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Le modèle transactionnel de Lazarus

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2.1 L ES PRINCIPAUX MODELES THEORIQUES DU STRESS AU TRAVAIL

2.1.5 Le modèle transactionnel de Lazarus

Il revient à Lazarus de parler du modèle transactionnel construit sur une relation dynamique entre l’individu et son environnement, mutuellement réciproque. Le stress est la résultante d’un déséquilibre entre les ressources personnelles et les exigences de l’environnement. C’est un ensemble de transactions dysfonctionnelles entre la personne et son environnement (Lazarus et Folkman, 1984). Pour répondre à une situation stressante, l’individu procède à des évaluations de l'agent stressant ou la situation à laquelle il est confronté. Selon le sens qu’il

25 attribue, il réagit en conséquence. Dans ce sens, la dimension psychologique est prise en compte dans l’évaluation de l’environnement et l’individu répond en conséquence. C’est en fait une transaction qui s’opère entre l’individu et son environnement (cf. figure 1). Pour Lazarus, le stress correspond à la relation singulière existant entre la personne et son environnement. Elle consiste en une évaluation cognitive d’une demande vécue par elle comme la mettant à l’épreuve, comme excédant ses ressources ou une demande pour laquelle il n’y a pas de réponse possible, donc mettant en danger son bien-être (Rivolier, 1989, p. 89).

Ainsi, le stress ne réside ni dans la situation ni dans l’individu mais, dans une transaction entre les deux. Au cours du déroulement de ce processus actif, des mécanismes d’ordre cognitif, sensori-moteur, neuro-hormonaux et immunitaires interviennent et transforment la transaction en coping (Paulhan et Bourgeois., 1995). Cette évaluation cognitive est accompagnée d’un ensemble d’affects. Un agent ne peut être perçu stressant que dans la mesure où l’individu l’évalue comme tel (Lazarus et Folkman, 1984).

Figure 1: Modèle transactionnel du stress (selon Lazarus et Folkman, 1984)

La notion d’évaluation est fondamentale (stress perçu, contrôle perçu et soutien perçu) dans la mise en œuvre des stratégies d’ajustement et de coping afin de faire face aux situations jugées stressantes.

2.1.5.1 L’évaluation

Dans cette théorie, l’évaluation est récurrente à toutes les situations vécues et les réactions des uns et des autres justifient les variations inter et intra-individuelles les processus cognitifs sous-jacents.

26 Chacun adopte des stratégies selon lesquelles les effets des stresseurs sont analysés en mettant en œuvre ses propres ressources, pour éviter d’altérer son bien-être et en analysant les effets des agents stresseurs et les menaces externes ou internes (Lazarus and Folkman, 1984 ; Lazarus, 1999). De cette perspective cognitive du stress, découle la signification attribuée au stimulus qui, à son tour, détermine l’impact de l’agent stressant. Pour ces auteurs, le stress est l’expression d’une relation particulière entre la personne et l’environnement, relation évaluée par la personne comme éreintante (taxing) ou excédant ses ressources et mettant en danger son bien-être. L’évaluation est donc double, composée d’une évaluation primaire et secondaire. L’évaluation primaire est dirigée vers les stresseurs, vers la situation préjudiciable. Dans ce contexte, l’évaluation est liée directement à la signification attribuée à l’événement/situation qui peut représenter pour l’individu un risque, une perte ou une menace à son intégrité physique, psychique et professionnelle. Par exemple, la survenue d’une maladie invalidante représente un dommage ou bien encore le décès d’une personne aimée.

Aussi, la situation stressante peut prendre la forme d’un challenge, un défi à relever, basé grâce à la confrontation (De Keyser et Hansez, 1996 ; Vézina, 2003b). L’évaluation primaire concerne les aspects motivationnels, aussi bien positifs que négatifs. La menace et le défi peuvent apparaître conjointement dans une transaction. Toutefois, ce qui les distingue c'est la tonalité émotionnelle positive ou négative attribuée à la situation en fonction de l’évaluation subjective et les croyances personnelles. La transaction personne-environnement peut être un défi, associé à un dépassement de ses propres ressources pour une actualisation de soi.

Inversement, l’évaluation négative qui dépasse les ressources adaptatives, peut se traduire par une menace impliquant anxiété et désarroi. En outre, une même situation peut être évaluée menaçante pour une personne alors qu’elle peut être perçue comme un défi pour une autre ou encore ne nécessitant aucune réponse à une tierce personne (Lassare, 2002). Donc, la nature de l’évaluation est dépendante de la qualité émotionnelle inhérente à une situation déterminée en vue de développer des réactions de défenses adaptées à chacun.

L’évaluation secondaire est la perception d’un ensemble de ressources disponibles pour faire face aux stimuli. Les capacités personnelles sont évaluées comme ressources adaptatives à la situation stressante. La perception de contrôle est fondamentale dans un objectif de remédiation, de prévention ou de gain. Dans cette conception, les deux évaluations «primaire et secondaire» se coordonnent, sans aucun rapport d’ordre entre les deux. Ensemble, elles

27 déterminent le déclenchement de la stratégie employée dans la réponse au stress (De Keyser et Hansez, 1996 ; Lassare, 2002 ; Rascle et Irachabal, 2001 ; Truchot, 2004).

2.1.5.2 Stress perçu

Selon l’approche transactionnelle, l’évaluation propre à chaque personne détermine l’incidence du contexte aversif sur l’état de l’individu. C’est la perception subjective du stress qui déclenche le fonctionnement du processus transactionnel qui peut être intense ou très faible, mais, il aurait des effets préjudiciables sur la santé plus que les stresseurs objectifs (Bruchon-Schweitzer, 2002). C’est pourquoi, une distinction est déterminante entre les stresseurs environnementaux objectifs, tels les responsabilités humaines et matérielles, les risques d’accidents et l’effet subjectif de cette situation (stress perçu). La compréhension de cette situation par l’approche cognitiviste peut être effectuée par les facteurs personnels et situationnels dans la mesure où le style cognitif peut, atténuer ou amplifier l’effet du stress.

En effet, les aspects de la personnalité comme l’affectivité positive ou l’internalité modèrent le stress perçu ou le renforcent. Rascle (2000) présente le processus d’évaluation cognitive comme un médiateur des réponses au stress. Ce processus est mis au jour par une étude réalisée sur 145 employés ayant subi une mutation professionnelle. Le stress perçu a un rôle de médiateur dans la relation entre le soutien social, l’anxiété et la performance perçue. Le sentiment de ne pas être soutenu par les collègues du travail ou le supérieur hiérarchique engendre un stress perçu qui renforce l’anxiété et réduit les performances professionnelles.

Pour ce faire, des outils de mesure ont été développés pour mesurer cet aspect du stress dans des situations particulières. Des échelles de stress perçu (Perceived Stress Scale), PSS3 sont employées à visée exploratoire pour déterminer les événements de vie les plus stressants qui ont un impact sur la santé en général.

Dans une situation donnée, le sujet procède à une évaluation de la menace et des ses ressources personnelles dans le but de pouvoir contrôler la situation en ayant la certitude de disposer de réponses efficaces. C’est le contrôle perçu ou niveau de contrôlabilité perçue (Massoudi, 2009). Son intérêt se résume à la réduction du stress et la détresse émotionnelle, du fait de savoir que l’on dispose de moyens pour affronter la situation jugée aversive (Wallston, 1989). Pour Lazarus (1990), la signification personnelle attribuée à

3 Les échelles de SCohen, Kamarck et M

28 l’environnement obéit à une construction cognitive dans une transaction continuelle et évolutive dont l’aboutissement est le bien-être.

2.1.5.3 Le soutien social

Le soutien social dans la théorie transactionnelle se traduit par une évaluation personnelle d’une ressource psychosociale censée protéger l’individu et offrir une aide potentielle. A partir de la notion de soutien social, ressources environnementales et sociales découlent les concepts de réseau social et de soutien social reçu à caractère objectif, et un troisième concept, subjectif, qui est le soutien social perçu (Bruchon-Schweitzer, 2002). Le réseau social se définit par le nombre de relations sociales établi par l’individu en termes de fréquence et de qualité dans les rapports. C’est une croyance en la disposition de l’entourage à présenter son soutien en cas de besoin et qui procure une certaine satisfaction. Le soutien social perçu correspond à l’aide affective offerte par autrui. Il peut être de sources différentes (familiales, professionnelles et amicales) et aussi de fonctions différentes. Nous distinguons le soutien émotionnel qui véhicule de l’empathie et de la compréhension, le soutien d’estime qui s’exprime par la reconnaissance des valeurs et des compétences de l’individu, le soutien matériel qui offre une assistance directe à l’individu et enfin le soutien informatif qui apporte conseil et information sur un problème donné.

Le soutien social perçu correspond à l’évaluation subjective de l’aide apportée par autrui dans un événement stressant. C’est la perception que l’individu a de la disponibilité de son entourage familial, amical et professionnel, par rapport aux difficultés rencontrées et la satisfaction qu’il peut anticiper de ce soutien (Cohen et Syme, 1985). Ainsi, l’autre, il devient pour l’individu, une source d’information ou de régulation émotionnelle et facilite les stratégies orientées sur les émotions, ce qui lui attribue un effet tangible sur le bien-être et la santé en général (Rascle, 1994 ; Rascle et Irachabal, 2001). Son rôle est encore plus essentiel dans les situations de détresse psychologique, vu qu’il agit comme un « tampon » entre les stresseurs et les stratégies adaptatives (Rascle, 2001). Il vise à atténuer le stress perçu en renforçant le contrôle perçu et en consolidant les stratégies «actives» d’ajustement (coping) afin de retrouver un état d’équilibre (Parker et Endler, 2002, cité par Vézina, 2003b). Il est évident que les ressources sociales favorisent le réajustement des situations stressantes et ceci en adoptant des stratégies ajustées aux exigences de la situation (Vézina, 2003b). Ainsi, la recherche de soutien social est une fonction du coping étant donné qu’il nécessite des efforts pour solliciter quelqu’un afin d’obtenir son aide. Toutefois, cela dépend fortement des

29 caractéristiques du réseau social. Il est défini comme « la perception que l’individu a de la disponibilité de son entourage familial, amical et professionnel par rapport aux difficultés rencontrées et la satisfaction qu’il peut anticiper de ce soutien » (Cohen et Syme, 1985) 2.1.5.4 Le coping

Le coping est une notion d’origine anglaise, extraite du verbe «to cope» qui veut dire affronter, faire-face, venir à bout, s’en tirer. Associé au mot stratégie «coping strategy», il exprime la stratégie de faire face ou stratégie d’ajustement (Paulhan et Bourgeois., 1995).

Lazarus et Folkman définissent ce concept fondamental dans la théorie transactionnelle du stress, comme «L’ensemble des efforts cognitifs et comportementaux destinés à maitriser, réduire ou tolérer les exigences internes ou externes qui menacent ou dépassent les ressources d’un individu» (Lazarus et Folkman, 1984). En d’autres termes, le coping se présente sous-forme d’un processus dynamique à travers duquel l’individu engage des stratégies cognitives et intellectuelles pour répondre, en fonction de ses ressources personnelles, et les éléments environnementaux. Face à une situation de stress, l’individu, étant actif cognitivement, répond sans chercher les conséquences du coping. En fonction de l’évaluation des ressources personnelles dont il dispose que son bien-être va être soit ébranlé soit préservé (Bruchon-Schweitzer, Dantzer, 1994 ; Vaxevanoglou, 1997). Dans cette théorie, toutes les réponses s’expriment par des actions de modification, de maîtrise, de réduction d’effet délétère ou encore d’adaptation en ajustant le comportement à la situation nouvelle. Les deux fonctions principales du coping à savoir les processus d’évaluation et les stratégies d’ajustement qui s’influencent mutuellement et entretiennent une relation synergique lors d’une situation de confrontation. Selon Lazarus et Folkman (1984) l’individu évalue non seulement la situation mais aussi les ressources dont il dispose pour s’ajuster à la situation. Ce qui est mis en exergue dans cette théorie, c’est l’activité de la personne dans l’ajustement des expériences stressantes et non pas la description des événements stressants eux-mêmes. Dans cette conception, le coping est compris comme un processus évolutif, qui obéit à une première évaluation, puis à une réévaluation de la situation au regard des nouvelles informations mises à la disposition de l’individu. Ils expliquent que les efforts cognitifs exigés par la réponse aux demandes internes ou externes sont changeants en fonction de l’évaluation de la situation faite par l’individu. Selon un exemple présenté par les deux auteurs, les stratégies employées par des étudiants dans un contexte d’examen sont forcément différentes de celles employées dans l’attente des délibérations des résultats ou en venant de les apprendre (Truchot, 2004). A

30 partir de cet exemple, nous notons que différentes modalités de coping sont adoptées. Avant l’examen, le coping est centré plutôt sur le problème alors que durant l’attente, il est centré sur les émotions. Ainsi, le coping ou les stratégies d’ajustement centrées sur le problème sont présentés comme des efforts fournis dans le but de réduire ou écarter les sources de stress.

L’objectif est de modifier ou transformer la situation à problème. Il en est de même pour le coping centré sur les émotions dont le but est de réduire le flot émotionnel suscité par la situation stressante.

A partir des différences interindividuelles notées dans les réponses aux agents stressants et le coping adopté, une autre forme de classification peut être proposée. Il s’agit du coping

«évitement» et du coping «vigilant». Ce qui caractérise le coping «évitement», c’est la diminution des tensions émotionnelles puisque les comportements font partie du registre de la fuite et de l’évitement, du déni, de la résignation ou encore du fatalisme. C’est un coping passif. En revanche, le coping «vigilant» est à l’opposé, actif, caractérisé par la recherche d’information, par le développement des plans d’action (Légeron, 2003).

Dans un travail sur la mobilité professionnelle, Rascle (2000) rapporte que lorsque l’individu croit qu’il contrôle les événements (lieu de contrôle interne), la stratégie de coping adoptée est de type «vigilant» dont les conséquences s’expriment par une augmentation de la satisfaction professionnelle et la performance auto-évaluée. Alors qu’en absence du soutien perçu, le coping ne peut être que du type «évitant» engendrant un état d’anxiété et une diminution dans les performances perçues. Ce qui ressort de cette catégorisation, c’est que dans le domaine professionnel, le coping centré sur l’émotion ou coping «évitant» peut entrainer une insatisfaction professionnelle et un niveau élevé de dépression. Toutefois, le coping

«vigilant», centré sur le problème, diminue les effets négatifs des stresseurs sur la santé physique et mentale (Légeron, 2003).

Par ailleurs, dans une autre conception, les dispositions personnelles, relatives aux caractéristiques stables de la personnalité, déterminent les modes et les types de coping utilisés. Ainsi vus, certains individus seraient prédisposés à s’ajuster plus que d’autres au stress et seraient moins vulnérables. Ces variations interindividuelles dans le coping pourraient être envisagées comme un trait de personnalité. Dans ce cas, on ne parlerait plus de stratégie d’ajustement mais plutôt de « style de coping » qui impliquerait la manière avec laquelle la personne fait face aux événements en fonction des ressources personnelles comme la santé, l’énergie, les croyances en général, l’aptitude à la résolution des problèmes et les

31 ressources matérielles (Ponnelle et Lancry, 2003). De ce fait, plusieurs auteurs ont décrit les styles de coping parmi lesquels Roth et Cohen (1986). Ils en ont dénombré douze, dont le type

«vigilant-évitant» et «le style comportement A». Ce dernier est décrit comme étant un style de coping caractérisé par la compétitivité, l’impatience, l’hostilité, et la perception des événements stressants comme défi. Pour Rosenman et Friedman (1974, in Bruchon-Schweitzer, 2002) deux médecins cardiologues américains, le type de personnalité dépend d’un ensemble de caractéristiques désignant un comportement bien déterminé. C’est à partir d’observations cliniques qu’ils sont arrivés à établir une classification de profil comportemental à des troubles de la santé. Ils caractérisent le comportement de type A par un acharnement constant de lutte, par une rapidité d’exécution dans le travail et par une multiplicité d’activités simultanées. Sur le plan biologique, une forte dose d’adrénaline est souvent libérée dans le sang ce qui met le corps, en entier, sous une tension émotionnelle de colère, d’hostilité et d’agressivité (Légeron, 2003). Ces personnes sont souvent sujettes à de maladies cardio-vasculaires et coronaires. Dans un contexte professionnel, la personne de type A exprime une vulnérabilité au stress. En revanche, la personne de type B est tout à fait l’opposé, manifeste une certaine maîtrise dans le traitement des agents stressants (Bruchon-Schweitzer, 2002 ; Ponnelle et Lancry, 2003).

Toutefois, il est à noter que les mesures des traits de personnalité ne permettraient pas à elles seules de prédire les stratégies de coping car d’une part, elles abordent le coping comme unidimensionnel et d’autre part, elles supposent que les sens engendrent un comportement constant et reproductible quelles que soient les situations. Or, comme l’explique Vézina (2003b), l’évaluation des styles de coping se rapporte à la capacité la personne à répondre à toutes les circonstances et non pas à une situation particulière. Il semble qu’à ce niveau, l’effet de la personnalité détermine la manière de la gestion du stress. En effet, les traits de personnalité peuvent avoir un effet « modérateur » (Rascle et Irachabal 2001). On s’aperçoit que certaines personnes sont plus sensibles aux facteurs de stress que d’autres. Selon les auteurs, les traits de personnalité interviennent dans le choix des réponses aux facteurs de stress et à la façon d’y réagir. Toutefois, les traits de personnalité peuvent être amalgamés aux conditions de travail, tantôt ils l’atténuent et tantôt ils l’amplifient. Leur mesure serait opaque et influencerait indirectement la manière de percevoir les conditions de travail. Car les traits de personnalité ne sont pas empiriquement stables. Ils peuvent être influencés par les expériences professionnelles, ce qui expliquerait leur effet modérateur dans l’ajustement

32 individuel (Rascle et Irachabal, 2001). Pour comprendre le coping dans sa globalité, il est préférable de l’examiner dans son aspect multidimensionnel, processus ayant plusieurs fonctions en termes de styles de coping et de stratégie d’ajustement situationnel.

2.1.5.5 Intérêts et limites du modèle

Dans le contexte de la psychologie de travail, l’approche transactionnelle de Lazarus et Folkman (1984) semble avoir un intérêt essentiellement concentré sur le stress psychologique et les déterminants de l’adaptation de l’individu, en occultant en partie la dimension organisation et conditions de travail. Selon Vézina, c'est «comme si on présupposait que ces conditions sont là pour rester et que la personne doit apprendre à composer avec elles»

(Vézina, 2003b, p.48-50). De ce fait, l'influence des facteurs environnementaux et des structures sociales paraissent absentes dans le modèle de Lazarus. Or, pour mieux comprendre les effets délétères du travail sur la santé physique et psychologique de l’individu, l'analyse des conditions de travail, de l’organisation et de toutes ses composantes sont nécessaires.

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