folle qui se baladait avec un couteau dans la forêt. Quand personne ne voulut aller dans la forêt. Alors, Marc décida d’enquêter seul. Il rencontra Janette et l’interrogea :
- Bonjour, Madame.
- Bonjour, Monsieur.
- Puis-je vous posez quelques questions ? - Qui êtes-vous ?
- Je suis Marc Gostère, agent de police, dit-il en montrant sa carte de policier. Avez-vous entendu des cris durant la nuit ?
- Je ne sais pas.
Textes 5-6P
- Avez-vous vu quelque chose de suspect ? - Je ne m’en souviens plus.
- Avez-vous toujours votre couteau sur vous ? - Non, je l’ai perdu.
- Je suis désolé de vous poser cette question, mais avez-vous des absences, dit-il, très intrigué.
- Je ne sais pas, mais on m’a dit que oui.
- Très bien Madame, merci, je vous contacterai.
En partant vers sa voiture, il entendit des cris dans la forêt.
6P - Marly-Grand-Pré - Lydie Lumpini / 5-6P Remaufens Annie Reutenauer
Marc sortit de sa voiture
5-6P Remaufens Annie Reutenauer
- Oh je vais me faire tremper avec ces froides gouttes d'eau qui tombent du plafond ! Marc sentit une porte et l'ouvrit et un éclat de lumière l'éblouit. Il entendit une voix qui ressemblait étrangement à celle de Janette, il courut pour la rattraper, il voulait dénicher le coupable. Mais elle courait très très vite. La femme se retourna mais ne vit pas la poutre à laquelle elle allait se taper la tête et s’ouvrit l’arcade, Marc profita pour la menotter et contrôler son identité, mais il ne trouva pas tout de suite sa carte ; après 5 minutes, il la trouva, c'était la soeur jumelle de Janette. Il l'emmena et trouva une sortie de secours. Ils allèrent au poste de police où plus tard elle sera interrogée et jugée coupable.
FIN
13. Je te promets
rentrant chez elle, elle alla faire un petit tour chez son copain. Elle sonna à la- Sors par la porte de derrière, mes parents sont revenus ! dit Vincent en s'affolant.
- Ok tchô ! elle lui donna un baiser.
Linda sortit par la porte. Elle continua le chemin et alla chez Julia sa meilleure amie qu'elle connaissait depuis très longtemps. Elle était grande, blonde et très amicale.
C'était un modèle pour tout le monde. Elle arriva devant chez Julia et sonna à la porte de sa maison.
- Hello, qu'est-ce que tu fais là ? Il se passe quelque chose de grave pour que tu viennes me voir aussi tard, tu sais quelle heure il est maintenant ?!
- J'ai vraiment besoin de te voir ! Oui je sais qu'il est dix heures... Vincent n'a plus le droit de me voir, dit Linda toute triste.
6P de Praroman : Prisca Perrottet
- Mais qu'est-ce que tu se voit chez toi pour le match de Vincent et son équipe ? câlin et elle monta se coucher.
Le lendemain matin. Elle se leva toute fatiguée, elle descendit les escaliers.
- Bonjour. Mais personne ne lui répondit, elle était toute seule dans la maison sauf son chien Tigrou.
- Eh mon loulou, ça va ? - Wouff !!
Elle se doucha, s'habilla et se maquilla en vitesse. Puis Linda partit chez Julia pour ensuite aller voir le match de l'équipe de Vincent.
Arrivée chez Julia, elles partirent les deux voir le match.
Deux heures plus tard, Vincent et Linda partirent au restaurant fêter la victoire de Vincent. Il prirent le scooter de Vincent.
- Allez on prend un peu de vitesse ? dit Vincent en conduisant.
- Ouais vas-y ! dit Linda les cheveux au vent. Attention ! Et là une voiture sortit d'une intersection et les percuta...
6P de Praroman : Prisca Perrottet
- Allo ? dit Vincent essoufflé.
- Bonjour, dit un homme.
- Vite, venez ! Ma copine et moi nous nous sommes faits shooter.
- Oui, je sais, dit l'homme.
- Hein, comment le savez-vous?
- C'est moi même qui ai écrasé le bras de ta petite copine.
Vincent se retourna et vit un homme vêtu de noir au loin, prit Linda et sortit de la route à toute vitesse, la porta et partit en courant dans la forêt. Vincent construisit une cabane pendant plusieurs jours.
Linda qui était choquée de son accident ne se réveillait toujours pas. Vincent termina la cabane, elle n'était pas très grande et elle ne sentait pas très bon. Il coucha Linda à l'intérieur et elle se râpa contre le mur. Trois heures plus tard elle se réveilla enfin.
- Que s'est-il passé ? demanda Linda.
Vincent lui expliqua toute l'histoire.
- Hein ? mais pourquoi a-t-il fait tout cela ? Où sommes-nous ? Et qui est l'homme derrière toi ?
Vincent se retourna et le vit à nouveau. Il planta un couteau dans la jambe de Linda.
Vincent maîtrisa l'homme puis il appela l'ambulance et ils partirent dans l'ambulance. Ils appelèrent ensuite la police et leur expliquèrent toute leur histoire. Les parents allèrent vite à l'hôpital voir leurs enfants.
Vincent resta croché au scooter et manqua de se faire écraser. Il se releva et alla vers Linda qui était passée sous la voiture.
Automne 1915, pendant la guerre 14-18 un petit soldat français de 21 ans a été envoyé dans une tranchée allemande en tant qu'exploiteur de minerais. Son nom est Martin. Il n'était pas très propre et pas très grand. Le jeune Français était le seul à devoir faire ce travail car les autres prisonniers avaient des travaux plus importants. Il avait les cheveux châtains et était très obéissant aux ordres que le commandant lui disait. Le commandant s'appelait Jules. Chaque jour, le Français devait exploiter le plus de métaux possible et, chaque soir, il était épuisé mais il ne devait pas broncher. Il pensait à déserter mais il ne voyait pas le moyen de s'échapper et il savait que s'il fuguait, les Allemands le retrouveraient tôt ou tard. Un jour, il découvrit un trou dans des broussailles près de la limite Allemagne-France. Il était surveillé mais dès que le commandant lança une attaque, il en profita pour découvrir ce qu'il y avait dans cette petite fosse. Elle était étroite et profonde et le jeune homme avait du mal à se faufiler. S'il ne se dépêchait pas, il se ferait remarquer.
- Il faut que j'avance plus vite ! pensa-t-il. Malheureusement, les soldats se sont repliés et le général Jules vit une silhouette entre les buissons. Il s'approcha de Martin qui était coincé dans le creux. Quand le commandant reconnut Martin, il s'énerva et voulut le sortir de là mais Martin réussit à pénétrer au fond. Jules, qui était potelé, suivit Martin mais ne passa pas. Il était décidément trop gros.
- Bon sang de bonsoir, s'écria le général, que quelqu'un me sorte d'ici ! Martin s'enfuit tout au bout du trou. Les soldats se mirent à plusieurs pour décoincer le commandant.
- Je ne peux plus sortir de là, la route est barrée, songea Martin, il n'y a pas une autre sortie ? Il distingua un coin un peu plus sombre au sol. Il se décida et il y alla se cacher.