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Au message de sollicitation de MS-DOS, le type éditent test.bat et la pression entrent.

QUELQUES RAPPELS

2. Au message de sollicitation de MS-DOS, le type éditent test.bat et la pression entrent.

3. Si dactylographié correctement, vous devriez maintenant être dans un écran bleu. Dans l'écran, dactylographier : pause dir c:\windows dir c:\windows\system

4. Une fois les trois lignes ci-dessus ont été saisies, cliquent le dossier et choisissent la sortie ; une fois incité à sauver, cliquer « oui ». Les utilisateurs qui n'ont pas un curseur de souris peuvent accomplir ce même chargent en serrant ALT+F pour accéder au menu de dossier, serrant alors « X » pour sortir, et en serrant entrer pour sauver des changements.

5. Une fois que vous êtes de retour au message de sollicitation de MS-DOS, dactylographier l'essai et la pression entrent. Ceci exécutera le dossier de test.bat et commencera à courir le dossier. Puisque la première ligne est pause, vous serez d'abord incités à appuyer sur une touche. Une fois que vous appuyez sur une touche le fichier séquentiel courra ligne par ligne ; dans ce cas-ci, énumérant les dossiers dans les fenêtres et des fenêtres \ annuaires de système.

Si vous souhaitez ajouter plus de lignes à ce fichier séquentiel vous dactylographieriez simplement « éditez test.bat » pour éditer le dossier encore.

Les informations additionnelles sur le MS-DOS éditent la commande peuvent être trouvées sur le notre éditent la page de commande. Quelques versions de MS-DOS et de disquettes amorçables peuvent ne pas avoir la commande d'édition ; si c'est le cas, vous devriez obtenir le dossier d'edit.com pour accéder à ce dossier ou pour employer l'ordre d'escroc de copie. Fichiers séquentiels et Microsoft Windows puis autres systèmes d’exploitation

Un utilisateur de Windows peut encore employer les étapes ci-dessus de MS-DOS si elles souhaitent créer un fichier séquentiel. Si, cependant, vous êtes un Microsoft Windows employant plus confortable ou votre logiciel d'exploitation, vous pouvez employer n'importe quel éditeur de texte, tel que le bloc-notes ou le wordpad, pour créer vos fichiers séquentiels, tant que la prolongation de dossier finit avec .bat. Dans ci-dessous l'exemple nous employons le bloc-notes de Windows pour créer un fichier séquentiel.

1. Début de clic 2. Course de clic

3. Dactylographier le « bloc-notes » et la pression entrent. 71

4. Une fois que le bloc-notes est ouvert, dactylographier ci-dessous raye dans le dossier ou la copie et colle raye ci-dessous dans le bloc-notes. @echo au loin l'écho bonjour ceci est un fichier séquentiel d'essai pause dir c:\windows

5. Le dossier de clic et le clic économisent ; passer en revue à où vous voulez sauver le dossier. Pour le nom de fichier, le type « test.bat », et si votre version de Windows a « économiser pendant que le type » option, choisissent « tous les dossiers », autrement il économisera comme dossier des textes. Une fois que toute la ceci a été clic fait l'boutonner et sortir le bloc-notes.

6. Maintenant, pour courir le fichier séquentiel, simplement double-cliquer ou courir le dossier comme n'importe quel autre programme. Une fois que le fichier séquentiel a accompli le fonctionnement il fermera la fenêtre automatiquement.

VII. Installation de matériel et dépannage de base A. Imprimantes

1) Les imprimantes

Il existe de nos jours une multitude d’imprimantes : les imprimantes matricielles (en voie de disparition) ; les imprimantes laser (exemple HP LaserJet 1100 dont les différentes parties sont représentées ci-dessous) et les imprimantes à Jet d’encre. De plus en plus sont

rencontrées les imprimantes ‘COMBI’ (diminutif de combiné). Le dispositif possède plusieurs fonctions à la fois . C’est le cas du HP OfficeJet 5510 Tout-en qui possède les fonctions « imprimante –télécopieur- numériseur - copieur ». Le port de communication avec l’ordinateur peut servir de aussi de critère de classification des imprimantes. Ainsi nous avons les

imprimantes LPT et les imprimantes USB. Il y a des imprimantes possédant les deux. Il a existé aussi des imprimantes qui communiquent avec le PC par le port SCSI.

Ci-dessous représenté une imprimante laser noir et blanc et ses différentes parties. 72

Sur la figure ci-dessous est représentée une imprimante Jet d’encre et ses accessoires 2) Installation

La procédure d’installation proprement dite d’une imprimante peut varier d’une imprimante à une autre mais la démarche globale est la

même et consignée dans le document du constructeur. Il faut aussi noter que de plus en plus les imprimantes sont PNP (Plug And Play) et automatiquement reconnues par le système et au mieux des cas installées automatiquement.

Voir plus loin la suite sur les imprimantes. B. Unités de disque

Le disque dur est une mémoire de masse magnétique. Il a remplacé efficacement les tambours (aujourd'hui obsolètes) et les bandes, qui sont utilisées de nos jours uniquement pour l'archivage et la sauvegarde.

Bref rappel sur le disque dur

Inventé en 1956 par IBM, la capacité du disque dur a depuis fortement augmenté tandis que son encombrement a été tout aussi fortement réduit. L’abréviation HDD signifie Hard Disk

Drive : lecteur de disque dur.

Le premier disque dur, l'IBM 350 (qui faisait partie de l'ordinateur RAMAC 305), avait une capacité de cinq mégaoctets ; il était composé de 50 plateaux de 24 pouces de diamètre (61 centimètres). En 1998, année où l'on commémorait le centenaire de l'enregistrement

magnétique (inventé par le Danois Valdemar Poulsen), IBM commercialisa le premier disque dur de 25 gigaoctets (Deskstar 25 GP), capacité présentée à l'époque par la presse comme disproportionnée par rapport aux besoins réels des particuliers. Cinq ans plus tard, on

considérait 80 Go comme une taille à peine suffisante. En 50 ans, la capacité des disques durs a été multipliée par un facteur 500 000 puisqu'un disque actuel (2006) peut atteindre 2,5 To (sous un volume incomparablement moindre).

Principe de fonctionnement 74

L'intérieur d'un disque dur dont le plateau a été retiré. Sur la gauche se trouve le bras de lecture/écriture. Au milieu on peut voir les électro-aimants du moteur du plateau

Dans un disque dur, on trouve des plateaux rigides en rotation. Chaque plateau est constitué d'un disque réalisé généralement en aluminium, qui a les avantages d'être léger, facilement usinable et non magnétique. Des technologies plus récentes utilisent le verre ou la céramique, qui permettent des états de surface encore meilleurs que ceux de l'aluminium. Les faces de ces plateaux sont recouvertes d'une couche magnétique, sur laquelle sont stockées les données. Ces données sont écrites en code binaire [0,1] sur le disque grâce à une tête de

lecture/écriture, petite antenne très proche du matériau magnétique. Suivant le flux électrique qui traverse cette tête, elle modifie le champ magnétique local pour écrire soit un 1, soit un 0, à la surface du disque. Pour lire, c'est le même principe qui est utilisé, mais dans l'autre sens : le champ magnétique local engendre un flux électrique au sein de la tête qui dépend de la valeur précédemment écrite, on peut ainsi lire un 1 ou un 0.

Un disque dur typique contient un axe central autour duquel les plateaux tournent à une vitesse de rotation constante. Les têtes de lecture/écriture sont reliées à une même armature qui se déplace à la surface des plateaux, avec une tête par plateau. L'armature déplace les têtes radialement à travers les plateaux pendant qu'ils tournent, permettant ainsi d'accéder à la totalité de leur surface.

L'électronique associée contrôle le mouvement de l'armature ainsi que la rotation des

disque. Les firmwares des disques durs récents sont capables d'organiser les requêtes de manière à minimiser le temps d'accès aux données, et donc à maximiser les performances du disque.

Les plateaux sont solidaires d'un axe sur roulements à billes ou à huile. Cet axe est maintenu en mouvement par un moteur électrique. La vitesse de rotation est d’environs 600 à 15 000 tours/minute (l'échelle typique des vitesses est 3 600, 4 200, 5 400, 7 200, 10 000 et 15 000 tours/minute). La vitesse de rotation est constante.

Les plateaux sont composés d'un substrat, autrefois en aluminium, de plus en plus souvent en verre, traités par diverses couches dont une ferromagnétique recouverte d'une couche de protection. L'état de surface doit être le meilleur possible.

Tête de lecture/écriture

Le bras supportant les deux têtes de lecture/écriture. Les rayures visibles sur la surface du plateau indiquent que le disque dur était en panne, victime d'un «atterrissage». 75

Le moteur du bras, les deux parties blanches de part et d'autre de la bobine sont des aimants. Le couvercle contenant deux autres aimants a été retiré pour faire apparaître le pivot et la bobine.

Tête de disque dur de 1970

Fixées au bout d'un bras, elles sont solidaires d'un second axe qui permet de les faire pivoter en arc de cercle sur la surface des plateaux. Toutes les têtes pivotent donc en même temps. Il y a une tête par surface. Leur géométrie leur permet de voler au-dessus de la surface du plateau sans le toucher : elles reposent sur un coussin d'air créé par la rotation des plateaux. En 1997 les têtes volaient à 25 nanomètres de la surface des plateaux, aujourd'hui (2006) cette valeur est d'environ 10 nanomètres.

Le moteur qui les entraîne doit être capable de fournir des accélérations et décélérations très importantes. Un des algorithmes de contrôle des mouvements du bras porte-tête est

d'accélérer au maximum puis de freiner au maximum pour que la tête se positionne sur le bon cylindre. Il faudra ensuite attendre un court instant pour que les vibrations engendrées par le freinage s'estompent.

À l'arrêt, les têtes doivent être parquées, soit sur une zone spéciale (la plus proche du centre, il n'y a alors pas de données à cet endroit), soit en dehors des plateaux.

Si une ou plusieurs têtes entrent en contact avec la surface des plateaux, cela s'appelle un

atterrissage et provoque le plus souvent la destruction des informations situées à cet endroit.

Une imperfection sur la surface telle qu'une poussière aura le même effet. La mécanique des disques durs est donc assemblée en salle blanche et toutes les précautions (joints, etc.) sont prises pour qu'aucune impureté ne puisse pénétrer à l'intérieur du boîtier (appelé « HDA » pour « Head Disk Assembly » en anglais).

Les technologies pour la conception des têtes sont (en 2006) :

• Tête inductive

• Tête MR - MagnétoRésistive

• Tête GMR - Giant MagnétoRésistive

Électronique [modifier]

Elle est composée d'une partie dédiée à l'asservissement des moteurs et d'une autre à

l'exploitation des informations électriques issues de l'interaction électromagnétique entre les têtes de lecture et les surfaces des plateaux. Une partie plus informatique va faire l'interface avec l'extérieur et la traduction de l'adresse absolue d'un bloc en coordonnées à 3 dimensions (tête, cylindre, bloc).

L'électronique permet aussi de corriger les erreurs. 76

Les interfaces des disques durs ont largement évolué avec le temps dans un souci de simplicité et d'augmentation des performances. Voici quelques interfaces possibles :

SMD (Storage Module Device), très utilisée dans les années 1980, elle était principalement

réservée pour les disques de grande capacité installés sur des serveurs.

ST506, très utilisée au début de la micro-informatique dans les années 1980.

ESDI (Enhanced Small Device Interface), a succédé au ST506, qu'elle améliore.

L'interface IDE (ou PATA par opposition au SATA, voir plus loin), la plus courante dans les machines personnelles jusqu'à récemment (2005), appelée aussi ATA (AT ATACHMENT), à ne pas confondre avec S-ATA, cette dernière l'ayant remplacée.

SCSI (Small Computer System Interface), plus chère, mais offrant des performances

supérieures. Toujours utilisée et améliorée (passage de 8 à 16 bits notamment, et augmentation de la vitesse de transfert, normes SCSI-1, SCSI-2, SCSI-3).

SAS (Serial Attached SCSI), combine les avantages du SCSI avec ceux du Serial ATA (elle

est compatible avec cette dernière).

Serial ATA (ou S-ATA), est une interface série, peu coûteuse et plus rapide qu'ATA (normes

SATA et SATA II), c'est la plus courante désormais (2005).

Fibre-Channel (FC-AL), est un successeur du SCSI. La liaison est série et peut utiliser une

connectique fibre optique ou cuivre. Principalement utilisée sur les serveurs. 77

Alimentation électrique

• Elle s'effectue en général par un connecteur Molex. Il est à noter que beaucoup de disques durs Serial ATA n'utilisent pas de connecteur molex pour être alimentés mais une prise longue et plate caractéristique de cette norme de transfert.

Géométrie

Chaque plateau (2 surfaces) est composé de pistes concentriques. Les pistes situées à un même rayon forment un cylindre.

Géométrie d'un disque dur

Sur une piste les données sont délimitées en secteurs, aussi appelés blocs. Géométrie d'une surface. Les pistes sont concentriques, les secteurs contigus. Il faut donc trois coordonnées pour accéder à un bloc :

1. le numéro de la tête (choix de la surface)

2. le numéro de la piste (détermine le déplacement de la tête)

3. le numéro du bloc sur cette piste (détermine à partir de quand il faut commencer à lire les données).

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Cette conversion est faite par le contrôleur du disque à partir de l'adresse absolue du bloc (un nombre compris entre 0 et le nombre total de blocs (moins 1) contenu sur le disque).

On notera que les secteurs extérieurs et intérieurs n'ont pas la même taille physique. Sur les premiers disques, une surface était formatée en usine et contenait les informations permettant au système de se synchroniser (de savoir quelle était la position des têtes à tout moment). Cette surface était dénommée « servo ». Par la suite, ces zones de synchronisation ont été mixées entre les blocs de données, mais elles sont toujours formatées en usine. Typiquement donc, on trouvera sur une piste une succession de :

1. un petit « blanc » ou « espace » (« gap » en anglais), 2. une zone servo,

3. un entête avec contenant le numéro du bloc qui va suivre, 4. les données,

5. une somme de contrôle permettant de corriger des erreurs.

Format d'un secteur. Il ne contient pas seulement les données stockées, mais aussi un

l'identifiant du bloc et enfin une somme de contrôle (Σ) permettant de détecter d'éventuelles erreurs.

Performances

Pour lire le secteur (en vert) situé sur une piste interne à l'opposée de la tête de lecture (en rouge), il faut déplacer la tête vers l'intérieur (TSeek), attendre que le bloc arrive sous la tête

(TLatence) puis lire la totalité du bloc (TTransmission). Il est possible d'optimiser le temps d'accès

en prenant en compte la vitesse de rotation pendant que la tête se déplace.

Le temps d'accès et le débit d'un disque dur permettent d'en mesurer les performances. Les facteurs principaux à prendre en compte sont :

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1. le temps de latence, facteur de la vitesse de rotation des plateaux. Le temps de latence (en