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MYTHOLOGIE GRECQUE ET ROMAINE

Dans le document MUSÉE FOL (Page 94-137)

« Les peuples de l'Europe, comme s'exprime M. Adolphe

« Pictet, dans son ouvrage sur les Origines

indo-européen-« nés, se sont détachés de la souche commune antérieure-

«ment à la séparation des Indiens et des Iraniens ; ils ont

« emporté avec eux un polythéisme déjà développé, mais qui

«gardait sans doute encore un principe de monothéisme.

« C'est ce qu'indiquent, comme on l'a vu, les anciens noms

«généraux de la divinité qui se sont maintenus à travers

«les siècles. Le fond commun des croyances religieuses

«s'est développé dès lors dans des directions diverses pour

«former autant de polythéismes nationaux, mais, soit que

«l'idée obscure d'un dieu unique se soit conservée ici et

« là, soit qu'il y ait eu des retours partiels vers cette idée,

«il est certain qu'elle a reparu à peu près partout, bien

«que sous des formes plus ou moins parfaites.

« Le polythéisme grec, tel qu'il se montre dans Homère,

«est l'expression la plus complète d'une religion de la na-

«ture, sans aucune notion d'un Être placé en dehors et

«au-dessus du monde réel, dans lequel les dieux se meu-

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« vent aussi bien que les hommes. Le principe de l'unité,

«représenté par la suprématie de Jupiter, rentre lui-même

«dans la sphère du monde et le Zεύς πατγρ n'a été pri-

« mitivement, comme le Dyaûs pitar védique, qu'une per-

«sonnification du ciel. Tout au plus pourrait-on voir

«comme un pressentiment vague d'une puissance supé-

«rieure aux dieux dans l'idée du Destin, auquel ils sont

« soumis comme les simples mortels. Toutefois, le génie

« grec, si progressif de sa nature, ne resta pas longtemps

«soumis à ce polythéisme purement anthropomorphique

«qu'il abandonna bientôt aux croyances populaires pour

« s'en dégager par une double voie, celle des mystères aux

«doctrines isotériques et celle de la philosophie. Nous con-

« naissons trop peu l'histoire et le contenu des premiers

« pour nous en faire une idée claire; mais il est certain que

«dans les grands mystères, dans l'Epophe ou grade supé-

« rieur, on révélait aux initiés toute une doctrine d'un ca-

« ractère très élève sur la destinée de l'homme, l'immor-

« talité de l'âme, et l'existence d'un Dieu unique. Ce qui

« est moins sûr, c'est que ce déisme soit parvenu à se dé-

« gager entièrement du naturalisme qui domine d'ailleurs

«dans toute l'antiquité. Quant à la philosophie, on sait

« comment elle a passé par les phases successives du pan-

« théisme et du scepticisme pour aboutir dans Platon et

« Aristote au monothéisme le plus élevé qu'il ait été donné

«à. la raison humaine d'atteindre par ses propres forces.

« Toutefois ce n'est plus là de la religion et le polythéisme

« grec n'arriva jamais qu'à l'idée vague de ce Dieu inconnu

«que saint Paul vint expliquer et annoncer aux Athé-

« niens.

Les origines du monde, des dieux et des hommes, sui-vant la tradition grecque, nous sont racontées par Homère Hésiode et les Orphiques. Nous allons tâcher d'en démêler à l'aide d'ouvrages plus modernes, tels que ceux d'Over-beck, de Preller, de Burnouf, etc., les phases principales, nous appuyant de préférence sur les anciennes épopées nationales.

Au commencement est Océan ou le chaos, la nuit et les ténèbres l'entourent; c'est un principe humide d'où se dé-gage en premier lieu l'éther ou la lumière en opposition avec la nuit. L'ouest où se couche le soleil est le domaine des ténèbres, là se trouvent le commencement et la fin de toutes choses, c'est encore là qu'Atlas porte le ciel et la terre, enfin à l'Occident sont les dragons terribles qui gar-dent l'arbre de la vie dans le jardin des Hespérides.

Les phénomènes naturels de la Grèce, déifiés, donnent l'explication de toute la théogonie du peuple qui l'habitait.

Océan a pour fils Uranos, le ciel, et Gaea, la terre, qui à leur tour ont pour fils les Titans, personnification des phé-nomènes cosmiques locaux, y compris les tremblements de terre et les éruptions volcaniques prises par les poètes comme autant d'actes de rébellion des Titans contre leurs parents. Ces Titans, par leur alliance entre eux, produisent la mer tumultueuse, les ouragans et les trombes et dans l'ordre moral, la patience, l'intelligence humaine; enfin Uranus et Gaea procréent encore Kronos, le ciel entièrement formé et réglé, et Rhéa la terre avec le jeu normal des sai-sons, des moissai-sons, des pluies, etc. Kronos et Rhéa don-nent naissance aux grands dieux, etc., à l'Olympe.

Mais Uranos et Gaea ne cessent de créer, ce sont, par

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exemple, les Cyclopes ou le nuage d'orage avec l'éclair brillant au front et les Géants aux cent bras personnifiant la force irrésistible des vagues de la mer, force impétueuse à laquelle les anciens attribuaient les tremblements de terre.

Kronos, effrayé du trouble que ces géants et ces cyclopes créaient dans le monde, se révolte contre son père et le mutile. Les gouttes de ce sang tombées en terre donnent naissance aux furies et aux démons de la vengeance, tan-dis que des portions tombées à la mer et ballottées par les vagues, sort, après une longue période, Aphrodite, la Vénus grecque. Cette dernière conception est évidemment origi-naire de la Phénicie et a un caractère contraire au génie grec. Kronos représentait pour le peuple l'âge d'or ; c'était de son temps que les moissons étaient toujours abondantes et que l'égalité régnait sur la terre; les fêtes que l'on célébrait en son honneur rappelaient les saturnales de Rome. La faucille est l'attribut qui lui est particulier comme dieu des moissons et en souvenir de son attentat contre son pète ; il est figuré la tête voilée en signe de ré-flexion, la ruse était sous son invocation. Enfin il avale ses propres enfants, ici encore nous voyons une influence étrangère pénétrer le mythe grec, et c'est en effet en Crête sur le mont Ida que se passe la scène. Rhéa lui soustrait son dernier-né Zeus ou Jupiter en lui substituant une pierre; le dieu ainsi sauvé est élevé à l'écart, il se déve-loppe rapidement et force son père à rendre tous ses frères et sœurs, ce qui a lieu en même temps que pour la pierre qui était adorée à Delphes comme simulacre de Jupiter.

Les dieux et les déesses, les Titans, les Cyclopes et les

géants aux cent bras prennent parti, qui pour Kronos, qui pour Jupiter, et le combat s'engage. Ce sont les Cyclopes qui, donnant à Jupiter la foudre et le tonnerre, décident le sort de la lutte. Les trois fils de Kronos se partagent le monde : à Jupiter échoit la prééminence, le ciel, la lu-mière et l'univers; à Poséidon ou Neptune, la mer et toutes les ondes ; enfin à Aïdonéus ou Pluton, le royaume de l'invisible, les ténèbres, les profondeurs de la terre et le royaume des morts. Leurs trois sœurs sont préposées : Hestia, au feu, Déméter, à la terre, et Héra, à l'intelli-gence céleste. Nous nous arrêtons ici dans les développe-ments de cette théogonie, laissant de côté les combats des dieux contre Thiphon et les géants. Nous nous réservons de revenir succinctement sur les mythes qui sont découlés de ces données premières à propos des divinités représen-tées dans notre collection par la glyptique grecque.

Nous terminerons ce long exposé des religions antiques par quelques mots sur celle des Romains. Religion d'une essence très différente de celle des Grecs, mais qui s'est laissée pénétrer à la longue par celle de ces derniers au point de perdre presque complètement la tradition natio-nale.

L'absence de développement épique ancien chez les peu-ples italiques qui ont, par leur amalgamation, produit le peuple romain, comme l'importance du culte public et celle de l'élément sacerdotal, expliquent l'éloignement que ces peuples ont eu pendant longtemps pour toute détermi-nation exacte de leurs divinités. Il en est résulté quelque chose de vague dans le mode d'invocation et d'adoration en général et la disposition à l'emploi d'un nom

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que (numen) pour désigner une quelconque des divinités ; particularité qui fait songer plus que chez les Grecs à une divinité supérieure, indéterminée, notion que nous avons déjà cru rencontrer chez les Iraniens avant leurs migra-tions.

Le peuple romain s'est formé de l'agglomération succes-sive, par les alliances ou la conquête, des peuples primitifs désignés sous le nom de Latins, Sabins, Volsques, Marses, Ombriens, Samnites, Campaniens, Lucaniens et Brut-tiens, parmi lesquels l'idiome latin adopté à Rome a pré-valu comme langue littéraire, faisant disparaître presque entièrement les autres idiomes dont les traces ne se trou-vent guère que sur les inscriptions mortuaires ou les vases.

Tous ces peuples, confinés au nord par les Étrusques, au sud par les Grecs, ont adoré certaines divinités communes à eux tous et qu'ils groupaient deux à deux, c'étaient : Jupiter et Junon, Minerve et Mars avec son escorte de fau-nes et de sylvains, Janus et Diana avec les nymphes des sources, des bois et des arbres ; enfin l'eau, le feu ou Vesta, le soleil, la lune, la terre nourricière, les mânes, les génies, les lares et les pénates ; ces croyances étaient complétées par la foi aux oracles et aux prédictions près des sources et des bois solitaires.

Cette religion, toute pastorale et patriarcale, fut modifiée de bonne heure par les Étrusques et les Grecs ; les pre-miers, jouissant des bienfaits d'une civilisation plus avan-cée que les peuples italiques proprement dits, introduisi-rent à Rome la science augurale, certaines cérémonies, les jeux du cirque et les processions. Mais les Étrusques

eux-mêmes eurent, comme les Romains, à subir l'influence de la Grèce et, vers l'époque des Tarquins, la mythologie grecque fait irruption pour la première fois à Rome. Les livres sybillins étaient venus de Cumes sous le règne de Numa; Castor et Pollux, Déméter et Mercure eurent à cette époque également leurs temples et leurs prêtres.

Cette première invasion fut suivie de plusieurs autres et si ce n'avait été l'organisation aristocratique et puissante du sacerdoce, dont les collèges maintenaient les antiques usa-ges, traditions et renseignements, les dieux italiques eus-sent dès cette époque ancienne été remplacés par les dieux et les cultes de la Grèce, comme il en fut des usages, des mœurs et jusqu'à un certain point de la langue.

Cette disparition des cultes nationaux et de la foi sim-ple et naïve des anciens temps se produisit surtout après la seconde guerre punique ; c'est à cette époque que re-monte l'introduction à Rome du culte de Cybèle, la grande déesse phrygienne, celui de Bacchus et de ses mystères.

Le théâtre grec permanent, sur la scène duquel la satire s'attaquait à toutes choses, aux dieux comme aux hommes, porta par le ridicule un coup terrible aux dieux ; les collè-ges sacerdotaux eux-mêmes, dont l'accès avait été ouvert au peuple, dans une large proportion, déchurent au point de perdre les traditions et le sens élevé attaché aux formes du culte. Il ne fallut rien moins que la volonté ferme de l'empereur Auguste pour rendre un certain lustre au culte officiel, et l'ensemble des mesures qu'il prit par raison po-litique retarda de quelques siècles la chute définitive du polythéisme romain. C'est à cette époque que les dieux de sa famille, Mars vengeur et Vénus génitrix, prennent une

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importance marquée. Auguste avait réuni sur sa tête tous les sacerdoces les plus élevés, un pas de plus fait par son successeur immédiat et on en arriva à l'apothéose im-périale.

Après les Flaviens tous les cultes de l'Orient et de l'Oc-cident firent irruption dans Rome ; Isis et ses mystères, Mithras et le soleil invaincu, le magisme, l'astrologie, etc.

avec leurs initiations dont le sens était perdu et dont il ne restait plus que de grossières superstitions à l'usage du bas peuple. Dans ce chaos on ne voit plus subsister que Jupiter, Apollon et Vesta, les antiques dieux de la confé-dération latine.

Enfin les théories grecques et les recherches philosophi-ques témoignent, pour les gens éclairés, de la recherche d'un monothéisme vague, au milieu de cette décomposition générale, non seulement de la religion romaine, mais en-core des cultes orientaux et asiatiques qui sont venus chercher à Rome leur dernier refuge.

Nous tâcherons d'indiquer dans l'énumération des divi-nités ou de leurs symboles, ainsi que dans celle des sacri-fices qui s'y rapportent, ce qui a plus particulièrement trait aux divinités, comme aux cultes grecs ou romains.

A.

JUPITER.

ZEUS.

La grande figuré de Jupiter, dont le nom se retrouve sous ses variantes chez tous les peuples de race aryenne, est la divinité supérieure du naturalisme. Il est le même à l'origine pour les Pélasges, les Grecs elles peuples italiques; en Italie, comme en Grèce, il siège sur les hautes montagnes ; c'est le dieu de la lumière (Diespiter, Lucetius), il donne la pluie et tous les phénomènes de l'air sont de son ressort, il préside au changement des saisons ou au calendrier. A partir du dé-veloppement de la mythologie grecque ou du culte latin, il se différencie rapidement.

A Rome, il est adoré sous deux acceptions bien différentes : il est d'une part le dieu qui préside, par les pluies du prin-temps, à la fécondation de la nature végétale et animale et dont les prémices lui sont offerts au milieu de la gaieté géné-rale. D'autre part, comme maître de la foudre, il est le dieu des combats et par suite de la victoire; plus tard enfin il se confondit avec le dieu Terminus et devint le dieu de la bonne foi, de la foi jurée en son nom. Le culte italique était accompagné de prières et les manifestations du dieu par l'éclair et le tonnerre, soigneusement étudiées comme autant de révélations que Jupiter octroyait aux mortels. Des jeux étaient célébrés en son honneur à certaines époques fixes de l'année et chaque mois, le jour de pleine lune, où la lumière

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ne cessait de luire pendant 24 heures, lui était particulière-ment consacré. Les premières représentations par la plasti-que datent à Rome de l'époplasti-que des Tarquins, qui firent placer sa statue en terre cuite sur le Capitole ; le quadrige était son attribut principal, les jeux du cirque se faisaient en son hon-neur comme aussi les triomphes dans lesquels le vainqueur allait déposer les offrandes et le butin au pied du Jupiter Ca-pitolin.

En Grèce, Jupiter (Zeus) est adoré originairement, comme en Italie, sur les hautes montagnes autour des sommets des-quelles s'amoncellent les nuages; ruais il ne reste pas isolé comme en Italie, le mythe se développe, et les poètes et les artistes aidant, il se forme de toutes les traditions et légendes locales un tout, qui escorte et entoure le dieu principal. Jupi-ter est le père des dieux et des héros, qui sont autant de per-sonnifications des divers phénomènes de l'air et de la lumiè-re, l'aigle planant dans les airs en est une forme, Athéné (Minerve), Héphaïstos (Vulcain), Apollon et Artémis (Diane), les Dioscures, Persée, Hercule, etc., sont autant de formes que revêt son action. Il l'assemble les nuages et dispense la pluie, mais il envoie également les orages terribles et les trombes destructives, comme tel il a pour enfants Ares (Mars) et Hermès (Mercure). Gomme dieu de la lumière et du retour des saisons, ses rapports s'expliquent avec Apollon, Artémis>

les Hores, les Charités, les Moeres, Démêler, Proserpine, Dyo-nisus (Bacchus), etc., etc. Enfin on le représentait en Grèce assis sur son char attelé de quatre chevaux ou bien debout ou assis tenant en main son sceptre et la foudre, remplacés parfois par un globe surmonté de Minerve ou d'une victoire ; un des attributs qui l'accompagne est Pégase, le nuage qui porte l'éclair et le tonnerre, enfin l'Égide, par suite d'une analogie de nom est figurée dans la plastique par une peau de chèvre à longs poils, tandis que ce nom signifie le nuage chargé d'orage.

Les cultes locaux ajoutent encore aux éléments si compli-

qués du mythe principal; ainsi, à Tamaros, la source de l'A-chiloüs, et la fertilité étonnante que le fleuve répandait dans la vallée qu'il baignait, avaient porté les habitants à y voir une intervention de Jupiter à qui source et vallée étaient consa-crées ; un vieil arbre, un chêne, y passait pour le sanctuaire du dieu, d'où la couronne de chêne qui entoure souvent sa tête. Il était escorté de Sybilles qui y rendaient des oracles ; à Dodone il était représenté assis avec Diane à ses côtés comme mère de Vénus et de Bacchus; les légendes crétoises et de l'Asie Mineure vinrent encore enrichir par un apport étranger les données purement grecques. C'est ainsi que le coq, le taureau, la fourmi, le croissant, les étoiles et même la corne d'abondance ou le modius lui furent adjoints comme autant de représentations plastiques, traductions des déve-loppements épiques et mythiques.

Les variations théogoniques des phénomènes cosmiques donnent la clef du sens vrai des nombreuses amours de Ju-piter comme humidité fécondante se manifestant au monde terrestre ; mais ce sens originel se perdit graduellement par.

le développement érotique de ces scènes, développement au-quel les arts plastiques contribuèrent puissamment d'une part, tandis que la prétention d'une origine divine pour la plupart des familles régnantes de la Grèce donna un appui pour ainsi dire historique à ces conceptions. Ces légendes étaient locales, avons-nous dit, c'est ce qui en explique la multiplicité; les poètes s'en emparèrent, les classèrent, et de faits passés en divers lieux simultanément, ils composèrent des poèmes où les faits s'enchaînaient naturellement et suc-cessivement par l'introduction de personnages de leur inven-tion, comme Métis, Thémis et Mnémosyne, autant de vertus morales personnifiées propres à Jupiter.

Jupiter est encore le dieu de la force et du combat. Il a pour fils Ares, qui est la force destructive et Hercule la force bienfaisante et utile ; dans les combats le Courage et la Vic-toire sont ses acolytes. Jupiter, époux de la prophétesse

74 GLYPTIQUE. l'O-lympe et comme tel il est représenté quelquefois avec la cou-ronne radiée.

La représentation plastique de Jupiter s'est développée successivement. De l'adoration des monts on passa à celle des aérolithes, puis à de simples colonnes ou à celle des ar-bres touchés par la foudre; enfin on connaît le simulacre du dieu provenant de Troie et où il est représenté avec trois yeux et d'autres fois saris oreilles. Enfin les monnaies nous ont conservé des types de plus en plus parfaits qui sont arri-vés à l'expression de la parfaite majesté, de la toute-puis-sance et du calme qui sied à cette grande figure comme dans la statue d'Olympie due au ciseau de Phidias.

Dodone et son oracle et le culte de Jupiter dans la

Dodone et son oracle et le culte de Jupiter dans la

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