’Univers. Il nous reste bien sûr la possibilité d'extrapoler à partir d'un échantillon de mesures de proximité. L’observation à partir d’OEM qui proviennent du passé, nous fait croire qu’il serait possible de déterminer, bien qu’imparfaitement, la masse qu’il pouvait avoir à une époque révolue. De surcroît, nuées et matières dispersées interstellaires pas toujours visibles, occultent ou brouillent l’observation. S’ajoutent à cela les déformations de l’espace/temps déjà évoquées dues aux effets de lentille et cisaillements gravitationnels. Le caractère obsolète des données qui nous parviennent depuis le lointain, explique que l’insuffisance d’une hypothétique matière noire paraisse moins remarquable dans le voisinage de notre système solaire.

Nous ne sommes, aujourd’hui, pas réellement en mesure d’actualiser ce que nous observons, d’un passé éloigné. Constater les changements survenus depuis, dans ces espaces lointains, nécessiterait que nous nous projetions dans le présent de ce lointain. Or celui-ci ne pourra s’observer que dans plusieurs milliards d’années, si nous sommes encore présents. Mais là encore le problème du décalage subsistera.

Si l’on considère que l’Univers n’a pas de volume mesurable, pas de centre ni de bord défini et que la valeur de toute chose est frappée de relativité, on comprend que parler d’inflation ou d’expansion est un sujet qui n’est pas près d’être épuisé. Si l’on résume :

 Les galaxies donnent l’impression de s’éloigner

Donnant l’illusion d’une expansion de notre Univers, c’est l’espace qui se met en dépression.

 L’espace se dilate

Cependant il n’enflerait pas réellement, c’est l’énergie transportée par les photons qui se fait moins présente en rejoignant une matière qui se fait de plus en plus concentrationnaire.

 La matière se fait de plus en plus dense

Cependant c’est ce processus rassembleur qui permettrait à l’énergie de s’exclure de l’espace, les OEM étant appelées à terme à quitter leur terrain de jeu qu’est l’Espace/temps.

 Toute l’énergie se focaliserait au final sur ces singularités quantiques hors espace que sont les trous noirs. Ceux-ci constituent l’étape obligée qui conduira à déconstruire notre Univers refroidi.

 Notre Univers disparaîtra un jour

Le retour à l’équilibre cosmologique a un prix. L’effondrement final qui y pourvoira, ne peut se réaliser qu’en sortant du temps et de l’espace ; 2 notions qui font la relativité dans notre réalité mais ne peuvent faire référence à ce stade.

Cette relativité décrit la courbure de l’espace qui peut être considérée autant positive que négative : simple question de point de vue et de symétrie. Elle explique la topologie fluctuante, instable et accidentée de notre symétrie d’Univers.

XVI Comprendre plus précisément les effets gravitationnels

(Un phénomène qui attire, avant toute chose, la curiosité)

Qui connaîtrait la mécanique quantique en ignorant le monde supra atomique (molécules, corps stellaires, galaxies et autres regroupements de la matière), aurait bien des difficultés à imaginer la relativité du temps et de l’espace et réciproquement. Ce serait comme connaître le solfège, en ignorant tout des sonorités musicales. Le voisinage « contre nature », de quanta de même symétrie va amorcer l’évolution de notre Univers. Déstructurée au sein d’un TNMM, que ce qui fut une particule de matière puisse s’annihiler en se confrontant à ce qui fut sa particule symétrique, rapproche la mécanique quantique de la théorie relativiste et la gravitation.

La relativité d’Einstein est déterministe et prédit la position d’une particule en raison des distorsions de l’espace-temps causée par sa présence et celle d’autres corps. La mécanique quantique est probabiliste et utilise l’interprétation mathématique de la fonction d’onde pour déterminer la position possible d’une particule. Ces 2 modes de description semblent incompatibles alors qu’ils traitent du même sujet.

L’une et l’autre relèvent de principes qui n’ont, en apparence, sur bien des points, rien de conciliables. Il en est de même des concepts d’Univers non borné et de Cosmos multivers virtuel, pourtant indissociables. L’idée de cet essai est de lever cette frontière d’une trop flagrante incompatibilité entre ce que nous croyons connaître, (nos lois et nos interprétations, faisant jurisprudence, de phénomènes physiques faisant jurisprudence) et ce qu’une logique à priori hors normes, nous fait envisager dans le domaine du possible. Concilier l’électromagnétisme et la gravitation, l’espace et le temps sont les conditions requises pour une théorie unifiée.

La gravitation reste la pierre d’achoppement de l’astrophysique mais justifie-t-elle le recours à une nouvjustifie-t-elle et hypothétique particule baptisée pour l’occasion, graviton ? La force gravitationnelle incarne la dynamique d’assemblage de notre Univers. Sa raison d’être semble ne pouvoir s’expliquer qu’en s’intéressant au plus profond de l’espace subatomique ; ces champs de force qui font office d’Espace/temps dans la dimension quantique.

Parler du mouvement d’un corps revient pour l’essentiel à décrire les modifications de déplacement dues aux effets gravitationnels qu’il génère et à tous ceux qui s’exercent de façon interactive sur ce même corps, y compris lors de collision. Pour mémoire, l’expérience de Galilée a fait dire qu’un boulet de canon et une plume lâchés simultanément d’une égale hauteur percuteraient le sol au même instant s'il n'y avait l'atmosphère. Ce n’est pas tout à fait exact

dans la mesure où la masse du boulet, étant supérieure à celle de la plume, ajoute un effet gravitationnel que n’a pas la plume. Ceci fait que l’inertie d’un corps est constamment modifiée en vitesse et direction et que les orbitales, à quelque niveau que ce soit, n’ont rien de cercles, ni d'ellipses parfaites.

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Comment pour la gravitation faire référence à la densité de la matière et l’intensité des OEM :

 La dépression de l’espace par effets gravitationnels, modifie constamment le mouvement des corps, justifiant leurs variations de masse et densité, leurs trajectoires et leurs ordonnancements. Ainsi sur terre, par rapport au centre de gravité de la planète (point où les effets gravitationnels se compensent mais où la densité est la plus forte), les liquides (océans) de moindre densité sont plus éloignés que les corps solides (roches) et les gaz (atmosphère), encore moins denses, sont plus distants que les liquides. Quasiment tout corps stellaire est animé d’un mouvement de rotation sur lui-même. En interne, ce mouvement n’est pas uniforme car il se crée des zones de friction entre les différentes couches. Cette agitation s’accompagne d’écarts de température et de densité entre couches. Les zones de surface sont en général moins chaudes que les zones internes (cas de planètes telluriques comme la terre). Des réactions thermonucléaires au sein d’étoiles comme notre soleil, font que la densité aidant, les secteurs les plus chauds pourront néanmoins se situer dans des couches intermédiaires.

L’idée retenue ici, fait de la gravitation, au travers des interactions électromagnétiques omniprésentes à tous niveaux, la résultante d’interférences « discrètes » entre 2 univers symétriques. Ces interactions cachées assurent la cohésion des composants du noyau atomique. Cet assemblage a conduit à revendiquer, par défaut, la présence d’une force irrésistible à court rayon d’action : la force dite forte. Difficile cependant de ne pas faire de rapprochement avec ce que nous appelons la « force » gravitationnelle.

Cette dernière représente une dynamique de contraction des distances à proximité d’un corps source d’effets gravitationnels (la terre qui vaut référentiel pour ce qui nous concerne). A l'inverse, en changeant d’échelle, plus loin porte l'observation plus les distances paraissent s’allonger, avec l'impression d'une distanciation des corps d'autant plus rapide que ceux-ci se trouvent éloignés de nous.

Lorsqu'une voiture s'éloigne, on constate que les ondes sonores émises par le véhicule, s'allongent. Maintenant, on peut aussi considérer que ce n'est pas la voiture qui bouge mais le parcours qui s'est allongé. Il suffit pour cela de donner une courbure toujours plus importante à la route qui devient alors sinueuse. Quand nous regardons dans le lointain, donc dans le passé, c'est un peu ce qui se passe mais le tracé accidenté du chemin d’observation nous échappe.

Ce ne serait pas une galaxie qui nous fuit, mais la distance qui nous en sépare qui est étirée en raison d’une temporalité qui a ralenti depuis le moment représenté sur l’image reçue et qui représente son délai d’acheminement jusqu’à nous. En effet, dans un Univers observé plus jeune et où la matière était moins abondante, les photons n’avaient pas la même "perception" du temps. Les distances à parcourir nous paraissent alors s'allonger du simple fait que nous restons sur notre temps présent, celui d'une région de l’Univers qui évolue dans un contexte gravitationnel qui nous appartient. Or notre espace présent en dépression avancée n'est pas l'espace du passé que nous observons.

Dans ce passé, les effets gravitationnels se manifestaient sur un plan général avec une moindre intensité. La dépression de l'espace du passé était moins creusée qu'elle ne l'est dans notre référentiel actuel. Mais les effets gravitationnels en interactions rapprochées faisaient que les champs d'énergie qui représentent l'espace vide étaient « aspirés » plus rapidement par la matière construite bien que celle-ci ait été beaucoup moins présente qu'aujourd'hui. Cette tendance dépressionnaire accrue singularise l'espace faussement vide et particulièrement dense en énergie d’un Univers jeune. Elle explique que les distances observées dans un passé éloigné paraissent s'accroitre de plus en plus rapidement. Si l'Univers à grande échelle est globalement isotrope et homogène, il n'est pas statique, ni éternel pour autant. Dans le passé, le temps s'écoulait plus rapidement qu'aujourd'hui de sorte que la vitesse de la lumière parait d'autant plus accélérée que nous la scrutons dans un lointain plus distant. Quoiqu'il en soit, la vitesse de la lumière ne cesse d’être perçue différemment dans la mesure où elle se propage dans un espace qui change en occupation par regroupement et densification de la matière. Les galaxies et corps stellaires donnent ainsi sa flexibilité à l'espace-temps en raison des effets gravitationnels qu'ils génèrent. C'est ce qui fait que les longueurs d'ondes provenant d'un passé lointain ne cessent de s'allonger. Ce phénomène que nous interprétons comme un effet Doppler, a pu laisser penser que nous serions en mesure par de savants calculs de remonter le temps et déterminer l'âge de notre Univers.

Ce constat a inspiré la théorie du vieillissement des photons, une hypothèse qui n'explique pas tout mais qui rejoint l'idée d'un Univers non expansionniste.

Le rayonnement RFC, s'il tend à corroborer la théorie d'un Big/bang, ne valide pas, pour autant, l'hypothèse d'une singularité ponctuelle, sans volume initial remarquable et qui se serait mise à enfler tel un ballon de baudruche que l'on gonfle. Si ce rayonnement diffus explique le passé turbulent d'un Univers non stationnaire, il ne signifie pas que les galaxies s'éloignent les unes des autres dans une dynamique expansionniste. C'est omettre de prendre en compte la dépression croissante de l'espace « vide ». C'est aussi négliger les effets de la relativité dans notre compréhension de l'évolution de notre Univers.

Formulé autrement : Les rayonnements qui véhiculent l'image d’événements ou d'objets lointains sont des ondes du passé. Pour nous parvenir, ces ondes ont parcouru des régions d'espace qui les ont d'autant plus impactées qu'elles ont voyagé longtemps, subissant les effets des référentiels traversés. Ce qui fait que nous comprenons cet allongement des longueurs d'ondes provenant d'un passé lointain comme un allongement des distances. C’est l’effet Doppler qui fait que quand la source d’émission s’éloigne, les longueurs d’ondes paraissent s’étirer. Il est vrai qu'il n'est pas évident d'intégrer dans nos observations, cette volatilité du temps et de l'espace révélée par Einstein dans sa théorie de la relativité.

 Un trou noir où tout est confiné à l’extrême, devrait ignorer contrairement à tout autre corps, les strates de densité. Tout ce qui franchit le disque d’accrétion n’est plus qu’énergie privée d’interactions, à l'état probable d’une sorte de plasma super fluide en raison d’une homogénéité sans faille. Mais sans doute, n'est-il pas véritablement liquide en raison de la densité extrême qu’il représente. Dans un trou noir, les atomes sont déconstruits.

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