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Lycée professionnel Louis Blériot, France (secondaire)

Site de l’établissement : http://www.lyc-bleriot-trappes.ac-versailles.fr/

Profi l d’établissement eTwinning : http://www.etwinning.

net/fr/pub/connect/browse_people_schools_and_pro/profi le.

cfm?f=1&l=fr&n=38857#

Contexte scolaire

Le Lycée des Métiers Louis-Blériot, un établissement du secondaire, est situé dans un quartier défavorisé de Trappes, ville de plus de 30 000 habitants ayant un fort taux d’immigration, à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Paris. Il accueille 350 élèves, dont 89 filles. Les deux tiers habitent à proximité et les autres à plus de vingt kilomètres. Le personnel compte 80 personnes, dont une cinquantaine d’enseignants. L’établissement dispose de trois salles d’ordinateurs.

Il offre des cours pour des qualifications allant du CAP au bac professionnel, avec deux sections (métiers de l’industrie et des services). Depuis le début de l’année scolaire 2009, une classe spécialisée pour adolescents souffrant de handicaps cognitifs fonctionne avec un effectif de onze élèves.

L’établissement a un problème d’image et au cours de ces dernières années, le nombre d’élèves est en baisse. Un tiers de son effectif est issu de familles défavorisées, comparé au reste de l’académie, où la proportion est de 20 %.

La tradition d’innovation de l’établissement

Il existe un certain nombre de projets Léonard de Vinci et Comenius au lycée, dirigés par le professeur d’anglais et de lettres, qui est en outre ambassadeur eTwinning, dans le but de permettre à certains des élèves d’aller en Angleterre cette année. Toutefois, l’établissement n’a pas de planification ni de mise en œuvre stratégique de projets européens en tant que tels.

En 2012, il comptait trois enseignants inscrits et dix-sept projets eTwinning. Au début d’eTwinning, il y avait jusqu’à sept enseignants du Lycée Blériot inscrits sur le programme, mais aucun n’a participé aux projets. Leur inscription relevait plus du désir de savoir ce qui se passait dans les projets proposés que d’en créer un. Actuellement, c’est la même enseignante qui met tous les projets en place, aidée par une petite équipe de trois collègues qui participent sans être vraiment inscrits. En outre, le conseiller principal d’éducation et le directeur de l’établissement ont indiqué qu’ils souhaiteraient apporter leurs concours.

Le proviseur, en poste depuis 2011 au lycée, avait entendu parler d’eTwinning avant son arrivée. Ancien professeur d’éducation physique et sportive (EPS), il a une « macro-approche » de l’enseignement. Pour lui, les projets ne sont pas des éléments isolés les uns des autres. Au-delà de l’intérêt qu’ils suscitent auprès des élèves, ils constituent aussi de véritables dynamiques dans l’établissement. Actuellement, explique-t-il, tous les projets européens qui ont été menés ont eu des retombées positives sur l’image du lycée, surtout au cours de présentations dans les établissements de la région. « Les gens se rendent compte que les choses sont en train de changer. » Il croit en une éducation personnalisée, qui prend en compte la personnalité des élèves. « Nous travaillons sur une discipline et nous varions les tâches en fonction des élèves. » Il insiste également sur le fait que le projet est un moyen effi cace d’utiliser les TIC dans l’enseignement, qui est quelque chose auquel il croit beaucoup. « Les outils informatiques permettent à tout le monde de travailler à son rythme […]. Nous devons aussi proposer des disciplines sur lesquelles travailler [via l’informatique] à ceux qui veulent faire quelque chose, sinon ils décrochent. »

L’équipe eTwinning

Une équipe eTwinning a été créée en 2010 et se modifi e en fonction des projets. Son animatrice est Muriele Dejaune, qui enseigne l’anglais et le français. Elle a découvert eTwinning au cours d’une session de formation en 2006. Elle a démarré son propre projet en 2007 avant d’entraîner ses collègues. En cinq ans, elle a cofondé douze des dix-sept projets d’établissement et remporté cinq labels de qualité nationaux et quatre labels de qualité européens. Elle a pris part à trois ateliers de formation professionnelle et deux conférences annuelles eTwinning. Elle est également ambassadrice eTwinning.

Un autre membre de l’équipe est le professeur de biotechnologie, Annick Zerbini. Responsable des cours de cuisine, elle s’efforce de créer des synergies entre le travail sur des projets eTwinning et le programme qu’elle enseigne. Par exemple, la gastronomie cadre bien avec les objectifs pédagogiques de sa discipline. Enfi n, il y a l’assistante d’anglais, qui aide l’animatrice pour tous les cours d’anglais.

Des participants occasionnels ont parfois prêté main forte à l’équipe dans certaines activités, une ou deux fois : les professeurs de mathématiques, d’arts plastiques et d’histoire-géographie. Au cours de l’année scolaire 2011-2012, l’équipe a travaillé sur un projet nommé « Un monde de légumes haut en couleurs » avec la Turquie et la France. Par ailleurs, un lycée polonais et un lycée croate se sont joints au projet. Son équipe eTwinning est constituée du petit noyau d’enseignants précité et de trois autres collègues qui donnent un coup de main de temps en temps.

Études de cas sur la collaboration entre enseignants d'un même établissement Les équipes eTwinning

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Les activités de l’équipe

L’équipe eTwinning en place existe depuis près de trois ans. Elle travaille généralement sur un projet eTwinning commun qui fait appel à une approche interdisciplinaire permettant de mettre en œuvre diverses activités.

C’est le sujet du projet en cours, «A colourful world of vegetables» qui a nécessité un travail d’équipe, se souvient le professeur d’anglais, étant donné que suivre des recettes ne relevait pas de son domaine de compétences. De plus, calculer les mesures des ingrédients a fourni au professeur de mathématiques une occasion de motiver ses élèves en les confrontant à un exercice de résolution de problème très concret.

Pour répartir le travail sur le projet entre les différentes classes, l’équipe a mis au point un système permettant aux élèves d’aborder en classe un point nécessaire au projet avec un enseignant, avant d’appliquer les connaissances ainsi acquises dans le cours d’un autre. D’après l’équipe, ce système a bien fonctionné.

Aides et obstacles dans l’établissement

L’équipe eTwinning a trouvé formidable que le projet, ses activités et tous les emplois aient si bien fonctionné ensemble. Tous les enseignants insistent sur le fait que le proviseur les a aidés à aménager l’emploi du temps de façon à permettre le travail d’équipe. Les collègues ont réussi à se réunir surtout pendant leur horaire de travail en salle des profs et dans les salles d’ordinateurs. C’est l’un des facteurs qui les a le plus aidés. En fait, les enseignants déclarent que le principal obstacle pour ce genre de travail en commun, c’est la diffi culté à pouvoir se réunir. L’assistante d’anglais indique que dans une autre école où elle a travaillé, les emplois du temps incompatibles étaient le principal obstacle à l’existence d’une équipe eTwinning.

Les enseignants savent que le proviseur considère qu’un projet eTwinning est un véritable atout pour le lycée, qui atteste de l’énergie et de l’enthousiasme de l’équipe enseignante. Mais en même temps, ils remarquent aussi l’absence de reconnaissance de la part de l’institution scolaire pour le travail fourni sur le projet. « Nous avons l’impression que le proviseur est content, mais la reconnaissance s’arrête là. » Ils suggèrent qu’une récompense aux établissements et au personnel sous forme de « label » témoignant du dévouement et du travail de la direction et des enseignants qui participent à des projets eTwinning pourrait être un progrès.

Quant à l’enseignante de maths, elle souligne le fait que les activités se sont déroulées « au bon moment de l’année ». Elle fait remarquer aussi que le travail qu’elle a fourni pour le projet « s’inscrivait dans le programme scolaire obligatoire » et a été mené pendant les heures de cours. Cela n’a pas été le cas pour tous les enseignants concernés, certains ayant dû travailler en dehors de leurs horaires pour aider les élèves dans le cadre de leur projet professionnel à travailler sur eTwinning. De plus, un autre facteur favorable était le nombre restreint de participants aux activités du projet, qui ne dépassait pas douze élèves. « Je n’aurais pas pu travailler avec une classe de vingt-quatre, déclare l’assistante d’anglais. Les élèves ne sont pas assez sûrs d’eux ni assez indépendants pour travailler seuls. Et en plus, il faut souvent adapter l’aide aux personnes. »

Le lycée dispose de trois salles d’informatique, dont l’une a servi toute l’année exclusivement au projet eTwinning. L’un des enseignants souligne que la possibilité d’attribuer un ordinateur à chaque élève leur a énormément facilité la tâche. De plus, le technicien était présent instantanément pour régler les problèmes techniques en salle d’informatique, ce que les enseignants ont bien apprécié. Mais selon l’équipe, un problème risque de se poser : si d’autres projets sont montés dans l’établissement, il y aura probablement une pénurie de moyens et de salles.

Même si l’équipe est bien établie comme groupe eTwinning depuis près de trois ans au lycée, elle n’a guère réussi à s’étoffer et à attirer de nouveaux collègues. Il est tout à fait possible qu’un projet d’établissement eTwinning réunisse et fasse participer plusieurs enseignants, à condition, insiste l’équipe, que la relation entre eux soit authentique.

Impact de l’équipe eTwinning sur l’établissement

L’équipe eTwinning a eu un impact sur l’organisation des études pour les élèves qui ont participé au projet. Toutes les activités se sont déroulées pendant les cours d’anglais, en général dans une salle d’informatique où les élèves ont travaillé seuls ou en binômes face à un ordinateur, avec l’aide de leur professeur et de l’assistante d’anglais. Les activités étaient basées sur des sujets enseignés par les professeurs de biotechnologie et de géographie. Certaines consistaient à faire des recherches sur l’origine géographique de différents fruits et légumes, à comprendre comment ils arrivaient en France et à créer de petits questionnaires et des vidéos à partager avec leurs camarades étrangers. À la journée Portes Ouvertes du lycée, les élèves ont eu l’occasion de présenter leur travail aux parents en visite.

Les enseignants interrogés estiment que les élèves participants étaient motivés par le projet et qu’ils se sont vraiment investis, ce qui a évidemment rendu la tâche plus facile pour l’équipe enseignante

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eTwinning. « Cela redonne du tonus à ma pédagogie, constate l’enseignante d’anglais et de français.

Je vois les élèves travailler différemment, ils communiquent avec leurs partenaires européens. » Pour le chapitre sur la proportionnalité, indique le professeur de mathématiques, « ils l’ont mieux compris [en travaillant sur le projet] que lorsqu’ils l’avaient vu la première fois, parce le sujet était présenté dans un contexte différent ». Pour elle, eTwinning a été « l’occasion de revoir ce sujet avec les élèves d’une façon motivante pour eux. »

Quant à l’impact sur les enseignants, la fondatrice du projet, qui ne travaille pratiquement plus qu’avec eTwinning, estime que cela leur a permis de se voir régulièrement, de partager des méthodes d’enseignement et de discuter du travail des élèves avec des collègues d’autres disciplines. Mais pour les participants occasionnels, les effets n’ont pas été aussi importants ; eTwinning leur a permis de marquer une pause dans leurs pratiques pédagogiques habituelles et, parfois, d’utiliser les TIC plus souvent et de travailler avec des collègues.

Les autres collègues du lycée prennent connaissance des projets eTwinning de l’établissement à travers un bulletin d’information intitulé Blériot Flash. Ces actualités hebdomadaires sont destinées à informer la totalité de l’équipe enseignante, les parents et les élèves sur les manifestations passées et à venir. Le proviseur adjoint l’envoie chaque semaine par courriel aux enseignants. Il est également affi ché en plusieurs endroits de l’établissement et on le trouve sur le site du lycée. Promouvoir le concept d’eTwinning parmi les collègues qui n’ont pas encore osé se lancer est important. Comme le dit l’un des nouveaux collègues du lycée, « les collègues savent qu’il va se passer quelque chose du côté d’eTwinning, mais ils ne savent pas toujours de quoi il sera question. Moi, au début, je croyais que cela ne concernait que les profs d’anglais ! »

Projets d’avenir et conclusion

Le travail de l’équipe sur le projet a été facilité par le proviseur, qui aménage les emplois du temps afi n de donner aux enseignants la possibilité d’y travailler ensemble. Le bon niveau d’équipement informatique et l’aide du technicien ont également été décisifs. En outre, les enseignants étaient contents de ne pas avoir affaire à des équipes préconstituées, mais d’avoir la liberté de choisir les collègues avec lesquels travailler. Enfi n, la présence d’un enseignant expérimenté – quelqu’un qui connaît bien les outils eTwinning et qui s’est déjà occupé de programmes d’enseignement à distance –jouant le rôle d’élément moteur derrière le projet est vraiment un atout.

Aujourd’hui, les membres de l’équipe actuelle expriment leur souhait de continuer à travailler ensemble à des projets eTwinning et aimeraient aussi voir d’autres collègues se joindre à eux. L’enseignante porteur de projet, qui joue un rôle très actif dans eTwinning, envisage de continuer à monter de nouveaux projets chaque année et dans chaque classe. Ils puisent leur motivation dans l’intérêt manifesté par les élèves et aussi dans le fait qu’ils semblent avoir pris goût à leur travail.

(enseignement secondaire du premier cycle)

Site de l’établissement : http://1gym-ilioup.att.sch.gr

Profi l d’établissement eTwinning : http://www.etwinning.net/fr/pub/connect/

browse_people_schools_and_pro/profi le.cfm?f=1&l=fr&n=117089

Contexte scolaire

Le Premier collège d’Illioupolis est le premier de huit établissements d’enseignement secondaire de premier cycle. Il est situé dans la municipalité d’Ilioupolis, une banlieue aux pieds du mont Hymettus, dans la partie sud-est de la métropole d’Athènes.

Il compte 327 élèves de 13 à 15 ans, 36 enseignants et emploie 4 autres personnes. Le Premier Collège est logé dans de vastes bâtiments, qui abritent aussi un lycée et une école primaire.

Relativement grands et spacieux, ces locaux comprennent une immense cour équipée de terrains de basketball et de volleyball, un court de handball qui fait aussi offi ce de mini terrain de football, entourée d’une piste de sprint, un gymnase couvert et un vaste théâtre polyvalent. Bien que le collège partage ces installations avec le lycée, il dispose aussi de sa propre bibliothèque, d’un laboratoire de physique et d’une salle d’informatique.

L’infrastructure d’outils TIC du collège semble tout juste suffi sante et se compose de PC en réseau situés principalement dans la salle d’informatique. Ils sont confrontés à des problèmes techniques et de disponibilité. La proportion est de 33 élèves pour un ordinateur.

Le directeur est relativement nouveau dans l’établissement puisqu’il a été nommé en septembre 2011. Les eTwinneuses, qui enseignent diverses disciplines, sont novices.

La tradition d’innovation de l’établissement

Bien que l’établissement n’ait pas d’antécédents eTwinning et que les enseignants n’aient jamais participé à des projets eTwinning avant, deux de ses projets actifs ont été fondés par des

« enseignantes maison ». Il y a cinq enseignants eTwinning inscrits qui se font aider régulièrement

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GRÈCE

ou occasionnellement par sept autres collègues (dont certains ont l’intention de s’inscrire), et par le chef d’établissement.

Illiopoulis a déjà participé à des projets d’établissements bilatéraux non fi nancés, soit au niveau de l’établissement soit au niveau national, dont le but est d’établir une communication, une collaboration et même des partenariats avec des écoles à l’étranger. En 2008, dans le cadre de deux programmes – l’un sur l’environnement et l’autre sur l’éducation à la santé – un voyage en France fi nancé

par les parents d’élèves clé. De la même façon, des projets internes à l’établissement et des activités de développement sur l’éducation à la santé semblaient prêts aussi pour le niveau supérieur. Ainsi, un projet eTwinning sur l’alimentation a été fondé en partenariat avec le Heerbeeck College, aux Pays-Bas.

La collaboration avec des organisations ou des entités en dehors de l’établissement a été accessoire et assez limitée ; mais le collège travaille étroitement avec les parents, l’association des parents d’élèves et le conseil d’administration.

L’équipe eTwinning

L’équipe principale est constituée de quatre personnes, dont le porteur de projet, Panagiota Karampini, qui enseigne le latin et le grec ancien, l’histoire, le grec moderne et la littérature ; Anastasia Belogianni, professeur d’informatique ; Effi Efstathiou, professeur de biologie, de chimie et de géographie ; et Efstathia Papanastasatou, professeur d’économie domestique et de géographie. Mara Beretsou, professeur d’allemand, est aussi une eTwinneuse ; mais elle travaille souvent seule car elle privilégie l’approche disciplinaire du programme dans ses cours d’allemand, plutôt que l’approche de l’équipe de base visant à travailler avec tout l’établissement. L’équipe s’est formée pour la première fois en 2011, lorsque le directeur qui partait à la retraite a proposé une

collaboration bilatérale au niveau collège s’appuyant sur l’expérience du lycée avec l’établissement néerlandais. Le premier projet a été enregistré en septembre 2011.

L’équipe principale a choisi une approche interdisciplinaire faisant intervenir la quasi-totalité des sujets enseignés par les membres de l’équipe. Cela a facilité l’intégration des activités eTwinning pour tout le monde et la possibilité de travailler pendant les heures de cours. Mais le gros problème était de trouver une heure à laquelle se réunir ou terminer des travaux, surtout pendant les heures de cours, en raison des différences entres les emplois du temps et la nécessité de s’y tenir. Il est vite devenu évident que l’équipe devait se réunir après la classe pour organiser, programmer et distribuer les activités qui pouvaient avoir lieu pendant les heures de cours. Il y a eu des séances interdisciplinaires, c’est-à-dire que le professeur de grec moderne utilisait la salle d’informatique en même temps que le professeur de TIC.

Au départ, tous les membres de l’équipe, y compris le professeur d’allemand, on collaboré étroitement pour surmonter les problèmes techniques et administratifs, par exemple les inscriptions sur la plate-forme, tant pour eux-mêmes que pour l’établissement, apprendre à utiliser le Twinspace et communiquer avec des partenaires utilisant les TIC et la plate-forme eTwinning.

Activités de l’équipe

Le but du professeur d’allemand était que ses élèves aient une meilleure connaissance de la langue, en travaillant surtout sur des projets eTwinning germanophones et intégrés dans le programme des classes. Elle a considéré que tous ses élèves (de tous les niveaux entre 13 et 15 ans) étaient des eTwinneurs et les a incités, à travers des activités précises, à prendre contact avec des élèves d’écoles partenaires et à communiquer avec eux, aussi bien pendant les heures de cours qu’en dehors.

Les élèves de la principale équipe (essentiellement du huitième degré, c’est-à-dire ceux de 14 ans) rencontrent leurs enseignants une fois par semaine et font une grande partie de leur travail chez eux à l’aide de leur ordinateur personnel et de leur connexion Internet. Pendant les heures de cours, le travail du programme est fait en cours avec les enseignants. Le moment fort du projet a été un échange entre élèves en avril 2012 où seize élèves d’un établissement néerlandais, deux enseignants et leur proviseur leur ont rendu visite pendant une semaine. Les élèves et les enseignants néerlandais ont été accueillis chez leurs homologues grecs et ont assisté aux cours et à d’autres manifestations, comme : un cours spécial sur l’histoire et la culture grecques, par exemple une représentation de chants et danses traditionnelles grecques par les élèves et une présentation de scènes caractéristiques tirées de fi lms grecs ; un cours spécial offrant un résumé

Les élèves de la principale équipe (essentiellement du huitième degré, c’est-à-dire ceux de 14 ans) rencontrent leurs enseignants une fois par semaine et font une grande partie de leur travail chez eux à l’aide de leur ordinateur personnel et de leur connexion Internet. Pendant les heures de cours, le travail du programme est fait en cours avec les enseignants. Le moment fort du projet a été un échange entre élèves en avril 2012 où seize élèves d’un établissement néerlandais, deux enseignants et leur proviseur leur ont rendu visite pendant une semaine. Les élèves et les enseignants néerlandais ont été accueillis chez leurs homologues grecs et ont assisté aux cours et à d’autres manifestations, comme : un cours spécial sur l’histoire et la culture grecques, par exemple une représentation de chants et danses traditionnelles grecques par les élèves et une présentation de scènes caractéristiques tirées de fi lms grecs ; un cours spécial offrant un résumé

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