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3.8. COMMENTAIRES

3.1.2. Les incidences radiographiques du membre pelvien [6]

3.1.2.4. Radiographie de la jambe

Antéro-postérieure : démontre une projection antéro-postérieure du tibia et de la fibula, des articulations du genou et de la cheville.

Latérale : démontre une projection latérale du tibia et de la fibula, des articulations du genou et de la cheville.

19 3.1.2.5. Radiographie de la cheville

Les incidences habituelles sont celles de la face et du profil.

Antéro-postérieure : démontre une projection antéro-postérieure de la cheville : les extrémités distales du tibia et de la fibula et la partie supérieure du talus.

Antéro-postérieure oblique interne : démontre une projection antéro-postérieure oblique des os qui composent l’articulation de la cheville ; les articulations du tibia et de la fibula avec le talus sont bien démontrées : articulation tibio-fibulaire et fibulo-talienne.

Antéro-postérieure oblique externe : démontre l’articulation tibio-talienne externe, en particulier l’interligne articulaire entre la malléole interne et le talus.

Latérale : démontre une projection latérale des extrémités distales du tibia et de la fibula, de l’articulation de la cheville et des os du tarse postérieur (talus et calcanéus).

Antéro-postérieure avec inversion : cette position met en évidence la malléole fibulaire et l’articulation fibulo-talienne.

Antéro-postérieure avec éversion : démontre une vue détaillée de la malléole tibiale et de l’articulation tibio-talienne.

3.1.2.6. Radiographie du pied

Les incidences les plus utilisées sont celles de la face et l’oblique.

Antéro-postérieure : démontre une projection antéro-postérieure des os du tarse antérieur, des métatarsiens et des phalanges.

Antéro-postérieure oblique interne : démontre une projection oblique du tarse et des os de l’avant pied en évitant leur superposition. Le cuboïde est en projection orthogonale et ses espaces articulaires sont très bien dégagés, le cunéiforme latéral et le bec du processus calcanéen sont dégagés, le processus styloïde (tubercule) du métatarsien V est très bien démontré, l’os naviculaire est très bien visible ainsi que la tête et le col du talus, toutes les articulations du tarse sont bien démontrées sauf entre le cunéiforme médial et le cunéiforme intermédiaire.

20 Antéro-postérieure oblique externe : démontre l’espace articulaire entre le cunéiforme médial et le cunéiforme intermédiaire, l’espace articulaire entre le 1er métatarsien et 2ième métatarsien. Dégage le calcanéus médial et latéral.

Latérale : démontre une projection latérale des os du pied et de la cheville ; cette position est employée pour localiser des corps étrangers et déterminer la position des fragments dans les cas de fractures.

3.2. QUELQUES CONCEPTS DU THEME

3.2.1. Prise en charge

Dans un service de radiologie, la prise en charge est l’ensemble des actions menées par tout le personnel qui concourt à assurer un milieu de travail qui offre au patient le maximum en termes d’accueil, de communication , de confort, de réalisation de l’acte d’imagerie, de sécurité et de radioprotection. La prise en charge dépend, du secrétaire médical, de l’ingénieur des travaux, du médecin radiologue, des patients eux-mêmes [1].

3.2.2. Fracture

C’est la rupture de la continuité de l’os, elle peut être relevée d’un traumatisme important. Le trait de fracture peut être : transversal, oblique, spiroïdal, avec déplacements ou pas [5].

3.2.3. Lésion

Dans le jargon médical, la lésion est un terme qui réunit toutes les modifications anormales d’un tissu biologique. Il peut s’agir d’une simple coupure, d’une brûlure, d’une plaie. La lésion peut également résulter de l’action d’un agent pathogène tel que le parasite ou l’infection ainsi que d’une affection métabolique, physiologique ou immunitaire. Dans tous les cas, la lésion désigne tout dommage tissulaire [3]

3.2.4. Luxation

Lésion traumatique d’une articulation, avec déplacement permanent des surfaces articulaires l’une par rapport à l’autre. Les luxations peuvent être complètes ou incomplètes [5].

3.2.5. Contention

Maintien en place des fragments d’un os fracturé ou d’une articulation luxée par des moyens internes (vis, broche, etc.) ou externes (attelle, gouttière, plâtre,

21 etc.). La contention dans le domaine médical est l’action d’entraver la mobilité d’un patient. Elle reprend un ensemble de dispositifs et de procédés destiné à immobiliser une partie ou la totalité du corps humain. La première chose à retenir d’une immobilisation en urgence est qu’elle devrait aider le patient, et non lui nuire.

Certains dangers guettent une immobilisation mal faite, dont les résultats peuvent être encore plus catastrophiques que l’absence de toute immobilisation. Des traumatismes mineurs, tels qu’une entorse de la cheville, une fracture de la base du cinquième métatarsien, une fracture d’un orteil, n’ont pas besoin d’être immobilisés. Cependant Le matériel d’immobilisation devrait être moulé de façon à épouser la forme du membre du patient, et non le contraire. Une attelle de fibre de verre est fortement recommandée en raison de sa rigidité et de sa facilité d’application. De plus, comme elle est complètement transparente aux rayons-X, on peut l’installer avant même l’investigation radiologique [4].

Comme moyens de contention nous avons : 3.2.5.1. Bandes de velcros

Elles sont des bandes autocollantes de largeurs variées, qui doivent être mises à la disposition des manipulateurs à tout instant.

3.2.5.2. Papier crépon collant

Les papiers crépon collant sont des papiers jetables utilisés par les peintres en bâtiment. Ce papier se présente en rouleau dont on peut détacher des bandes.

3.2.5.3. Sacs de sable

Deux types de sacs sont utilisés : Les sacs parfaitement pleins (représentant des boudins destinées à maintenir en rectitude les membres de l’enfant) et les sacs non pleins (Ces sacs ne doivent pas être pleins et doivent pouvoir à tout moment s’étirer en bissacs de façon à constituer deux poids latéraux destinés à maintenir un membre ou la tête).

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3.3. QUELQUES IMAGES DE LESIONS

Figure 4 : Aile iliaque droite fracturée [10]

Figure 5 : Col fémoral gauche fracturé [10]

Figure 6 : Fracture de l’ilium droit [9]

23 Figure 7:Tibia droit fracturé [8]

Figure 8 : Fémur droit fracturé [11]

3.4. OBJECTIFS DE NOTRE ETUDE

3.4.1. Objectif général

Contribuer à une meilleure prise en charge radiographique des patients traumatisés du membre pelvien du Centre Hospitalier et Universitaire de Zone de Suru-léré.

3.4.2 Objectifs spécifiques

Pour atteindre cet objectif général, nous nous sommes assignés comme objectifs spécifiques, ce qui suit :

- identifier les problèmes d’immobilisation rencontrés par les techniciens lors de la réalisation des examens pour les traumatisés des membres pelviens,

- analyser les méthodes de réception et de prise en charge des patients traumatisés des membres pelviens afin de favoriser la minimisation du temps d’acquisition des images.

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3.5. CADRE, MATERIEL ET METHODES

3.5.1. Cadre d’étude

Ce travail a été réalisé dans le service d’imagerie médicale du Centre Hospitalier Universitaire de zone de Suru-léré.

3.5.2. Matériel de travail

- 478 patients traumatisés du membre pelvien

- Une fiche d’enquête adressées aux traumatisés du membre pelvien et aux techniciens ayant effectué l’examen (même fiche).

- Des informations tirées des documents (rapport et livre etc…).

- Des informations recueillies sur internet.

3.5.3. Méthode d’étude

3.5.3.1. Type d’étude

Nous avons effectué une étude descriptive transversale qui a consisté à collecter des données à l’aide d’une fiche d’enquête adressée aux patients de notre échantillonnage.

3.5.3.2. Période d’étude

Il s’agit d’une étude couvrant la période du 20 juillet au 20 septembre 2016.

3.5.3.3. Echantillonnage

Il s’agit de 478patients traumatisés du membre pelvien.

- Critères d’inclusion

Tous patients traumatisés du membre pelvien adressés au Centre Hospitalier et Universitaire de Zone de Suru-léré durant notre période d’étude, tous techniciens ou ingénieurs des travaux du service.

- Critères de non inclusion

Tous patients qui sont adressés au service de radiologie du CHUZ/SL durant notre période d’étude, en dehors des traumatisés du membre pelvien.

25 3.5.3.4. Méthode statistique

Les logiciels Microsoft Word et Excel 2013 nous ont permis de calculer les pourcentages et de faire les figures.

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3.6. RESULTATS OBTENUS

Figure 9 : Répartition de 1287 patients selon le type de patient

Figure 10 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon le sexe.

72,92%

27,08%

NTP PTP

64,44%

35,56%

M F

27 Figure 11 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon le type d’accident.

Figure 12 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon le moyen de transport vers les urgences.

54,81%

28 Figure 13 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon le

moyen de transport vers le service de radiologie.

Figure 14 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon le type d’examen demandé.

Bassin Fémur Genou Jambe Cheville Pied

POURCENTAGES

MEMBRES PELVIENS

29 Figure 15 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon le

résultat obtenu.

Figure 16 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon le temps passé dans la salle d’attente.

68,83%

5min 10min 15min plus de 20min

POURCENTAGES

TEMPS

30 Figure 17 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon le

temps passé dans la salle d’examen.

Figure 18 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon la contention utilisés.

31 Figure 19 : Répartition des traumatisés des membres pelviens selon le

temps passé dans la salle d’attente avant l’obtention des résultats.

3.7. RESULTATS ICONOGRAPHIQUES : TYPES DE CONTENTIONS UTILISEES

Figure 20 : genou gauche traumatisé en AP

Figure 21 : genou gauche traumatisé de Profil

5min 10min 15min plus de

20min

POURCENTAGES

TEMPS

32 Figure 22 : Cliché du genou traumatisé

Figure 23 : Fémur gauche traumatisé en AP

33 Figure 24 : Fémur gauche traumatisé

Figure 25 : Cliché du fémur gauche traumatisé

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3.8. COMMENTAIRE

Ce travail a porté sur un échantillon de 478 patients traumatisés du membre pelvien soit 27,08%. Ce qui veut dire que le CHUZ/SL reçoit un nombre important de traumatisés du membre pelvien. Ceci est montré par la figure 9.

La figure 10 montre la prédominance du sexe masculin dans les traumatismes du membre pelvien soit 64,44%. Ce résultat se justifie par le fait que les hommes sont plus en mouvement que les femmes, en plus les différentes activités menées par les hommes (conducteur de taxi-moto, chauffeur, racoleur, maçon…) les exposent plus au danger. En effet les femmes aussi ont leurs activités même si ces activités ne sont pas aussi dangereuses que celle des hommes, elles sont toutes de même exposées aussi au danger mais elles agissent avec plus de prudence, de patience que les hommes. Cette réalité liée aux comportements des hommes avait été déjà dénoncée en 2014 par Mahudé Corinaud J. GBEMAVO.

La figure 11 vient nous confirmer que les accidents de la voie publique demeurent les principales causes qui provoquent le traumatisme du membre pelvien et pour les minimiser il faudra conscientiser les usagers de la route, réparer les routes, libérer les voies encombrées par les marchands, augmenter la superficie des voies pour faciliter la libre circulation des véhicules. En effet sur 478 traumatisés du membre pelvien on a 54,81% d’AVP et 38,49% d’ACD. Beaucoup d’objets courants favorisent les accidents domestiques ; la baignoire où l’on glisse, les escaliers qui font tomber, les douches qui font glisser. Nous proposons donc de sécuriser les escaliers, les salles de bain et de veiller à la qualité des carreaux placés dans la maison (antidérapant)…

Les conditions de transport des patients sont précaires. L’analyse de la figure 12 montre que sur 478 traumatisés du membre pelvien, 388 sont transportés avec des moyens privés vers les urgences, nous remarquons donc la faible contribution des Sapeurs-Pompiers dans le cadre des accidents et nous les invitons à être plus présents sur les lieux d’accident.

L’analyse de la figure 13 montre que la majorité des traumatisés du membre pelvien vient dans le service de radiologie portés par leurs parents. Ceci traduit l’insuffisance de chaise roulante et de brancard au niveau du centre.

La figure 14 montre que la plupart des traumatismes du membre pelvien se situent au niveau de la jambe soit 31,38%.

35 La figure 15 montre que la majorité (68,83%) des résultats obtenus s’avère être des fractures. Ce résultat est souvent dû à la façon brutale dont se réalisent souvent les chocs.

La figure16 révèle que la majorité des traumatisés du membre pelvien passe au plus 15min dans la salle d’attente, soit45, 40%. Ceci, dû au nombre considérable de patient venant dans le centre. Ce nombre se justifie par la bonne qualité de la prise en charge et la rapidité dont faire preuve les techniciens en salle d’examen, confirmé par la figure 17.Tous ces paramètres (rapidité des techniciens, bonne qualité de la prise en charge) sont facilité par la présence du numériseur dans le service. Néanmoins si le service pouvait être doté d’une seconde salle d’examen, ceci réduirait le temps passé par les patients dans la salle d’attente.

En effet la figure 18 montre que dans le service la majorité des patients ne sont pas aidés au cours de la réalisation de l’examen car ils font un effort considérable et font preuve de courage. Mais le nombre de parents utilisés pour aider le patient au cours de la réalisation des examens n’est pas négligeable. Donc le service doit être doté de contentions adéquates permettant aux techniciens de bien positionner les patients sans se faire aider des parents ou des usagers, ceci permettrait de respecter un peu plus les lois de la radioprotection.

De la figure 19 il ressort que les patients passent plus de 20min dans la salle d’attente avant l’obtention de leur résultat. Dans le service une politique est mise en place pour une meilleur gestion des films numériques, donc à ce propos ils ont besoin d’effectuer un bon nombre d’examen avant de pouvoir tirer les images. Ce qui justifie cette attente.

Les figurent 20 et 21 montrent respectivement un genou traumatisé en position AP et en position latérale maintenu par une contention pas très efficace car ne permettant pas de bien maintenir le membre en position.

De la figure 22 il ressort qu’il y a une fracture au niveau de la fibula.

Les figurent 23 et 24 montrent respectivement un fémur traumatisé en position AP et en position latérale. Nous avons eu besoin de l’un des parents du patient pour pouvoir l’immobiliser. Cela allant contre certaines lois de la radioprotection, l’hôpital doit donc s’approvisionner en matériels de contention.

Nous devrons faire une immobilisation qui devrait aider le patient et non lui nuire, car certains dangers guettent une immobilisation mal faite, dont les résultats peuvent être encore plus catastrophiques que l’absence de toute immobilisation. Le

36 matériel d’immobilisation devrait être moulé de façon à épouser la forme du membre du patient, et non le contraire. Une attelle de fibre de verre est fortement recommandée en raison de sa rigidité et de sa facilité d’application. De plus, comme elle est complètement transparente aux rayons X, on peut l’installer avant même l’investigation radiologique. La figure 25 montre une fracture du fémur.

CONCLUSION

38 Enfin au cours de notre stage, nous avons suivi le déroulement complet des examens standards et spéciaux (excepté quelques-uns). Nous avons réalisé nous-mêmes certains examens et ceci avec l’assistance de nos aînés. Ainsi, ce stage nous a aidé dans la maitrise des manipulations liées à notre profession

.

Les objectifs de notre stage ont donc été globalement atteints.

En effet les traumatismes du membre pelvien sont fréquents, et peuvent provoquer de nombreuses lésions osseuses et/ou des tissus mous, plus ou moins graves, et entrainant des conséquences fonctionnelles dépendant de leur gravité.

Les techniques d’imagerie médicale permettent un diagnostic précoce, précis et correct qui favorise une bonne prise en charge thérapeutique.

Durant notre stage nous avons remarqué dans le CHUZ/SL une insuffisance de matériel de contention pour la prise en charge des traumatisés du membre pelvien.

SUGGESTIONS

40 Dans la perspective d’améliorer la prise en charge des traumatisés au niveau du CHUZ/SL, nous proposons

La dotation du service d’imagerie en matériels de contention afin de réduire les surexpositions et pour l’amélioration de la prise en charges de ces traumatisés ;

Mettre à la disposition des différents services du CHUZ/SL des brancards et fauteuils roulants ;

Créer une salle de garde et construire des vestiaires pour le service de radiologie ;

Instaurer la maintenance préventive périodique de l’appareil radiologique ainsi que pour les autres appareils du service.

La dotation du service d’une seconde salle d’examen pour minimiser le temps passé par les patients dans la salle d’attente

REFERENCES

42 1. ONSA B O, 2014, Problématique de la prise en charge des traumatises du membre thoracique dans le service de radiologie de l’hôpital de zone de suru-léré, rapport de fin de formation de licence professionnelle EPAC/UAC (Bénin). Pages 14,22.

2. KAMINA P, 2006, Tome 2 : Ostéologie des membres, 2ème Edition MALOINE, France, 148 p.

3. LE JOURNAL DES FEMMES, « Santé Médecine ». Lésion (médecine)-Définition

http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/19439-lesion-medecine-definition, consulté le 10/11/2016 à 18h30.

4. GBEMAVO M C J. 2014, Problématique de la prise en charge des traumatises des membres pelviens dans le service de radiologie de l’hôpital de zone de suru-léré (HZ/SL), rapport de fin de formation de licence professionnelle EPAC/UAC (Bénin), Pages 17,24,25, 28.

5. HOUNNOU G. 2016, « Généralités sur les traumatismes », Cours de sémiologie chirurgicale, GIMR/EPAC/UAC, Bénin, Pages 1, 9,11.

6. PARE L, BEAUCHEMIN-GELLEN M, LAFLAMME J-C, ST-ONGE J-Y.

décembre 2014, Techniques Radiologiques I, GIMR/EPAC/UAC, Pages 49- 205.

7. LACROIX M, 2016, « Cours d’anatomie », Ostéologie du membre inférieur https://www.cours-medecine.info, consulté le 09/11/2016 à 17h53.

8. www.capveto-bellac.fr/Content.aspx?code=27145§parent=32354 9. www.formationambulancier.fr/01-cours/m1/0447-trauma-interne.html

10. https:/ / www.infirmiers.com/ etudiants-en-ifsi/ cours/ cours-polytraumatisme-prise-en-charge-hospitaliere-partie-ii.html

11. wiki.side-sante.fr/doku.php?id=sides:ref:anesthrea:item-329-membres-unique

12. DELMAS V. et al.2008, Anatomie générale PCEM 1, éd MASSON, page 82

ANNEXES

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Fiche d’enquête

Thème d’étude : CONTRIBUTION A L’AMELIORATION DE LA PRISE EN CHARGE RADIOGRAPHIQUE DES TRAUMATISES DU

MEMBRE PELVIEN DANS LE CHUZ/SL IDENTITE

4. Moyens d’accès du patient dans le service de radiologie

Porté par les parents Chaise roulante Brancard Marche

5. Temps passé dans le service avant la réalisation de l’examen

5min 10min 15min plus de 20min

6. Temps passé dans la salle d’examens

5min 10min 15min plus de 20min

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a. Coopération du patient

Oui Non

Si non :

b. Contention utilisé

Oui Non

c. Immobilisation du patient

Avec l’aide : des parents du personnel

d’un usager aucun

7. Temps passé avant la remise du résultat

5min 10min 15min plus de 20min

8. Satisfaction du patient

Satisfait Pas satisfait

46 TABLE DES MATIERES

LISTE DES ENSEIGNANTS ... II DEDICACES ... IV REMERCIEMENTS ... VI HOMMAGES ... IX LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS ... XI LISTE DES TABLEAUX ... XII LISTE DES FIGURES ... XIII RESUME ... XV ABSTRACT ... XVI SOMMAIRE ... XVII

INTRODUCTION ... 1

PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DU CADRE DE STAGE ... 3

1.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE ET HISTORIQUE DU CENTRE HOSPITALIER ET UNIVERSITAIRE DE ZONE DE SURU-LERE (CHUZ /SL) DE COTONOU ... 4

1.2. PRESENTATION DU SERVICE D’IMAGERIE MEDICALE DU CENTRE HOSPITALIER ET UNIVERSITAIRE DE ZONE DE SURU-LERE ... 4

1.2.1. Personnel du service ... 5

1.2.2. Description du service ... 5

1.2.3. La salle d’attente ... 6

1.2.4. Le bureau du chef service ... 6

1.2.5. Le secrétariat... 6

1.2.6. La salle d’examens ... 6

1.2.7. La chambre noire ... 6

1.2.8. La salle d’échographie ... 7

1.2.9. Fonctionnement ... 7

DEUXIEME PARTIE : DEROULEMENT DU STAGE ... 8

2.1. OBJECTIFS DU STAGE ... 9

2.1.1. Objectif général ... 9

2.1.2. Objectifs spécifiques ... 9

2.2. TRAVAUX EFFECTUES ... 9

2.2.1. Le secrétariat... 10

2.2.2. La salle d’examens ... 10

47

2.2.3. La chambre noire ... 10

2.3. DIFFICULTES RENCONTREES ... 11

2.4. CHOIX DU THEME ... 12

TROISIEME PARTIE : ETUDE DU THEME ... 13

3.1. GENERALITES SUR LE THEME ... 14

3.1.1. Rappel anatomique du membre pelvien ... 14

3.1.1.1. La ceinture pelvienne ... 14

3.1.1.1.1. L’os coxal ... 14

3.1.1.1.2. Le sacrum ... 14

3.1.1.2. Le fémur et la patella ... 15

3.1.1.2.1. Le fémur ... 15

3.1.1.2.2. La patella ... 15

3.1.1.3. Les os de la jambe ... 15

3.1.1.3.1. Le tibia... 15

3.1.1.3.2. La fibula ... 16

3.1.1.4. Les os du pied ... 16

3.1.2. Les incidences radiographiques du membre pelvien [6] ... 17

3.1.2.1. Radiographie du bassin ... 17

3.1.2.2. Radiographie du fémur ... 17

3.1.2.3. Radiographie du genou... 17

3.1.2.4. Radiographie de la jambe ... 18

3.1.2.5. Radiographie de la cheville ... 19

3.1.2.6. Radiographie du pied ... 19

3.2. QUELQUES CONCEPTS DU THEME ... 20

3.2.1. Prise en charge ... 20

3.2.2. Fracture ... 20

3.2.3. Lésion ... 20

3.2.4. Luxation ... 20

3.2.5. Contention ... 20

3.2.5.1. Bandes de velcros ... 21

3.2.5.2. Papier crépon collant... 21

3.2.5.3. Sacs de sable ... 21

3.3. QUELQUES IMAGES DE LESIONS ... 22

48

3.4. OBJECTIFS DE NOTRE ETUDE... 23

3.4.1. Objectif général ... 23

3.4.2 Objectifs spécifiques ... 23

3.5. CADRE, MATERIEL ET METHODES ... 24

3.5.1. Cadre d’étude ... 24

3.5.2. Matériel de travail ... 24

3.5.3. Méthode d’étude ... 24

3.5.3.1. Type d’étude ... 24

3.5.3.2. Période d’étude ... 24

3.5.3.3. Echantillonnage ... 24

3.5.3.4. Méthode statistique ... 25

3.5.3.4. Méthode statistique ... 25