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d’ailleurs rendu plus difficile le comptage de cartes (Patterson, 1990), et certains progrès récents en technologie des jeux, tels que les batteurs de cartes automatisés et les croupiers électroniques, pourraient même totalement éliminer le comptage de cartes.

dans lesquels il est possible de réduire de beaucoup l’avantage de la maison (voir Wong et Spector, 1996).

Le vrai Poker : s’affronter à d’autres joueurs

Le vrai Poker, dans lequel les joueurs s’affrontent entre eux, se joue dans des cuisines, des bars, des salles privées de restaurants, des casinos et des salles de Poker dans certains gros casinos, ainsi que sur Internet. La majorité des joueurs apprennent à jouer au Poker lors de parties ludiques à domicile, ce qui s’appelle parfois le « Poker de table de cuisine ». En Ontario, il est légal de jouer au Poker à la maison pourvu que la totalité de la cagnotte (pot) revienne au gagnant de chaque partie. Autrement dit, il est interdit à un tiers de réaliser un profit en prélevant un pourcentage du pot. Lorsqu’il s’agit d’un jeu de Poker au casino, la maison loue des places aux joueurs, soit en tant que pourcentage prélevé sur le pot, soit en tant que tarif à l’heure, pratique connue sous le nom de rake.

Ces dernières années, la popularité des tournois de Poker est montée en flèche. Par exemple, le tournoi de World Series of Poker, tenu à Las Vegas, attire des milliers de joueurs venus du monde entier pour se disputer des millions de dollars en prix.

Variantes du Poker

Les jeux de casino les plus courants sont le Stud à 7 cartes, le Texas hold ’em et le Omaha hold’em. Le Poker dit « de cuisine » englobe une grande variété de jeux, dont beaucoup qui sont des variantes du Poker 5-card Draw ; le choix de jeu revient d’habitude au croupier.

Au Stud à 7 cartes, on distribue sept cartes à chaque joueur, qui essaie d’obtenir la meilleure main en utilisant cinq de ses cartes. Chaque joueur reçoit trois cartes initiales – deux à la face cachée, une à la face ouverte. Les joueurs placent leur mise après la distribution de ces trois cartes initiales. Le croupier distribue ensuite quatre cartes de plus à chaque joueur, une à la fois, face ouverte, et finalement une dernière carte, face cachée. Les joueurs placent leur mise après distribution des 3e, 4e, 5e, 6e et 7e cartes.

Le jeu de Texas hold ’em, ou simplement « hold ’em », se joue sur une table pouvant accommoder jusqu’à 10 joueurs. Chaque joueur reçoit deux cartes face cachée, ce sont les cartes fermées (pocket cards ou hole cards) du joueur. Après qu’un joueur a misé sur ses cartes fermées, le croupier lui distribue trois cartes, face ouverte, au milieu de la table de jeu.

Ces cartes s’appellent le « tableau » (flop), ce sont des cartes communes que n’importe quel joueur peut utiliser pour renforcer sa main. S’ensuit un deuxième tour d’enchères. Le croupier distribue alors une quatrième carte commune (turn), avant d’entamer un troisième tour d’enchères. Tout à la fin, le croupier distribue la cinquième et dernière carte commune (river), avant le dernier tour d’enchères. Les joueurs tentent d’obtenir la meilleure combinaison de

cinq cartes à partir de leurs cartes fermées et des cartes communes. Celui qui a la main la plus forte gagne. Un joueur peut utiliser une ou deux de ses cartes fermées, ou n’en utiliser aucune, pour bâtir sa main. Si deux joueurs ont des combinaisons de cartes de force égale, ils se partagent le pot.

Au jeu de Omaha hold ’em, ou tout simplement « Omaha », chaque joueur reçoit quatre cartes fermées, puis cinq cartes communes sont placées au milieu de la table de jeu. Les joueurs doivent se servir de deux cartes fermées et de trois cartes communes pour choisir leur main.

Au 5-card Draw, les joueurs reçoivent chacun cinq cartes, placent leur mise, se débarrassent des cartes dont ils ne veulent pas et tirent de nouvelles cartes, puis ils placent leur dernière mise. De nos jours ce jeu est rare dans les casinos, mais on joue souvent à des variantes de 5-card Draw dans les « parties de cuisine », où les joueurs utilisent des wild cards, c.-à-d. des cartes qui peuvent remplacer n'importe quelle autre carte.

Dans la plupart des formes de Poker, l’as est la carte la plus forte, le 2 la plus faible, et les joueurs tentent d’obtenir la main la plus forte. Les règles de chaque jeu varient, mais la valeur d’une main est inversement proportionnelle à sa probabilité, et cela reste vrai dans la majorité des variantes du Poker. Par ordre d’importance, les mains sont : la quinte royale (une suite 10, Valet, Dame, Roi et as, de la même couleur) ; la quinte flush (n’importe quelle suite de la même couleur, p. ex., 4, 5, 6, 7, 8) ; le carré (quatre cartes de même valeur) ; le full (un brelan et une paire) ; la couleur (n’importe quelles cinq cartes de la même couleur) ; la quinte (une suite de valeurs consécutives, p. ex., 4, 5, 6, 7, 8, de n’importe quelle couleur) ; le brelan (trois cartes de même valeur) ; deux paires ; une paire ; pas de paire avec la carte la plus forte.

Dans certains jeux où sont permis plusieurs tirages ou des wild cards, les deux paires signifient une main faible, tandis que dans d’autres jeux comme le Texas hold ’em, les deux paires peuvent constituer une main relativement forte.

Dans certains jeux que l’on appelle « nullot », le but est de réussir une main composée des cartes les plus faibles. Par exemple, une main gagnante peut n’avoir aucune paire, ou encore n’avoir que des cartes inférieures (p. ex., 2, 3, 5, 7, 8). Dans certaines parties de nullot, l’as est une carte forte, tandis que dans d’autres parties l’as est au contraire une carte faible. Dans d’autres variantes du Poker comme le Omaha high-low split, les joueurs essaient de gagner en combinant leurs cartes fermées à des cartes communes pour obtenir soit une main à cartes supérieures, soit une main à cartes inférieures. Les joueurs qui ont la combinaison la plus forte ou la plus faible se partagent le pot à part égale. Au Omaha high-low, cependant, si un joueur veut gagner avec une main de cartes inférieures, il doit se garder d’avoir une paire dans son jeu ou une carte d’une valeur dépassant 8.

Habiletés du joueur de Poker

Le Poker est en grande partie un jeu d’adresse, mais lorsque les joueurs sont de force égale, il ressemble davantage à un jeu de hasard. Le Poker est un jeu de données incomplètes. À la différence de certains jeux comme les échecs, où les adversaires peuvent voir la position de toutes les pièces, un joueur de Poker doit tenir compte de deux inconnues : la main de son adversaire et les cartes qui ne sont pas encore sorties du jeu. Un joueur de Poker doit donc développer sa capacité de deviner ce que prépare son adversaire tout en l’empêchant de deviner sa stratégie à lui. Il existe plusieurs habiletés qui aident à améliorer le jeu d’un joueur de Poker.

Habiletés aux cartes

Un joueur habile aux cartes sait, entre autres, évaluer ses chances d’obtenir et de gagner une main quelconque ; il sait également peser les probabilités qu’il gagne contre le montant de la mise et son gain potentiel (« cote du pot »). Se rappeler les cartes que distribue le croupier, savoir calculer rapidement les chances qu’une carte en particulier sorte du jeu et savoir profiter de tous ces renseignements lorsque vient son tour de jouer – ce sont là des habiletés essentielles pour réussir au Poker, et surtout au Stud de 7 cartes. Le choix de jeu optimal dépend de la variante de Poker. Au hold ’em, par exemple, la valeur des premières cartes distribuées et la capacité d’un joueur de savoir comment les jouer en différentes positions sont des facteurs clés dans sa réussite éventuelle. Un joueur qui tient un as et un 9 peut abandonner le jeu s’il doit miser en premier ; par contre, il peut relancer s’il est parmi les derniers à miser et s’il lui semble que les autres joueurs ont de mauvaises cartes (voir Warren, 1996).

L’habileté la plus importante aux cartes est de savoir limiter son jeu aux mains d’ouverture qui confèrent des chances de gagner supérieures à la moyenne (ne pas « coucher » ou abandonner).

Savoir évaluer les autres joueurs

Un joueur expérimenté essaie de déterminer s’il est en mesure de battre certains des autres joueurs. Il développe alors une connaissance du style et du niveau d’adresse des autres joueurs et s’efforce de trouver des parties de Poker où s’affrontent des joueurs plus faibles que lui. Un joueur expérimenté peut également essayer de manipuler l’image qu’il projette de lui-même à la table de Poker, en faisant semblant parfois de manquer d’expérience, ou encore en essayant de faire croire aux autres joueurs qu’ils sont, eux, très forts.

Savoir bluffer et « sous-jouer »

Autre habileté importante chez le joueur de Poker : sa capacité de convaincre les autres joueurs qu’il a un beau jeu alors qu’il a en fait de mauvaises cartes (bluffer) ou, au contraire,

qu’il a une main faible alors qu’il dispose réellement d’un beau jeu (sous-jouer). Dans le film Rounders (Stillerman, Demme et Dahl, 1998), les joueurs novices affichent souvent un air

« faible » lorsqu’ils ont une main forte et un air « fort » lorsqu’ils ont une main faible, donnant ainsi aux autres joueurs, et sans le vouloir, de gros indices quant à leur jeu (voir la section suivante). La clé d’un bluff réussi est de s’assurer que les autres joueurs ne savent rien de son jeu. Par conséquent, il faut bluffer avec modération. Si un joueur bluffe trop souvent, son bluff perd de son efficacité et peut même le piéger. Par exemple, si un joueur a l’habitude de relancer chaque fois qu’il a un mauvais jeu, il donne l’occasion aux autres joueurs de sous-jouer. Il existe également une variante un peu moins risquée du bluff, le semi-bluff, qu’un joueur peut employer lorsqu’il a une main assez bonne et qui pourrait gagner en soi, mais qui pourrait aussi devenir beaucoup plus forte. Le bluff est le plus efficace contre les joueurs timides ou trop prudents. Sous-jouer est une technique qui marche bien contre les joueurs trop agressifs.

Savoir repérer les indices

Au point culminant du film Rounders (Stillerman, Demme et Dahl, 1998), lors de l’abattage final (étalage des cartes), le personnage principal, Mike, remarque que son adversaire, KGB, mange toujours un biscuit Oreo d’une certaine façon chaque fois qu’il a une main forte. Le biscuit Oreo est un indice. Un indice peut être verbal ou non verbal et révèle quelque chose sur l'état d'esprit du joueur qui l’émet. Le biscuit Oreo du film est un indice il n’y a plus évident ; généralement les indices sont plus subtils. Un joueur peut repérer des indices en observant les réactions des autres joueurs à leurs cartes et leur façon de miser. L’objectif est de trouver certains signes révélateurs qui trahissent le jeu d’un joueur.

Repérer les indices exige d’observer soigneusement l’autre joueur durant de nombreuses parties. Bien sûr, cela peut s’avérer très difficile si l’autre joueur est fort. Au hold ’em, un joueur laisse généralement ses cartes face cachée sur la table et ne les regarde que brièvement.

Si un joueur ayant ramassé ses cartes au stade du flop mise rapidement, c’est un signe qu’il a peut-être obtenu une meilleure main que ce qu’il espérait. S’il hésite avant de miser, il se peut que sa main soit faible ou qu’il prenne de gros risques. Les indices étant souvent uniques à chaque joueur, ils sont difficiles à repérer. De plus, certains joueurs émettent de faux indices.

Selon Caro (1986), essayer d’émettre de faux indices n’est pas une bonne stratégie parce que d’autres joueurs habiles pourraient le remarquer, et ce sont les joueurs habiles qui sont les plus susceptibles de flairer un faux indice.

Maîtriser ses émotions

La capacité de maîtriser ses émotions est une autre habileté au Poker, utile tant pour dissimuler sa main à ses adversaires (avoir un poker face, c.-à-d. un visage qui ne montre

aucune émotion) que pour assurer sa propre survie à long terme au Poker. Parfois, lorsqu’un joueur est confronté à une perte inattendue (p. ex., son full as-Rois rencontre un carré de 2), il peut être bouleversé à tel point qu’on dit qu’il est cagoulé (Browne, 1989). Un joueur cagoulé est secoué par les événements et commence à jouer avec désespoir ou à courir après ses pertes. Il peut être difficile pour un joueur de maintenir « un visage de Poker » lorsqu’il est bouleversé. De plus, le Poker est un jeu qui attise souvent les sentiments rapaces. Le

deuxième auteur du présent ouvrage a assisté une fois à une partie où l’un des joueurs faisait semblant d’être un ivrogne infect. Il a si bien agacé et fâché les autres joueurs que l’un d’eux s’est laissé rouler et a fini par engraisser le pot. Un bon joueur doit s’efforcer de ne pas succomber au désespoir quand il perd. D’où l’adage anglais des salles de Poker : Scared money always runs away (« une mise timide disparaît toujours »). À l’inverse, un joueur qui réussit doit se garder de s’estimer trop heureux.

Poker problématique

Il n’existe pas de statistiques exactes sur le pourcentage de joueurs de Poker aux prises avec un problème de jeu. Les auteurs du présent ouvrage émettent l’hypothèse que le nombre de joueurs de Poker traditionnel jouant avec de l’argent réel (Poker « de cuisine » ou de casino) et qui ont un problème de jeu est inférieur à celui des joueurs de machines à sous ou d’autres jeux de table. Hayano (1982) émet l’idée qu’au Poker, la pression exercée par l’entourage peut avoir un effet modérateur sur les comportements extrêmes. Le Poker « de cuisine » en particulier, joué entre amis, est autolimitant en ce sens que les joueurs n’encourageraient et ne toléreraient très probablement pas de jeu excessif. Même dans les casinos, les joueurs de Poker sont souvent portés à critiquer les comportements dangereux d’autres joueurs ou à leur offrir conseils et astuces. Les deux auteurs du présent ouvrage ont toutefois pu témoigner de comportements problématiques chez des joueurs de Poker et en concluent que les problèmes liés au jeu ne sont pas rares. Basil Browne (1989) a constaté que beaucoup de joueurs sont périodiquement « cagoulés », et ce à un degré allant de non problématique à problématique selon la période qu’ils traversent. L’aspect souvent rapace du Poker encourage certains joueurs à réduire leurs adversaires au désespoir pour pouvoir s’approprier leur argent.

Il se peut d’ailleurs que le Poker soit devenu encore plus problématique à cause de

l’apparition des jeux de Poker en ligne. Au Poker en ligne, il n’existe plus d’obstacle social au jeu excessif car les joueurs ne se connaissent pas et ne sont donc pas portés à s’entraider en se donnant des conseils. Il n’est pas non plus dans leur intérêt de décourager leurs semblables de jouer dangereusement. De plus, les jeux en ligne sont désormais beaucoup plus courants et les enjeux proposés vont de quelques cents à des centaines de dollars. Les petits enjeux facilitent l’adoption d’une habitude de jeu, tandis que les enjeux plus élevés donnent aux joueurs la

possibilité de courir après leurs pertes. Un autre aspect notable du Poker moderne est la variante à laquelle s’adonnent la plupart des joueurs : le Texas hold ’em sans limites. Le nom même du jeu, « sans limites », en dit long sur le problème principal de ce jeu. À n’importe quel stade de la partie, n’importe quel joueur peut mettre tous ses jetons sur la table.1 Cette variante en particulier pourrait être plus dangereuse que les autres formes de Poker parce que les joueurs peuvent subir très vite des pertes considérables ou, pire encore, ils peuvent réaliser des gains considérables.2

Fritz et Horbay (1998) ont comparé des joueurs de Poker qui avaient réussi avec des personnes qui suivaient un traitement pour un problème de jeu ; ils ont constaté que les premiers considéraient davantage l’adresse comme plus importante et le hasard comme moins important comparativement aux derniers. Certains joueurs qui avaient réussi ont également signalé qu’ils avaient l’habitude de quitter une table de jeu s’ils avaient gagné ou perdu un montant déterminé d’avance, s’ils étaient fatigués, ou encore s’ils sentaient qu’ils allaient perdre davantage d’argent. Les personnes qui suivaient un traitement, elles, ont signalé qu’elles avaient l’habitude de quitter la partie si elles avaient épuisé leur réserve d’argent ou si le casino s’apprêtait à fermer. Fritz et Horbay ont également constaté que les immigrants issus de cultures où les jeux de cartes et le Poker ne sont pas courants constituent un groupe vulnérable parce qu’ils semblent considérer le Poker comme un jeu de hasard et ne savent pas qu’un joueur peut améliorer ses habiletés au Poker en consultant des livres ou en étudiant les probabilités.

Hasard et adresse

La chance est une idée à laquelle souscrivent de nombreux joueurs de Poker, comme l’indique le nombre de joueurs qui se servent d’un objet porte-bonheur ou qui choisissent toujours une place à la table de jeu, un croupier ou un casino porte-bonheur. Lorsque ces joueurs

commencent à perdre, ils peuvent tenter d’améliorer leur chances en cherchant une autre table ou un autre type de jeu, en demandant au croupier de changer de jeu de cartes, ou encore en

1 Dans ces jeux, les joueurs doivent placer un pari minimal (p. ex., 50 cents aux deux premiers tours d’enchères, 1 $ aux troisième et quatrième tours) ; il n’y a toutefois aucune limite maximale précise.

Cependant, aux tables de Poker en ligne qui proposent de petits enjeux, il existe une limite maximale sur les paris que peuvent encaisser les joueurs (p. ex., 50 $), ce qui techniquement constitue une limite sur le montant des paris.

2 Le fait de gagner gros vers le début de sa carrière de jeu de hasard est l’un des principaux facteurs pouvant provoquer plus tard un problème de jeu pathologique (Turner et coll., 2002).

lui demandant de rebattre le jeu. D’après les observations des auteurs du présent ouvrage, les joueurs superstitieux sont souvent les moins habiles.

Un bon joueur de Poker peut s’attendre à réaliser un profit à long terme s’il affronte des joueurs moins chevronnés (Turner et Fritz, 2002). La majorité des joueurs s’adonnent aux jeux de hasard comme activité ludique, mais Hayano (1982) estime qu’un plus petit nombre de personnes jouent purement pour s’assurer un revenu. Hayano, un anthropologue qui a été pendant dix ans participant-observateur dans une salle de cartes en Californie, a pu identifier quatre types de joueurs professionnels : 1) ceux qui s’adonnent aux jeux de hasard pour augmenter leur revenu provenant d’un emploi régulier ; 2) ceux qui possèdent une source de revenu extérieure comme une pension ou un compte en fiducie ; 3) ceux qui ne tirent qu’un revenu de subsistance de leurs activités de jeu et qui ont du mal à boucler leur budget ; et 4) ceux qui sont joueurs de carrière, dont le revenu entier provient du Poker et qui s’identifient fortement au Poker en tant que choix de profession. Seulement un très petit pourcentage de joueurs arrivent à tirer plus qu’un revenu de subsistance en jouant au Poker.

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