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L’interprétation des résultats obtenus

Chapitre 3 : L’enquête effectuée à la Sonelgaz et les résultats

7- L’interprétation des résultats obtenus

Après avoir récupéré les questionnaires, représenté les données

recueillies en graphique et commenter ces derniers, nous arrivons à faire

une interprétation des résultats obtenus que nous allons rassembler dans

les titres suivants :

-Les usages linguistiques à l’entreprise de la sonelgaz :

L’arabe standard, l’arabe dialectal, le français et rarement l’anglais

figurent le panorama linguistique de la sonelgaz, selon la situation de

communication où il se trouve le fonctionnaire sélectionne la langue la

plus adéquate.

Sur le plan des activités orales, les travailleurs alternent l’arabe

dialectal et le français comme le cas des rapports quotidiens entre les

travailleurs ou les conversations directes avec les clients, alors que pour

la tenue des réunions, entre les dirigeants et les employés, c’est le

français qui prime les autres variétés, y compris l’arabe standard.

Dans le cas où les travailleurs font face avec d’autres travailleurs

étrangers dans une communication verbale le français également reine.

Pour le domaine informatique et administratif gérant l’entreprise, on

inscrit l’utilisation considérable du français aussi.

Il en ressort donc que l’utilisation du français est très élevée à la

sonelgaz contrairement en ce qui concerne l’usage de l’arabe standard et

de l’anglais qui sont minoritaires.

On peut signaler aussi que l’anglais est marginal à la sonelgaz et

quasiment inexistant dans cette dernière.

Chapitre 03 l’enquête effectuée à la Sonelgaz et les résultats obtenus

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-Les besoins en langues étrangères à l’entreprise :

Comme toute société en Algérie, la connaissance des langues

étrangères est une condition requise pour obtenir un emploi à la

sonelgaz. Malgré qu’un grand nombre des enquêtés l’infirment, cela ne

reflète pas toute la réalité, car parallèlement d’autres travailleurs

confirment que la bonne connaissance des langues étrangères est une

obligation pour le recrutement d’un poste : Le français est la langue la

plus pratiquée à la sonelgaz et l’anglais en tant que la langue mondiale et

internationale du travail, raison pour laquelle l’entreprise préfère les

candidats possédant une maitrise des langues.

Quant aux besoins des travailleurs est bien clair et se justifie par le

recours de certains fonctionnaires aux stages de remise à niveau

notamment dans la langue française.

La dernière question de notre interrogatoire montrent que les

employés enregistrent des difficultés quand ils s’expriment en langue

étrangère soit oralement ou même pendant la rédaction, et cela est du à

des raisons diverses comme le fait de penser en langue maternelle et

s’exprimer en langue étrangère et les phénomènes issues y compris

l’interférence, le sentiment d’insécurité du à la peur de ne pas avoir

compris ou de ne pas se faire comprendre.

Enfin, on peut comprendre que chez les demandeurs d’emploi et les

employés dans le secteur de l’économie, le français est une condition

implicite de travail et la nécessité de maitriser le français est la réalité de

notre marché de travail en Algérie.

Chapitre 03 l’enquête effectuée à la Sonelgaz et les résultats obtenus

-La politique linguistique dans l’entreprise algérienne ou la

gestion du plurilinguisme :

-Quelle est la politique linguistique ?

-Comment l’entreprise gère-t-elle son plurilinguisme ?

Au cours de notre enquête, nous avons su constater la prédominance

du français à l’écrit qu’à l’oral. Bien que le français jouisse de ce poids

lourd dans l’entreprise, le statut de l’arabe standard est très diminué dans

celle-ci, en ce qui concerne l’anglais, on peut dire qu’il est totalement

absent au sein de cette société. Donc, on a qu’à reconnait que le français

est la langue principale et unique du travail dans le secteur économique.

Il est à noter que le processus de l’arabisation des entreprises reste

une pratique symbolique car la persistance de la langue française est

marquante.

Enfin, on arrive à comprendre que la politique linguistique de

l’entreprise est à fonction symbolique, car, au lieu de généraliser l’arabe

standard dans les entreprises à l’égard de la politique de l’arabisation, le

français garde sa gloire comme langue de travail alors que l’arabe

standard recule partiellement.

Conclusion

Partant des questionnaires que nous avons analysés, plusieurs

remarques sont établies vis-à-vis de la situation linguistique propre à

l’entreprise de la Sonelgaz. Au début, il est à signaler que cette

entreprise est un lieu d’un rendez-vous de plusieurs langues et non pas

d’une en seule (l’arabe standard, l’arabe dialectal, le français et l’anglais)

Chapitre 03 l’enquête effectuée à la Sonelgaz et les résultats obtenus

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qui se sont partagé et utilisé selon des contextes déterminant l’emploi de

telle ou telle langue. Ces contextes impliquent des situations précises

dans lesquelles les employés sont inclus (les réunions, les missions de

travail, les entretiens d’embauche…) avec des personnes déterminées où

les fonctionnaires sont obligés à utiliser une telle langue (les collègues,

les clients, les travaillants étrangers, les supérieurs…).

Occuper un poste dans l’entreprise nécessite la bonne connaissance

et la maitrise de certaines langues notamment le français, raison pour

laquelle, des stages de remise à niveau se sont réalisé pour les employés

qui ont besoin d’améliorer leurs compétences langagières ou qui

affrontent des difficultés dans l’apprentissage des langues étrangères

(français, anglais). Ces stages servent beaucoup plus les employés à

mieux s’exprimer en langues étrangères notamment lors les missions de

travail à l’étrangers où le fonctionnaire est obligé de parler l’une de ces

langues avec leur interlocuteur.

Le français, dans cette société, garde une place prioritaire du fait

qu’il est considéré comme la langue de communication, pratiquée

quotidiennement par les employés avec leurs collègues, les clients, les

supérieurs ou même avec les travaillants étrangers venus à l’entreprise.

De plus, cette langue est réservée ainsi pour réaliser les entretiens

d’embauche ou lors des réunions entre employés et employant, à côté de

l’arabe dialectal qui est plus ou moins utilisé.

A l’écrit, la langue française est conservée pour l’ensemble des supports

administratifs véhiculant entre les services alors que les autres supports

visant aux autres sociétés ou institutions sont écrits le plus souvent en

Chapitre 03 l’enquête effectuée à la Sonelgaz et les résultats obtenus

arabe standard. D’après les employés, le système informatique qui dirige

l’entreprise est lui-même en français.

En conclusion, d’après l’analyse des réponses obtenues de nos

interrogés, la Sonelgaz est une entreprise plurilingue où les langues

pratiquées par les employés n’occupent pas le même statut au point que

le français est plus utilisé que les autres langues (arabe dialectal, arabe

standard, anglais). Soulignons ainsi que certains interrogés ont des

difficultés à propos de la communication en langues étrangères

notamment pour l’expression orale et la compréhension écrite. En ce qui

concerne la gestion du plurilinguisme, nous avons arrivé à comprendre

que l’entreprise n’adopte aucune politique linguistique précise

c’est-à-dire qu’il n’ya pas une imposition de telle ou telle langue mais d’une

manière symbolique la langue française reste la langue du travail dans

cette entreprise.

Conclusion générale

En tant que moyen de communication entre individus, la langue

représente une composante essentielle dans le domaine professionnel. De

ce fait, nous avons choisi de la traiter dans le cadre de notre travail qui

est intitulé « le plurilinguisme et sa gestion dans les entreprises : cas de

la Sonelgaz ».

Ce titre nous montre clairement que notre étude doit forcément

s’orienter vers deux phénomènes linguistiques : le phénomène du

plurilinguisme, au premier lieu, qui désigne l’utilisation effective d’un

individu de plusieurs langues dans la vie quotidienne, et celui de sa

gestion ou de la politique linguistique, autrement dit, qui implique

l’ensemble des décisions prises par l’Etat concernant l’usage d’une ou de

plusieurs langues. C’est pourquoi, nous avons divisé notre travail à deux

parties essentielles : la première est théorique, dans laquelle, nous avons

mis l’accent sur l’étude de ces deux phénomènes en Algérie en les reliant

à notre terrain de recherche qui est les entreprises. La deuxième est

pratique qui a contenu les différentes étapes suivies lors de la réalisation

de notre travail du terrain, la description de notre enquête par

questionnaire, à travers laquelle, il est également question de voir quelles

sont les différentes langues pratiquées par les employés, et à la fin de

cette partie, nous avons tiré les principaux remarques et résultats obtenus

de cette expérience vis-à-vis de la situation linguistique caractérisant

l’entreprise en question.

La réponse à notre problématique nous a obligées à se déplacer au

terrain pour effectuer notre enquête par questionnaire, où nous avons

distribué les copies et pris ainsi l’occasion pour expliquer l’objectif de

notre recherche et mieux éclaircir les différentes questions posées dans le

Conclusion générale

95

questionnaire. Cette étape nous a permis aussi de réaliser un court

entretien avec les fonctionnaires et de consulter certains supports

administratifs dans des services déterminés.

Les principales conclusions que nous avons tirées de cette enquête

sont résumées dans les points suivants :

-Le plurilinguisme est une réalité vécue quotidiennement par les

employés dans l’entreprise où le paysage linguistique se caractérise par

la présence de plusieurs langues : l’arabe dialectal, l’arabe standard, le

français et parfois l’anglais.

-L’utilisation de ces langues dépend du type de situation de

communication (contexte) dans laquelle l’employé est inclus :

communication interne (avec les collègues, les clients, les supérieurs…),

communication externe (le cas des missions du travail par exemple),

orale ou écrite.

-Une dominance marquante du français dans l’entreprise au niveau de

l’oral qu’à l’écrit, ce qui signifie que la langue française reste la

principale langue du travail dans le secteur économique.

-A propos de la politique linguistique de l’entreprise, elle reste à fonction

symbolique, à l’égard de la domination du français, au lieu de généraliser

l’arabe standard dans les entreprises, dans le cadre de la politique

d’arabisation.

Conclusion générale

-Malgré l’obligation de maitriser les langues étrangères, certains

employés ont du mal à communiquer en ces langues, notamment en ce

qui concerne l’expression orale et la compréhension écrite.

Quant à la vérification des hypothèses, nous pouvons dire que deux

hypothèses formulées au début sont confirmées : celle qui suppose que

l’administration de l’entreprise s’organise autour de la langue française

comme langue de travail, et l’autre qui estime que l’entreprise utilise

plusieurs langues, y compris l’arabe avec ses deux variétés, le français et

l’anglais, avec des degrés variés selon le besoin des employés à l’égard

de ces langues.

Il est nécessaire ainsi de signaler que lors de la réalisation de ce

travail de recherche, nous avons rencontré plusieurs difficultés. La

première réside dans le fait que nous sommes déplacées plusieurs fois à

l’entreprise pour obtenir l’autorisation de réaliser ce travail sans aucun

résultat marquant. Pour dépasser ce problème, nous avons sollicité l’aide

de deux employés pour obtenir l’accord. Un deuxième problème

rencontré concerne le fait de ne pas répondre à quelques questions dans

les questionnaires par certains employés. Cependant, il ne faut pas

oublier, malgré ces difficultés, que les employés étaient gentils avec

nous et ils ont répondu à toutes nos interrogations avec aisance.

Pour conclure, d’après la réalisation de ce mémoire, nous pouvons

dire que le français garde toujours son importance dans les activités des

algériens. C’est un réel paradoxe qui s’établit entre la politique

linguistique déclarée par l’Etat, qui impose l’emploi obligatoire de

l’arabe standard dans tous les domaines, et la réalité algérienne qui

favorise l’usage d’une langue étrangère qui est le français notamment

Conclusion générale

97

dans les entreprises. La raison pour laquelle le français occupe, jusqu’à

présent, ce statut privilégié dans un pays arabe comme l’Algérie et dans

le cadre d’une politique d’arabisation reste une interrogation posée ?

Nous espérons, enfin, que notre travail ouvrira la voie sur d’autres

perspectives et inspirera d’autres travaux de recherche.

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Liste des références bibliographiques

Les ouvrages :

1-BOYER, Sociolinguistique : territoires et objet, Delachaux,

Lausanne, 1996, p.23.

2-Ferdinand de Saussure, Cours de Linguistique Générale, Payot,

Paris, 1971, p.25.

3- F.CHERIGUEN, politiques linguistiques en Algérie, In : Mots,

septembre 1997, p.62-63.

4-G.GRANDGUILLAUME, Arabisation et politique linguistique au

Maghreb, Maisonneuve et Larose, Paris, 1983, p.11.

5-GROSJEAN, Life with two languages : An Introduction to

Bilinguism, Cambridge, London Harvard University Press, 1982, p.02.

6-H. BELLATRECHE, l’usage de la langue française en Algérie, cas

d’étude : le secteur bancaire.

7-J-L.CALVET et P.DUMOND, Enquête sociolinguistique,

l’Harmattan, Paris, 1999, p.15.

8- J-L.CALVET, La sociolinguistique, Que Sais-je ?, Payot, Paris,

2013, p.111.

9- J.LECLERC, Algérie dans «l’aménagement linguistique dans le

monde », Québec, TLFQ, université Loval, 24 février 2007.

10-K.T.IBRAHIMI, Les Algériens et leur(s) langue(s), El hikma,

Alger, 1995, p.05.

11-M-L. Moreau, Sociolinguistique : concepts de base, Mardaga

Bruxelles, 1997, p.61/p.120/p.229.

12-P. BLANCHET, La linguistique du terrain, (méthode et théorie

une approche ethno-sociolinguistique),édition PUR, Paris, 2000, p.22.

13-Quffélec Derradji, Debov, Smaali Dekdouk, Cherrad Benchefra,

2002, p.47.

14-R.GHIGLIONE et B.MATALON, les enquêtes sociologiques,

Théorie et Pratique Armand Colin,Col « U », Paris, 1978, p.29/p.98.

15-S. CHAKER, Imazighen ass-a, Bouchène, Algérie, p.01.

16-S.CHAKER, Manuel de linguistique berbère, Bouchène, Alger,

1991, p.08.

17-Sebaa, 2002, p.85/p.103.

18-TABOURET KILLER, Plurilinguisme et interférence, Denoel,

1969, p.309.

19-T.BENJELLOUN, la langue de feu pour la littérature maghrébine,

in Géo n° 138, Paris, Août 1990, p.89-90.

20-TODROV, du bilinguisme,DENEOL, 1985, p.55.

Les articles :

1-Article 3 de la constitution, 1989.

Les sites :

1-Arabisation et démagogie en Algérie.

www.monde.diplomatique.fr/1997/02/GRANDGUILLAUME/4593 .

Site consulté le 21/03/2017.

2-Définition et fonctions économiques de l’entreprise.

(Bts.banque.nursit.com.Definition-et-fonctions.nb1.) Site consulté le

09/05/2017.

3-G.GUILLAUME, La francophonie en Algérie, école des grandes

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htt://sinistri.canalblog.com/archives/2008/04/09/8718521.html. Site

consulté le 19/03/2017.

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4-G.GRANDGUILLAUME, Langues et représentations identitaires

en Algérie, (http : // grandguillaume. free. fr/ar_ar/langrep. htme). Site

consulté le 19/03/2017.

5- Jamel ZENATI, l’Algérie à l’épreuve de ses langues et de ses

identités : histoire d’un échec répét.

Mots.revues.org/4993?lang=en//ftn4. Site consulté le 23/03/2017.

6-www.liberation.fr/planete/2012/12/20/le-français-recquiert-l-algérie_869182. Site consulté le 25/03/2017.

Les mémoires et les thèses :

1- R.CHIBANE, Etude des attitudes et de la motivation des lycéens

de la ville de Tizi-Ouzou à l’égard de la langue française : cas des

élèves du lycée Lala Fatma N’soumer, mémoire de magistère, université

de Tizi-Ouzou, 2002, p.20.

2-S.ABDELHAMID, pour une approche sociolinguistique de

l’apprentissage de la prononciation du français langue étrangère chez

les étudiants du département français, thèse de doctorat, université de

Batna, 2002, p35.

3-S.ROUIBAH et M.SEMOUD, Les représentation de la langue

française dans l’administration algérienne cas du CPA, mémoire de

Master, université de Jijel, Juin 2016, p.13.

4-T.ZABOOT, un code switching algérien : le parler de Tizi-Ouzou,

thèse de doctorat, université de la Sorbonne, 1989, p.50/p.75/p.80/p.91.

Les dictionnaires :

1-Jean Dubois, Mathée Giacomo, Louis Guespin, Jean-PierrMével,

Grand dictionnaire Linguistique et Sciences du langage, Rotolito

Lombarda, décembre 2012,p.266.

Annexe n°1 :

Questionnaire :

Ce questionnaire est destiné aux employés de la Sonelgaz, nous souhaiterions

vous livrez « un questionnaire d’analyse des besoins en langue », qui nous

permettra d’établir un état des lieux sur le plurilinguisme dans cette société.

L’objectif est de dégager les tendances qui se dessinent quant à la place des langues

en entreprise de manière générale.

Vous êtes invité(e)s à répondre le plus spontanément possible à chacune des

questions.

Soyez assuré(e)s que vos réponses demeureront strictement confidentielles

-Identification

*Sexe homme Femme

*Age

Statut professionnel

-Permanent ? Intérimaire ?

-Vous avez été scolarisés ? OUI Non

-Statut des langues

1-quelles sont les langues en présence dans l’entreprise de Sonelgaz ?

-l’arabe standard

-l’arabe dialectal

-le français

-le français et l’arabe standard

-le français et l’arabe dialectal

104

2-les langues parlées, dans l’entreprise, occupent-elles le même statut ?

-oui

-non

3-Pour occuper un poste dans cette entreprise, une bonne connaissance de

certaines langues est-elle obligatoire ?

-oui

-non

Si oui, lesquelles ?

-l’arabe standard et le français

-l’arabe standard et l’anglais

-l’arabe standard, le français et l’anglais

4-Pour vos rapports quotidiens avec vos collègues au sein de l’entreprise, vous

préférez :

-l’arabe dialectal

-l’arabe standard

- le français

-l’anglais

5-Quelles langues utilisez-vous généralement pour communiquer avec vos clients ?

-l’arabe dialectal

-l’arabe standard

-le français

6-lors de vos déplacements à l’étranger en vue d’une mission du travail, vous optez

pour quelle langue ?

-l’arabe

-le français

7-Au cas des travaillants étrangers venus à l’entreprise, pour communiquer avec

eux, vous utilisez :

-le français

-l’anglais

-autre langue (précisez)

8-le système informatique qui dirige l’entreprise est-il en :

-arabe

-français

-anglais

9-les entretiens d’embauche pour le recrutement d’un poste de travail sont-ils

réalisés le plus souvent en :

-arabe dialectal

-arabe standard

-français

-anglais

10-Quelle est la langue utilisée pour l’ensemble des supports administratifs

(rapports, annonces, documents, consignes …) visés aux employés ?

-l’arabe standard

-le français

-l’anglais

11-Au cours d’une réunion (employant et employés), quelles sont les langues les

plus utilisées ?

-l’arabe standard

-l’arabe dialectal

-le français

12-lorsque vous adressez à vos supérieurs dans le cadre professionnel, vous

préférez :

106

-le français

-l’anglais

13-Faites-vous des stages de remise à niveau (formations) afin d’améliorer vos

compétences langagières ?

-oui

-non

Si oui, en quelles langues ?

-l’arabe standard

-le français

-l’anglais

14-En tant qu’employés dans l’entreprise de Sonelgaz, pouvez-vous préciser la

langue la plus utilisée :

-l’arabe dialectal

-l’arabe standard

-le français

-l’anglais

15-Quelles sont les difficultés principales constatées au sein de votre entreprise

dans les communications orales et écrites en langues étrangères ?

-expression orale

-compréhension écrite

-peur de ne pas avoir compris

-peur de ne pas se faire comprendre

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