Lesnerfsdes Mollusquesacéphales, toujours d'undiamètre très-petit, peuvent se distinguer en nerfs proprement dits et nerfs ganglionnaires. Les premiers sont constitués en entier par des fibres nerveuses, indiquées par des stries longitudi-nales, parallèles, et offrant quelquefois quelques rares vési-cules médullaires entre leurs faisceaux : les nerfs ganglion-naires, au contraire, présentent toujours une très-grande quantité de globules médullaires, mélangées aux fibres ner-veuses (Duvera'oy).
Dans
quelques espèces,comme
dans leSolen Siliqua, on trouve çà et là des renflements dansles nerfs, partout oii ilsemble y avoir besoin d'excitabilité nerveuse (Duvernoy).
C'est très-vraisemblablement à quelques-uns de ces
renfle-ments qu'il faut rapporterlesganglions supplémentaires dé-crits par quelques anatomistes.
Nerfs des ganglions antérieurs.
De
l'angle antérieur et interne des ganglions antérieurs naît lecordon de commissure antérieure, et plus en dedansun
filament nerveuxextrêmement
délié que M.Moquin-Tandon
a trouvédans
VUnio margaritifer; c'est le nerfbuccal.En
dehors de lacommissureantérieure<^ntreclicetl'angle— 28 —
antérieur et externedes ganglions, naissent
deux
petitsfilets, le plussouventextrêmement
déliés, qui serendentau muscle adducteuraniérieur(Uniomargaritifer,Moquin-Tandon),
plus rarement volumineux, quoique courts (Mesodesma Quoiji).Dans
VJnomia
Epliippium^ le ganglion antérieurgauche
seulémet un
nerf qui se rend au muscle adducteur antérieur (Duvernoy).A
l'angle antérieur et externe des ganglions antérieurs prendnaissancelenerfpalléalaulér leur, quelquefoisassez con-sidérable [Oslrea edulisyArca inœquivalvis). Disiinci dans lesAnodontaCijrjnea, etDreissenapolijmorplia,ilest plus petitque
le uerïpalléalanléro-latéraldans le premier
de
ces genres,et plus gros, au contraire,dans lesecond; le nerfpalléal anté-rieur, dans les Unio^ forme d'abordun
tronccommun
aveclenerfpalléal antéro latéral (Moquin-Tandon). Ilse porteen avant, et de dehorsen dedans, sebifurquebientôt, envoie sa brancheinterne verslapériphérie
du
manteau, etun premierrameau
pénètre dans la partie épaissie palléale, etmême
gagne
le muscle adducteur antérieur [Mija arenaria, Psam-mobia vespertinalis, Solen Vagina), tandis que le secondra-meau
se répand dans lapartiemince du manteau
:sa branche externe,d'abord oblique, forme un arc dirigé d'avant en ar-rière et se perd dans lemanteau
(Moquin-Tandon).Dans
VOngidina riibra, le nerfpalléal antérieur présente quelques renflementsganglionnaires (Duvernoy); dansl'Osfreaec/w//s, il envoie un filet à la partie antérieure des branchies, et un autre filet à l'estomac : assez souvent ilémet un
jilel labial^{Pecten maximus), mais dans plusieurs espèces ce filet ner-veux semble naître directement
du
ganglion antérieur.Dans
les Pecten, le nerf palléal antérieur aboutit par ses dernières ramificationsau cordon ganglionnaire circumpalléal;dans les
— 29 —
Mija arenaria, Cytiierea complamiiu, Luirariasoleuoïiles,
On-(julma rubra, eiAnodonUiCijynea, ilenvoie plusieursfiletsqui viennent rejoindre quelques ramifications des nerfspalléaux des ganglions postérieurs, et s'anastomosent avec elles
(Du-vernoy).Immédiatement
après le nerf palléal antérieur, se trouveVorigmedn ned
palléalantéro-latéraly qui, dans lesUnio, naît parun
tronccommun
avec lui.La
direction de ce nerfest d'abord transversale de dedans en dehors, puisinsensible-ment
elle devient antéro -postérieure; alors le nerfse ramifie bientôt, et va se perdredanslemanteau
(Moquin-Tandon).Les nerfs palléaux envoient quelques ramifications ner-veusesaufoie (Moquin-Tandoiv).
Sur le côtéexternedes ganglionsantérieurs, enarrièredes nerfs palléaux, onvoit quelquefoisdepetitsfilaments nerveux, qui se rendent aux lèvres : les nerfs labiaux, qui n'existent pas toujours, sont toujours excessivement petits {Ongul'ma rubra) ; cependantdans laDreissenapolijmorpha, ilssont pro-portionnellement
beaucoup
plus volumineux que dans YAiio-douta Cijgnea(Moquin-Tandon).
Les ganglions antérieurs donnent en arrière naissance à deux cordons nerveux, dont l'un, le plus externe, établit la
communication entre eux et les ganglions médians, et
con-stitue le cordon
du grand
collier; l'autre, plus interne, se rend aux ganglions inférieurs, et contribue ainsi à formerle petit collier.Dans
laMya
arenaria, il partdu
ganglion buccal un nerf qui se porte directementen arrière, etenvoie plusieurs de ses ramifications à l'organe de Bojanus;Duvernoy
le désigne sous lenom
denerf branchial antérieur.DuvERisoY a décrit aussi sous le
nom
de nerfcomplémen-— 30 —
taire du palléal aniérieur, un filet nerveux qu'il a observé
dans
le Litliodomiis caudigeriis : ce nerf, qui n'a pas, àpro-prement
parler, d'origine, pourrait être considérécomme
un fragment de cordon ganglionnaire circumpalléal; il reçoit trois filetsdu
nerf palléal antérieur, et à son point de jonc-tion avec le filet nerveux le plus externe, il présente une sorte de petit ganglion complémentaire jaunâtre, qui envoie directement des ramifications nerveuses au manteau.Par
son extrémité interne, il se termine librement aussi, mais sans ganglion, et forme dechaque
côtéeten avant des ganglions antérieursune
sorte de circuitau borddu
manteau.Nerfs des ganglions inférieurs.
Le nombre
desnerfs émis par les ganglions inférieurs est très-variable suivant les familles, les genres etmême
lesespèces; cependantiln'y en ajamais
moinsde
deux, etonn'en aqu'exceptionnellement vu plusde six,nombre
que présente VUnio pictorum. Ces nerfs sont toujours très-difficiles à dis-tinguer des nerfs viscéraux, et de ceux quiémanent
des gan-glionsantérieurs, oudu
cordondu grand
collier (Duvernoy).Des
angles antérieurs des ganglions inférieurs partentlescordons de commissure, qui les joignent aux ganglions antérieurs.
Sur les côtés et en avant sont les nerfs abdominauxqui se rendent auxparoisde l'abdomenetaupied(Moquin-Tandon).
Un peu
en arrière des nerfsabdominaux,
et latéralement auxganglions, sont les nerfs locoinoleurs antérieurs et posté-rieurs, dont toutes les ramifications vont se perdre dans le pied.Dans
la Dreissena polymorplia, les nerfs abdominaux et locomoteurs, au lieu de naître sur les parties latérales des—
51—
ganglions, partent tous de leur partie postérieure, et forment
troisou quatre paires denerfs(Moquin-Tandon).
Toutà fait en arrière, excepté dans la Dreissena
polymor-plia, où ils
manquent,
on trouve les deux nerfs audUifs, qui se dirigent en arrière et parallèlement l'un à l'autre (Mo-quin-Tandon).DuvERNOY
a trouvé dansVAnomia
Epliippium, un nerf doublequi partde l'angle postérieurdesganglionsinférieurs, se dirige en arrière vers le muscle adducteurmoyen,
et s'y perd.Ce
nerf a éténommé
nerf de C adducteurmoyen;
ses ramifications ne sont pas les seules qui se rendent dans ce muscle, qui reçoit aussi un filet des ganglions postérieurs.Les
nerfsdes ganglions inférieurs, quoique toujours diffi-ciles à suivre, sont cependant assez distincts dans le genre Anodonia,beaucoup
plus que dans le genre Unio, où appa-raissent quelques filetsnerveux accessoires.Nerfsdes ganglions postérieurs.
Les cordons descommissures, qui réunissentles ganglions
médians
aux ganglions postérieurs, naissent aux angles an-térieursdu
quadrilatère, formé généralementpar cesderniers.Entre les deux cordons^ se trouvent deux filets très-fins, bifides à leur
sommet,
parfaitement visibledans VUniomar-garitifer, \a.Dreissena polijmorpha, et VAnodonta Cygnea.
Ces
filaments, que
M. Moqlun-Tandon
a proposé denommer
poster o-anW- rieurs,
rampent
au-dessousdu
muscle adducteur postérieur.En
dehorsdu
cordondu grand
collier, on trouve quelque-fois deux ou trois filaments nerveuxextrêmement
déliés (Ano-donta CygneaDcvernoy,
Moquin-Taisdon).— 32 —
Dans
ia Mija arenaria, il naîtdu
ganglion postérieur, en arrièredu
cordondu grand
collier,un
nerf très-long, qu'en raisonmême
de sa destinationDuvernoy
anommé
nerf de l'organede Bojanus.Duvernoy
a découvert dans la Pinna nobilis,immédiate-ment
en arrièredu
cordondu grand
collier, sur le ganglion postérieur,un
nerfovarique, très-grêle, adhérent à la face inférieure de l'ovaire et se perdant auprès deson orifice : ce nerfémet, près de son origine, un filetextrêmement
ténu, qui se rend àun
ganglion très-petit, etun peu
plus loin unfiletbifurqué, dont les branches seréunissentà un autre
pe-tit ganglionunique, etsitué vers lapartie gauche.
Immédiatement
après ces filaments, ou les cordons de commissure,quand
ces filamentsmanquent,
se trouvent les nerfs branchiaux, dont l'existence a toujours été constatée danstoutes les espèces d'acéphales étudiées jusqu'à présent.Chaque
nerf branchial se dirige d'abord obliquement en dehors et en avant, en émettant, dans quelquesespèces, un très-grandnombre
de filaments qui se rendent àla portion des branchies antérieure au muscle adducteur postérieur :puislenerfse coudeetse dirige sinueusement en arrière, en émettant une très-grande quantitéde ramuscules, qui se
diri-gent en partie vers l'organe de Bojanus, et en partievont former un plexus très-compliqué dans la portion des bran-chiesantérieure
au
muscle adducteurmoyen
; arrivé prèsdu
bord adhérent des branchies, le nerf branchial se divise en branches nombreuses, qui vont se rendre dans les cloisons musculaires interbranchiales.La
longueurdu
nerf branchial est d'autant plusgrande que le muscle adducteur postérieur est placé plus en avant (Mononnjaircs), ou qu'il y a une plus grande quantité de branchies en arrière de son origine.— 33 —
Tantôt petit et peu développé (Arco inœquivalvis), le nerf branchial est plus ordinairement assez volumineux, mais il
s'amoindrit quelquefois rapidement (Litrina tigrrina), en émettant dès son origine de
nombreux
filaments, et parce que, formé d'abord par sa réunion avec lenerf palUkd prin-cipal(AnomiaEpliippinm), etassezgros pour sembler une con-tinuationdu
ganglion, il se divise bientôten trois branches, une palléale dorsale, une palléale branchiale et une palléale ventrale.Dans
le Peclen viaximus, le nerf branchialgauche
forme un arc bien moins ouvert que le droit (Duvernoy).Le
nerf branchial est un nerf ganglionnaire moteur plu-tôt que viscéral, quidonne
aux branchies la propriété de se contracter; sa natureestbienévidemment
ganglionnaire pourles anatomistes qui ont observé son diamètre inégal par suitedela présence de renflements,régulièrement espacés, et
émettantde petits filets nerveux (Peclen maximns); elle est aussi indiquée dans VOngnlina rubra, où lenerf branchial, à son point d'émergence hors
du
ganglion postérieur, présente un petitrenflement sphérique, ganglionnaire, très-distinctdu
ganglion etdu
nerf (Duvernoy).Dans VJnodonta
Cijgnea, en arrièredu
nerf branchial, ilpart
du
ganglion postérieur un filet nerveux excessivement grêle, qui ne peut être saisi par l'œil qu'aumoyen
de l'em-ploi de réactifs (Moquin-Tandon).En
arrièredu
nerf branchial, est un nerf assez délié, le palléal postero-laléral, qui sedirigepresquetransversalement au manteau, auquel il distribue ses filets.Dans
le Pecienmaximm,
il se divise dichotomiquement, pour former douze branches, qui vont animer les trois quarts de la circonfé-rencedu manteau
(Duvernoy).Dans
quelques espèces, ilaboutità un cordon ganglionnaire circumpalléal, etquelque-3
— 34 —
foisil n'offrepas une symétrie parfaite des deux côtésde l'a-niinal [Peclen).
Le
nerfpalléal postéro-latéral n'a pas encoreété reconnudans
la Dreissena polymorpha, ni dans le Cardium edule : ila été parfaitement étudié par
M.
Moquin-Tandoîv dans les Unio pktoî'um et margaritijer, et les Anodonta Ojgiiea et variabilis.Quelquefois(Mz/aarenaria,Arca hiœquivalvis^Psam-mobia vespert'malis., Solen Vagina) le troncdu
nerf palléal postéro-latéral est soudé à celuidu
nerfpalléal postérieur.Le
nerfpalléal postérieur naîtàl'anglepostérieurdes gan-glionsbranchiaux, d'où il sort pour se rendre au manteau, aux tubes respirateuret anal, aumuscle adducteurpostérieurdu même
côté, et quelquefois àun cordon ganglionnaire cir-cumpalléal : sa direction oblique d'avant en arrière et de dedans en dehors permet de le reconnaître toujoursfacile-ment
; il se diviseen branches, dont lenombre
varie suivant les espèces, mais dont lesdeuxplus fortessont toujours assezlonguement
bifides;une
de ces branches se détache de lui,très-prèsde son
émergence du
ganglion, si prèsmême
quel-quefois qu'elle semble naître de ce dernier plutôtque du
nerï(AnodontaCijgnea). Cettebranche, qu'onpourraitnommer
cardio-rectale, puisqu'elle se renden
même temps
au rectumet au cœur, a été bien vue dans VUnio margaritijery où elle
sembleplutôt un nerfparticulier qu'une branche
du
palléal postérieur, à raison de sonrapprochement
de la lignemé-diane; elle n'a pasétéretrouvéeencoredans la Dreissena po-lymorpha (
MoQUiN -Tandon
).Dans
quelquesespèces[Mga arenaria,Cijtliercacomplanala, Lntraria solenoïdes), les branchesdu
palléal postérieurre-montentlelong
du
manteau, pour se joindre à quelquesra-meaux
des nefs pal'.éaux antérieurs, enmême
temps que— 35 —
d'autres branches se distribuent aux tubes respirateur et anal (Duvernoy).
Le nerfpalléal postérieur est plutôt un nerf ganglionnaire qu'un nerf proprement dit, car dans un certain
nombre
de Cardiacés, il présente des renflements caractéristiques : en outre,danslaMya
urenaria, après avoir envoyé un petitnerf au muscle adducteur postérieur et au rectum, il s'épaissit, devient onduleux, et prend le type ganglionnaire; il envoie alors un gros tronc nerveux au tube anal, puis un au tube respirateur, et enfin une dernièrebranche, qui s'anastomose au palléal antérieur.Dans
la Qjilierea complanaiu^ le nerf, tout d'abord considérable, se bifurque vite, etdonne
une branche pour le muscle adducteur postérieur et le manteau, une seconde branche, quise rend à un ganglioncomplémen-taire arrondi, dont les filets vont aux tubes respirateur et anal, et une troisième dont un filet se joint à un
rameau du
nerfpalléal antérieur.Dans
la Luirariasolenoïdes enfin,avant d'avoir dépassé lemuscle adducteurpostérieur,le nerfpalléal postérieurdonne
une brancheexterne, qui se distribue tout entière au manteau, et une branche interne, qui formeun
ganglion complémentaire à la basedu
tube supérieur, à son point d'union avec le tube inférieur : cette branche se pro-longe en unrameau
plusgros que lenerfne l'est àson point d'origine, etleganglionenvoiedesfiletsauxtubes respirateur et anal et aumanteau
; un des filets palléaux rejoint le nerf palléalantérieur(Duvernoy).De
l'observationdecesquelquesfaits, nous nous croyons autoriséà conclure queles nerfs qui offrent de ces renflementsganglionnaires sur leur parcours, ne sont pas des nerfsproprement dits, etque ces ganglions complémentaires nesont autre chosequedespointsde
renfor-cement
et de concentration nerveuse; ce que,du
reste,- 36 —
-Semblent indiquer plus manifestement encore les nombi'eux ganglions des plexus palléaux,
que Duvernoy
a étudiés avec tant de soin et de patience.Nerfs des ganglions médians.
Les ganglions
médians
donnent naissance àdeux
nerfs en connexion directeavec les organes de lareproduction. L'un d'euxprendson origine aucôté externe etsupérieurdu
gan-glion, en part obliquement, et envoie lesrameaux
qui résul-tentde saprompte
division dans le tissumême
des organes générateurs;M. Moquin-Tandon
le désigne sous lenom
de nerfgénital.Le
seconddesnerfsdes ganglionsmédians
sortà l'oppositedu
premier, au côté intérieur et inférieurdu
ganglion; sonvolume
esttrès-exigu; il semble contourner la poche précor-diale, ou deBojanus, et l'orifice génital; c^est lenerf génito-glandulaire (Moquin-Taisdon).Nerfs des colliers.
Les
cordonsdescolliers des Mollusques acéphales ne don-nent qu'exceptionnellement naissanceà desnerfs; c'estainsi que, pourle petit collier,Duvernoy
n'a trouvéque
dans laPanopeaaustralis un petitfiletnerveux qui serendaux parois
du
pied.Le grand
collier fournit quelques nerfs, principalement viscéraux, maisjusqu'à présent ils ont encore échappé aux anatomistes, pour un grandnombre
d'espèces.Duvernoy,
«n
employantune
solution de chlorure de zinc, a vu quel-ques filets très-ténusémaner
de ce cordon dans VOslrea edulis.— 37 —
Le
nerfviscéral ou gastrique, d'après les observationsde DuvERNOY
et de Keber, naît sur legrand
collier à une très-petitedistance des ganglions antérieurs (Lutraria solendides^Dlvernoy).
Ce
nerfse porte unpeu
d'avant enarrière et de haut en basvers la ligne médiane, et il fournit un bonnom-brede filaments qui se réunissent à ceux
du
côté opposé,
dans letissu
du
foie etde l'estomac.Dans
la Mija arenaria, il part en arrière et en dedansun
petit filet nerveux, qui va au bord tranchantde l'abdomen et
du
pied et qui paraît se distribuer en arrière à l'ovaire, et en avantdeux nerfs récurrentsqui vontaufoieetà l'estomac.Dans
la Cijtherea complanata, le cordondu grand
collierdonne,
d'après Duverinoy, naissance à cinq filets nerveux, dont le premier se porte à la racinedu
pied, qu'il traverse pour joindre l'ovaire; le second, au foie et à l'intestin; letroisième et le quatrième sont des nerfs récurrents dont le
dernier traverse lefoie pour aller à l'estomac; le cinquième enfin, qui est le plus rapproché des ganglions antérieurs
,
est