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« Partenariat » : ODD 17

L’une des caractéristiques de l’Agenda 2030 est d’accompagner chaque objectif de développement durable de ses moyens de mise en œuvre. Dans ce cadre, l’Algérie donne la priorité aux dimensions suivantes :

La mobilisation et l'utilisation efficace des ressources publiques internes ;

La mobilisation de l’investissement national et étranger et de l’épargne de la communauté nationale à l’étranger ;

Une contribution significative au renforcement du Partenariat mondial et notamment au développement de la coopération Sud-Sud.

Sur le plan de la mobilisation des ressources internes, l’administration fiscale a lancé un plan stratégique de réforme visant la modernisation du système fiscal. Le secteur des douanes a quant à lui mis en œuvre un Plan stratégique 2015-2019 pour une optimisation de ses ressources (facilitations des procédures douanières, modernisation des services, renforcement du contrôle douanier, …). Le gouvernement a en outre formulé l’exigence de validation par la CNED des grands investissements publics et fait adopter la loi organique des lois de finances visant à instaurer un budget axé sur les objectifs (cible 17.1).

L’action du gouvernement s’est également centrée sur les mesures qui stimulent l’investissement privé (lutte contre la corruption, amélioration du climat des affaires, refonte du cadre de l’investissement et mobilisation du foncier industriel).

La dette extérieure reste en Algérie à un niveau largement soutenable grâce au remboursement anticipé de la quasi-totalité de son encours en 2006. Parallèlement, l’Algérie poursuit une politique de solidarité avec les pays du sud, particulièrement les PMA à travers une restructuration de leur dette et un appui à leurs efforts de développement durable. Depuis 2010, l’Algérie a effacé la dette extérieure de 16 pays pour un montant global de 1.4 milliards de dollars US (cible 17.4).

Les efforts de l’Algérie pour le renforcement du Partenariat mondial pour le développement durable se sont matérialisés par l’engagement de l’Algérie dans de multiples accords de coopération internationale scientifique et technologique notamment avec les pays du sud. Ces accords ont concerné notamment les secteurs de l’Energie, l’Habitat, l’Agriculture, les Ressources en eau, l’Environnement ainsi que la Sécurité sociale pour le partage des expériences et bonnes pratiques en matière de prévention et de règlement des conflits de travail (cible 17.6).

245 https://spcommreports.ohchr.org/TMResultsBase/DownLoadPublicCommunicationFile?gId=25514

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L’Agenda 2030 reconnaît que l’inclusion digitale, notamment dans le haut débit, peut renforcer la coopération internationale. Dans ce domaine, l’Algérie poursuit la généralisation de l’accès à l’information et au partage des connaissances et a mis en place la dorsale transsaharienne, pour la liaison à fibre optique, Alger-Zinder-Abuja, initiée dans le cadre du NEPAD tout en augmentant la capacité de la bande passante internationale (cibles 17.6 et 17.8).

Sur le plan du renforcement des capacités, l’Algérie entretient avec de nombreux pays du sud des relations d’appui au renforcement des capacités telles que l’assistance technique dans le secteur des hydrocarbures et de l’énergie et l’octroi des bourses d’enseignement supérieur et de bourses de formation professionnelle aux étudiants issus de pays en voie de développement, particulièrement de pays africains (cible 17.9).

Par rapport au rôle du secteur privé dans la promotion du développement durable, le Code des marchés publics a institutionnalisé le Partenariat Public-Privé à travers la délégation des services publics dans plusieurs secteurs comme celui de l’eau et de l’assainissement et celui des transports (cible 17.17). Mais beaucoup reste a faire dans ce domaine.

7.7.2 Cibles critiques ou a risque de régression

Mobilisation de ressources domestiques et additionnelles (cibles 17.1 et 17.3)

L’ampleur du déficit, depuis quelques années, reflète l’ampleur de certaines dépenses courantes (salaires, transferts et subventions, soit 90% des dépenses courantes et 69% des recettes fiscales), l’inefficience des dépenses en capital (taux d’efficacité marginale du capital de 3% par rapport à la moyenne internationale de 8%), la mauvaise gestion du financement du déficit (structure inadéquate qui n’établit pas d’équilibre entre le besoin de croissance économique et celui du maintien de la viabilité budgétaire à moyen terme) mais surtout la faiblesse des recettes fiscales.246 L’Algérie a par ailleurs obtenu un score faible à l’indice Open Budget en 2017 (2% pour la transparence et 0% pour la participation du public) mesurant la transparence budgétaire247.

La crise sanitaire de 2020 a accentué cette situation et les prévisions pour 2020 prévoient un déficit budgétaire hors de 25,9% du PIB hors hydrocarbures, pour une norme de déficit viable de 10% du PIB hors hydrocarbures. Ainsi, le déficit budgétaire devrait atteindre les 1.976,9 milliards de dinars soit -10.4% du PIB contre 1.533,4 milliards de dinars la LF 2020 à raison de -7.2% du PIB248.

Concernant l’investissement externe, jusqu’au début des années 2000, les Investissements Directs Etrangers (IDE) n’ont jamais dépassé la barre des 600 millions de dollars. L’ouverture du secteur de la téléphonie mobile a permis d’augmenter leur niveau en dépassant pour la première fois la barre d’un milliard de dollars, mais la non-régularité du flux des IDE entrants reflète la volatilité de l’attractivité de l’Algérie à l’international. Sur la période 2010-2017, plus de la moitié des IDE ont profité au Maroc (52%), suivi par l’Algérie (26%) et la Tunisie (22%). Là aussi, la concentration de l’économie est reflétée puisque le secteur des hydrocarbures concentre 80% des IDE entrants en Algérie249.

Inclusion dans le commerce international (cibles 17.10, 17.11, 17.12)

L’Algérie poursuit son intégration progressive à l’économie globale à travers son adhésion à l’Accord d'association avec l’Union Européenne et à la grande zone arabe de livre échange (GZALE), sa ratification de l’Accord commercial

246 Les recettes fiscales en Algérie : Analyse macroéconomique et pistes de réformes pour les accroître, Bessaha Abdelrahmid, https://www.elwatan.com/pages-hebdo/sup-eco/analyse-macroeconomique-et-pistes-de-reformes-pour-les-accroitre-20-07-2020

247 Score de 3 sur 100 à l’indice Open Budget en 2017, Rapport des services du FMI 2017.

248 Publication de la loi de finances complémentaire pour 2020 https://www.mfdgi.gov.dz/index.php/espace-informations/1653-lfc2020 249CEA

Commenté [LM50]: Peut-on mesurer son évolution sur dix ans ?

Commenté [LM51]: A revoir

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préférentiel avec la Tunisie, sa signature de l’Accord établissant la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA) ainsi que sa signature avec la Chine de l’accord portant Mémorandum sur l'adhésion de l'Algérie à l'initiative chinoise « La ceinture Economique et la Route de la Soie Maritime du 21ème siècle (Cibles 17.10 et 17.12).

Pour évaluer correctement l’efficacité de l’accord avec l’Union Européenne, il faudrait mesurer l’évolution des échanges avec cette zone avant et après l’accord en isolant les importations et les exportations incompressibles.

C’est un exercice difficile au regard du manque de désagrégation de certaines données. Selon le président de l'Association nationale des exportateurs algériens, Ali Bey Nasri, l'Algérie a importé pour 320 milliards de dollars (plus de 270 milliards d'euros) de biens entre 2005 et 2019 tandis que ses exportations vers l'UE, son premier partenaire commercial, n'ont atteint que 15 milliards de dollars, hors pétrole et gaz, durant la même période ; le déficit commercial global ne serait pas un bon proxy pour mesurer l’efficacité de l’accord (actuellement en renégociation) car dans le cas de l’Algérie, il est plus tributaire d’une variable exogène (prix du baril) que de la qualité des relations commerciales qui existent avec l’Union Européenne.

Par ailleurs, le volume des échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Afrique ne représente que 3 milliards de dollars, répartis entre 1,6 milliards pour les exportations et 1,4 milliards pour les importations. Ces échanges se font principalement avec 5 pays qui accaparent 96% du volume global. Notons aussi que le volume des échanges extérieurs avec l’Afrique, hors hydrocarbures, ne représentent que 12% du total. La taille des échanges entre l’Algérie et les pays du Maghreb est anormalement petite : 1% des exportations vont à la Tunisie et 3% des importations viennent d’Egypte

L’absence d’union douanière fait également que certaines importations sont détournées à l’intérieur de la zone Maghreb et un commerce informel assez important semblerait exister avec le Maroc notamment.

Cette situation constitue également une opportunité pour l’Algérie en ce sens que les compétences et les moyens, incluant les entreprises publiques et privées, dont dispose l’Algérie, sont capables de répondre aux besoins exprimés, de Bamako au Cap. Ces secteurs incluent l’énergie, l’agroalimentaire, l’industrie pharmaceutique, et plus largement, santé, BTP, infrastructures, services, informatique.250 D’un autre côté, afin d’assurer une transformation structurelle de son économie, incluant sa diversification, et la réduction de sa dépendance à la rente pétrolière et gazière, l’Algérie a besoin de l’Afrique avec ses marchés et ses partenaires. Ces zones frontalières concentrent des activités animées par la circulation des biens et des personnes et représentent un fort potentiel de coopération transfrontalière, comme entre les États de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA, CEDEAO), où la libre circulation des biens et des personnes est garantie. Le projet de la route transsaharienne devrait contribuer à l’accélération du commerce algéro-africain. Il réunit six pays africains en l’occurrence l’Algérie, le Mali, le Niger, la Tunisie, le Nigeria et le Tchad, est constitué d’un réseau ramifié autour d’un axe qui part d’Alger vers Lagos au Nigeria. Du nord au sud de cet axe, trois branches se détachent pour le relier aux capitales: Tunis, Bamako et Ndjamena. Le projet traverse l’immense Sahara sur une longueur de quelques 2000 km pour relier deux pays du Maghreb à quatre pays sub-sahariens.251 Capacités de production et analyse de données désagrégées (cible 17.18.1)

Le 17ème objectif concerne le renforcement des moyens de mettre en œuvre le partenariat mondial pour le développement durable et sa revitalisation notamment dans la dimension relative aux données, au suivi et à l’application du principe de responsabilité.

Même si les systèmes de données administratives qui existent en Algérie permettent de couvrir un certain nombre d’indicateurs relatifs au développement durable, ils restent tout de même limités. Les enquêtes à indicateurs multiples par grappes [MICS] renforcent le système de suivi national et international des ODD notamment pour ce qui est des indicateurs sociaux.252 Cependant, les MICS sont des enquêtes cycliques dont la périodicité ne permet pas une régularité dans la production des données.

250 Ibid.

251 « Zone transfrontalière : Nécessité d’étude d’un plan de développement commun », le 10 mars 2019. Algérie presse service.

252L’enquête MICS est un programme international développé par l’UNICEF dans les années 1990 afin d’appuyer les pays à rassembler et à analyser des données estimatives sur les indicateurs clés relatifs à la situation des femmes et des enfants. L’Algérie fait partie des 60 pays engagés dans l’initiative MICS depuis son lancement dans les années 1990. Depuis la MICS1 en 1995, le pays est resté engagé dans le programme avec la réalisation successive de la MICS2 en 2000, de la MICS3 en 2006, de la MICS4 en 2012-2013, et de la MICS6 en 2019252.

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En Algérie, les principes fondamentaux de la statistique sont fixés par le décret législatif de 1994 (indicateur 17.18.2) qui définit le cadre organisationnel du système de la statistique ainsi que les principes généraux de la production, l’utilisation, la diffusion et la conservation de l’information statistique. Bien que l’Algérie se soit dotée d’un conseil national des statistiques chargé de l’élaboration de la politique nationale de la statistique et de l’information économique (indicateur 17.18.3), il demeure toutefois important de dynamiser et de moderniser les bases organisationnelles du système d’information statistique sur le développement durable. Des efforts restent à fournir en matière de standardisation des données conformément aux cibles ODD établis au niveau international et selon des indicateurs nationaux, afin de disposer d’un plus grand nombre de données de qualité, produites avec plus de régularité sur la base des nouvelles technologies des systèmes d’information.

Recensement de la population 2020 :

L’Algérie a prévu d’effectuer en 2020, son 6ème recensement général de la population et de l'habitat (RGPH)253. Prévu initialement pour 2018, cet exercice permettra de fournir des informations précises sur le nombre de la population et des agglomérations ainsi que sur leur répartition géographique. Les autorités publiques pourront se baser sur ces données pour procéder à l'évaluation des politiques de développement et mieux cibler de les lacunes et les besoins de la population. L’Algérie procède depuis 1966, sur une base décennale au recensement de sa population254.

Manque de disponibilités de certains indicateurs de DD (indicateurs 17.18.1) :

L’un des principaux obstacles souvent relevés dans la mise en œuvre de l’Agenda est précisément celui de l’insuffisante disponibilité de données statistiques pour renseigner les indicateurs des cibles de l’Agenda 2030 (indicateur 17.18.1). L’envergure et la complexité méthodologique (particulièrement des indicateurs environnementaux) du cadre d’indicateurs de l’Agenda 2030 font qu’à mars 2020, seuls 103 indicateurs calculés à partir de sources nationales ont ét renseignés au moins une fois sur la période 2000-2019 parmi les 157 indicateurs produits par les différents pays à travers le monde (figure ci-dessous).

253http://www.aps.dz/algerie/94478-recensement-de-la-population-en-2020-un-outil-strategique-pour-l-elaboration-des-politiques-futures 254 https://www.ons.dz/spip.php?rubrique33

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Niveau de couverture des ODD par les indicateurs internationaux – Algérie (2000-2019)

Il faut également noter qu’un grand nombre de sous-indicateurs désagrégés ne sont pas disponibles pour les ODD relatifs au genre (5), à la pauvreté (1), à la faim (2) et au climat(13). On observe par ailleurs, un nombre assez significatif d’indicateurs disponibles produit à une faible fréquence255.

Pour l’heure, l’Algérie est encore confrontée au problème de territorialisation du système d’information, même si des efforts significatifs sont déployés par différents départements ministériels en vue d’intégrer notamment les dimensions sociales (ministère de la solidarité nationale), spatiales (ministère de l’intérieur et celui de l’agriculture), et de genre (ministère du travail, ministère de la solidarité nationale) dans leurs travaux statistiques.

Il importe d’évaluer l’effort de l’Algérie dans sa contribution au cadre mondial des indicateurs. A titre d’exemple, pour l’année 2017, tant l’Algérie que les autres pays dans le monde réalisent en moyenne de faibles performances dans la ²couverture de l’ODD 1 (pauvreté), 2 (faim), 4 (éducation), 5 (genre)256. Les résultats de l’Algérie sont en deçà de la moyenne mondiale pour l’ODD 7 et plus particulièrement pour les ODD 11 (villes) et 13 (climat). Globalement, l’Algérie a produit 280 indicateurs en 2017 alors que la moyenne des pays dans le monde se situe à 217 sous-indicateurs indiquant ainsi une contribution positive de l’Algérie au cadre mondial des sous-indicateurs de développement durable.

255Parmi les indicateurs renseignés, 21% ne sont disponibles que pour une seule date sur toute la période 2000-2019 et 50% de ces indicateurs ne comportent au plus que 6 dates renseignées durant cette même période

256A titre d’exemple, l’Algérie couvre 0.9% seulement des sous indicateurs liés au genre mais la couverture moyenne mondiale de cet ODD n’est que de 3%. En revanche, les performances de l’Algérie sont bien supérieures à la moyenne mondiale dans l’ensemble des ODD 3 (santé), 9 (infrastructures), 12 (consommation et production propres), 14 (océans), 16 (institutions) et le partenariat (17).

10 6

11 1

3 2

4 7

8 4

8 4

6

20 5

4

0 5 10 15 20

Nombre d'indicateurs renseignés 2000-2019 Implémentation

Institutions Biodiversité Océans Production propre Villes Inégalités Infrastructure Economie/Emploi Energie Eau Genre Education Santé Fain Pauvreté

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Figure : Contribution comparée de l’Algérie au cadre mondial d’indicateurs

0%

20%

40%

60%

80%

100%

1

2

3

4

5

6

7

8 9

10 11

12 13 14

15 16

17 Algérie

Monde

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Annexes II : Résumé des discussions sur les défis/risques de l’Algérie

Thèmes Principaux risques

Espace démocratique, justice et état de droit, stabilité politique

• Une transition démocratique reportée

• Restrictions des libertés

• Perte de confiance dans la justice

• Hypercentralisation, bureaucratie et faiblesses dans la gouvernance publique La stabilité économique • Des équilibres financiers globaux insoutenables

• Un modèle économique obsolète basé sur la rente pétrolière

• Un modèle social en crise

• Un secteur informel important

• Détérioration de l’environnement des affaires Ressources naturelles et

changements climatiques

• Un scénario de changement climatique inquiétant pour l’Algérie

• Des politiques publiques qui n’intègrent pas suffisamment ce scénario de changement climatique

• Ecosystèmes durement altérés ou détruits.

Agriculture et Sécurité alimentaire

• Rareté et mauvaise gestion de l’eau

• Epuisement des ressources naturelles et baisse de la production

• Sécurité alimentaire précaire et dépendance des marchés internationaux

• Insécurité alimentaire des ménages vulnérables, notamment en cas de réforme des subventions alimentaires.

Cohésion sociale, égalité et non-discrimination.

• Accroissement des inégalités et de la discrimination

• Politiques sociales inadaptées et non soutenables

• Augmentation de la violence et des discours de haine et d’intolérance

• Incapacité à générer des emplois permanents décents Accès aux services de santé

et d'éducation

• Accroissement des inégalités dans l’accès aux services éducatifs et de santé

• Détérioration de la qualité des services de santé et d’éducation

• Faible gouvernance des organismes publics de santé et d’éducation

90

• Marginalisation du secteur privé

• Insuffisance de la Veille et sécurité sanitaire face aux épidémies Infrastructure et accès aux

services publics (transport, eau, électricité)

• Détérioration des infrastructures par manque de maintenance

• Faible accès aux SP dans les zones rurales

• Modèle de financement des SP non soutenable

• Faible rôle du secteur privé et absence de concurrence Migrations et Déplacements

forcés

• Accroissement des flux migratoires et évolution de l’Algérie d’un pays de transit à un pays d’installation.

• Faiblesse des mécanismes d’identification, de screening et d’intégration des migrants

• Exploitation des immigrés en cas de crises

• Emigration des élites scientifiques, entrepreneuriales, investisseurs…en cas de persistance de la crise multidimensionnelle.

91 femmes et d’enfants de tout âge qui vivent dans la pauvreté sous tous ses aspects, telle que définie par chaque pays et quelles qu’en soient les formes

1.2.1 Pauvreté seuil national

Proportion de la population sous le seuil de pauvreté national (%)

Ensemble 5,5 (2011)

Rural 4,8 (2011)

Urbain 5,80 (2011)

1.3

1.3 Mettre en place des systèmes et mesures de protection sociale pour tous, adaptés au contexte national, y compris des socles de protection sociale, et faire en sorte que, d’ici à 2030, une part

Proportion de la population handicapée recevant des prestations en espèces dans la population totale des personnes sévèrement handicapées (%)

Ensemble 3,6 (2017) Proportion de mères avec des nouveau-nés recevant des

prestations de maternité en espèces dans la population des mères ayant un nouveau-né durant la même année. (%)

Femmes 11,2 (2017)

Proportion de la population au-delà de l'âge légal de la retraite percevant une pension dans la population au-delà de l'âge de la retraite (%) et la mise au point de technologies et de banques de plantes

2.a.1 Indice d’orientation agricole des dépenses publiques

Part de la valeur ajoutée agricole dans le PIB (%) Pourcentage 9,34 (2009) Indice d'orientation agricole des dépenses publiques Index 0,39 (2009) Part de l'agriculture dans les dépenses publiques (%) Pourcentage 3,65 (2009) 2.a.2 Apports publics

alloués au secteur agricole

Flux officiels totaux (décaissements) pour l'agriculture Million US

Dollars 7,72 (2017)

3 03.Santé

3.4

3.4 D’ici à 2030, réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité prématurée due à des

Evolution de la prédominance des MNT dans la mortalité hospitalière

% Décès

hospitaliers 54,5 (2016) Taux de mortalité attribuable à des maladies

cardiovasculaires, au cancer, au diabète ou à des maladies respiratoires chroniques pour les populations âgées entre 30 et 70 ans (probabilité)

Taux de mortalité par suicide (par 100.000 habitants)

Ensemble 3,2 (2016)

Femmes 1,7 (2016)

Hommes 4,7 (2016)

Mortalité par suicide (nombre) Ensemble 1299

(2016)

92

Femmes 339 (2016)

Hommes 960 (2016)

3.6

3.6: D’ici à 2020, diminuer de moitié à l’échelle mondiale le nombre de décès et de blessures dus à des accidents de la route

3.6.1 Taux de mortalité lié aux accidents de la route

Taux de mortalité lié aux accidents de la route (per 100,000 population)

Proportion de la population cible ayant accès aux 3 doses de

diphtérie, de tétanos et de coqueluche (DTC3) (%) Pourcent 91 (2017) Proportion of the target population with access to

measles-containing-vaccine second-dose (MCV2) (%) Pourcent 92 (2017) Proportion of the target population with access to

pneumococcal conjugate 3rd dose (PCV3) (%) Pourcent 89 (2017) 3.b.2 APD consacré à la

recherche médicale

APD accordée aux secteurs de la recherche médicale et de la santé de base, décaissement net

Million 2016 US

dollars 0,42 (2017)

3.c

3.c Accroître considérablement le budget de la santé et le recrutement, le perfectionnement, la formation et le maintien en poste du personnel de santé dans les pays en développement,

Densité et répartition du personnel de santé

Infirmières par toutes les filles et tous les garçons suivent, sur un pied d’égalité, un cycle

complet d’enseignement primaire et

Taux brut de scolarisation dans le primaire et le cycle du moyen

Primaire 97,3 (2018)

Moyen 96,3 (2018)

Effectif du système d'éducation nationale qui suit une formation de la refonte pédagogique ou de la gouvernance d'établissement d'éducation nationale

93 4.5

4.5 D’ici à 2030, éliminer les inégalités entre les sexes dans le domaine de l’éducation et assurer l’égalité d’accès

Nombre d’enfants et d’adolescents handicapés pris en charge par des établissement d'éducation et de formation

Nombre d’enfants et d’adolescents handicapés pris en charge par des établissement d'éducation et de formation

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