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QUELQUES RAPPELS

D. Modem ADSL.

Les modem ADSL peuvent être connectés par USB ou RJ45. Les modem ADSL internes sont connectés sur un port PCI. Les problèmes de ces derniers sont identiques aux modems RTC.

• Pas de synchronisation: filtres ADSL correct, ligne téléphonique raccordée effectivement à l'ADSL, filtre adsl correctement raccordé. Certain modem ADSL ne sont pas compatibles avec les boîtiers ISDN (en plus du filtre qui est spécifique). Le plus simple est de tester avec un modem ADSL RJ45 externe. Ceux-ci ne s'occupent pas du PC pour vérifier la

synchronisation. En cas de problème, vous pouvez 91

également contacter votre fournisseur d'accès qui peut tester la ligne (quoique méfiez-vous des réponses de Belgacom).

• Modem USB: consommation de courant trop forte pour le port USB. Ceci nécessite l'utilisation d'un HUB USB alimenté par un transformateur. Ceci provoque des pertes de

communication périodiques (déconnexion). Le problème peut également venir de votre

ligne téléphonique de mauvaise qualité ou dans faux contacts dans la prise téléphonique. Le modem doit d'abord être correctement connecté à votre PC (y compris les pilotes et la configuration de l'accès à distance) pour que le modem commence sa synchronisation.

• Installation téléphonique avec ligne ISDN ou centrale d'alarme. L'installation sur la ligne téléphonique nécessite un filtre spécial en début d'installation (les filtres adsl normaux ne fonctionnent pas forcément) et un modem spécifique.

F. Souris

La souris est certainement le périphérique le plus simple, le moins coûteux et le plus important (hormis le clavier) de l’ordinateur. Du temps de MS-DOS, les ordinateurs fonctionnaient sans périphérique de pointage. Le système d’exploitation étant devenu graphique avec l’apparition de Windows 3.1 puis Windows 9X, la souris est devenue quasi incontournable.

Une souris est un dispositif de pointage relatif manuel pour ordinateur ; elle est composée d'un petit boîtier fait pour tenir sous la main, sur lequel se trouvent un ou plusieurs

(généralement deux) boutons.

La souris a été inventée en 1963 par Douglas Engelbart du Stanford Research Institute après des tests d'utilisation, basés sur le trackball. Elle a été améliorée par Jean-Daniel Nicoud à l'EPFL dès 1979 grâce à l'adjonction d'une boule et de capteurs ; il fabrique la souris Depraz qui a été à l'origine de l'entreprise Logitech.

Les premières souris étaient en fait de simples trackballs inversées, où l'utilisateur déplaçait l'appareil. La friction de la boule contre la table permettait le mouvement du pointeur sur

l'écran. Depuis, les souris utilisent plutôt des dispositifs optiques, voire à inertie, pour détecter les mouvements : le système de boule avait tendance en effet à ramasser la poussière de la surface horizontale et à encrasser les rouleaux capteurs, ce qui exigeait un nettoyage interne régulier et fastidieux.

Connecteurs de souris Avec fil

Les premières souris Macintosh avaient leur propre connecteur ; elles utilisèrent ensuite l'ADB (Apple Desktop Bus).

Les premières souris pour PC utilisaient un connecteur sur un port spécifique ou un port série (ou port RS-232), et ensuite un port PS/2.

Depuis 1997, les souris pour Mac et PC utilisent le port USB ; c'est le type de connexion qui tend à devenir le standard pour toutes les souris à câble.

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Sous Unix, et particulièrement sous les systèmes X-Window, il est parfois nécessaire d'indiquer le périphérique et son protocole au fichier de configuration du serveur X. Ainsi, pour une souris USB, on indiquera le périphérique /dev/input/mice ; pour une souris PS/2 /dev/psaux ; et pour une souris Série /dev/tty0 à tty4 suivant le port.

Sans-fil

Souris sans fil.

Les technologies actuelles permettent de s'affranchir d'une connexion physique entre la souris et l'ordinateur, en passant par une liaison infra-rouge ou radio. Un boîtier est relié au port classique destinée à la souris et transforme les signaux reçus par le capteur infra-rouge ou radio en signaux compréhensibles par le protocole standard de la souris. La technologie radio offre l'avantage de passer par-dessus les obstacles, par rapport aux infra-rouges. On utilise un système de canaux radio pour ne pas mélanger les signaux de différents appareils.

L'avenir semble à la technologie Bluetooth, standardisée pour tout type de périphérique, qui évite la profusion d'émetteurs/récepteurs.

Notons que cette technique est surtout utile sur les PC. Sur les Macintosh, la souris est connectée au clavier et ne nécessite pas de long fil vers l'unité centrale.

La plupart des souris sans fils sont alimentées soit par des piles, soit par une batteries (les "piles rechargeables" ne sont rien d'autre que des batteries), qui se rechargent lorsqu'on pose la souris sur le récepteur de celle-ci.

NB: Certains sont d'avis qu'il n'est pas rationnel de polluer l'environnement et engendrer un coût de fonctionnement supplémentaire dans le seul but d'éviter un fil qui n'est finalement peut-être pas si gênant: utilisons nous donc si fréquemment notre souris à plus de deux mètres de l'unité centrale ?

Sans fil et sans pile

Le gros inconvénient des souris sans fil est la nécessité de les alimenter en énergie, ce qui conduit à remplacer régulièrement les piles ou à les recharger. Comme précisé plus haut, et même s'il s'agit d'un avis très personnel de l'auteur, il faut rappeler que la pollution et le coût engendré par la fabrication et le recyclage de sources d'énergies chimiques (les piles et les batteries), rendent irrationnel et déraisonnée leur utilisation dans un appareil qui a comme fonction de commander à proximité immédiate un autre appareil (l'ordinateur proprement dit), 93

qui lui devra de toute façon être relié au réseau, source d'énergie beaucoup plus propre et économique. Autant télécommander par piles l'ouverture d'une porte de réfrigérateur !

Il existe des souris magnétiques, qui nécessitent un tapis spécial, relié au port USB et alimenté par lui. Le tapis est chargé de détecter les mouvements de la souris et les transmet à

Souris à 1 bouton Souris à 2 boutons Souris à 3 boutons

Les souris standard pour PC ont aujourd'hui une molette en plus de leurs deux boutons ; la molette (un bouton spécial) qui peut aussi bien être tournée (molettes mécaniques) que pressée (Trackpoint, donnant un troisième degré de liberté à la souris) s'est répandue. Les souris avec plus de deux boutons (voire deux molettes) remplissent différentes fonctions assignées à chacun par les applications, le pilote ou le système d'exploitation.

Par exemple, un utilisateur du bureau Windows ou KDE utilisera le bouton de gauche dans le navigateur Web pour suivre les liens, alors que celui de droite fera apparaître un menu

contextuel permettant à l'utilisateur de copier des images ou un lien pour imprimer, etc. Apple a longtemps continué de produire des ordinateurs avec des souris ne comptant qu'un

seul bouton, car leurs études montraient que les souris à un bouton sont plus efficaces à

l'usage. Pour obtenir le menu contextuel, ouvert par le bouton droit sur les PC, il faut 94

maintenir la touche spéciale Contrôle — souvent Ctrl — appuyée pendant le clic. Néanmoins récemment (août 2005), Apple a sorti une souris à quatre boutons (droite, gauche, un

trackpoint à la place d'une molette un double-bouton latéral).

Dans le monde UNIX ou Linux (plus généralement utilisant X Window System), le troisième bouton est traditionnellement utilisé pour la fonction de collage : un simple balayage d'une zone de texte avec le bouton gauche enfoncé copie du texte, un clic sur le bouton central le

colle.

Du fait que le troisième bouton est quasiment standard sous Unix, on lui a attribué de nombreuses autres fonctions dans les bureaux graphiques évolués : un clic central sur de nombreux éléments du bureau ou des fenêtres donne un accès facile à de nombreuses fonctions.

Sous Firefox, un clic central sur un lien ouvre la page dans un nouvel onglet, un clic central sur un onglet ferme celui-ci.

Pour les souris qui n'ont que deux boutons, il est possible d'émuler un troisième bouton par appui simultané sur les deux boutons.

Pour la plupart des souris actuelles, le troisième bouton se présente sous la forme d'une roulette permettant de faire défiler les pages plus facilement.

Entretien

Les souris demandent peu d'entretien.

Les modèles à boule doivent être fréquemment démontés, car de la crasse se met sur les rouleaux, gênant leur rotation. Cela se fait facilement à la main, mais il peut être nécessaire, dans les cas d'encrassement sévère, de recourir pour cette opération à un accessoire de nettoyage, tel qu'un coton-tige légèrement humide. Dans tous les cas, il est important de ne pas laisser tomber de saletés à l'intérieur du boitier de la souris, faute de quoi le risque de rencontrer des problèmes de fonctionnement futurs est fortement augmenté!

Il se met aussi de la crasse sur les patins glisseurs.

Dans tous les cas, il est rappelé aux utilisateurs nerveux qu'il est tout a fait vain de secouer ou frapper la souris sur le plan de travail en espérant ainsi solutionner les problèmes de mauvais pointage engendré par des rouleaux de souris sales. En plus de provoquer des nuisances sonores, des problèmes de fiabilité peuvent rapidement apparaitre.

Les phénomènes d'encrassement sont diminués par les tapis en tissu, ou par une forme

spéciale des rouleaux. Les rouleaux ont la fine zone directement en contact avec la boule d'un diamètre un peu plus grand que le reste du rouleau. La poussière se dépose donc autour de cette zone, lorsque le mouvement de la boule le permet. (Le déplacement dans un axe de la souris nettoie le rouleau détectant le mouvement perpendiculaire).

Par précaution, un nettoyage périodique de celui-ci est toujours le bienvenu pour limiter l'encrassement des organes mécaniques de la souris.

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Représentation graphique : le pointeur

Le pointeur de la souris est un graphisme sur l'écran. Il peut prendre nombre de formes, celles-là pouvant dépendre du contexte. Lorsque l'utilisateur déplace la souris, le curseur se déplace. L'utilisateur peut ainsi sélectionner un élément (caractère, mot, bouton, image…)...

Mesure des mouvements de la souris

Souris à boule : 1 : Mouvement de la boule 2 : Rouleau transmettant les mouvements latéraux de la souris 3 : Disque perforé 4 : Diode électroluminescente 5 : Capteur optique

Souris optique Sun avec son tapis

Plusieurs technologies sont ou ont été utilisées pour mesurer les mouvements de la souris.

Technologie mécanique

La souris contient une boule en contact avec le support où elle est utilisée. Deux rouleaux perpendiculaires entre eux actionnés par cette boule permettent de capter les déplacements de la souris sur le sol. Un troisième rouleau permet de stabiliser la boule. Les rouleaux sont solidaires d'un axe au bout duquel se trouve un disque perforé laissant passer la lumière d'une diode électroluminescente ou au contraire la bloquant. Une cellule photoélectrique recevant cette lumière fournit quand la souris se déplace un signal alternatif, grossièrement |sin(x)|, de fréquence propositionnelle à la vitesse. À l'aide d'un trigger de Schmitt, on peut obtenir un signal en créneaux, chaque impulsion créneau correspondant à une perforation, et on peut calculer la vitesse de déplacement de la souris selon chaque axe.

La résolution de la direction du déplacement (gauche-droite vs droite-gauche) se fait en utilisant deux cellules de réception décalées d'une demi perforation. Après conversion en signal en créneaux binaires (0 = pas de lumière, 1 = lumière), les booléens fournis par le couple de cellule prennent forcément la suite de valeurs (0, 0), (0, 1), (1, 1), (1, 0) dans cet ordre ou dans l'ordre inverse; l'ordre indique la direction du déplacement. En effet, le

placement décalé des deux cellules fait que l'on ne peut jamais passer directement d'un état où 96

les deux sont éclairées à un état où les deux ne sont pas éclairées, ou vice-versa; en d'autres termes, lorsque la souris se déplace, un seul des deux signaux booléens peut varier à la fois (Code Gray sur deux bits). On obtient ainsi une résolution de 1/2 perforation.

Pour obtenir une position absolue sur l'écran, la solution la plus immédiate est de totaliser les impulsions (déplacement relatif de ±1 en abscisse ou en ordonnée); ceci est généralement fait par logiciel. Certains systèmes permettent des manipulations plus complexes, comme un comportement non-linéaire vis-à-vis de l'accélération, censé faciliter la traversée de grandes zones d'écran par la souris sans fatigue de la main de l'utilisateur, les mouvements rapides (et peu précis) étant amplifiés plus que les mouvements lents.

Les premières souris comportaient des cylindres à la place de la boule. Cela rendait la souris moins précise car les déplacement horizontaux et verticaux s'effectuaient moins facilement quand ils étaient associés lors d'un déplacement oblique.

Le principal inconvénient de la souris mécanique est le dépôt de poussières qui s'accumulent sur les rouleaux, modifiant aléatoirement le transfert des mouvements de la boule aux rouleaux. En raison de ce phénomène, la plaque trouée supportant la boule dans la partie inférieure de la souris est démontable, permettant à l'utilisateur de nettoyer les rouleaux.

Technologie optique Mouse Systems

Développée par Mouse Systems vers 1982, elle utilise un tapis métallique, solide, rigide et quadrillé. En envoyant un rayon de lumière et en captant le retour, la souris arrive à savoir qu'un déplacement a eu lieu.

Elle a été utisée sur des PC, mais surtout par Sun Microsystems pour ses stations de travail. Un inconvénient est que la mesure du mouvement dépend de l'alignement du tapis. Cette technologie n'est plus utilisée.

Technologie optique DEL

Une micro-caméra filme le support et un processeur interprète le défilement des aspérités comme un mouvement. Cette technologie ne nécessite pas de tapis spécial, mais il faut quand même éviter les supports réfléchissants (verre, plastique brillant, bois vernis...) ou trop sombres.

Technologie optique laser

Inventée par les ingénieurs de Logitech. Ils ont remplacé la DEL de la souris optique par un petit laser, ainsi la source de lumière est plus intense et plus ciblée, permettant d'obtenir un meilleur cliché de la surface.

Technologie optique infrarouge

Inventée par les ingénieurs de Razer. Utilisée notamment sur les souris de la même marque, comme les Diamondbacks.

La tendance actuelle est aux souris commutables instantanément du doigt entre trois sensibilités différentes. On peut ainsi à la fois bénéficier de déplacements très rapides du pointeur et d'une excellente précision sans effort de tension nerveuse chaque fois que l'on en a besoin.

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Souris vibrante

Certains constructeurs ont introduit des souris « sensibles » : au passage d'un objet (lien hypertexte, bouton, changement de fenêtre...) la souris vibre légèrement, donnant une impression de relief.

Note : gadget lassant pour certains, cette fonctionnalité pourrait peut-être aider les mal- voyants à se servir plus facilement d'un ordinateur.

Une souris est un dispositif de pointage relatif manuel pour ordinateur ; elle est composée d'un petit boîtier fait pour tenir sous la main, sur lequel se trouvent un ou plusieurs

(généralement deux) boutons.

La souris a été inventée en 1963 par Douglas Engelbart du Stanford Research Institute après des tests d'utilisation, basés sur le trackball. Elle a été améliorée par Jean-Daniel Nicoud à l'EPFL dès 1979 grâce à l'adjonction d'une boule et de capteurs ; il fabrique la souris Depraz qui a été à l'origine de l'entreprise Logitech.

Les premières souris étaient en fait de simples trackballs inversées, où l'utilisateur déplaçait l'appareil. La friction de la boule contre la table permettait le mouvement du pointeur sur l'écran. Depuis, les souris utilisent plutôt des dispositifs optiques, voire à inertie, pour détecter les mouvements : le système de boule avait tendance en effet à ramasser la poussière de la surface horizontale et à encrasser les rouleaux capteurs, ce qui exigeait un nettoyage interne régulier et fastidieux.

Pour des raisons historiques, le nombre de boutons habituel varie selon les systèmes :

Un bouton pour le Macintosh

Deux boutons pour les PC

Trois boutons pour les systèmes Unix (et donc également Linux)

G. Mémoires

C'est quoi la mémoire ?

Ce sont des composants électroniques qui ont la particularité de retenir des informations. En informatique, l'information de base (l'alphabet des ordinateurs) est composée de deux valeurs 1 et 0. Généralement, 1 signifie le courant passe et 0 le courant ne passe pas. En fait on ne va pas faire passer en permanence du courant pour que la mémoire sache qu'elle doit stocker le chiffre 1. La mémoire doit se rappeler que du courant l'a traversée, c'est-à-dire conserver une

trace du passage du courant. Et c'est en interrogeant cette trace que l'on arrive à savoir si la valeur stockée est 1 ou 0. Pour que cela fonctionne, on utilise des composants électroniques qui savent stocker le courant électrique. Ce sont des condensateurs associés a des transistors (condensateurs-transistors). Un seul composant mémoire peut intégrer plusieurs millions de ces condensateurs-transistors.

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Il existe plusieurs techniques (en dehors du condensateur-transistor) qui permettent de

conserver la trace du passage du courant. A chacune de ces techniques correspond un type ou une famille de mémoire.

Les types de mémoire

Différentes familles de mémoires sont rencontrées en informatique. Voici un tableau qui

résume la situation.

On distingue deux types de mémoires: les ROM conservent les données en l'absence

d'alimentation et les RAM qui perdent les données sans alimentation. Différentes technologies de ces mémoires sont utilisées. On parle de mémoire morte et de mémoire vive de

l’ordinateur.

Par définition, la mémoire vive, généralement appelée RAM (Random Access Memory, traduisez mémoire à accès direct), est un espace permettant de stocker de manière temporaire des données lors de l’exécution d’un programme. La mémoire vive est dite volatile, c’est-à- dire qu’elle permet uniquement de stocker des données tant qu’elle est alimentée

électriquement, contrairement à la mémoire de masse, type disque dur. DDR / DDR2 : DDR et DDR2 sont deux types de mémoire vive les plus récents pris en charge par les dernières cartes mères. Ce qui différencie ces deux types de mémoires est essentiellement le débit de transfert (lecture, écriture). La DDR permet de doubler la fréquence des lectures/écritures comparativement à une mémoire classique. La mémoire DDR2 permet d’atteindre des débits deux fois plus élevés que la DDR à fréquence externe égale. Extensible : Extensible signifie que vous pourrez augmenter par la suite la taille de la mémoire vive de votre ordinateur, car la carte mère de celui-ci dispose d’emplacements libres pour de nouvelles barrettes mémoires. Cela vous permettra d’améliorer les performances de votre machine.

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. Les différentes mémoires RAM dans un PC

• Simm 32 contacts, utilisés dans les 286, 386 et premiers 486

• Simm 70 contacts, utilisés dans les 486 et Pentium

• Dimm utilisé dans les Pentium, Pentium II, Athlon et Athlon XP

• Rambus, utilisés dans les premiers Pentium IV et derniers Pentium III.

• DDR pour Pentium IV, Sempron, ...

• DDR2, utilisée dans les ordinateurs actuels.

Outre ces deux types de mémoire, on rencontre dans le PC d’autres mémoires : c’est le cas de la mémoire cache.

La mémoire cache (ou tout type de cache) est une mémoire intermédiaire dans laquelle se trouvent stockées toutes les informations que le processeur central est le plus susceptible de demander.

Elle sert donc à accélérer la communication entre un élément fournisseur (disque dur par exemple) plus lent que l'élément demandeur (processeur par exemple). Comme ces informations sont immédiatement disponibles, le temps de traitement se trouve diminué d'autant, ce qui mécaniquement accroît notablement les performances de l'ordinateur. Il existe souvent plusieurs niveaux de mémoire cache : une interne au processeur, une autre intégrée sur la carte mère, mais on peut en avoir aussi sur le disque dur.

française propose antémémoire. La différence entre mémoire cache et mémoire tampon réside dans le fait que la mémoire cache duplique l'information, tandis que le tampon exprime l'idée d'une salle d'attente, sans impliquer nécessairement une duplication. Le cache buffer