• Aucun résultat trouvé

L’étude de R. MAES, S. DOJCINOVIC et coll. en 2002 [26] nous confirme que les angles de DJIAN et ANNONIER sont indiqués pour qualifier les différentes sortes de pieds.

Si l’on s’en tient à la classification de Djian [17] des arrière-pieds selon les trapèzes d’appui, on n’observe apparemment pas de déformation frontale chez nos sujets. Mais en affinant l’étude par le tracé de l’angle de G. DELORME [15], nous avons constaté au sein de notre population d’étude des arrière-pieds apparemment normaux plus précisément des tendances vers le varus de l’arrière-pied.

Ainsi, sur les six-cent (600) pieds étudiés :

 Cent cinquante et un (151) arrière-pieds n’ont pas présenté de déformation notoire (6° ≤ HîIx ≤ 8°) soit 25,17% ;

 quatre cent quarante-neuf (449) arrière-pieds déformés, soit 74,83%.

Parmi les arrière-pieds déformés :

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 75

Ceci peut nous amener à imputer ce résultat à la pratique du métier de couturier.

La lecture du tableau VI (page 60) montre que les proportions des arrière-pieds, des hommes couturiers et des témoins hommes, tendant vers un valgus limite sont respectivement de 21,21% chez les couturiers contre 09,09% chez les témoins.

D’après le test de comparaison, le résultat est très significatif (x2 = 10,35 > 5,99 et p

= 0,57% < 5%). Nous pouvons en déduire que les arrière-pieds des couturiers, lorsque nous spécifions le sexe masculin, confirme notre hypothèse selon laquelle le métier de couturier aurait une répercussion sur l’arrière-pied.

Le tableau VII (page 61) révèle que les proportions des arrière-pieds des femmes couturières et des femmes témoins, tendant vers un valgus limite sont respectivement de 11,76% et de 05.56%. D’après le test de comparaison, le résultat est non significatif (car x2 = 4,46 < 5,99 et p = 10,73% > 0,05). De même, les résultats révèlent comme nous l’avons remarqué au niveau du sexe masculin, qu’il y a moins d’arrière-pieds avec un valgus physiologique chez les couturières que chez les témoins femmes (soit 27,94% chez les couturières et 38,88% chez les femmes témoins) ; alors qu’il y a plus de couturières avec un valgus limite que de témoins femmes (soit 11,76% chez les couturiers et 5,56% chez les témoins femmes.

Dans le tableau VIII (page 62), aucun résultat n’est significatif car x2 = 1,84 <

5,99 et p = 39,86% > 5%. En d’autre terme, aucune différence de valeur n’a été observée car les proportions obtenues au niveau des arrière-pieds droits des couturiers sont sensiblement égales à celles obtenues au niveau des témoins.

Par contre, dans les tableaux IX (page 63), nous avons constaté que x2 = 17,56

> 5,99 et p = 0,02%< 5%. D’après le test de comparaison, le résultat est très significatif. Nous pourrions supposer que ces artisans sur lesquelles l’étude a été faite sollicitent beaucoup plus leur pied gauche par rapport à leur pied droit ; mais étant donné que nous n’avons pas songé à leur poser cette question, nous ne pouvons l’affirmer avec certitude. Remarquons aussi qu’il y a moins de couturiers ayant un pied tendant vers un valgus physiologique que de témoins, soit 16% chez les couturiers contre 30% chez les témoins. Or dans le même temps, il y a une plus forte proportion de couturiers dont les arrière-pieds présentent un valgus limite que de témoins, soit respectivement 27% contre 10%.

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 76

Notre échantillon est composé de personnes dont les arrière-pieds présentent pour la plupart un varus discret (soit 63,83%) comme l’échantillon étudié par Yves KOKO [39] dont la proportion est de 60% d’après la classification de G. DELORME

[15].

En résumé, la majorité des sujets étudiés présentent un varus discret de l’arrière-pied qu’ils soient couturiers ou non. Néanmoins, nous avons remarqué qu’il y a plus d’arrière-pieds présentant un valgus limite chez les couturiers et plus précisément au niveau de leur pieds gauches (voir tableaux VIII et IX, pages 62 et 63). Par conséquent, l’exercice du métier de couture a tendance à modifier un tant soit peu l’architecture sur le plan frontal de l’arrière-pied des personnes qui le pratiquent ; et ceci, sans distinction de sexe.

3- REPARTITION DE L’ANGLE AU SOMMET DE L’ARCHE INTERNE DU PIED Sur les six-cent (600) pieds étudiés, quatre cent soixante (460) sont normaux (120° ≤ α ≤ 137°), soit 76,67% et cent quarante (140) sont déformés soit 23,33%, dont 03,33% ont une tendance vers le pied creux et 20,00% sont plats. L’étude de H.

ZOLLINGER et M. BUCHI en 1990 [41] a révélé sur 500 sujets, 48,3% de pieds normaux, 7,50% de pieds creux et 6,10% de pieds plats et celle de Eurly F. et coll [21]

a révélé une proportion de 86.4% de pieds creux chez les jeunes soldats français.

Les proportions de pieds creux sont nettement plus élevées dans leur échantillon que dans le nôtre. Ce qui confirme l’hypothèse émise par l’étude de Olivier BIAOU et coll. en 2003 selon laquelle l’origine raciale pourrait-être la cause de l’obtention de cette faible proportion de pieds creux observée chez les individus de race noire ; car eux aussi n’ont retrouvé dans leur échantillon que 16% de pieds creux. Par contre nous avons retrouvé plus de pieds plats qu’eux.

D’après le test de comparaison, nous avons constaté que x2 =13,86 > 5,99 et p

= 0,10%. Ce résultat est très significatif, par conséquent les valeurs observées chez les couturiers et chez les témoins présentent une nette différence. Ceci se justifie par la forte proportion de pieds plats observée au niveau des couturiers, soit 25% contre 17,50%chez les témoins (voir tableau X, page 64).

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 77

Dans le tableau XI (page 65), aucun pied n’est creux (α <120°). Mais il faut constater que nous avons enregistré plus de pieds plats (α > 137°) chez les couturiers que chez les témoins soit 29,55% contre 27,28%.

Le tableau XII (page 66) montre que les proportions de pieds tendant vers :

 un pied creux (α < 120°) sont respectivement de 00,00% chez les couturières et de 11,11% chez les témoins femmes ;

 un pied plat (α > 137°) sont respectivement de 16,18% chez les couturières et de 05,56%.

D’après le test de comparaison, le résultat est très significatif (x2 = 14,73 > 5,99 et p = 0,05% < 5%).

Ce qui signifie qu’il existe un lien entre l’exercice du métier et l’affaissement du pied ; ce qui justifie l’absence de pieds creux au niveau des couturiers.

En répartissant ces déformations observées au niveau de chaque pied, nous avons enregistré, au niveau des pieds droits des couturiers et des témoins les proportions respectives suivantes :

 pour les pieds droits creux (α < 120°), 00,00% chez les couturiers contre 10% chez les témoins ;

 pour les pieds droits plats (α > 137°), 23,00% chez les couturiers contre 15,00% chez les témoins.

D’après le test de comparaison, le résultat est très significatif car le x2 = 12,45 >

5,99 et p = 0,20% < 5%. Il y a donc plus de pieds droits plats chez les couturiers que chez les témoins ; et dans le même temps, plus de pieds droits creux chez les témoins que chez les couturiers, soit respectivement 10% contre 00% (Tableau XIII, page 67).

Au niveau des pieds gauches, aucun pied creux n’a été observé aussi bien chez les tailleurs que chez les témoins. Mais une fois encore le nombre de pieds plats gauches observé chez les couturiers est supérieur à celui observé chez les témoins, soit respectivement 27% contre 20% (Tableau XIV, page 68).

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 78

En résumé, lorsqu’on prend les résultats globalement, l’on peut affirmer que le métier de couturier peut entraîner la modification de l’architecture du pied des couturiers.

4- CORRELATION DES DEUX PARAMETRES

Dans la classification des déformations par ordre de gravité décroissante, nous lisons au travers des tableaux que :

 8,5% des couturiers ont un pied plat avec un valgus limite de l’arrière-pied (voir tableau XVI, page 70) contre 2,5% des témoins (voir tableau XV, page 70) ;

 14,5% des couturiers ont un pied plat avec un varus discret de l’arrière-pied (voir tableau XVI, page 70) contre 10% des témoins (voir tableau XV, page 70) ;

 et 00% des couturiers ont pied creux avec un varus discret de l’arrière-pied (voir tableau XVI, page 70) contre 2,5% des témoins (voir tableau XV, page 70).

En faisant une étude suivant le genre, nous constatons chez les hommes que :

 12,9% des couturiers ont un pied plat avec un valgus limite de l’arrière-pied (voir tableau XVIII, page 72) contre 00% des témoins hommes (voir tableau XVII, page 71) ;

 et 18,2% des couturiers ont un plat avec un valgus limite de l’arrière-pied (voir tableau XVIII, page 72) contre 15,2% des témoins hommes (voir tableau XVII, page 71);

 aucun pied creux n’a été enregistré (voir Tableaux XVII et XVIII, page 71 et 72).

De même chez les femmes, nous observons que :

 13,2% des couturières ont un pied plat varus discret (voir Tableau XX, page 74) contre 00% des témoins femmes (voir tableau XIX, page 73) ;

 et 5,6% des couturières ont un pied creux varus discret (voir tableau XX, page 74) contre 00% des témoins (voir tableau XIX, page 73).

Cette étude nous a permis de trouver comme moyenne d’angle (α) au sommet de l’arche interne 130,21° et pour l’angle (HîIx) du trapèze d’appui 4,76°. Les études de F. EULRY, J. FLAGEAT et coll. en 1987 [19] ont rapporté une moyenne de l’angle

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 79

au sommet de l’arche interne du pied, de 121° ± 11 pour un groupe de vieillards qu’ils ont comparé à celle d’un groupe de jeunes (témoins) estimée à 121° ± 9. Nous constatons que les moyennes que nous avons obtenues dans notre étude sont plus élevées que celles de F. EULRY, J. FLAGEAT et coll.[19] nous pouvons dire sous réserve de confirmation que les béninois ont des pieds qui tendent beaucoup plus vers des pieds plats que les européens. Cela se révèle aussi dans l’étude de O.

BIAOU et coll. [31] qui a permis d’estimer cette moyenne parmi les civils autour de 124,98°. Par contre la moyenne de l’angle de DELORME [15] trouvée par F. EULRY, J. FLAGEAT et coll. [19] est de 8°± 3 pour les vieillards contre 9°± 4 pour le groupe de jeunes. Ces dernières sont remarquablement plus élevées que les nôtres et suscitent l’importance de la réalisation d’une étude uniquement consacrée à la recherche des valeurs normales des angles du pied au sein de notre population.

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 80

C ONCLUSION

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 81

La présence d’une architecture anormale au niveau du pied étant le plus souvent d’origine congénitale, nous n’avons pas observé des résultats fulgurants.

Nous ne nous y attendions d’ailleurs pas. Notre objectif premier est de révéler de façon subtile, les modifications les plus minimes qui pourraient subsister de la comparaison de deux groupes : l’un exerçant régulièrement le métier de couturier et l’autre n’exerçant pas une activité du genre. Au terme de l’étude, nous en arrivons à affirmer, d’après l’analyse de nos résultats que l’exercice du métier de couturier a une répercussion sur l’architecture de la voûte plantaire et sur la disposition frontale des structures de l’arrière-pied. Ainsi, nous avons mené une étude transversale prospective et comparative sur cent (100) couturiers et couturières et deux cents (200) témoins ; ce qui nous a permis d’obtenir les résultats suivants :

De l’analyse sur le plan frontal nous retenons les proportions suivantes :

 25,17% pieds correspondant au concept anatomique d’arrière-pied normal (valgus physiologique), 63,83% d’arrière-d’arrière-pieds tendant vers un varus discret et 11% d’arrière-pied tendant vers un valgus limite.

De la comparaison des résultats des couturiers et des témoins, on a :

 un valgus physiologique de (6° ≤ HîIx ≤ 8°) de 20,50% chez les couturiers contre 27,50 chez les témoins ;

 un varus discret (0° ≤ HîIx ≤ 6°) de 61,50% chez les couturiers contre 65% chez les témoins ;

 un valgus limite (8° ≤ HîIx ≤ 16°) de 18,00% chez les couturiers contre 7,50% chez les témoins.

Le résultat est très significatif. Ce qui peut nous amener à imputer ce résultat à la pratique du métier de couturier.

Lorsque nous nous intéressons globalement aux déformations sur le plan sagittal, nous retenons les proportions suivantes :

 76,67% de pieds normaux ou tendant vers un pied plat ;

 03,33% de pieds creux ;

 20% de pieds plat.

De la comparaison des résultats des couturiers et des témoins, on a :

 75% de pieds normaux ou tendant vers un pied plat chez les couturiers contre 77,50% chez les témoins ;

 00% de pieds creux chez les couturiers contre 05,00% chez les témoins ;

 25% de pieds plats chez les couturiers contre 17, 50% chez les témoins.

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 82

Ces résultats, tous très significatifs, pourraient signifier qu’il existe un lien entre l’exercice du métier et l’affaissement du pied ; ce qui justifie l’absence de pieds creux au niveau des couturiers.

Dans la classification des déformations par ordre de gravité décroissante, nous lisons au travers des tableaux que :

 8,5% des couturiers ont un pied plat avec un valgus limite de l’arrière-pied contre 2,5% des témoins ;

 14,5% des couturiers ont un pied plat avec un varus discret de l’arrière-pied contre 10% des témoins ;

 et 00% des couturiers ont un pied creux avec un varus discret de l’arrière-pied contre 2,5% des témoins.

Cette étude nous a permis de trouver comme moyenne d’angle (α) au sommet de l’arche interne 130,21° et pour l’angle HîIx du trapèze d’appui 4,76°. Nos objectifs ont donc été atteints.

Nous déduisons donc de toute cette étude que le métier de couturier a une influence sur les structures de l’arrière-pied des pratiquants et que l’on devrait commencer par les prévenir pour qu’ils puissent prendre des dispositions requises pour y faire face. Nous souhaitons quand même qu’il y ait d’autres études sur le sujet.

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 83

S UGGESTIONS

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 84 chaque profession, et dans ce cas précis, du métier de couturier.

 De s’inspirer de ce travail pour s’orienter dans le diagnostic de certaines maladies ou maux des patients, car contrairement à ce que l’on peut penser, ces répercussions aussi minimes soient-elles, de la modification de l’architecture du pied peuvent avoir des conséquences invalidantes ou plus haut-situées notamment la modification de la posture ou du rachis.

 De savoir quel régime alimentaire ou quel médicament prescrire à ces artisans et suivant la période de l’année.

Des associations d’artisans couturiers :

 D’encourager les artisans couturiers à s’associer entre eux afin d’ouvrir des entreprises de couture plus grandes, plus équipées, plus sophistiquées, plus performantes et plus créatives.

 De favoriser la collaboration au sein de leur secteur d’activités.

 D’inciter les artisans couturiers à souscrire à une assurance retraite.

 De sensibiliser ces artisans couturiers sur les répercussions probables de leur activité sur leur santé.

 De motiver les jeunes à s’orienter vers ce secteur pour éviter les surcharges de travail qui prévaut sur les quelques ateliers qui existent surtout dans les périodes festives.

 D’attirer l’attention du gouvernement pour la mise en place d’une bonne politique de développement de ce secteur d’activité.

Des couturiers et couturières :

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 85

 De s’équiper d’autant de machines à courant qu’ils peuvent pour réduire le temps de manipulation de la pédale de leur machine.

 De souscrire à une assurance retraite qui leur permettra de subvenir à leur besoin plus tard quand ils seront vieux.

 De vite prendre leur retraite pour ne pas risquer d’avoir des déformations invalidantes du pied.

 De mettre en place des stratégies afin de mobiliser beaucoup de jeunes pour une formation dans leur domaine permettant ainsi qu’il y ait beaucoup de personnes qui travaillent dans un atelier.

 D’avoir une bonne hygiène de travail en ne prenant les commandes qu’à la mesure des efforts qu’ils peuvent vraiment fournir sans se rendre malade.

 S’organiser suivant un système de relais, pour la manipulation de la machine au cours de la journée.

 D’éviter le surmenage de leurs ligaments et tendons en n’exerçant pas des efforts mécaniques et automatiques, de façon excessive et pendant une trop longue période sur leur membres.

 D’avoir une bonne hygiène de vie et une alimentation saine et régulière afin d’éviter les lésions ligamentaires.

 De diminuer la consommation d’aliments générant une forte quantité d’acide urique dans le sang, surtout lors des périodes de travail intenses (surtout les périodes de fêtes).

 De diminuer la consommation des aliments contenant de l’histamine ou une substance voisine de la tyramine qui favorisent les tendinites. Nous pouvons citer en exemple : tomates, épinards, pommes de terre, choucroute, choux, chou-fleur, concombre, saucisses, saucisson, hareng fumé, anchois, avocats, figues, raisins, sardine, thon, conserves, levure, gruyère, fromages fermentés, vin …

 D’avoir une bonne hydratation pour compenser la quantité d’eau qu’ils perdent en travaillant et aussi pour éviter l’élévation de leur taux sanguin d’acide urique.

 D’éviter l’abus de sucre, la consommation trop régulière de certains médicaments comme l’aspirine qui peuvent nuire à l’élimination rénale.

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 86

ANNEXES

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 87

Tailleur N° : …….

Date : ……..…….. Sexe : ……….… Age : ………….. ans Provenance : ………….……

Localité d’origine : ……….……….… En exercice depuis ………...

Données cliniques :

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 88

Témoin N° : …….

Date : …………...….. Sexe : ……… Age : ………. ans Provenance : ………..……

Localité d’origine : ………..……Profession : ……….… (Depuis)………...

Données cliniques :

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 89

REFERENCES

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 90

1- Aboukrat P. Herisson C. (1995).

Examen clinique du pied. In : Herisson C, Eulry F, Simon L. (eds) Monographie de podologie : Méthodes actuelles d’exploration du pied. Paris : Masson, 1-5

http://www.cofemer.fr/UserFiles/File/POD07Age.pdf

2- Alain DURAND. Jean-Marie ESCANYÉ. Amar NAOUN. (2003)

Biophysique (Rappels de cours, exercice et QCM corrigés). Paris : Ellipses Edition, 275p (253)

3- Anne COTTON. Nathalie BOUTRY (2008).

Imagerie musculo-squelettique: pathologies locorégionales. France. Elsevier MASSON, 866 p http://books.google.fr

4- Aurelien Pichon.

La cheville et le pied : cours N°13.

www-smbh.univ-paris13.fr/staps/.../AnatC13ChevilleBob-APichon.p...

5- Baracq H (1999)

Le pied de l’enfant ; Clinique chirurgicale infantile CHU de Rennes, 2 rues Henrie le Guilloux 35033 Rennes.

6- Books M-H (1991).

Flatfeet in children, Br Med ; 302 p: 237-238

7- Brasseur JI, Richard O, Tardieu M et al. (1994)

Echographie des ligaments de la cheville. J-traumatologie 11 : 45-51 8- Carret J-P, Ferreira A. (2000)

Biomécanique du pied. In : Bouysset M. (eds). Pathologie ostéo-articulaire du pied et de la cheville. Paris: Spinger : 18-9.

9- Chevrot A. Chemla N. Godefroy D. Dupont AM. Vacherot B. Langer-Cherbit A. (1995). Pathologie régionale du pied et de la cheville. Hôpital Cochin – Paris.

10- Chevrot A. Drape J. Godefroy D. Dupont AM.

Technique radiographiques et radio-anatomie de la cheville et du pied; Hôpital Cochin-PARIS

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 91

11- Christian Hérisson, P. Borderie.

Pathologie de l’articulation sous-astragalienne. Elsevier Masson ; 31-38 12- Claude HUERTAS et Christian MANSAN (2002)

Le pied 1ère partie. In : La lettre de l’observatoire du mouvement. Hors-série N°1, 8 p, 3 http://www.observatoire-du-mouvement.com/upload/contenu/lettrehsn1odm.pdf 13- Coussement A, Touré C, Coussement Beylard N, (1990).

Repères et mesures en Imagerie médicale 4ème édition. Paris : Expansion Scientifique française. 216-217

14- Delahaye R. P, Jolly R.

Pied, technique radiologique et aspects normaux. Encyclopédie –Médico- Chirurgicale. Paris ; Radiodiagnostic I-II, 3 : 23-09, 30400 A 10-A20

15-Delorme G, Tessier J-P, (1988).

Manuel d’électroradiologie Tome II, Radiologie conventionnelle. Paris: Masson, 36-7.

16- Dimiglio A. Herisson Ch. Simon L. (1998).

Le pied de l’enfant et de l’adolescent, Collection de pathologie locomotive et de médecine orthopédique. Paris : Masson, 36

17- Djian A. Annonier C. Denis A. Baudoin P. (1967)

Radiopodométrie : Principes et résultats. Société Française d’Electroradiologie Médicale. 769-772.

18- Dorfman H. Biclet P. Chaine C. Chaine G. gray J-M. Grimaldi A. Hesse J-C.

Horry P. Lenoble M. Romain C. Rougemont D. Simont J. Verchères S. (1989) Encyclopédie –Médico- Chirurgicale (EMC). Paris

19- Eulry F. Flageat J. Bloch J.G. Chetri P. Magnin J. Pattin S. Doury P. (1987) Etude des corrélations cliniques et radiologiques dans le pied creux décompensé du jeune adulte. In : Médecine et chirurgie du pied, 3, 151-156.

20- Eulry F, Lechevalier D, Thomachot B, Magnin J, Flageat J, Labbe P, L.

Brythmer. La statique du pied après 60 ans : Etude systématique clinique et podométrique. Comparaison avec le pied à 20 ans. In : Christian HERISSON. Lucien

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 92

ETUDE DE LA MORPHOLOGIE DE L’ARRIERE-PIED CHEZ LES TAILLEURS EN REPUBLIQUE DU BENIN 92

Documents relatifs