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L'Ère Napoléonienne est marqué surtout par les guerres et les conquêtes, la domination de presque toute l'Europe occidentale et la divulgation des idéaux révolutionnaires françaises, typique d'un État libéral et bourgeois. Cette époque est divisée en deux parties. La première s’organise en forme de consulat (de 1799 à 1804), le moment où on a réorganisé le cadre économique, politique et social de la France. La deuxième partie, la plus importante, est effectivement lu focus de la discussion faite dans ce document.

Elle était placé en forme d'Empire, de 1804 à 1815. C'est pendant cette dernière partie que Napoléon arrive a consolider une substantielle expansion des frontières françaises. C'est, aussi, à ce moment-là que l'empire français agrandit le sentiment de peur parmi les autres monarchies européennes. Elles avait peur d’être écrasés par rapport a son territoire et aussi par rapport au domaine idéologique, parce que les monarchies absolutistes nécessitaient de ses territoires pour établir sa stabilité économique et stratégique. (RATZEL, 1898)

Figure 2: L’empire français à son apogée.

Source: EMAZE, s.d.

Après avoir conquis la plus part de l'Europe occidentale, l'Empire français avait une ambition: la Russie. Pour en réussir, Napoléon met des troupes françaises en Russie, mais cette campagne n'a pas bien terminé pour la France. En 1810 la Russie casse le Blocus Continentale9 imposé aux anglaises par la France. Donc, cela fait Napoléon être défié,

9 “Napoléon, par le décret de Berlin (1806), déclara bloquée toutes les côtes d’Angleterre. Il défendit de faire aucun commerce dans les ports anglais, de vendre aucune marchandise anglaise en

comme il n’a jamais été. Par conséquence, en 1812, l'armée française a envahi le territoire russe, avec un grand contingent de 600 mille soldats10. (SEIGNOBOS, 1918).

Or, Napoléon ne savait pas que les russes ont architecturé une stratégie, en utilisant le climat et la topographie de leur territoire. C'était une question de temps dés que l'armée napoléonienne souffrisse à cause du froid et de la faim. Les russes sont entrés dans le territoire russe en faisant que l'armée ennemie aurait dû chercher le combat au cœur du pays. Au moment que les troupes françaises se retrouvaient, de plus en plus, dans la Russie, l'armée russe écrasait les caravanes françaises, qui avaient comme fonction la manutention des nourritures et des vêtements chaudes. Les soldats françaises souffrent à cause de cela et quand il se sent faible, la Russie décime, environ, 550 mille soldats.

(MALET, 1920).

Figure 3: Incursion française en Russie (1812)

Source: WIKIMEDIA, s.d.

Sur la carte ci-dessus on voit l'incursion de Napoléon sur le territoire Russe. En bas on voit les températures pendant l'incursion. On peut voir deux chemins dont l’épaisseur est dans la proportion du nombre de soldats de l’armée française. Le chemin en gris est le de départ et le chemin noir représente le retour. Les nombres qu'on voit sur la carte sont la quantité des soldats en vie au moment de la campagne. C'est remarquable le nombre de soldats perdues pendent les plus baisses températures. C’est également étonnant la

France et dans tous les pays alliés de la France, c’est -à-dire dans presque toute l’Europe.”

(SEIGNOBOS, 1918).

10 À cette époque-là c'était un nombre très expressif.

comparaison entre l’épaisseur du chemin au début du départ de l'incursion, en gris, et au bout du retour, en noir. En effet, un massacre s'est passé. Le figure en dessous montre la situation extrême de l’armée française en Russie. On peut y voir que les soldats françaises prenaient les vêtements chaudes des soldats morts en bataille pour se réchauffer. Cette image est une illustration possible du froid mortelle qu'il faisait pendent l'incursion française en Russie.

Figure 4: Le froid, en tuant les soldats français

Source: THERESE ZRIHEN, 2012.

C'est à partir de cette campagne que l'empire trouve son chute. La Russie rend faible l'ennemie, en le laissant tout prêt du moment d'abattage. La vertu plus importante de la Russie dans ce cas-là est que elle a patience pour faire de la guerre. Napoléon rencontre son dernier soupir à la bataille de Waterloo, où le général Wellington confirme le chute de l'empire français, en comandant la septième colligation anti-française, au 18 Juillet 1815. La fin de cet empire laisse un concert en Europe, pour assurer la position de puissance monarchiste, à l'époque, avec l'objectif de ne pas permettre d'autre personne comme Napoléon atteindre le pouvoir d’une nation quelconque. C'est à dire, il fallait que les puissances s'organisent, à nouveau, pour que l'ordre européenne soit protégé. Dans ce sens, le Congrès de Vienne gagne son place. (KLETT, s.d.).

4 LE CONGRÈS DE VIENNE

Le Congrès de Vienne a comme objectif redessiner la carte politique européenne, remettre en pratique l'Ancien Régime (monarchie absolutiste), dans tout les régions blessés par Napoléon et, principalement, régler les relations entre les nations, de tel façon qu'il n'y aie aucun pays militairement capable de vaincre tous les autres pays, qui pourrait faire partie

du concert européen appelé Pentarchie11.

Figure 5: L’Europe du Congrès de Vienne (1815)

Source: MICHEL RAULET, 2013.

Le Congrès, à ce moment-là, essaie de contenir l'influence du libéralisme12 le nationalisme, dans le sens républicain, dans l'Europe. C'est à dire, que les puissances veulent, consolider leur forme, monarchiste, de gouvernement dans le cadre européen. Cette coalition entre les gouvernements peut aider à construire le substrat idéal d'une stabilité en Europe. En marchant dans le sens de tel stabilité, un concept sera reformulé: le Multilatéralisme13. Ce concept comprend une idée de sécurité collective14. Le processus de

11“Groupement constitué par l'Autriche, la Prusse, la France, la Grande-Bretagne et la Russie, qui exerça de fait la suprématie en Europe de 1815 à 1860.” (LAROUSSE, s.d).

12 “Le mot « libéralisme » est né au début du XIXe siècle, après, comme il arrive souvent, que l'idée qu'il contient, la revendication de liberté, a été portée elle-même sur le devant de la scène historique. En effet, demander, exiger la liberté politique, idéologique, culturelle s'est introduit dans la conscience politique des élites françaises dès le XVIIIe siècle, dans une société qu'on dirait aujourd'hui « bloquée », divisée en « états », c'est-à-dire en classes institutionnelles (clergé, noblesse, tiers état), et où les libertés au sens moderne n'existaient réellement qu'à l'état larvaire : liberté de penser, de circuler, de publier, de créer, etc”. (LAROUSSE, s.d).

13 “Technique qui privilégie, au niveau des relations internationales, les rapports de chaque pays avec l'ensemble des autres.” (LAROUSSE, s.d).

14 “(...) évoque tout système de mise en commun des responsabilités en matière de sécurité au sein d'une communauté donnée, la sécurité de tous assurée par tous. En relations internationales, il met en jeu des États, et a pour but de les protéger contre tout péril menaçant leur survie et leur

prise de décision est centralisé dans une logique. Aussi, les accords à Vienne établissent un centre commun aux puissances, pour la prise de décision collective. C'est, aussi, raisonnable, que ces puissances concluent, que, pour s'assurer dans le cadre européen, elles ne pourraient pas s'attaquer, car elles auriont la même idéologie politique.

Les relations diplomatiques, après Vienne, ont la tendance de créer des nouvelles règles. Le plus grand objectif est avoir la capacité de garantir un protocole à ce qui concerne la prise de décision dans certaines domaines. Cela est possible grâce au modèle suggéré que compris des réunions périodiques. À cause de cette caractéristique, les représentants des puissances au Congrès de Vienne pourraient débâter sur des thèmes qui concernaient l'enjeu internationale et comment les directrices communs aux puissances pourraient être mises en pratique. (ONU, 2014).

Surtout, il y a une question importante à être résolut pendant les conférences: quel serrait le rôle de la France au Congrès de Vienne. Au début des conférences, la France peut probablement un rôle d'observateur, mais c’est a M. Talleyrand15 la responsabilité de regagner l’importance de la France dans les discussions. Malgré l’incrédulité des autres pays par rapport la France, M. Talleyrand peut l'idée qu'un pays défait militairement ne pourrait pas jouer un rôle principal dans l'équilibre de forces européen. Il peut le réussir, cet objectif, en disant que n'était pas la France qui a été vaincu, c'était Napoléon le vaincu et, ainsi, la France est si blessé comme les autres pays. La stratégie qu’il peut utuliser compris : gagner de la légitimité provenant des petites puissances, pour qu’ il puisse commencer à négocier avec les grandes puissances en jouant le rôle d'acteur légitime dans la conférence. M.

Talleyrand est placé au carrefour des discussions, s’il arrive à être légitimité par les plus petites puissances et, au même temps, s’il est arrive à discuter les sujets de l'intérêt français, avec les puissances. (CORREIA, 1994).

La France peut implémenter une politique de traitement au vaincu. Ce type de politique lui est intéressente, car elle est battue aux guerres. Au-delà de la capacité de Talleyrand, l'incorporation de la France à l'enjeu politique européen peut être une manœuvre, qui voudrait imprimer une logique absolutiste en France, avec l’objectif de contenir les désires révolutionnaire français, qui sont dangereux à la logique de Vienne. L’accord était:

les puissances font confiance à la France dans le cadre européen et, par contre, la France accepte les règles crées aux conférences à Vienne. (CORREIA, 1994).

À cause de ces négociations, qui ont comme objectif consacrer la légitimité des puissances monarchistes, on porrait garantir la paix et les bonnes relations parmi les nations, en consolidant les procédures normalisées dans la prise de décision dans plusieurs

intégrité,voire, dans une perspective plus large, leur prospérité et leur développement. (SÉCURITÉ COLLECTIVE, 2016).

15 Voir 5.4

sujets. L'ambiance en Europe serait en équilibre. Encore dans les probables conséquences du Congrès de Vienne, un nouveau type de diplomatie peut être mis en oeuvre. Avec le temps les conférences prévues oeut devenir des organisations spécialisés dans certains thèmes. À partir de cette caractéristique du Congrès de Vienne, on peut affirmer que les Organisations Internationales sont une dérivation de la logique présente dans ce Congrès.

Effectivement, le Congrès de Vienne est le pionnier à ce qui concerne la coordination internationale parmi les nations. (KLINGBERG, 1998).

5 PRESENTATION DU COMITÉ

Le comité aura lieu au 1/10/1814 jusqu’au 09/06/1815. Onze délégations, principalement, feront partie des réunion, elles sont : le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande, le Royaume-Uni de Portugal, Brésil et des Algarves, le Royaume de France, le Royaume de Prusse, le Tsarat Russe, l’Empire d’Autriche, la Confédération des Cantons Suisses, le Royaume d`Espagne, Le Pape Pie VII, le Royaume de Sardegne et le Royaume de Suède. Ces pays se sont réunis pour reformuler l’organisation politique et territoriale de l’Europe. L’objectif principal sera refaire la Carte de l’Europe comme elle était avant l’établissement de l’empire français. Une fois déjà battu, l’Empire français a été fragmenté et réorganisé selon le modèle politique de 1789, avant de la Révolution.

Après des mois des discussions, ils sont signés des accords, sur les questions abordées. En sachant que le but principal était réassurer les puissances absolutistes dans le enjeu européen, les résultats du Congrès sont visibles au moment qu’il y a eu une réglementation du territoire international, dans un processus pacifique de négociation. La reconnaissance de la souveraineté des pays était un point important aussi. Comme conséquence de la consolidation d’une souveraineté plus forte, les pays devenaient des corps politique plus solide dans l’Europe.

Le Congrès de Vienne a possibilité, aussi, aux puissances comme l’Autriche, la Prusse, la Russie et l’Angleterre d'introduire ses intérêts et ambitions dans le processus de redistribution territoriale en Europe. Donc, plus qu’une résolution aux conflits, les discussions à Vienne ont possibilité les pays réactionnaires de gagner, à nouveau, le pouvoir perdu pendent le gouvernement de Napoléon.

L’objectif de ce Comité est donc de supprimer, approximativement, un an des discussions dans les trois jours au MINIONU. On choisit le modèle de modération Grecque, parce que, en utilisant ce modèle, le discours aura une caractéristique plus fluide. Les délégués, s’ils veulent, peuvent s’habiller avec des vêtements caractéristiques de l’époque.

Par rapport les délégués, on espère que ce Comité soit un instrument pour mettre en

marche le travaille en équipe, entrainer leur capacité de discours, démontrer l’importance d’un rapproche historique dans les Relations Internationales et aussi qu’il soit un moment riche dans le côté culturelle. Alors, pour en réussir, les délégués auront besoin d’une très bonne connaissance du thème et une capacité d’organisation temporelle bien systématisée.

6 POSITIONEMENT DES PRINCIPALES ACTEURS

Ci-dessous on verra des positionnements politiques des principaux acteurs du Congrès de Vienne. C’est alors important de savoir le positionnement de chacun d’eux car vous, les délégués, serez la représentation de ces délégations au MINIONU.

6.1 Le Tsarat Russe

La Russie étais toujours contre les idéales de la Révolution Française, car le ler czar16 a été menacé pour cette logique révolutionnaire. Donc, la Russie se montre à faveur de la division du territoire conquis par Napoléon, en voulant plus d’influence dans le cadre international. Il faut réfléchir que Napoléon a commencé à perdre la guerre à l’incursion à Moscou, et pour cela la Russie est alignée aux décisions des puissances absolutistes. Dans ce cas-là, les sanctions à la France sont, aussi, approuvées par les russes. La Russie faisait partie de l’accord dénominé blocus continentale, qui visait blessé, économiquement, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande. Cependant, Napoléon ne faisait pas confiance à l’accord à ce que concernait la position de la Russie. Donc, Napoléon organise une incursion en Russie, plus connue comme Campagne de Russie. L’Empire russe sort victorieux de ce combat et rend faible le pouvoir de Napoléon en Europe.

(NAPOLEON.ORG, s.d.). Après la tentative échoué de mettre la Russie sous l’influence française au fin de maintenir le blocus continentale fort en Europe, l’inimitié entre ces deux pays a été renforcée. C’est, en partie, à cause de ce conflit armée que la Russie voie Napoléon comme ennemi. (CARRUTHERS, 2012).

6.2 Le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande

Le but principal était l’établissement des territoires et par rapport à cet affaire, l’Angleterre est considérée le pays le plus consacré avec les résultats du Congrès de Vienne. Il y a aussi, la rivalité entre les français et les anglais, qui a marqué les décisions du Congrès, sans aucune doute. L’Angleterre est toujours contraire à la Révolution. (CORREIA,

16 Figure du pouvoir monarchie slave.

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