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Le Service d’Appui Pédagogique (SAP) Afin de faciliter la transition de l’enseignement

Accès aux Masters en Droit

ou en Criminologie

Guillaume Bouton

“Le Droit a été d’em-blée une évidence dans la mesure où l’agencement de la société, ses règles et son fonctionnement m’ont toujours inté-ressé. Le cursus de Bachelier m’a rassu-ré sur mes capacités personnelles même si au départ quelques échecs ont largement ébranlé mon égo ; bref, j’en sors plus conscient du monde et surtout prêt à exprimer mon désir de participer activement à ce monde et à y apporter mon humble touche per-sonnelle et ce, dans l’intérêt du plus grand nombre mais aussi en espérant en tirer bénéfice en terme de développement personnel. L’Ecole de Droit me semble à la fois un lieu de prise de conscience de soi et du monde au travers d’une formation qui enseigne la rigueur intellectuelle et une certaine forme de souplesse mentale induite par l’analyse des interactions complexes au sein du Droit.

Petit conseil : une bonne organisation et une volon-té à rude épreuve.”

c la prise de connaissance du fonc tionnement de la bibliothèque et des ouvrages juridiques;

c la mise en pratique des outils acquis pen-dant l’année pour se préparer aux examens oraux à travers “un exercice de représen-tation” dans le cadre d’un procès fictif.

2. L’activité de monitorat (intégrée dans le cours de Méthodologie juri dique) au cours de laquelle des étu diants de BA3 plus avancés dans le cursus, accueillent et partagent leur expérience avec les étudiants nou vellement arrivés de BA1, en les gui dant par exemple dans l’élaboration d’un exposé oral ou encore dans la résolution d’un cas pratique, sous la coordination d’un assistant pédago gique.

3. En complément de certains cours et des travaux pratiques associés, des séances de

“remédiation – coa ching” en BA1 sont mises en place en vue de répondre aux questions des étudiants et de faciliter l’assimi lation des notions enseignées. Ces séances organisées tout au long de l’année se déroulent en groupes res treints favorisant une participation active et une meilleure interactivité avec les étudiants.

4. Les séances de “soutien pédago gique”

organisées en BA2 et BA3 sont mises en place pour accom pagner les étudiants tout au long de l’année, selon leurs besoins et leurs demandes spécifiques dans la com préhension des matières juridiques, l’organisation de leur travail et leur préparation aux examens.

Le Service d’Appui Pédagogique (SAP)

Ecole de Droit

Les débouchés

Les études de Droit conduisent à un large spec-tre de débouchés. Bon nombre d’étudiants en Droit ont, dès leur arrivée, un projet de carrière précis tandis que d’autres s’insèrent dans cette formation universitaire afin de profiter d’un important faisceau d’offres professionnelles.

Des carrières juridiques

Dans l’inconscient collectif, la formation en Droit fait souvent référence aux carrières d’avocat ou de juge, à celle de notaire ou d’huissier de justice. Pour un certain nombre d’entre elles, des concours d’admission ou des conditions complémentaires sont requis. Au Barreau, une pratique de trois ans dans un cabinet d’avocats en tant que stagiaire est incontournable. Des conditions particulières sont exigées pour deve-nir notaire. La magistrature debout, entendu substitut du procureur du roi, ou la magistrature assise, composée de juges, sont accessibles suite à des concours et examens qui varient selon la fonction envisagée. Les autres statuts de l’ordre judiciaire sont tributaires de nomina-tions ou promonomina-tions.

Des carrières publiques

La fonction publique recourt fréquemment aux juristes pour leurs qualités à défendre les intérêts de la collectivité, à garantir la légalité de l’action publique, à apporter leur savoir et

leur regard avisé sur les actes administratifs, à assurer le rôle de conseiller et à fournir un substrat de Droit. Et ce, à tous les niveaux : local, communautaire, provincial, régional, national, européen et – le Droit s’étant largement mondialisé – international. Les juristes peuvent faire fonction à la Cour des comptes, au Ministère des finances, à la Commission européenne,…

dans tous les organismes d’intérêt public.

Des carrières privées

La société moderne doit faire face à une législation de plus en plus complexe relative au commerce, à la finance, à la protection de l’environnement, à l’immobilier,… Les entrepris-es font donc appel à dentrepris-es juristentrepris-es pour rédiger et exécuter des contrats, pour gérer les litiges, pour négocier avec les clients, pour défendre et protéger leurs propres intérêts dans le respect des règles. Ainsi, il est courant de rencontrer des juristes au sein d’entreprises industrielles et commerciales, de banques, de compagnies d’assurance, etc.

D’autres exemples de carrières

Les juristes séduisent par leurs connaissances juridiques et leur parfaite maîtrise des rouages institutionnels. Leur esprit critique et leur savoir pointu et actualisé leur servent aussi à se positionner dans d’autres secteurs plus périphériques. Il n’est pas rare de voir un juriste suivre une carrière journalistique ou politique.

Contact

Secrétariat :

Campus Sciences Humaines 17, Place du Parc à 7000 Mons Tél.: +32(0)65 37 32 58-59-60 info.droit@umons.ac.be

Si vous désirez recevoir la brochure ED, remplissez le formulaire en ligne via

www.umons.ac.be/inforhetos

Le Droit à l’UMONS, un large spectre de débouchés

Ornella D’Aulisa

“ L’Ecole de Droit nous a offert une formation très complète et enrichis-sante, et ce dans toutes les matières que le Droit réglemente. Le parcours n’est pas simple, loin de là, mais avec de la ri-gueur et de la volonté c’est possible d’y arriver.

Mais la véritable satisfaction est celle d’avoir parti-cipé à l’expérience humaine qu’est l’université: par-tager son quotidien avec d’autres étudiants, faire naître de nouvelles amitiés, développer une solida-rité entre nous, rencontrer des personnes extraor-dinaires,…tous ces éléments ont été un véritable moteur de réussite. En règle générale, l’étude et la pratique invitent, voire imposent, à faire preuve de rigueur, de précision, d’intérêt pour la matière et souvent même de la passion. L’Ecole de Droit en particulier ajoute d’autres composantes comme la dynamique positive de réussite avec la mise en place d’activités organisées pour aider les étu-diants à atteindre leurs objectifs (remédiations, tra-vaux pratiques obligatoires, l’apprentissage de la gestion d’équipe, le partage d’expériences grâce au monitorat, etc.) et surtout, l’appréhension pra-tique des matières étudiées grâce à des cours en-seignés par des praticiens du Droit eux-mêmes.

Petit conseil : de la détermination, de la rigueur en-vers soi-même, de l’organisation, de l’intérêt pour les matières enseignées et surtout, la volonté de participer à l’expérience que constitue la vie à l’université, avec tout ce qu’elle a d’enrichissant à offrir aux étudiants.”

Ou de prendre la direction d’activités dans le monde socioculturel. Les carrières dans la recherche ou dans l’enseignement sont d’autres voies également envisageables.

Les spécificités

La spécificité de l’Ecole de Droit est qu’elle est fondée sur la collaboration entre les universités de Bruxelles et de Mons. Ensemble, elles ont décidé, en combinant leurs atouts respectifs, de s’associer en 2004 pour la mise en place du premier cycle de transition en Droit à Mons.

En effet, à cette époque, l’ULB reçoit une habilitation légale pour un premier cycle en Droit à Mons. Quant à elle, l’UMONS, de par ses propres habilitations, dispense certains enseignements de nature à s’intégrer dans un programme de premier cycle en Droit et dispose, en outre, d’infrastructures et de locaux pouvant abriter la formation à Mons. Tandis que l’ULB dispense, entre autres, les cours à thématique juridique, s’occupe de la gestion académique du programme d’études et des conditions d’admission et, confère le grade de Bachelier et délivre le diplôme, l’UMONS prend en charge les enseignements portant sur les matières non juridiques relatives aux sciences humaines et aux langues, gère le secrétariat du jury d’examens composé d’enseignants issus des deux universités et coordonne également les inscriptions au Bachelier en Droit à Mons.

Master complémentaire en Sciences du Langage

Les études et diplômes

L’UMONS, en lien avec l’Institut de Recherche en Sciences et Technologies du Langage, organise un Master complémentaire en Sciences du Langage, destiné à des diplômés de 2e cycle. Il vise à donner à l’étudiant une formation de haut niveau assurant, d’une part, sa maîtrise du cadre général des sciences du langage et, d’autre part, sa spécialisation dans un secteur déterminé.

La structure des études

Le programme comporte, outre un tronc commun, divers parcours de formation (Sciences de la parole – Didactique des langues - Langage et cognition (non organisé en 2014-2015) - Langues et civilisations scandinaves - Traduction audio-visuelle, sous-titrage/doub-lage - Négociation multilingue - Traductologie).

Chacun est organisé autour d’une option et prépare soit à la recherche dans un secteur des sciences du langage déterminé, soit à l’exercice de l’un des divers métiers de la langue.

Les cours sont essentiellement dispensés à Mons mais certains d’entre eux (maximum 15 crédits) peuvent être choisis au sein de modules organisés par l’ULB à Bruxelles (non obligatoire).

Les aides particulières à la réussite

Sont organisés :

des rendez-vous personnalisés tout au long de l’année afin de conseiller l’étudiant vis-à-vis des multiples choix qu’il a à opérer dans le cadre de sa formation (langues, modules).

une guidance pour la réalisation des travaux.

Comprendre, soutenir,

développer la communication

Les débouchés

Les débouchés sont nombreux et dépendent de la thématique qui aura été choisie. D’autres professions, telles que professeur de français langue étrangère ou stagiaire dans des entre-prises internationales, sont également acces-sibles après nos formations. De plus, pour les étudiants qui décident de s’orienter dans une filière scientifique, le Master Complémentaire est le passage obligé avant l’accès au Doctorat pour les étudiants porteurs d’un Master. La recherche passionnante dans le domaine des Sciences du langage couvre un territoire très vaste qui permet à tous, psychologues ou philo-logues, de découvrir un pan essentiel à leurs réflexions.

Parcours Professsionnalisant

TRONC COMMUN 15 crédits

Approches langagières de la cognition Psycholinguistique

Sciences du Langage

Option Négociation multilingue Option Traduction audiovisuelle, sous-titrage /

doublage

Option Didactique des langues Option Langues et civilisations

scandivnaves

Option Didactique des langues Option Traductologie Option Sciences de la parole

Option Langage et cognition

MODULE D’OPTION 30 crédits

MODULE DE MATIERES A CHOIX OBLIGATOIRE 15 crédits

Choix possible parmi un éventail de cours proposés (soit à l’UMONS, soit à l’ULB) Programme personnalisé

(non organisé en 2014-2015)

Contact

Secrétariat :

Campus Sciences Humaines 1, Ruelle du Cerf Blanc à 7000 Mons Tél.: +32(0)65 37 31 38

langage@umons.ac.be

Si vous désirez recevoir des informations complémentaires sur les Sciences du Langage, adressez-vous à

langage@umons.ac.be

Campus de Mons

A - Campus Plaine de Nimy B - Campus Sciences Humaines Cité d’Egmont, place Warocqué, 17 Cité Jacques Franeau, rue du Parc et ruelle du Cerf Blanc

Cité Place du Parc

C - Campus Polytech - Campus Archi

Cité de la Grande Triperie, rue de la Grande Triperie, 30-34

Cité KotsUMONS, rue de la Grande Triperie, 11

D - Campus Polytech

Cité Pierre Houzeau de Lehaie, boulevard Dolez, 69

E - Bibliothèque Bervoets

Campus de Charleroi

à proximité de la station métro Jansson

P76 P76

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