• Aucun résultat trouvé

Réponses à nos questions légitimes

Dans le document Hypnose, sommeil, placebo ? (Page 164-181)

Qui sommes-nous ?

Nous sommes une mémoire de notre environnement. Nous participons à assurer localement une continuité des événements qui doivent – à cause de nous – se réaliser en tenant compte d'événements appartenant à un passé lointain (avant même notre naissance). Nous sommes donc un facteur de stabilité locale dans un univers très largement indéterminé. Cette continuité est assurée par un dispositif physique (le corps), elle a donc des limites physiques en termes de distance d'interactions (pas plus loin que ce que l'on peut effectivement mesurer), de domaines d'interac­ tions (seulement ce que nous pouvons mesurer, c'est-à-dire quelques longueurs d'ondes dans le domaine visuel par exemple).

Pourquoi existons-nous ?

La Vie est un « effet de bord », rien n'est voulu – c'est permis par les « lois » de cet univers alors ça arrive. L'image d'une évolution qui conduit à sa réalisation ultime – l'Homme, est complètement fausse. L'Homme n'est qu'une espèce parmi tant d'autres. Si l'on mesure la réussite d'une espèce à partir du nombre de ses représentants, ou du poids de tous les membres de l'espèce, ou de son ancienneté sans évolu­ tion (ce qui prouve qu'elle est parfaitement adaptée à sa niche écolo­ gique), alors l'Homme perd à chaque fois.

Le langage, notre joker ?

Evidemment, le critère habituellement retenu est celui du niveau de conscience, dont j'ai montré la correspondance avec les capacités de langage. Le langage s'acquiert automatiquement dès lors que la taille du cortex le permet et que l'éducation est proposée (avant sept ans). A ce propos, il semble bien aujourd'hui que toutes les langues dérivent de la

même langue première (le « proto-global », il y a environ 20 000 ans71),

et aussi que l'arbitraire du signe est un mythe – ce qui signifie que les sons émis dépendent de la sémantique véhiculée par les mots72. Bref, il y

a de moins en moins de place pour la génération spontanée, et l'arbitraire vis-à-vis du langage (et donc de la conscience). Ceci ne nous étonnera pas, puisqu'il n'y a pas de libre-arbitre !

Comment devenir immortels ?

Sachant que nous n'avons pas de libre-arbitre, ni de conscience, alors il devient tout à fait possible de recueillir la totalité de notre cognition sur un autre support que celui de nos neurones, nos capteurs et nos effecteurs – a priori un support plus facilement réparable ou moins fragile. La TnC ouvre la voie à une cognition efficace d'une cristallisation de souvenirs. Pour peu que ces « souvenirs » soient ceux d'un individu, alors celui-ci (sa pensée) devient immortel.

Pourquoi devenir immortel ?

Des hommes se sont battus une vie entière pour parvenir à faire don à la postérité d'un peu de leur être, que ce soit par le biais de souvenirs chez autrui, de livres, d’œuvres artistiques ou autres. C'est peu et pourtant nous considérons ceux-là comme ayant connu un destin exceptionnel : celui d'influencer les générations futures. Un esprit immortel – sur support électronique – c'est encore mieux puisque capable d'influencer toutes les générations futures. Si de plus sa compétence continue de croître avec l'expérience (avec l'âge), alors son destin est extraordinaire.

Quelles sont les implications de l'immortalité ?

Quel sera l'impact sur les générations futures d'une pensée expérimentée et dégagée des contraintes de la vie biologique ? Positive ? Hors jeu ? Pas très intéressante car trop en phase avec l'époque actuelle ? Ou trop déphasée ? Je parie pour une pensée tellement claire qu'elle pourra servir de guide et de référence – sauf que les hommes doivent faire leurs propres bêtises, à moins de ne plus croire dans le libre-arbitre. Vraisem­

71 Merritt Ruhlen (2007). L'origine des langues: Sur les traces de la langue mère, Ed. Folio essais, 432 p. ISBN-13: 978-2070341030

72 Sophie Saffi (2010). La personne et son espace en italien, Ed.Lambert-Lucas, 245 p.

blablement, lorsque l'immortalité deviendra disponible, nous serons convaincus de l'absence de libre-arbitre. Ecouterons-nous mieux les bons conseils ?

Y a t-il un lien entre libre-arbitre et capacité d'écoute ?

Les hommes font ce dont ils sont convaincus. Nous sommes convaincus lorsque la situation (actuelle) résonne en nous. Il nous est donc impos­ sible d'être convaincus a priori. Ceci n'empêche pas de suivre les bons conseils. Sauf que ce n'est pas ainsi que l'on se bâtit une autonomie (résultat de la crise d'adolescence). La crise d'adolescence est une étape dans le développement des individus qui leur permet de gagner leur autonomie, de gagner suffisamment en confiance pour éventuellement choisir contre l'avis général – en fonction de leur expérience personnelle. Il y a fort à parier que les hommes (biologiques) seront alors des enfants (dans le domaine cognitif) vis-à-vis d'une cognition artificielle immor­ telle. Supporterons-nous cette situation ?

La peur de la mort ?

Arrivé ici, vous devriez pouvoir admettre que le libre-arbitre et la conscience masquaient une incompréhension des processus neuronaux à l'œuvre. En y réfléchissant un peu, si nous sommes uniquement la « cristallisation » de nos expériences vécues, alors pourquoi avoir peur de mourir, puisque nous n'existons pas ! Ce constat n'est pas un argument valable pour une tentative de suicide. Il s'agit seulement d'aider au « lâcher prise », un excellent moyen pour prendre du recul et gérer sa vie, remettre de l'ordre dans ses priorités, ses choix, ses ambitions – bref vivre sa vie et non celle des autres !

Pourquoi ne pas croire en la réincarnation ?

Puisque notre environnement habituellement nous survit et que la personne qui nous remplacera dans notre environnement proche (famille, ami, job, société) vivra les expériences qui nous forment : il sera donc « formé » (modifié) de manière identique. Il nous ressemblera de plus en plus, parce qu'il vivra ce que nous aurions dû vivre. De plus, comme le monde est continu et que les hommes – leur mémoire – sont « continus » eux-aussi, nous pouvons garantir que notre entourage proche évoluera

peu et donc que notre « successeur » nous ressemblera beaucoup. Il pourrait passer pour notre réincarnation.

Notons que nous influençons autant notre entourage que ce qu'il nous influence. Nous sommes liés. En fait, un peu de ce que nous sommes (c'est-à-dire nos comportements) a été mémorisé par notre entourage. Personne n'est vraiment unique. Chacun d'entre nous est réparti sur de multiples cristallisations et donc dans plusieurs autres corps (ceux de notre entourage). Ce partage ne s'effectue pas après notre mort, mais tout au long de notre vie.

Tant que notre entourage existe, nous ne pouvons pas mourir car nous sommes la cristallisation des interactions avec cet entourage. Nous sommes donc éternels, et en même temps multiples, puisque en interac­ tion avec chacune des cristallisations que nous rencontrons. De fait, ces cristallisations en rencontrent d'autres et, au final, nous sommes une infime partie de chaque partie du tout (de l'humanité).

Gaïa, la planète consciente, existe-t-elle ?

A partir du moment où nous disposons d'une explication au « miracle » de la conscience, celle-ci disparaît au profit d'un processus absolument logique et normal, qui recouvre le même ensemble de faits pour l'obser­ vateur. Nous pouvons continuer à appeler les effets observables du processus de verbalisation : « conscience ». Ce processus n'est pas partagé par l'ensemble du règne animal car il implique une complexité corticale réservée aux hommes. Cependant, les animaux sont eux-aussi équipés de neurones et d'un cortex. Chaque animal se comporte donc en référence avec les circuits neuronaux retenus par la sélection naturelle, et les modifications induites par son vécu dans son environnement. Puisque nous partageons tous le même environnement – la planète Terre – alors la cristallisation de chacun d'entre nous (homme ou animal) est liée à celles des autres (hommes et animaux). Les cristallisations de toutes les formes de vie sur Terre sont de fait liées. Je crois que nous pouvons en déduire que Gaïa existe. Gaïa a-t-elle une conscience planétaire ? Je pense que non, car il lui faudrait une autre planète pour lui servir de mentor et lui apprendre une « verbalisation » à sa mesure.

Et les extra-terrestres dans tout ça ?

La présence de bactéries ou d'algues sur d'autres planètes ne nous fait pas fantasmer. Par contre, des extra-terrestres « évolués », voilà qui nous passionne. Que peuvent-ils nous apprendre ? Pourrons-nous nous comprendre ? Seront-ils pacifiques ? Etc.

La mémoire est aussi fréquente que la vie car l'évolution garantit que les systèmes à mémoire ont à leur disposition des niches écologiques que ne peuvent remplir les systèmes sans mémoire. Il y a donc des extra-ter­ restres doués de cognition.

La Théorie neuronale de la Cognition (TnC) constitue une étape sur le chemin de la connaissance. De ce fait, toute civilisation évoluée doit un jour découvrir sa vraie nature (cristallisation), c'est imparable ! Nous pouvons estimer que les civilisations extraterrestres avancées sont déjà passées par là. Elles ont alors certainement gagné en humilité et en altruisme. En ont-elles perdu le goût d'explorer, d'apprendre, de décou­ vrir les différentes facettes de la cristallisation du vécu impliquant d'autres formes de vie (autres capteurs, autres complexités de structures neuronales, autres environnements, etc.) ?

Où sont-ils ces extra-terrestres ?

Loin et pas aussi intéressés par nous que ça ! Pas plus que bon nombre d'entre nous ne sont intéressés par la vie des abeilles. Et s'il est effective­ ment impossible de dépasser la vitesse de la lumière, alors qui peut vouloir quitter son environnement pour revenir mille années plus tard, après avoir (peut-être) vu des animaux étranges ? Ce n'est plus le désir de conquêtes qui motive, seulement le désir de connaître, est-ce suffisant ? Moi, j'enverrai plutôt un « double » cognitif (robot), apte à mémoriser, réfléchir, comprendre – mais ira-t-il, ou tentera-t-il de se défiler lui- aussi ?

Postface

Initialement uniquement dédié aux quelques « faits » (hypnose, sommeil, placebo) qui n'avaient pas reçu d'explications de la part de la TnC dans mon précédent ouvrage (Conscience, intelligence, libre-arbitre), ce livre a rapidement dévié de sa mission originale pour intégrer des aspects encore plus controversés, comme le paranormal, l'influence de l'intention sur la réalité, le « véritable » intérêt des religions, la dynamisation de l'eau et des tentatives d'explications sur les mécanismes d'actions de l'homéopathie.

Cette déviation s'est faite à mon insu. Encore sous le choc des révéla­ tions de la TnC sur la conscience et le libre-arbitre, j'ai de facto consi­ déré avec beaucoup moins d'arrogance qu'auparavant, ces domaines que la science tente d'ignorer – parce qu'ils n'ont pas encore reçu d'explica­ tions.73

Il est bien dommage que la majorité de mes collègues soient très peu avertis des faits inexpliqués et des théories oubliées74, nos connaissances

progresseraient beaucoup plus vite (de même que notre humilité). Cependant, les scientifiques peuvent reprendre à leur compte la désor­ mais célèbre formule « responsables, mais pas coupables », car en plus d'une absence totale (et non assumée) de libre-arbitre, ils subissent de multiples pressions sociétales : modes, lobbies, « vérités » officielles75...

73 Vous trouverez sur www.sciences-cognitives.org des pistes de réflexion.

74 Pierre Lance, Savants maudits, Chercheurs exclus, tomes 1, 2, 3 et 4, Guy Trédaniel Editeur., 2003-2010.

75 Ces « thèmes négligés par les instances médiatiques clairement liées à l'élite dirigeante » sont le fonds de commerce de revues telles que Nexus.

Annexe : L'eau dynamisée

Le chapitre 12 (homéopathie) fait appel à la dynamisation comme une étape essentielle (dilution/dynamisation) de l'élaboration d'un médica­ ment homéopathique. Il s'agit d'agiter la solution à chaque fois qu'il y a eu dilution (un bon quart d'heure minimum). Quelle peut être la raison d'une telle pratique ?

L'eau dynamisée de Marcel Violet

L'eau est une molécule composée d'un atome d'oxygène et deux atomes d’hydrogène. L'eau nous est indispensable, c'est 70% des molécules de notre corps. Ceci signifie que toute la biochimie baigne dans des molécules d'eau, pourtant son rôle est supposé neutre. La Biologie ne tient pas compte du fait que l'eau est un dipôle électrique76. Les

molécules d'eau sont en agitation permanente (sauf sous forme solide), et forment des arrangements de plusieurs molécules capables de piéger des atomes et autres molécules, les empêchant ainsi d'interagir, ou modifiant leurs interactions.

Marcel Violet (1886-1973) est un « grand Monsieur » : ingénieur des Arts et Métiers, père du moteur à deux temps pour l'automobile et dispo­ sant de l'oreille de l'Académie des Sciences et de celles de quelques ministres. Il a réalisé un grand nombre de travaux très démonstratifs sur la « dynamisation de l'eau77 » (brevet FR1142722). Il s'agit d'augmenter

l'état vibratoire des molécules d'eau afin (semble-t-il) de leur permettre la réalisation d'assemblages (trimères ?) énergétiquement coûteux, mais très profitables à la vie (peut-être à la base d'une assimilation facilitée,

76 La molécule d'H2O n'est pas symétrique (ce qui explique pourquoi l'eau est conduc­

trice de l'électricité)

77 Marcel Violet, Michel Rémy, Christian Beau, L'énergie cosmique au service de la

moins énergivore ?). L'énergie est fournie par le rayonnement cosmique, il s'agit d'oscillations d'une fréquence supérieure à 1024 Hz, utilisant

comme diélectrique de la cire d'abeille78.

Exemples d'expériences menées :

En collaboration avec l'hôpital de Roubaix, l'un des plus grands hôpitaux de France à cette époque (3600 lits), où tout le monde est concerné, du médecin-chef aux patients, en passant par le personnel de service. Les doses sont de 25 cm3 (un verre à liqueur) d'eau dynamisée trois fois par

jour (pendant 6 mois). Résultats :

• durée des hospitalisations réduite d'un tiers, • aucune contre-indication,

• arrêt des plaintes et réclamations du personnel à la fin du second mois.

Après quoi, un avis favorable fut rendu par l’Académie Nationale de Médecine, en 1958.

Dans une ferme mise à disposition par le ministre de l'Agriculture, il est planté trois champs de 30 hectares chacun de betteraves. Ce sont les mêmes semences, mais celles des champs n°2 et n°3 trempent en plus pendant une nuit dans l'eau dynamisée. De plus, le champ n°3 sera aspergé une fois avec de l'eau dynamisée à raison de 10 m3 à l'hectare (ce

qui est peu). A la récolte, on constate :

• champ n°1 : 99 tonnes/hectare (très bon rendement), • champ n°2 : 113 t/ha (15% de mieux)

• champ n°3 :126 t/ha (26% de mieux, certaines betteraves font 8 kg). De nombreuses autres expériences sont faites (et publiées), notamment avec des cobayes pour vérifier qu'il n'y a aucun effet génétique (malfor­ mation congénitale ou autres) sur les descendants (jusqu'à la 7ème génération). A la fin de l'expérience, les cobayes sont donnés au fournis­ seur qui les revend aux laboratoires d'expérimentation animale – et

78 Depuis, grâce à l'électronique, il existe des appareils plus efficaces et maniables. La dynamisation s'obtient aussi mécaniquement par la création d'un vortex. L'emploi de flashs lumineux a aussi été testé avec succès.

rendus 15 jours plus tard à M. Violet au prétexte que ses cobayes ne tombent plus malades comme ils devraient !

A l'époque, il fut impossible d'obtenir la prise en charge de l'eau dynamisée par la Caisse Primaire d'Assurance maladie (« Sécu ») car au vu de sa composition – fut-elle dynamisée – l’eau reste de l’eau, elle ne contient pas de principe actif comme un médicament et n'est donc pas remboursable. Après la disparition de M. Violet (écrasé par une voiture), tout disparaît...

Pourquoi un tel gâchis ?

L'eau dynamisée de M. Violet a pourtant été testée avec succès à grande échelle : hôpitaux, hospices de vieillards, asiles psychiatriques, écoles (Freinet), des milliers de personnes individuellement ; des centaines d'hectares de betteraves, tomates, melons, pommes de terre, blé, concombres ; des centaines de brebis, agneaux, chevaux, poules, rats, souris, cobayes (sur plusieurs générations). Des sociétés se sont créées qui ont commercialisé en France et à l'étranger des appareils à dynamiser l'eau pour la consommation humaine (« Eau Electro-Vibrée ») et aussi l'agriculture. L'eau dynamisée de M. Violet a même été remboursée par certaines mutuelles de santé pour finalement disparaître dès la disparition de son inventeur.

Conclusion

L'eau – H2O – est peut être ce que nous croyons le plus connaître et

pourtant il n'en est rien. Ses interactions et son comportement vis-à-vis du vivant et des énergies sont pratiquement inconnus, et encore moins étudiés. Ceux qui s'y frottent, comme feu Jacques Benveniste79, découvre

des choses ahurissantes, que l’establishment et les laboratoires pharma­ ceutiques abhorrent (trop de changements de paradigmes) et sont « excommuniés », privés de crédits, de locaux, d'équipe. Pourtant, le temps passe (déjà 10 ans depuis son décès, 30 ans après ses travaux sur les grandes dilutions, que la presse a appelés « la mémoire de l'eau »), et les confirmations/répétitions de ses résultats s'empilent. Luc Montagnier, « notre » prix Nobel (qui a dû s'exiler aux USA pour pouvoir continuer ses travaux, avant de partir en Chine pour avoir découvert des choses

trop compromettantes80 pour la biologie classique, même américaine),

affirme que Benveniste fut un précurseur génial.

80 Montagnier, L, Aäissa, J et al, "Electromagnetic Signals Are Produced by Aqueous Nanostructures Derived from Bacterial DNA Sequences". Interdisciplinary

Sciences: Computational Life Sciences, 6 January 2009, Vol. 1, Number 2, 81–90.

complémentaires comme :

• un survol 3D de la carte auto-organisatrice représentant les 50 000 mots anglais les plus courants,

• les liens hypertextes vers les ressources citées en notes de bas de page,

• des liens vers d'autres ressources que je n'ai pas citées, mais qui sont pourtant intéressantes,

• un « blog » où je m'efforce de répondre aux questions qui me sont adressées, à la lumière de ce que la TnC nous apprend.

par Lulu Enterprises UK Ltd 160 London Road UK - Barking, IG11 8BB

pour le compte des Editions la Machotte 155 imp. d'Oû Pèbre

F – 13390 Auriol

Imprimé au Royaume-Uni

Dans le document Hypnose, sommeil, placebo ? (Page 164-181)