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École primaire du Couvent de Listowel, Irlande (enseignement primaire)

(enseignement primaire)

Site de l’établissement : http://conventprimarylistowel.scoilnet.ie/blog Profi l d’établissement eTwinning : http://www.etwinning.net/fr/pub/connect/

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Contexte scolaire

Située dans le sud-ouest de l’Irlande, la Convent Primary School de Listowel a ouvert en 1990. Elle accueille 240 enfants, depuis la moyenne section de la maternelle à la sixième année (de 4 à 12 ans).

Elle compte 22 membres du personnel et 250 élèves.

Listowel est un petit bourg situé sur la Feale, à 28 kilomètres du chef-lieu du comté, Tralee. Parfois désignée comme « la capitale littéraire de l’Irlande », Listowel a la réputation d’être une ville de culture et les élèves de l’école primaire apprennent à jouer de la fl ûte et de l’accordéon. Ils apprennent aussi les danses irlandaises et participent à la semaine des écrivains de Listowel. L’école primaire de Listowel est un établissement catholique réservé aux fi lles. Malgré des fondements spirituels catholiques, il respecte toutes les autres religions.

L’établissement partage les mêmes locaux que l’école Nano-Nagle et c’est la seule école primaire d’enseignement général à cohabiter avec une institution scolaire spécialisée. De nombreuses activités y sont menées conjointement.

La tradition d’innovation de l’établissement

La Convent Primary School est une école dynamique qui s’est distinguée à plusieurs occasions : lors de Our World Irish Aid (« Notre aide irlandaise dans le monde »), aux Discover Primary Sciences Awards (prix décou-verte des sciences au primaire) et aux Green Flag Awards (prix du drapeau vert). Un conseil des parents très actif œuvre au sein de l’école et des liens très étroits se sont tissés entre l’établissement et la communauté.

Divers comités y jouent un rôle, comme le comité pour la promotion de la santé et les écoles vertes.

Si jusque-là Convent n’avait pas participé à des projets collaboratifs européens, elle collaborait déjà avec divers établissements scolaires en Irlande et avait noué des relations solides dans sa région avec diverses organisations. Elle a notamment un orchestre scolaire très actif et accueille d’autres groupes musicaux pour des concerts. Les élèves peuvent participer au groupe musical de l’école depuis leur plus jeune âge jusqu’à la fi n du primaire, et le groupe se produit chaque année lors de festivals comme les Listowel Races et la parade de la Saint-Patrick. Tout le personnel participe à une activité ou une autre en lien avec les groupes sportifs locaux, comme le basket et le football. Pour Anne O’ Connor Brosnan, la directrice adjointe, eTwinning coïncide totalement avec la mission de l’école. Les élèves découvrent d’autres pays et d’autres cultures et cela leur ouvre d’autres horizons.

L’élément social du projet est très important et eTwinning offre la possibilité d’en apprendre plus sur le monde. Dans le projet Wonderful Legends (merveilleuses légendes), les élèves ont découvert les contes et légendes d’autres pays.

D’après la directrice adjointe, avant eTwinning, l’école ne possédait pas le mode d’emploi pour collaborer avec des établissements scolaires d’Europe. La technologie, elle en est persuadée, se prête bien à faire des choses sans engager des dépenses faramineuses.

L’équipe eTwinning

Brenda Walsh, enseignante ressources / chargée du soutien aux élèves, est l’animatrice eTwinning de l’établissement. Elle a fondé deux projets eTwinning. C’est la seule enseignante inscrite sur eTwinning mais elle a invité sa collègue Mairéad Regan, enseignante du troisième degré, à aller sur le Twinspace de Wonderful Legends. Au départ, l’animatrice avait entendu parler d’eTwinning lors d’une formation Comenius à Malte et à son retour, elle a décidé de s’inscrire à eTwinning. Elle a également participé à un atelier multilatéral eTwinning en Suède en 2011 pour des enseignants suédois, allemands et irlandais.

En outre elle a assisté à un atelier local d’information animé par un ambassadeur national eTwinning.

Très intéressée par les TIC dans l’enseignement, elle s’occupe du site internet de l’établissement.

L’enseignante joue également un rôle dans Mission V, un programme destiné à donner aux enfants l’envie d’apprendre en prenant des initiatives par le jeu.

L’institutrice du cours élémentaire avait très envie de trouver de nouvelles stratégies d’enseignement.

« C’est dans la culture de l’établissement de participer à des projets différents », déclare-t-elle. Quant à l’enseignante-porteur de projet, elle estime que c’était l’occasion d’essayer quelque chose de nouveau.

Après avoir parlé avec la directrice de l’école de son envie de se lancer dans un projet eTwinning, elle s’est ensuite tournée vers sa collègue qui enseigne le cours élémentaire pour voir si cela l’intéresserait d’y participer. L’enseignante était très enthousiaste, de même que la directrice. L’équipe a travaillé en collaboration sans problème pendant cinq mois.

L’animatrice a trouvé sa partenaire suédoise, Karin, sur le portail eTwinning. Elle l’a rencontrée lorsque sa demande pour participer à l’atelier multilatéral eTwinning en Suède en 2011 a été acceptée. Chacun des membres de l’équipe apportent des compétences différentes. L’animatrice s’est concentrée sur la partie TIC du projet, alors que sa collègue s’est occupée du côté

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artistique et de l’intégration du projet dans le programme – l’art, l’anglais et l’éducation sociale, environnementale et scientifique.

À l’issue du projet eTwinning, les deux enseignantes feront un compte rendu à la direction et feront part de leurs impressions. Elles décideront ensuite si elles veulent l’incorporer dans les prévisions d’activités de l’établissement pour la nouvelle année scolaire et verront si d’autres membres du personnel veulent se joindre à elles. De l’avis de la directrice adjointe, « l’entreprise est une réussite ».

Activités de l’équipe

L’enseignante-porteur de projet et sa collègue du cours élémentaire travaillent sur le projet collaboratif Wonderful Legends. Elles abordent plusieurs disciplines différentes pour le même niveau. Les élèves travaillent avec leurs camarades du même âge dans les écoles suédoise et allemande et leur montrent leurs productions. Dans chaque pays, ils utilisent des scénarios en images pour raconter leurs légendes. « Non seulement ils ont découvert une légende étrangère mais ils ont appris des choses sur l’ordinateur », constate Mairéad reagan.

Près de la moitié du travail de l’équipe eTwinning se fait pendant les heures de cours et l’autre moitié a lieu en dehors, pendant l’horaire de travail des enseignantes. Ce temps sert à préparer les cours pour la classe. Le programme de l’école primaire est très chargé et les plans de cours doivent être préparés en dehors des heures de présence devant les élèves.

Les eTwinneuses ont réfl échi enseignantes. Une zone d’affi chage réservée au projet eTwinning a été aménagée dans les parties communes de l’établissement où tout le monde peut voir les progrès réalisés. Les parents peuvent voir le travail des élèves. L’école organise une « journée des grands-parents » pendant laquelle les élèves peuvent leur montrer leur travail.

L’enseignante-porteur de projet avait rencontré ses partenaires lors de l’atelier multilatéral eTwinning en Suède. Elle est convaincue que cette rencontre a été déterminante pour la réussite du projet. D’après elle, le thème du projet était très adapté à l’âge des élèves, à qui il a effectivement beaucoup plu.

Aides et obstacles dans l’établissement

L’équipe se réunit dans la salle de réunion du personnel. Convent se caractérise par son bouillonnement créatif, propice au lancement d’activités nouvelles, et par son vaste choix d’activités extrascolaires.

« Chez nous, cela fait partie de la culture de s’engager dans différents projets », explique l’institutrice.

Les équipements de l’établissement en TIC participent de la réussite du projet. Les eTwinneuses ont un tableau interactif dans leur classe et utilisent une classe mobile de seize ordinateurs portables.

L’établissement possède un site et un blog gérés par l’enseignante-porteur de projet.

La direction de l’établissement approuve totalement l’idée d’un projet eTwinning et elle a laissé une certaine souplesse aux membres de l’équipe dans leurs emplois du temps. Elle favorise les discussions entre enseignants sur les nouvelles pratiques pédagogiques. L’équipe eTwinning envisage de présenter le projet au reste du personnel lors d’une prochaine réunion. L’école a beaucoup soutenu l’enseignante-porteur de projet, ce qui lui a permis d’assister cette année à la conférence d’une association en faveur de l’enseignement par ordinateurs, la CESI (Computers in Education Society of Ireland). Elle a également présenté le projet eTwinning lors de la conférence sur l’enseignement par ordinateur qui se tenait à l’Institut de Technologie de Limerick en 2012.

En termes de récompenses, l’équipe a le sentiment que leur projet a été un formidable moyen de trouver de nouvelles stratégies d’enseignement et de s’y former. Avant le projet, l’enseignante du cours élémentaire n’avait utilisé ni Skype, ni le logiciel qui a servi à créer les scénarios illustrés. Les deux collègues sont très motivées pour continuer à se former et à apporter une nouvelle dimension à leur pratique professionnelle. D’ailleurs, le personnel enseignant assiste à des sessions de formation continue au centre local de formation. Beaucoup y ont suivi des cours de TIC et l’un des enseignants organise des formations dans l’établissement sur les tableaux interactifs pendant l’été, toujours dans le cadre de la formation continue.

Au chapitre des obstacles, Convent a un problème de moyens et l’établissement a perdu son enseignant référent pour les élèves gitans et son professeur de soutien pour l’anglais et il est à craindre que deux à trois autres postes d’enseignants référents soient supprimés. Par conséquent, il risque d’être plus diffi cile à l’avenir de participer à des projets comme eTwinning. La direction comme les enseignants, voient dans le non-remplacement des enseignants assistant à des Ateliers de formation professionnelle eTwinning, un autre obstacle. Parfois, la connexion ADSL de l’établissement pose des problèmes et Internet peut être assez lent.

Par ailleurs, les effectifs dans les classes ont été considérés comme une barrière (trente-deux élèves – ce qui est trop), mais les deux enseignantes ont décidé de scinder la classe en huit

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groupes (quatre élèves par groupe). L’enseignante-porteur de projet abordait en classe le logiciel de fabrication du story-board tandis que sa collègue enseignait la partie artistique.

Impact de l’équipe eTwinning sur l’établissement

Depuis qu’elles travaillent ensemble sur Wonderful Legends, l’équipe eTwinning échange des idées sur les méthodes pédagogiques effi caces. Elles parlent ensemble des progrès des élèves dans le projet, de ce qui marche et de ce qui pourrait être amélioré. Cela leur permet d’adopter une attitude plus critique à l’égard des pratiques pédagogiques et de l’éducation au sein de l’établissement. Le tableau interactif est maintenant utilisé dans la classe et les élèves ont des conversations en ligne avec leurs camarades suédois. C’était la première fois que les deux enseignantes travaillaient ensemble en classe et qu’elles menaient un projet. Chacune a observé les méthodes d’enseignement de l’autre en classe et a trouvé cela bénéfi que. L’une et l’autre ont pris le temps de se rencontrer en salle des professeurs pour parler de la planifi cation du projet. À la question « Seriez-vous d’accord pour retravailler ensemble ? », toutes deux acquiescent avec enthousiasme. Ce qui a vraiment bien marché, c’était de confi er des responsabilités aux élèves dans le projet, par exemple de leur permettre d’utiliser les appareils photo numériques, de faire la programmation des scénarios, de décider des séquences d’images eux-mêmes, ou de réaliser des podcasts des légendes. Cela a permis aux élèves de prendre les rênes du projet et d’y participer pleinement.

Depuis le travail sur le projet eTwinning, une culture de collaboration s’est développée entre les enseignantes. La directrice adjointe suit de près les progrès et toute la direction de l’établissement épaule beaucoup les membres de l’équipe. Elles se sont perfectionnées dans certains domaines, ce qui leur a permis d’intégrer ces compétences dans leur enseignement en classe. Cela les a aidées à introduire de nouveaux modèles d’enseignement et d’apprentissage dans la classe. Elles sont convaincues que les élèves ont vraiment beaucoup de plaisir à travailler sur le projet, surtout dans les échanges avec leurs camarades en Suède. Avec Skype, elles ont réussi à voir directement ce qui se passait dans la classe suédoise et à établir le contact.

Projets d’avenir et conclusion

Les enseignantes ont l’intention de retravailler ensemble, bien que cela dépende des moyens dont dispose l’établissement en personnel. Elles pensent que d’autres membres vont s’inscrire à eTwinning et démarrer leurs propres projets. En défi nitive, eTwinning a été une expérience très positive pour cet établissement.

scolaire Don Rinaldo Beretta (enseignement primaire) Italie

Site de l’établissement : http://www.icdonberettagiussano.it/

Profi l d’établissement eTwinning : http://www.etwinning.net/

fr/pub/profi le.cfm?f=1&l=fr&n=3225

Contexte scolaire

L’école primaire Ada-Negri est une grande école située à Paina, petit village industriel de la municipalité de Giussano près de Milan. Elle fait partie du groupe scolaire Don-Rinaldo-Beretta qui regroupe trois écoles primaires (Robbiano, Birone et Paina) et un collège. Au total, le groupe scolarise 1 100 élèves (année scolaire 2011-2012), dont 326 vont à Ada-Negri, la plus importante des trois écoles, et compte 34 enseignants et 5 assistants d’éducation. Les quatre établissements se partagent l’unique directeur.

L’école primaire est située dans un bâtiment relativement neuf qui dispose de beaucoup d’espace.

Malgré la taille et l’importance de l’établissement, les outils TIC sont rares. Il y a bien une salle d’informatique mais peu d'ordinateurs ont une connexion Internet. La proportion d’élèves par ordinateur est de 22 pour 1. L’école entretient de bonnes relations avec les pouvoirs publics locaux, tels que la municipalité de Giussano et l’administration scolaire régionale, les conditions sont donc réunies pour que des initiatives comme eTwinning puissent se prolonger.

La tradition d’innovation de l’établissement

Le directeur, Guisepe Mariani, s’est intéressé à eTwinning dès son lancement en 2005, car il a tout de suite compris son potentiel d’innovation au niveau européen. Il est parmi les tout premiers Italiens à s’être inscrit sur le portail.

Cet engouement a beaucoup changé la donne dans un établissement qui ne s’était jamais lancé dans aucune autre espèce de programme européen ou international auparavant. Par exemple, il n’avait

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jamais pris part à un partenariat Comenius. Le directeur a tout simplement choisi eTwinning parce qu’il le trouvait parfait pour ce qu’il a toujours considéré comme important pour une école au XXIème siècle.

Depuis 2005, plusieurs petits projets intéressants ont été développés à Ada-Negri. À l’époque, le directeur était le seul eTwinneur inscrit de l’établissement, mais en réalité, il y avait une importante équipe d’enseignants qui travaillaient avec les élèves dans les classes et qui utilisaient ses identifi ants pour travailler sur le Desktop et le Twinspace. Ce n’est qu’en 2010, grâce au Bureau d’Assistance national que deux des enseignants, Laura Cattaneo et Isabella Cattaneo, se sont inscrites et ont commencé à utiliser le Desktop avec leur propre profi l. Et puis des collègues leur ont emboîté le pas.

Après plus de vingt projets créés et quelques autres à titre d’établissements partenaires, certains enseignants d’Ada-Negri se sont mis à prendre plus de responsabilités. En particulier, Laura Cattaneo, devenue ambassadrice eTwinning en 2010. En 2011, l’école a reçu son deuxième Label de qualité national pour le projet D’heureux amis. En 2012, un important projet interdisciplinaire intitulé Turn off a game, turn on a book (« Eteins ta console et prend un livre numérique ») a réuni de nombreux enseignants, ainsi que des parents et l’administration municipale. Toute l’école primaire y joue un rôle, ce qui lui a conféré le statut de « véritable projet [d’équipe] scolaire ».

L’équipe eTwinning

L’équipe est animée par l’ambassadrice, Laura Cattaneo, responsabilité qu’elle partage au demeurant à égalité avec sa collègue, Isabella Cattaneo. Toutes les deux travaillent ensemble dans eTwinning depuis l’année scolaire 2005-2006, même si au tout début elles étaient sous la supervision du directeur.

Au départ, elles enseignaient dans la même classe, ce qui facilitait leur travail d’équipe : en effet, il était tout naturel qu’elles collaborent puisqu’elles avaient les mêmes élèves et la même classe. Mais

lorsqu’elles ont été affectées à des classes différentes, leur tandem ne s’est pas arrêté là ; en fait cela a été le point de départ de nouvelles initiatives, telles que le « jumelage » de classes de la même école, où les enfants se présentaient mutuellement. Les deux enseignantes se sont aussi mises à élaborer des contenus et des objectifs communs. En 2010, elles ont repris une certaine indépendance mais elles ont continué à s’associer pour travailler dans eTwinning.

Les autres enseignants qui souhaitent rejoindre l’équipe sont les bienvenus. D’autres membres sont venus s’y ajouter, dont Caterina Buccheri, ancien professeur spécialisé, qui enseigne maintenant l’anglais ; Daniela Belluschi, professeur d’italien, de géographie et d’histoire ; ainsi que Cristina Longoni, Dolores Ciracì, Giuseppina Isabella Pronzato et Raffaella Motta. Soit neuf enseignantes au total, plus le directeur, tous inscrits et actifs sur le portail eTwinning, dans un large éventail de disciplines.

Il est clair que l’équipe tire sa force du chef d’établissement. Après avoir découvert les potentialités d’eTwinning en 2005, il a essayé d’amener tous les enseignants à mener des projets au niveau de l’établissement, envisagé comme une équipe à part entière. Comme la plupart des enseignants en sont à leur premier poste, ils ont appris à travailler à plusieurs et ils savent qu’eTwinning n’est pas quelque chose que l’on fait tout seul dans son coin, mais que c’est une bonne occasion pour toute l’école de se former ensemble. Dans cette perspective, jusqu’à maintenant, tous les projets menés à Ada-Negri – du plus simple au plus complexe – ont toujours été mené en équipe.

Activités de l’équipe

Une fois que les enseignants se sont concertés sur le programme éducatif annuel et les objectifs d’apprentissage, ils essaient d’orienter leur travail dans eTwinning. Il existe dans cette équipe une philosophie qui imprègne toutes les décisions et toutes les activités : lorsque nous travaillons ensemble, nous partageons les joies, mais par-dessus tout, nous sommes plus que prêts à surmonter toutes les diffi cultés ensemble.

Presque chaque mois, tous les enseignants concernés se réunissent pour suivre l’état d’avancement du projet et parler d’eTwinning en général. C’est une bonne occasion pour les deux animatrices de l’équipe de faire le point, de voir ce qui a été réalisé, ce qui ne l’a pas été et de se creuser la cervelle pour trouver des activités futures. Pour les autres enseignants, c’est le moment de présenter leurs diffi cultés et les défi s affrontés, de se rencontrer et de demander à des collègues plus expérimentés de leur apporter l’aide dont ils ont besoin.

Par ailleurs, les activités eTwinning sont en général offi cialisées par une inclusion dans le Piano dell’Offerta Formativa ou POF – le programme de l’offre de formations de l’établissement. En outre, le projet est présenté aux parents lors de la première réunion de l’année et ils sont impliqués et informés régulièrement de l’atmosphère européenne qui règne dans l’école.

C’est aussi l’ouverture d’esprit de tout l’établissement qui a permis à eTwinning de se développer. L’une des nouveautés les plus importantes de l’année scolaire 2011-2012 a été de faire jouer aux élèves le

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rôle de « petits ambassadeurs eTwinning ». Lorsqu’il ont reçu le drapeau polonais de leurs camarades pour un des projets, ils ont décidé de le faire circuler de classe en classe pour parler de leur projet, de leurs amis et de leurs échanges d’activités, ce qui a été un excellent moyen de promouvoir eTwinning

rôle de « petits ambassadeurs eTwinning ». Lorsqu’il ont reçu le drapeau polonais de leurs camarades pour un des projets, ils ont décidé de le faire circuler de classe en classe pour parler de leur projet, de leurs amis et de leurs échanges d’activités, ce qui a été un excellent moyen de promouvoir eTwinning

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