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IK P^S LES MOTS AVAHCES t RESJLTATS EP POLITICS

croissance de leur population par la raise en oeuvre de programmes de planification familial*

XII. IK P^S LES MOTS AVAHCES t RESJLTATS EP POLITICS

....

Tn-troftuction

moins avance"s ont e"te fi

avec les pays voisins et deux d'entre eux sont des pays o flbjectifs 6conondgues

d^loppements scents des economies des p*. les mod^s a^nces sont dans

miques de oes pays en faisant un examen general.

cnio-i -pendant la

p. 100 vise jar la Stmtegie Internationale du developpement pour

la deuxieme Dannie des Nations Unies pour le developperaent.

20 pays afrioains les mod^s avancls sont : le Benia, le BoWna, le Bui^ndi,

Tanzanie, le Rwanda, la Sonalxe, le Soudan,et le Tchad.

de 1,1 ?; 100 par an de 1970 a 1977 contre 2,3 P^ 100 par an pour tous les autres pays

africains o»> d4veloppement>, Deux des pa^s; les raoins^amncjSs^ni^

une chute du PIB par habitant et le Cap-Vert qui a Ste" spfcialement durerrtent: touchS par

une longue pe'riode de secheresse a vraisemblablement vu son PIB par habitant diminuer .de.pOufc.de, .4. p*. 1QP,j?ar.an,_ Ce^ndantjle BotsK2,nalvl.e Lesotho^ le I&lawi ont realise*

des taux decroissance du, PIB par habitant, plus eleves que la moyenne^gionale. Le taux def croissance excepfcionnellement sieve realise au Botswana est surtout associe"

au developpement de 1'exploitation des mines, tandis que le taux eleve des de"penses en capital af a,pportS des augmentations sutstantj-e^les sous forme de droits de douane

importe*es. Les taux de crqissahce ont et| beaucoup moins eleves pour le Lesotho et le Malawio Au Malawi les resultats relativement bons du PIB ont ete*

favorisSs par la mise en place d'une politique agricole gen^ralement reussie.

Bans l^ensenible, la production agricole a .fit6 mediocre en Afrique pendant les' v annfies 70 et,? ,dans la plupart des paysTles moins avances, la faible croissance de la production agri.b;ble a e*te" particu3.ierement graye. L'agriculture comptant pour plus de 40 p. 100 <W'PIB total dans la' najorite des pays les moins avances, le manque'de '•"

progression da^s ce secteur a et'€' le facteur le.plus important qui a determine la ' faiblesse ^es resultats economiques d'ensemble* Elntre 1970 et 1977, la production' totale agri^le' ;s'est accrue de,j)lus de 4 p-» 10Q dans seulement deux des 20 pays

(ta-HeaiLXIIfi^i P t py (

Pans trois autres.pays, le niveau de production a ete infe"rieur en 1977 a celui de I9fo..et la production alimentaire a diminue. Dans plusieurs pays, les importations de tiroduits alimentaires ont du* §tre maintenues a un niveau elevfi voire-accru et ont pris davantage la forme de dons.

La sechsresse et la desertification, surtout dans les pays de la zone du Sahel, en Ethiopie et en Somalie, ont contribue a I'etat de faiblesse de 1'agriculture. Ces faoteurs Scologiques n'ont cependant. faitqu'a«gra7er la situation. La productivite est faible ex continue a 1'Stre.par suite du peu de soin accorde jadis a 1'agriculture, de 1 "adoption limitee de techniques trmmratrioes, du niveau eleWd'anaiphab^tisme Chez les ferndersv du .mode, d'utilisation des terres convenant ml a un developpement :dynamiquef du systeme de marches et de services ,de vulgarisation agricole generalement insuffisants,

Le secteur industriel dans les pays les moins'avances est encore peu developpe" et la gamme des produits et des entreprises reste limitee, surtout aux articles de consommation les plus simples et a 1'industrie agricole. Les faibles rSsultats'du 'secteur agricole ont .ea leur propre effetsur le de-veloppement-de l'indus^rie manufacturiere, mais il est difficile-d©. toute maniere d^encoura^er^ les.. investissejpenta.dans ce secteur alprs que les marches interieurs sont peu importants et progresserrt seulemen-fr avec-,lenteur. .Jies pays les moins avance"s ont realist une croissance tres faible en valeur ajout^e du secteur des industries manufacturieres, estimee a 2,1 p. 100 seulement' entrei97O et 1977, contre plus de 6 p. 100 par an realisee par les autres pays africains en developpement. Cependant des taux d'expansion retetivement eleves ont ete atteinteau Botswana, au Benin, au Burundi, au Rwanda, en Somalie et dans la Republique-Unie de Tanzanie, ou le rendement de lUndus-trie manufacturiere s'est accru respectivement de 10,2, 5,9, o,2, 7,4 et 5,1 p. 100. Des diminutions de production ont ete enregistrees dans 1'Empire centrafricain et en Oug&nda.

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-Tableau 333UU Aooroisseroent du PIB

de 1970 &■ 1977 I.

d'Africme les mains a^anoes

Pays

PIB au oout des facteurs de 1970 (en millions de

dollars des E»*4J«) 1977

Taux de oroissanoe du PIB Pourcentage annuel

TaTJX d«aooroissement revis€ apres la preparation des etudes eoonomiques. par

\] XI y a eu tne forte diminution en 1977-1978, par suite de la falble pluviosite,

qui a rMttit les rendements des reooltesn o/ Ordre de grandeur seulemento

frnp avano^s eritre »*

( Republique«Unie de Tanzanie

* Ha'ate-Volta '

peys lea aoius avano^s". Itd/b/aC^-j/S)

de la de base sxir les rde_l'agriculture dans le PIB en 1977

160

-le milieu des Wes,. 60.. La-.paison en.es^-le niveau absolu estrfmement bas £es ,]^n<§fiqes

a 1'exportation pour'la plupartdeoes pays.

et en 1977 une evolution favorable a eu-dieu dans les termes de

l.eoWdfnombredespa^ les m&ins avatfcSs, specialement les >ays exportateurs de de ootonW de ' cacao, sept des pays les moins avances en Aflrique ne sont Pas Pf™n]«L

a regagrter leur hiveau de 1970 de pouvoir d'achat des exportation par habitant en 1977.

L^K oeauooup de pays a*-*** snregistrades diminutions du volume de leurs

exporta-tions pendant les annees 70 et quatre pays seulement signalent des augmentations

appre"ciables du'volumeds leurs exportations. ■-

Ainsi les exportations n'ont pas oontribue au developpement de la oroissance .Soonomique dans la majorite des pays les moins avances. La plupart de ces pays sont done devenus

de plus en plus dependants a 1'Sgard de l'assistance et du capital etranger pour finanoer leurs programmes d'investissement. Les niveaux de formation de capital sont restes eu»-mSmes relativement faiUes; elle a approohe 20 po 100 du PIB total dans seulement six pays, et dans oeux-ci la participation financiSre etrangere au capital forme a et§ estimee 1 environ 56 pa 100. La proportion est teaucoup plus elevee dans les pays ou une faille proportion des ressouroes est consaor^e aux investissements. Des indications recents donnent a penser que les investissements dans les pays les moins avances ont augments dans la mSme proportion que le PIB et oeci devrait aider a atteindre de meilleurs taux de orois

sance du PIB dans le futur.

Lea mesures speciales en faveur des pays les moins avanoes

L'attention speciale aoocrdee aux pays les moins avanoes s'explique du fait qae les , problemes de developpement dans ces pays sont particulierement aigus et que les obstacles struoturaux au developpement ne pouvaient Stre surmontes sans mesures speoiales, Un