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Fréquence des micro-organismes chez le lapin

3. Résultats et discussion

3.2 Discussion

3.2.2 Fréquence des micro-organismes chez le lapin

Dans les échantillons de pus, 10,53 % étaient contaminés par Escherichia coli ; 23,68 % par Serratia odorifera B- ; 10,53 % par Klebsiella mytoca B- et 17,11 % par Staphylococcus spp C+, mais 38,16 % des échantillons n’étaient pas contaminés par un germe. De même, 37,25 % des échantillons de selles étaient contaminés par Proteus mirabilis B- ; 9,8 % par Staphylococcus spp C+ et 7,84 % par Escherichia coli. Toutefois, seul Aspergillus a été identifié comme micro-organisme présent dans l’échantillon de croûtes avec la fréquence la plus élevée enregistrée dans la zone de Tori (50 %) contre 0 % ; 36,36 % et 36,36 % respectivement dans les zones de Calavi, Cotonou et Porto-Novo. Salifou (2007) dans son étude sur le diagnostic nécrosique et causes bactériologiques de mortalité des lapins (Oryctolagus cuniculus) élevés au Sud-Bénin, a expliqué que les principaux microorganismes relevés chez les lapins sont Escherichia coli, suivi de Clostridium spp et d'Enterobacter spp. De même, Kpodékon et al. (2015) ont enregistré 10,8 % pour la fréquence d’Echerichia coli entéropathogène dans les intestins et le caecum de lapins porteurs de lésions inflammatoires dans des élevages cunicoles d’Abomey-Calavi au Sud-Bénin.

Makinde et al. (2008) ont affirmé que chez le lapin, la fréquence la plus élevée a été obtenue avec E. coli (20 %), suivie par Staphylococcus aureus (12,5 %), Proteus vulgaris (12,5 %), Bacillus cereus (12,5 %), Pseudomonas aureginosa (12,5 %), Bacillus subtilis (10 %), Streptococcus faecalis (10 %), Bacillus firmus (7,5 %), Proteus mirabilis (5 %), Streptococcus pyogenes (2,5 %), Micrococcus spp. (2,5 %) et Klebsiella spp. (2,5 %). Cette étude montre qu'Escherichia coli a la prévalence la plus élevée (20 %) parmi les bactéries identifiées dans

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l'environnement du lapin étudié. Ce taux est plus élevé que les 10,53 % ou les 7,84 % d’Echerichia coli enregistrés respectivement dans les échantillons de pus et de selles dans la présente étude. Des résultats similaires à ceux de notre étude ont été rapportés par Ajuwape et Aregbesola (2002) et Ajuwape et al. (2006) dans le tractus respiratoire et le conduit auditif des lapins respectivement.

Les coliformes (Escherichia coli et Klebsiella spp) rencontrés dans la présente étude constituent une source potentielle d'infection pour les lapins, car E. coli est associé à un œdème intestinal et à une colibacillose entérique qui se manifestent par une diarrhée et une mort subite chez les lapins (Adetosoye, 1984, Gross, 1991 ; Makinde et al., 2008). La diarrhée due à la colibacillose est également capable de produire une exotoxine et une endotoxine (Sussanana, 1985). Quant à Klebesiella spp, elle est le plus souvent associée à une pneumonie bactérienne aiguë chez le lapin (Dhand et al., 2001). Les espèces de Klebsiella chez les lapins provoquent une pyrexie, des éternuements, des écoulements nasaux et une détresse respiratoire (Dhand et al., 2001). L'effet est plus sévère chez les jeunes lapins que chez les lapins adultes. La température ambiante élevée, l'humidité élevée et la mauvaise ventilation à l'intérieur des bâtiments d’élevage de lapins constituent des facteurs de stress favorisants (Lipman et Perkins, 2002).

Les méthodes de gestion des lapins peuvent influencer la distribution des microbes dans l'environnement, ainsi que la flore des différentes parties des animaux situés dans l'environnement. L'infection à Staphylococcus entraîne l'apparition rapide d'abcès chez le lapin (Devriese et al., 1996). D'autres manifestations cliniques antérieures associées à Staphylococcus sont le jarret affecté (pododermatite), la pneumonie, la métrite et l'avortement (Carolan, 1986, Ajuwape et Aregbesola, 2001). Ajuwape et Aregbesola (2002) ont cependant signalé la plus forte occurrence de Staphylococcus aureus dans les voies respiratoires supérieures du lapin.

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Conclusion et suggestions

Cette étude réalisée sur l’état sanitaire des lapins en élevage a permis d’une part de faire un état des lieux des principaux germes affectant les lapins au Sud-Bénin.

Selon les résultats de l’étude, la diarrhée et l’anémie sont les principaux signes pathologiques des lapins en élevage au Sud-Bénin.

Les principaux micro-organismes rencontrés dans les élevages cunicoles sont Escherichia coli, Serratia odorifera, Klebsiella mytoca, Proteus mirabilis, Staphylococcus spp, Aspergillus. Dans les pus, la fréquence d’Escherichia coli est de 10,53 % contre 23,68 % pour Serratia odorifera ; 10,53 % pour Klebsiella mytoca et 17,11 % pour Staphylococcus spp. Au niveau des selles, les résultats ont été de 37,25 % pour Proteus mirabilis ; 9,8 % pour Staphylococcus spp et 7,84

% pour Escherichia coli. Mais, seul Aspergillus a été identifié dans les croûtes.

En considérant les résultats de cette étude, nous suggérons que :

 les travaux soient poursuivis pour identifier le sérogroupe des souches des micro-organismes identifiés dans les élevages cunicoles du Sud-Bénin ;

 réaliser un antibiogramme, afin d’identifier les antibiotiques les plus efficaces pour lutter contre les souches de micro-organisme identifiés et qu’une bonne hygiène soit pratiquée dans les élevages.

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