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P::tge

24.

- A l2. sortie ~e lrEcole les étuùi~nts diplômés sont repartis ùans

·différents organismes publics, ils sont fonctionnaires de la hiéra r-chie·

··D .;_ Ministère de l'Intérieur.

'L' Elcole Nationale de Police uispense de l 'enseignement supérieur

èlc~s lo. Rection d .. ~s officiers de police et 1<..-ns celle des commissaires de police.

Pour co qui concerne les officiers de police on recrute sur con-cours direct des titulaires du baccalauréat ayant ùéjà accompli leur service milito.ire. Le nombre do places à poUrvolr chaque année est

' .

fixé· selon los nécessl tés, toutè"fois d~o.ns ''chaque promction la propcr-·· tion des cnndiùo.ts recrutés par

co nco~ s

direct s'élève à

70 % d~

to-t~l, los 30

%

des places sont réservées aux agents SSant le concours

, ; ('.,;

professionnel. ... La durêe cle la formation est -de douze mois, les étudirnts de cette section "officiers de police" ont le statut d'élève-officiE;r ils perçai vent unl,j solè.o p~.r mois, à lr· sortie -.lu .L' Ecol0 ils devi en-·

nent des officiers .. st.,gi·-,c~<. r~md r.nt un <.m. ·Les di-'-fici:ers <l"e police sont des fonctionn~ires de la hiérarchie B.

En ce qui 2. trait ·à l.: section d.es commissaires de police, lo concours direct s'adresse mue C<nùiùa ts titulaires d'une licence' (de préférenèe en droit), l'2.ccomplissement ùu service militaire n'bst p~r:

un critère obligatoire~ Le nombre Jes recrutés est fixé selon L.s be -soins des services, mais il faut souligner qu'en plus ùu concouxs d i-rect il y a un concours professionnel.

La formation ùes commissaires dure douze mois, les élèves-com -miss2.ires perçoivent un tr2-itement mensuel. Les commissECires de police sont des fonctionnaires de la hiérarchie A.

4

.. .

E - Primature (Premier ministre).

IDEP/ET/R/2447 Page 25.

Trois établissements d'enseignement supérieur relèvent ùe la Primature :

L'Ecole NGtio~~le d'administration du Sénégal (ENAS) est destinée à former _l es c2..dres supérieurs de l'Etat ~ nclministr.::tenrs civils, secréiaires et conseillers des affaires étr~ngères, inspecteurs du travail.

Il y a deux mo~es ~e recrutement à l 'ENAS, d'une part un con-cours professionnel est réservé aux fonctionnaires du corps de la

hiérarchie B, depuis 19q4/65 le cycle Jes ëtuùes pour los élèves admis sur concours a passé de 2 à 3 ans ; d'autre part l 'ENAS recru~e sur titre cles étudinnts titulaires d'une licence en Jroit ou es-sciences économiques, ou d'un diplôme admis en équivalence de la licence, d e-puis 1968/69 la durée de la formation des admis sur titre est de 2 : ans.

Pendant leur formq,tion à l 'ENAS, les élèves p.3rçoivent une in-demnité qui, pour les issus du concours professionnel, est égale au traitement qu'ils percevaient dans leur corps d'origine.

Les étuùiants diplômés de l'ENAS (brevetés) sont des fonc tion-naires du corps de la hiérarchie A •

Le Centre de Form2..tion et de Perfectionnem~nt Auministr~tifs

( CFPA).

IDEP/ET/R/2 47 Page 26.

Le centre a été créé par le ~écret n° 65-616 du 9 septembre 1965 en vue de foroer des fonctionnaires des corps de la hiérarchie B, il comporte deux modes Je recrutement : le premier par concours pr o-fessionnel, lo second est un recrutement sur titre, de 1966 à 1971, des titulaires du baccalauréat ou du .brevet supérieur d'études commer -ciales, depuis 1971/72 le deuxième mode ùe recrutement se fait par con -cours direct destiné aux étudiants titulaires des mêmes diplômes. Dans la promotion de 1972/73, on prévoit 80% des places pour les candidats

~ssus du concours direct

(9) .

Tous les étudiants issus elu CFPA ont le ste-tut ll'élèves f onc-tionnaires, ils perçoivent une bourse - ancien traitement pour les admis par concours professionnel - penLlan:t leur formation qui c'.ure

14 mois à la sœrt;ie elu Centre ils sont def;l fonctionnaires ,:!.e la hi é-rarchie B.

- L'Ecole Nationale d'économie appliquée (~~EA)

Créée en juillet 1964, l'ENEA recrutait ses élèves tous les deux ans par concours professionnel ou par concours direct pour les;

titulaires du BEPC ; ma.is le décret n ° 71. 1360 du 28 décembre 197'1 prévoit le recrutement de bacheliers dans cette école pour la rentrée scolaire 1972. L' ENEA f.:ü t donc p:utie ,1es écoles dont le niveau Je recrutement p~sse du BEPC au baccalauréat. Dans l 'ancien régime, les élèves issus Ju concours professionnel conservent leur salaire pendant la formation à l 'Ecole (4 ans), tandis que les candidats admis par concours direct reçoivent une bourse.

(9) Au Conseil Interministériel, du 1er Février 1971, reln.tif à la planification de la formation et ùe l 'emploi des bacheliers, on a prévu pour le CFPA et l 'ENEA 80 % Jes places aux candidats du concours direct parmi les bacheliers et 20 % pour les admis par concours professionnel .

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-. .

IDEP/FJr/R/2447 Page 28.

Pour terminer cet inventaire systématique des institutions d' en-seign,ement supérieur au Sénégal, .deux établissements méritent d'être signalés, quoiq_u 1 ils ne soient·qu 1 a la l i .i to t"3 notre d .!ar:l:C L'.' i nves--tigation.

,. ~~

- L'Ecol e :Natîonaiè Cles···PastëEï"".et 1J:6f'éèürrirriün:Lèatiüns· d"e~ Rufisque, qul rel ève de l 'Office des Postes et T~lécommunications .du Sénégal, recrute, pour l es sections des contrôleurs, des titulaires de l'ancien~

ne première partie du baccalauréat . Les élèves sénégal ais sont envoyés à cette Ecole par différents. services publics, notamment l es PTT, les Chemins de !er, l 'Armée Nationale, la Radiodiffusion ••• La durée ,de la formation est de neuf_mois, à parti~ de 1972, le service des PTT exi gera la possession du baccalauréat pour ses nouveaux contrôleurs stagiaires, en d'autres termes l'Ecole s 'oriente de plus en plus à l 'él évation du niveau de recrutement des contrôleurs, dureste dans le cadre de l'Ecole multinationale de Rufisque ( 19 72) financée par Je

PNUD (Programme des Nations-Unies pour

l e - d évefoi) :Péril~ ~t') , - d ·., ap~ è s

nos

enquêtes, le niveau serai t probablement fixé au baccalauréat complet .

- JJ1Ecole de santé militaire qui rel ève de l 'Etat-major général des Forces armées sénégalaises· est. très l iée à la Facul té de Médecine de Dakar , en effet tous ses élè,y.~~~~S:ont inscrits à cette Faculté. Sur le pl9-n pédagogique l es él èves,'iie cette Ecole sont donc des étUdiants en médec,ine ordinaires, mais administrat ivement ils sont militai res ; après l_es dix-huit mois d Et, ~ervi.ce rrü·li t.1ire obligataire, ces. él èves ... ,, peJ:'9Pi vent W.'i~ solà.o ; l orsqu'ils ~ortent de l 'Ecol e .Gomme médecins,

ils doivent rester dans l 'armée qui peut les affecter dans n' iinpor.te quelle l ocal i té du pays. L' insti t-q,tion de ce groupe de médecins mili-taires tendrait à pal l ier au manq_ue de m6decins dans la brousse,' qui serait dû au fait que les médecins civils accept ent difficilement de quitter les gr&ndes vil les.

.

-IDEP/ET/R/2447

Page 29.

Au cours de notre inventaire des établissements d'enseignement supérieur au Sénégal, nous avons eu l 'occasion de parler à plusieurs reprises des bourses ou d'allocations scolaires attribuées aux ,)tu- · - • diants sénégalais, c'est pourquoi en guise de conclusion de ce

chapi-tre et à titre d'informati on, nous citerons des extraits du décret n° 69- 131-du 11/02/69, relatif à la planification de l 'emploi, de la formation et des structures scolaires, ainsi qu·' à l'attribution des bourses et allocations d'études et de stages (10).

"Article 25 Les dossiers de demandes d'allocations scolaires ou de bourses de stages comprennent obligatoirement un ou plu-sieurs des engagements énumérés ci-après :

1) Engagement de terminer un cycle d'études entreprises et de ne pas se réorienter sans autorisation expresse donnée par les autori-tés administratives compétentes, après avis des services d'orientation professionnelle.

2) Engagement de retour au territoire national à l'issue des formations données à l 'étranger.

3) Engagement de servir l 'Etat, les collectivités publiques ou organismes d'économie mixte pendant 10 ans dans des emplois ou des fonctions déterminées.

4) Engagement d'exercer pendant 10 ans au Sénégal la profession pour laquelle ils ont été formés.

Les engagements sont signés par le bénéficiaire de l' allocation d'entretien et ils sont contresignés par le responsable légal pour autorisation paternelle et engagement solidaire si le bénéficiaire est min(lu:r.

(10) Décret en cours de modification selon la Communication du Conseil interministériel du 27 mars 1972.

IDEP /~'r/R/244'7 Page 30.

Des arrêtés interministériels du Ministre resp6nsable de la forma ti on considérée· et du Ministre des Fina.nces fixeront pour h:1c"ue type de fôrmation le ou les engagements à souscrire."

Actuellement, il est temps de passer à l'examen de la popÙl a-tion estudiantine sénégalaise.

- .

,•' ...:.

IDEP/FJr:/R/2447 Page 33,

brevet de technicien.industriel (section fabrication mécanique) en 1970/71. Poux;' avoir une idée d'ensemble sur les clnsses terminales de l 'enseignement secondaire technique, on peut grouper l(;S Çl,iff é-rents chiffres fournis par les provisorats de ces doux lycées, c est l'objet du tableau ci-dessous.

( Lycées Techniques 1968/69 1969/70 1970/71 )

( MP LITice Del~.fosse et )

( André P~ytavin. g Effectif-Reçus1 : Effectif-ReÇus : Effectif-Reçus )

( --- :---:---:---)

> Baccalauréat (E, B). 25 8 47 30 83 ·~·r·

1

,~J ~

BSEC (toutes sections) 95 41 106 77 115 74 )

' ' 1 )

BTI (toutes sections) ; 84 Î 12 ; 59

Ï

17 ; 94 Ï 34 )

--- ---- : --- ; ---:---;--- : --- ; ---~~

> TarAL ; 204

l

61 ; 206

l

124 ; 292

Ï

155 )

: ! : ! : ! )

. .

Les tableaux n° 4 et 5 nous montrent que les données disponi -bles concernant l 'enseignement seccndaire général et l'enseignement technique·ne se rapportent pas à la même période, aussi est-il diffi -cile de connaître lo nombre total de sénégalais fréquentn.nt les clas -ses terminales des deux enseignements •:Jt prépar nt le baccalauréat, seule l'année-scolaire 1968/69 ri~us fournit un total de 828 sén éga-lais inscrits et préparant les différentes séries du baccalauréat, mais à ce total il coiwient d'ajouter l'effectif en classe terminale de l'Ecole Militaire Préparatoire de Saint-Louis, chiffre dont nou<

ne disposons pas, toutefois vue la capacité d'accueil de cette école en 1970/71' ~·(~1971/72 (22 et 32 en terminale), on peut situer cet

J

IDEP/Nr/R/2447

1962

I DEP/ET/ R/2447

Page

36 .

Sur oe tableau n° 6 nous pouvons lire, pour les années où les chiffres sont disponibles, que les pourcentages des candidats reçus par rapport aux présents dépassent généralement les

50 % ;

pour

1961

et

1 962

les taux de réussite sont élevés car ils atteignent respec ti-vement

58,3 %

et

63 ,7 % ,

ici il faut signaler qu'en

1 961

on a remplacé la formule des deux sessions du baccalauréat par l ' institution d'une seule session avec des épreuves écrites suivies d'un oral de contrôle, ce cb~ngement n'est qu'un des éléments à considérer dans l 'explication des causes· de CG taux dle.vé-. En. cSi:::- ·oui a tr,_i t ;,ux .,,nn,:: e::. r_,_:c,~nt--s

1968

accuse également un taux p.:.rticulièr,;,m-:;nt él 3vé do

65 ,

2

fa,

en l ' oc-rurrence ·il ·cvnvie1'.lt· :·,l-_ssi ·Le n0t e; __ u' a_p:res }~s __ ,32?. vas do

1 968 ,

il y

-a e U

d\~s porturbations d?.nS·l 'organisation du baccalauréat, q~i -n~-. cons,istait ·qu-' en éprouves or.:ü es· uhî·q_uement, ce. fait . expliquait :r_:Je

ut-être la diminution relative du taux en

1 969 - 43 , 3 % -

qui est en quel -que sorte_ up.e annGe de reprise après les grèves. Nous f -isons :figur ur-en -annexe un tabloau généréèl sur les résultats du' h:.ccalaui'éo..t d-e'

i958

à

1 971

dans los centres du Sénég 1, 2vec quolques p1·écisions conc;or~1ant

les sessions.

Maintenant il serait intéressant de calculer le rendement de l'enseignement secondaire pour ce qui est de la formation de bacheliers sénégalais, et cela en faisant l e rapport entre le nombre des sé~éga­

lais - présentés par les écoles - reçus au baccal2.uréat et les effe c-tifs des sénégalais en classes terminales pour la même année, N1J.s

\

nous ne possédons pas les résultats spécifiques 2.ux seuls s.;né.gé:.'la.if.:l candidats d'établissements au baccalauréat, ni ceux des sénégalé~:is · candidats libres, 2.u moins si ces derniers avaient até d'une propor-ti-on minime p:tr rapport .au total on aurait pu av."',ncer des appro~ima­ tions, par contre ll::S éléments d'appréciation à nvtro di~rosi-Giop

!"3-J.'I-~·-···· .... -· ---blent ... p.rouver :)..o contraire.

.

..

IDEP/ET/R/2447

Si.l'ATISTIQUES QF.]lljE:ï.l.ALES DU BACCALAUREAT

C}~TRES DU S~~EGAL

J.2.lQ

.

.

-•

I:D.l!JP / '6'1'/R/

2447

Page

39 .

En fait, une approche plus complète dem:mde dEJs enquêtes systé -matiques auprès des

1 8

établissements seèond;_'>ires-publ ics at r·rivés -préparant l e ·baccalauréat au Sénégal, et pcmt.:.:être aussi un 8::. r:1an

assez su:ivi des dossiers des candidats 'disponibles

à '

l 'Office du ba,c -calauréat, ce travai l - certainement nécessaire dans le cadre d'ùne étude approfondie du système éducationnel - n'a J.X!.S été eff·ectué dans la présente étude limitée a:~x relations entre l ' enseig.r:rement supérieu:·

et les ,.besoins eri ·mai:r.i-d' oo.uvc-o . }>ri cri t.:.· ~,y,:.: t ; ;~é qr;•:o:__c! .i'e 2. ü' rou -tres séri es d'enquêteR;

Par contre , à p:.r tir du tç,tJ_eau n°

5,

on peut calculer le en-·

· dement des deux lycées techniques, Maurice Dele.fosse 'et André Poyt;;,-rin,

··quan-t à la préparation du bé:.ccalauréa t (E, B), du br<;Vet supé:c~:ï_eur d ''ét~dè's commercial es et du brovet de technic::_en. Effectivement nouf'l avons les pourcentages suivants en gu:.se de rendement :

T.ABLEAU N°. 8

. RENDN'tEN'T J)J;JS LYCEES TECHNIQUES MAURICE DELAFOSSE, ANDRE PEYTAVIN.

. . .

. . .

A1m EE -

SCOLAIRE :

1968/ 69 : 1 969/ 70 : 1970/71

---.~--- ~

---

~ ---·----·----~ --- ~ Baccalauréat(E, B)

· 32 % 63 , 8% :· · 56 , 6%

---:---:--- . .

:---BSEC (toutes sections) :

43 , 2 %

,,.

.

C)

72 , 6

~; !1t ,3%

---: ---· ---

~

---· - - · ----· -

~

-- .-- -

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,. '- BT . . : (tnut~:.Y. e-"'. S"'Ctio.ne."'t''· Y .. '., . . . \,.: c) · · · : o... ·· _ j4 . ' . ....

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ENSEMBLE . ~ 29,9

%

~· 6o,;_ ~~ ~ 5J, 1 ?~

I DE!P/Fir/R/2447

Page

40 .

Nous avons oalculé l e rendement à partir du nombre des reçus et de l 'effectif des classes mais non avec l es présentés à l'examen, en effet l es non- présents (qui sont déjà d0s pertes) doivent entrer e:c1 ligne de compte. Le, tableau n° 8 visualise seul E.:m;)n-t l a rcr~demen-t des deux lycée~ . sur trois é~nnées, ca qui conFJt::.. tue encore une période re-· lativement courte pour en t~rer des conc1us.ions, toutefois ces pour-centages nou permet tent d'avoir quelques éléments d'appréciations ; à cet égard la production de bacheliers (E, B) et de brevetés (BSEC) dans l es deux lycées présente un taux de réussi te .. a sez él evé, èu moins au cours des deux dernières années de la période où Cc t aux tourne au--tour de 60

% .

Par contre la formation de brevetés techniciens (BT),

malgré la progression régulière. pendant les trois annéeç, acC'.lSe un taux de réussi te plutôt bas, c;,r le nombre des :,reçus - pour l 1 année la plus favorable - dépasse à peine l e tiers de l 'effectif des classes.

Si telle est la si tua ti on des. JeUneS. s'énégalais au terme de l 'enseignem0nt secondaire, interrogeons-nous maintenant sur leur pro -pension à poursuivre l es études supérieures.

C - La propension à la poursuit-e· des études supé-rieures~-

·-Il conviêïit . de souligner q\ië la-·ëomiaisse.xice de

i.a··

pro-pension

à poursuivre los 8tudes supérieures chez. l es jeunes- et 1nrt2nt l e t·:,u.,.~

de promo'tiôn: traduisant-i e p~ssage. du' cyc.;lc. së'condo. iru vers ceÏui ciu

supérieur - est très utile. dcns 1 'établi ~s5 .Jl1'i ë.~s 'r&vis.:.ons ay;_,nt trait à 1' cffisoigneinei1i-supe-riëur~···· ... -'.,

En raisomiant-.uniquainerit- sur le Ïllan quantitatif , or.' peut évaluer cette propension à la poursui te des études supér:i.eures, e·:1 établi:::~s~~'1-t

le rapport .. entre· le-·nombre · des reçus aux diplômes de l a fir: du secon--daire et l 'effectif des étudiants inscrits ~n promi ère annje d~ns

. ..

. .

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