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Quel est la principale raison d'étudier la France pour comprendre le Congrès de Vienne? La réponse a un nom et prénom: Napoléon Bonaparte. Mais avant de parler sur lui, on doit remonter au contexte historique, avant la fin de la monarchie française.

Dans les années 80 du XVIII siècle, plus de 100 ans après Westphalie, la misère faisait partie du quotidien du peuple français3 ce que détériorait les conditions de survivance

3 On peut exemplifier cette affirmation en disant qu’il avait une très grande difficulté d’acheter des

de la population en France. Cette situation était, alors à la base d'un sentiment qu'exprimait la volonté de changement, par rapport le type de gouvernement. Mais dans quel sens devrait-on changer le type de gouvernement ?

C'est à ce moment là, que les idéaux illuministes gagnent leur place. Cette logique arrive avec le but d'écraser la construction monarchiste de la politique française. La séparation du pouvoir entre trois domaines, soit le Exécutif, le Législatif et le Judiciaire, proposée par Montesquieu, peut être compris en tant qu’une action pour empêcher l’agglutination de la capacité de décision sur une unique personne. De cette façon, plusieurs de personnes doivent négocier les décisions politiques du gouvernement. (MALET, 1920).

La situation économique de la France n'était pas favorable, donc le roi Louis XVI4 se voit au milieu d'une crise. Le pouvoir d'achat des paysans s'est réduit et le prix du pain augmonte beaucoup tout au long des ans. L'industrie se rendre plus faible à partir du moment que le marché consommateur français fait leurs achats à l'étranger, car les salaires baissent, et, par exemple, en Angleterre les prix étaient moins cher au domaine industrielle.

La situation devienne dure à la population. (ANCEAU, 2003).

Pour exemplifier cette situation, on présent le budget de 1774 au royaume français, en indiquant les revenus et les dépenses et aussi l’endettement de l’état. Le plus important de s’apercevoir est que l’état avait une dette très grande pendant tout le XVIII siècle, ce que se traduit par une crise économique de la France. On peut voir, aussi que en 1789, la dette s’est élevée a 100% des revenus et la crise s’est agrandi énormément. N’est pas une coïncidence que la Révolution Française a eu lieu à cette année.

Graphique 1 : Budget de 1774

Source: ALAIN GESTINE, 2007.

Si l’économie mondiale au XIXeme siècle a été basé, principalement, sous l’influence

repas les plus simples à cause de leurs prix. À cette époque-là, même le prix du pain était cher.

4 Roi de France (1774-1791), puis roi des français (1791-1792). (LAROUSSE, s.d).

de la Révolution Britannique, la politique et l’idéologie ont été formée à cause de la Révolution Française5. (HOBSBAWN, 2009). La Révolution Française se passe dans un contexte où d’autres révolutions ont lieu. Cette époque peut être appelée d’Ère de Révolution Démocratique. C’était le cas des Etats-Unis, de l’Irlande, de la Belgique, de Genève et de l’Angleterre entre 1776 à 1790. Par contre, la Révolution Française est, parmi l’ensemble de ces révolutions, la plus expressive. La Révolution Française se passe dans le plus peuplé État en Europe (en ne comptant pas avec la Russie). Au ce moment-là, 20% de la population européenne était composée par les français6. (HOBSBAWN, 2009).

Donc, dans un pays si peuplé on arrive à mobiliser une chiffre plus expressive de la population, qui était d’accord avec l’idéale révolutionnaire et, par cette raison, les bouleversements contre les monarchies étaient plus cinglants. Il y a aussi le facteur qui tombait sur la capacité de transmission idéologique de ces bouleversements. Cette caractéristique rendre à la révolution française une forte capacité de atteindre la démocratie en utilisant un contingent expressif des révolutionnaires. Alors on se voit ici dans un contexte où il existe l’envie de la démocratie et, aussi, la capacité humaine pour la réussite de ce but.

En plus, la révolution en France était œcuménique6 et pour ça elle intégrait des combattants de diverses religions. C’est-à-dire que la pluralité augmente la capacité d’unifier le peuple toute autour d’une seule idéale. (HOBSBAWM, 2009).

La France, à l’aube de la révolution, se configurait comme l’un des États plus conservateurs à l’époque. Dans cette logique en France le conflit entre l’élite politique monarchiste et la population était plus visible (HOBSBAWM, 2009). La raison de ce conflit plus dur se trouve dans les actes du roi de France, que depuis longtemps ne convoquait plus les États généraux et ne rendait de comptes à personne. Il réaffirmait son pouvoir en s’appuyant dans les arguments religieuses, comme par exemple: « Roi par grâce de Dieu » (SEIGNOBOS, 1918). Le pouvoir absolu du Roi se transfère aux ministres, que se voient dans une situations de reformuler le pouvoir que le roi leurs ont donné en faveur de ses intérêts. Donc, à ce moment-là les ministres avaient un pouvoir presque illimité et le Roi ne voulait pas savoir qu’est-ce que se passait au royaume. Dans ce contexte il n’y avait pas le principe d’isonomie et les jugements étaient basés sur les perceptions individuelles. C’est important de dire que l’État était financé, surtout, par la taille, un impôt direct payé seulement par les gens du peuple. (SEIGOBOS, 1918).

Le côté économique se trouvait au même lieu que le côté politique. L’économie était dans les mains d’un contrôleur des finances qui n’avait ni capacitation ni un plan économique bien fait par le roi. Les ministres qui essayaient d’implémenter des politiques

5 L’idéologie était si fort, que les drapos des pays avec trois couleurs se configuraient comme un symbole de la révolution. (HOBSBAWM, 2009).

6 Mouvement qui préconise l’union de toutes les Églises chrétienne en une seule. (LAROUSSE, s.d).

moins conservatrices ont été congédiés. C’était le cas du ministre Turgot. Ce représentant du roi a été destitué de son ministère, car il déplaisait à Marie Antoinette. Il était un économiste, il défendait l’exploitation efficiente de la terre, le commerce et les entreprises plus libres et une gouvernance standardisée dans un territoire national et homogène. En d’autres mots, le ministre Turgot était en faveur du « despotisme ouvert », une stratégie de rendre plus fort et acceptable parmi le peuple la monarchie absolue, en l’adaptant au cadre actuelle, où ce type de gouvernement était en train d’être mise en doute par les mouvements révolutionnaires pour la démocratie. En destituant Turgot de son travail et, par conséquence, les idéaux du despotisme ouvert, Louis XVI jette à la poubelle la chance de sauver le type d’organisation politique en France. (MALET, 1920).

La justice était organisée comme au moyen âge. Le centre des décisions judiciaires tombait sur les seigneurs des terres et les jugements se passaient dans les propres villes. La société française se divisait officiellement en classes. Le clergé et la noblesse (les bourgeois riches inclus) étaient les classes les plus importantes. Le dernier tiers de la société se formait à partir des bourgeois, les paysans et les ouvriers en général. Les différences entre ces groupes tombait dans les questions de la justice, les droits et les impôts, dont la noblesse et le clergé avait des privilèges par rapport le dernier tiers de la population.

(SEIGNOBOS, 1918).

Le peuple n’était pas d’accord avec cette situation car l’économie française gardait un regard toujours conservateur en comparaison, par exemple, avec l’Angleterre. Donc, Louis XVI convoqua, ce que, plus tard, on appellera de l’Assemblée Nationale. Cette Assemblée a été composé par le peuple et aussi par le roi. La noblesse, le clergé et le dernier tiers de l’État discutaient avec le roi des questions concernant les soucis du pays. Cette réunion s’est passée en juin 1789. Louis XVI a laissé claire, dés le premier jour de l’assemblée, que l’ordre du jour était de remettre l’ordre dans les finances. Pourtant, le Tiers État15, surtout, voulait une constitution. (SEIGNOBOS, 1918).

Donc, le 20 juin 1789 à neuf heures du matin, la délégation du Tiers se trouvait devant la porte de la salle de réunion, mais la porte était fermée. En se cachant de la pluie, les députés sont entrés dans une autre salle, où ils ont commencé une réunion ils -mêmes, dont l’ordre du jour était, justement, élaborer une constitution. Le premier acte révolutionnaire était la position de l’Assemblée Nationale, qui jure ne pas être casser avan qu’elle puisse rédiger une nouvelle constitution. Cet action fut un signe de révolte, car le Roi avait le pouvoire de dissoudre l’assemblé quand il en voulait (SEIGNOBOS, 1918).

Le 23 juin, Louis XVI entre dans la salle de réunion et tout de suite il lis une déclaration, qui annulait la décision du Tiers État et à la fin de la séance il dit: «Je vous ordonne de vous séparer tout de suite et de vous rendre demain matin dans chacune des

Chambres7 affectées à votre ordre». (MAVIDAL; LAURENT; CLAVEL, 1875, p. 146). Malgré cette déclaration du roi le désire révolutionnaire était très fort au sein du Tiers et, donc, il refusa de sortir de la salle, en disant que le Tiers ne sortira que avec l’utilisaton da la force.

(SEIGNOBOS, 1918). Cet épisode à l’Assemblée Nationale a fait que la voix des députés, de la noblesse, du clergé et du Tiers État, était égale, en cassant l’idée des privilèges au clergé et à la noblesse.

Le prochain épisode de cette histoire est La Prise de la Bastille au 14 juillet 1789. À ce moment-là le Tiers, principalement les bourgeois, enleva 28 000 fusils et cinq canons aux Invalides8. La troupe arrive à la Bastille. Dans un premier moment il y a eu une tentative de négociation, mais les soldats suisses, qui gardaient la Bastille, tirèrent sur les révolutionnaires. Pendant cinq heures, s’est mise en place une bataille, qui a finit par la victoire du Tiers et le gouverneur de la Bastille est mort. Après cet événement, L’Assemblée Nationale commence à rédiger une constitution, dans une Assemblé Constituante.

(SEIGNOBOS, 1918).

Avec la constitution, la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen est mise en processus de construction. Le contenu de cette constitution tombait sur des questions comme la division du pouvoir. À ce moment-là l’assemblée avait le pouvoir législatif et le roi avait le pouvoir de veto suspensif, que lui permettait de suspendre une loi pendant six ans.

Malgré la constitution de 1791 les protestations contre le roi continuent à gagner sa place en France, ce qu’arrivait le peuple à couper sa tête dans une exécution publique, qui était le résultat d’un procès qui dura un mois et demi. À ce moment-là la royauté était abolie.

(SEIGNOBOS, 1918).

La Révolution Française a changé la société sans aucune doute comme la conception des droits naturels, aussi, l’idée que le peuple était le vrai souverain, parce qu’ils devait être vus comme citoyants. (SEIGNOBOS, 1918). C’est à dire que la légitimité des actions de l’État français a comme source l’égide du peuple français. Les impôts passent à être votés par l’Assemblée de représentants du pays. Ce nouveau régime a fixé la liberté individuelle que peut être entendu dans cette phrase: «Nul homme ne peut être accusé, arrêté, ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites». (MAVIDAL; LAURENT; CLAVEL, 1875, p. 472). La grosse différence est qu’avant cette constitution la volonté de l’État était la volonté du roi et après elle la volonté de l’État tombait à la volonté du peuple. Ce cadre est le portrait de la France en 1793.

7 Chambres sont les partie de la société. (SEIGNOBOS, 1918).

8 Lieu destiné aux bléssé en combat ou invalidés en combat.(SEIGNOBOS, 1918).

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