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Peroxydase naturelle + Oxygène de vie + SOD + Germanium + Acide R lipoïque + Catalase + lactoperoxydase

Dans le document GUERISON SPIRITUELLE DU CANCER, Anonyme (Page 102-105)

Utilisation avec succès du peroxyde d’hydrogène en élément trace, pour les maladies suivantes :

Allergies, maux de tête, herpès, Alzheimer, Parkinson, SEP, zona, anémie, VIH, infections, grippe, asthme, piqûres d’insectes, infections bactériennes, cirrhose du foie, bronchite, lupus érythémateux disséminé, cancer, candidose, parasitoses, maladies cardiovasculaires, arythmies, hypertension, maladie vasculaire cérébrale, maladie parodontale, douleur chronique, prostatite, diabète de type 2, polyarthrite rhumatoïde, rétinopathie diabétique, sinusite, problèmes de digestion, maux de gorge, ulcères, emphysème, infections virales, allergies alimentaires, verrues, infections fongiques, vaginite, gingivite, mauvais cholestérol, crampes, obésité.

On constate une amélioration de l’état psychologique et émotionnel, des 5 sens (vue, ouïe, toucher, odorat, goût), de la libido, de la régulation thermique des extrémités froides (disparition de la sensation de froid), du dépassement du syndrome de fatigue chronique, de la mémoire et de la concentration, de l’aspect général cheveux plus brillants, yeux plus pétillants, ongles plus robustes, éclat de la peau ravivée, rides moins visibles, etc.

On observe également une diminution des varices, taches de vieillesse, de l’arthrite et autres douleurs, de la dépendance à l’égard des médicaments, de l’utilisation des diurétiques, de la perte de cheveux (et parfois arrêt et inversion du processus), des troubles érectiles, de la période de convalescence après intervention de la cataracte (vision optimisée), etc.

H2O2 est à consommer au cours de la première moitié des repas.

L’organisme s’en trouve si bien qu’il peut engager un processus de détoxication salutaire mais qui peut être désagréable, voire même carrément insupportable. Cette détoxication peut imiter une grippe, un rhume, une angine, un eczéma, un psoriasis, ou toute autre pathologie, en fait c’est l’organisme qui crée un émonctoire supplémentaire. En cas de crise de détoxication, ne pas arrêter la cure.

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Le H2O2 est un excellent antalgique, parfois plus efficace que la morphine. Son effet antalgique est progressif, il commence environ au bout d’une à deux semaines et va en s’amplifiant progressivement.

Le H2O2 régénère les organes déficients, abîmés ou devenus paresseux. C’est une véritable cure de jouvence. De ½ à 9 gouttes dans un verre d’eau à avaler au cours de la première moitié du repas.

* Pour prendre ½ goutte : mettre une goutte dans un verre d’eau, et ne boire que la moitié.

Le but est d’arriver progressivement à 9 gouttes en 3 prises pour une journée, continuer jusqu’à rémission, ne dépasser 9 gouttes en 3 prises que sur l’intuition de chacun.

Après rémission, diminuer en sens inverse progressivement de 9 à 1 goutte et ensuite garder le rythme d’une goutte par jour à vie. Ne mélanger le H2O2 que dans un verre d’eau impérativement non chlorée.

Le Germanium facilite l’entrée de l’oxygène dans les cellules, et peut compléter la cure. Précautions d’emploi : les greffés ne doivent prendre que du H2O2 en faible dose, par précaution, afin d’éviter un rejet. Les chimiothérapies peuvent avantageusement bénéficier de l’H2O2. Par précaution, les femmes enceintes ou qui allaitent ne doivent pas utiliser cette méthode, tant que ses effets possibles sur le fœtus ne sont pas connus.

La superoxyde dismutase (SOD) est conseillée, elle empêche la formation de radicaux libres. 1 à 2 fois par jour.

Peroxydase naturelle : ce type d’enzyme, unique dans les cellules vivantes, a notamment pour fonction de décomposer les peroxydes toxiques générés par les stress oxydatifs (les peroxydes, dérivés de l’oxygène, ont une action d’oxydoréduction).

Le H2O2 se retrouve dans toutes nourritures, surtout les légumes et fruits, mais la cuisson enlève la totalité du H2O2, alors que cette prise par les intestins est totalement indispensable à la bonne santé, donc nous ne faisons que remplacer ce manque cruel.

De plus, dans nos intestins, nos bons ferments sont tous aérobies, c’est-à-dire qu’ils ont besoin d’oxygène, alors que les mauvais ferments sont anaérobies, c’est à dire qu’ils vivent sans oxygène et même plus, l’oxygène est leur ennemi. Nous comprenons mieux les dégâts de la cuisson, et les bienfaits du H2O2 même en quantité infime.

Jour Posologie (gouttes dans un verre d’eau) Nb de prises Prise journalière

1er 1x ½ goutte * 1 ½ goutte

2e 2x ½ goutte * 2 1 goutte

3e 2x 1 goutte 2 2 gouttes

4e 3x 1 goutte 3 3 gouttes

5e 2x 1 goutte et 1x 2 gouttes 3 4 gouttes

6e 1x 1 goutte et 2x 2 gouttes 3 5 gouttes

7e 3x 2 gouttes 3 6 gouttes

8e 2x 2 gouttes et 1x 3 gouttes 3 7 gouttes

9e 1x 2 gouttes et 2x 3 gouttes 3 8 gouttes

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La catalase : elle existe chez la plupart des êtres vivants. Sa principale fonction consiste à transformer le peroxyde d’hydrogène en une molécule d’eau et une molécule d’oxygène gazeux, selon la réaction : H2O2 = 2 H2O + O2.

Le peroxyde d’hydrogène est un sous-produit de nombreuses réactions métaboliques que la cellule doit absolument éliminer dès qu’il se forme, ceci grâce à l’intervention de la catalase. La catalase se rencontre chez tous les organismes aérobies, et plus particulièrement dans le navet, dans la plupart des racines de plantes, dans la levure. En particulier, grâce à son pouvoir manifeste de s’opposer à des réactions d’oxydation, qu’on peut illustrer en les comparant à celles de la rouille des métaux. C’est ce même phénomène qu’il faut éviter en utilisant la catalase pour que la membrane cellulaire et son ADN puissent être protégés. Les résultats ont montré à chaque fois que des souris « enrichies » en catalase présentaient une longévité augmentée de 20 % en moyenne. Un apport supplémentaire de catalase protège et renforce le muscle cardiaque des sujets âgés. La catalase est également utilisée pour ralentir ou inverser le processus du blanchiment prématuré de la chevelure ou du système pileux. Il est dès à présent opportun de l’inclure dans un programme anti-âge, compte tenu de sa polyvalence et de son absence de toxicité.

Lactoperoxydase : l’enzyme laitière la plus abondante dans le colostrum. Elle ne possède pas de pouvoir antimicrobien en soi, mais en présence de peroxyde d’hydrogène, elle catalyse l’oxydation du thiocyanate. Cette réaction donne un produit intermédiaire qui joue un rôle clé dans la protection des muqueuses contre les invasions bactériennes.

Les peroxydases sont des enzymes qui appartiennent au système de défense naturel non immunitaire.

Elles sont présentes dans le lait maternel, les sécrétions des glandes exocrines telles que la salive, les larmes. Elles n’ont pas d’activités microbiennes par elles-mêmes mais, en présence de cofacteurs spécifiques, elles constituent un moyen de défense important dans les solutions liquides.

La lactoperoxydase contribue à rendre ces milieux antiseptiques en utilisant le thiocyanate comme substrat. Le thiocyanate est oxydé par l’enzyme en utilisant le peroxyde d’hydrogène (H2O2), produisant des ions qui dénaturent les protéines bactériennes. La lactoperoxydase produit des molécules qui sont de puissants agents luttant contre les bactéries, les virus, les levures.

La lactoperoxydase agit comme agent de décontamination donc comme conservateur. L’eau oxygénée : H2O2

L’oxygène : O2

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Dans le document GUERISON SPIRITUELLE DU CANCER, Anonyme (Page 102-105)