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2.   Cadre théorique

2.4.   Formation générale et MITIC

Notre travail s’inscrit aussi dans le cadre du nouveau plan d’étude roman (PER). En effet, dans le domaine concernant la formation générale, il figure une importante partie au sujet de l’usage des MITIC en classe. Les élèves, avec l’essor des nouvelles technologies, sont de plus en plus confrontés à différents supports et médias. Il devient alors du rôle de l’enseignant d’amener les élèves à se familiariser à ces dites technologies. Le PER (2010) propose de nombreux objectifs concernant ce domaine de formation : « découverte des spécificités des différents supports médiatiques » (p. 32), « découverte des différents éléments entrant dans la composition d’un message médiatique » (p. 34), « découverte des éléments de base qui rentrent dans la composition d’une image fixe ou en mouvement » (p. 34), « sensibilisation au rapport entre l’image et la réalité » (p. 34), « confrontation des différentes réactions face à un message issu des médias et mise en évidence de ses propres critères de préférence » (p. 34) et

« sensibilisation aux intentions d’un message en tenant compte du contexte de communication » (p. 34). Ainsi, différents objectifs en lien avec notre recherche sont développés dans la partie MITIC de la formation générale du Plan d’étude Romand. En effet, un travail particulier aux 2e et 3e cycles doit être effectué pour permettre aux élèves de

« décoder la mise en scène de divers types de messages » : « en découvrant la grammaire de l’image par l’analyse de formes iconiques diverses » (p. 36), « mise en évidence des stéréotypes les plus fréquemment véhiculés par différents supports médiatiques » (p. 36) ou encore « découverte de la grammaire de l’image par l’observation de réalisations médiatiques significatives » (p. 36).

Notre recherche est donc ancrée dans ce domaine de formation générale bien que prenant sa source dans la discipline Français I en regard du genre littéraire par lequel nous avons réalisé le choix du corpus (ceci allant être détaillé dans la partie suivante).

Ainsi, et au vu des propos énoncés, il est, dès lors, légitime de postuler que les images des personnages (dans le sens défini plus haut) véhiculées par les longs métrages animés de Walt Disney sont, non seulement, constituantes de l’encyclopédie culturelle dont disposent les enfants, mais sont également à la base d’apprentissages et de compétences qui doivent, dès la rentrée 2011 être enseignées aux élèves des écoles romandes.

15   2.5. Un conte merveilleux

Enfin, il reste encore un sujet que nous souhaitons aborder dans ce cadre théorique concernant le genre littéraire sur lequel repose le choix de notre corpus. Lors de nos recherches, nous nous sommes heurtées à un problème important : quels longs métrages choisir ? Compte tenu du cadre universitaire dans lequel s’inscrit notre travail, le temps dont nous disposions pour le réaliser ne permettait pas une recherche approfondie sur tous les longs métrages de production Disney mettant en scène un personnage maléfique féminin. De ce fait, certaines méchantes comme Cruella d’Enfer ou Médusa ont du être écartées de notre corpus d’analyse. Ainsi, nous avons fait le choix de ne nous concentrer que sur ceux étant issus du genre littéraire conte merveilleux. Ce choix n’est nullement le fruit du hasard. En effet, nous nous sommes d’abord interrogées sur la manière d’opérer une sélection judicieuse. L’entrée par le genre s’est alors imposée à nous par le simple fait que c’est, entre autres, de cette façon que l’on enseigne la langue française aux élèves. Dès lors que cela fut posé, plusieurs genres se sont présentés à nous : Le conte fantastique, le récit de science fiction et le conte merveilleux. Ce dernier nous a alors semblé parfaitement adapté à notre travail et regroupe la plupart des méchantes de la production Disney. Effectivement, le conte merveilleux se définit, selon l’encyclopédie en ligne Wikipédia de la façon suivante :

Le conte merveilleux, ou conte de fées, est un sous-genre du conte. Dans ce type de littérature interviennent des éléments surnaturels ou féériques, des opérations magiques, des évènements miraculeux propres à enchanter le lecteur, ou l'auditeur, dans le cas d'une séance de conte, généralement empruntée au folklore. La plupart des récits appartenant à ce genre littéraire ont circulé par le biais du bouche à oreille, avant d'être l'objet au XVIIe siècle de collectages, retranscriptions à l'écrit et de se retrouver relativement fixés dans leur forme et contenu. (2011)

Le conte merveilleux se trouve également intimement lié à l’univers des enfants et, selon le Petit Larousse des Symboles, il est décrit comme « un récit initiatique, conçu non pour émerveiller ou terroriser l’enfant, mais pour le « faire grandir ». Il a une riche portée symbolique » (2008, p. 177) et des lieux comme la forêt s’y retrouvent souvent, véhiculant un message de dangers et de défis pour les personnages. Peu après le début de l’histoire, prend place une catastrophe initiale marquant l’origine de difficultés à surmonter lors de la suite du récit.

Ces dernières peuvent symboliser « les épreuves qui attendent l’enfant ou l’adolescent » (p. 177) dans leur vie, à l’image de la séparation familiale présente dans de nombreux contes comme Blanche-Neige et les Sept Nains ou Cendrillon au travers de la belle-mère.

Les auteurs expliquent que la menace ou les défis occupent une place importante dans les contes merveilleux car ils symboliseraient :

Les difficultés de la vie réelle, par opposition à la vie paisible et heureuse qui est donnée comme norme du bonheur. […] Les héros, une fois surmontées ces épreuves diverses où ils ont côtoyé la mort, peuvent enfin jouir de la vie et connaitre le bonheur : l’amour, le mariage, les enfants. (2008, p. 179)

De ce fait, une fin heureuse fait partie intégrante de ce type de récits et permettrait à l’enfant de comprendre qu’un message précis leur est adressé :

Que la lutte contre les graves difficultés de la vie est inévitable et fait partie intrinsèque de l’existence humaine, mais que si, au lieu de se dérober, on affronte fermement les épreuves attendues et souvent injustes, on vient à bout de tous les obstacles et on finit par remporter la victoire. (2008, p. 180)

Le conte porte alors en lui une force émotionnelle et symbolique particulière dont l’incidence sur l’enfant nous intéresse du point de vue de l’image qu’il en garde. Ainsi, ce genre littéraire témoigne à merveille des figures ou stéréotypes dont nous avons parlé plus haut. En effet, les œuvres de Walt Disney, issues des contes merveilleux, présentent un large éventail des stéréotypes de ce genre. Ils donnent à voir plusieurs représentations de sorcières, fées, monstres imaginaires célèbres et sortilèges en tout genre. De cette façon, nous procédons à une sélection critérielle qui oriente notre recherche dans une direction que nous pensons riche car il peut être intéressant de sensibiliser les élèves à ce genre par le biais des supports médiatiques. Cela permet alors une mise en situation quelque peu originale et pourrait, peut-être, faciliter l’entrée dans le genre pour certains élèves. Bien qu’il ne s’agisse que d’une simple supposition, nous pensons qu’il est judicieux et même indispensable pour notre travail de s’orienter du côté des contes merveilleux. Ainsi, notre sélection de corpus est réalisée sur les critères suivants : longs métrages de production Walt Disney issus du genre conte merveilleux et comportant un personnage méchant féminin.

2.6. Le schéma quinaire et la structure narrative

Pour entrer plus en détail dans le conte, il faut savoir que souvent, comme la narration nous est familière, ses composantes peuvent sembler évidentes aux lecteurs avisés.

17   Cependant, nous souhaitons ici vous montrer que certaines structures sont propres aux contes et qu’il semble pourtant essentiel de les préciser avant d’aller plus en avant dans ce mémoire.

Dans les moyens genevois de français, dont fait partie le Cahier de Pinchat n°10 sur l’activité langagière conter, il est expliqué que « pour qu’on parle de narration, il faut la représentation d’(au moins) un évènement. Raconter, c’est toujours raconter quelque chose à quelqu’un à partir d’un horizon d’attente fondé sur la prévisibilité des formes d’organisation du type narratif » (Vodoz, 1995, p. 1). Ainsi, il faut savoir que la structure narrative répond à des normes et se construit de manière symétrique de par le fait que les évènements la composant ont une valeur propre. Lorsque le décor est planté et que les personnages sont introduits, nous nommons ceci la situation initiale qui concerne le début de l’histoire. La situation finale, en miroir à l’initiale, aboutit sur un équilibre et découle de la résolution d’un problème. De plus, si l’action se situe au cœur de chaque narration, cette dernière est déclenchée par une complication et s’achève par sa résolution. De ces cinq composantes essentielles se forme le schéma quinaire représentatif de la structure d’un texte narratif.

Situation initiale Complication Action Résolution Situation finale

Enfin, une série de spécificités liées à ce genre, comme le fait que le texte se rédige ou se narre au passé, fait état également de la présence d’organisateurs temporels tels que : « il était une fois, un jour, il y a fort longtemps, … » (p. 1). Nous retrouvons, de ce fait, certains d’entre eux en introduction de contes écrits, ou oralement lorsqu’une voix off prend place en début de film d’animation.

2.7. Walt Disney, sa vie, ses méchantes1

Afin de mieux saisir le contexte et la personnalité qui ont permis la naissance des différentes méchantes étudiées, nous souhaitons effectuer un bref rappel des éléments biographiques de Walt Disney.

                                                                                                               

1 D’après Finch, (1977), dans son ouvrage : Notre ami Walt Disney son art et sa magie de Mickey à Walt Disney World.

 

Walter Elias Disney est né dans l’état de l’Illinois, à Chicago, le 5 décembre 1901.

Mondialement connu aujourd’hui pour ses longs métrages d’animation et les Parcs à thème portant son nom, son destin se profilait pourtant bien différemment.

Issus de père charpentier, Walt et son frère Roy, passent énormément de temps à l’aider dans la distribution de journaux, lorsqu’Elias se voit forcé de changer d’orientation. Passionné par le dessin et les trains électriques Walt Disney va suivre des cours de dessin au Chicago Art Institute alors qu’il suit déjà des cours à la William McKinley High School.

La première et la seconde guerre mondiale vont également toucher de très près Walt Disney qui s’engage même, en falsifiant son passeport, dans les conducteurs d’ambulances de la Croix Rouge et rejoint Paris au lendemain de l’Armistice en 1918. Dès son retour sur le sol américain en 1920, Walt Disney cherche un emploi dans le cinéma. Il trouve alors un poste auprès de la Pesman-Rubin Commercial Art Studio, emploi qui lui offre le maigre salaire de 50 dollars par mois. Suivent alors plusieurs années de doutes et de malchance. En effet, Walt Disney décide de partir pour Hollywood et d’y produire des courts métrages d’animation.

Cependant, son travail va lui être volé et il devra recommencer à se construire. Ce n’est qu’à partir de 1928 et avec la création du célèbre Mickey Mouse que cet homme exauce son rêve.

Par la suite, plusieurs expérimentations sans grands succès, poussent Walt Disney en 1934 à émettre un nouveau projet : réaliser un long métrage d’animation. Le sujet est d’ores et déjà choisi, Walt veut mettre en scène l’histoire de Blanche Neige et les Sept Nains. Alors que tous lui prédisent la faillite et nomment son idée « la folie Disney », lui s’y tient. Ce n’est qu’en 1939 que l’on voit alors apparaitre sur les écrans Blanche-Neige et les Sept Nains qui provoque un réel engouement et un véritable succès médiatique.

Durant la seconde guerre mondiale, Walt Disney n’obtient que très peu de succès pour ses films et décide de rééditer le chef d’œuvre de Blanche-Neige. Puis vient la guerre froide et Walt Disney témoigne alors contre trois de ses employés qu’il soupçonne d’être communistes se faisant ainsi bien voir par le gouvernement américain.

Dans les années cinquante, les studios Disney sortent de nombreux films à succès dont Cendrillon, Alice au pays des merveilles, Peter Pan ainsi que la Belle au bois dormant et Merlin l’enchanteur.

Walt Elias Disney meurt en 1966 d’un cancer des poumons qu’il traine depuis plusieurs années. Par la suite, son frère Roy mène les projets en cours à leur terme et décède à son tour en 1971. La suite de l’entreprise Disney revient à son fils Roy Edward Disney.

19   Ayant consacré une grande partie de sa vie à la création de personnages, Walt Disney a toujours mis un point d’honneur et une attention toute particulière dans la création de ses méchants et méchantes. Dans un entretien reporté dans l’ouvrage « Les méchants chez Walt Disney » Charles Champlin témoigne :

Sans doute les souvenirs sont-ils déformés par les récits qu’on en fait ; cependant ils semblent pouvoir expliquer beaucoup de choses sur la façon dont Disney percevait le besoin vital qu’ont les gens de distraire leurs existences, tellement moins riches que les dessins animés. Je pense que son passé nous aide également à comprendre sa façon de restituer les aspects négatifs de l’existence qu’il personnifie si bien à travers ses sorcières et autres méchants. (2000, p. 16)

Ainsi, Walt Disney teinte ses méchantes de traits physiques et psychologiques ayant été observés chez des personnes bien réelles. De plus, il tient à ce que le public comprenne bien les motivations de ces personnages diaboliques. Dans ce sens, Johnston & Thomas (1995) estiment qu’ : « Il existe de nombreuses espèces de Méchants, méfaits, motivations et objectifs composant ces troubles personnalités. Dans tous les cas de figure, le public doit savoir ce que veut le Méchant, pourquoi il le veut et comment il compte l'obtenir » (p. 18).

Cependant, ces auteurs constatent que Walt Disney a, dès le départ, distingué les méchants des méchantes dans ses productions. En effet, les buts et motivations de ces dernières se différencient par le fait qu' :

Alors que l'avidité est, sans aucun doute, le moteur de nombreux Méchants, plusieurs de nos grandes Méchantes ne voulaient qu'une seule chose et la traquaient si obstinément que leurs vies toutes entières tournaient autour de cet enjeu. Elles auraient tué toute personne s'opposant à elles, détruit toute chose gênante, usant dans leur lutte de toutes les ressources en leur pouvoir pour obtenir ce qu'elles voulaient [...] tout le reste ne compte pas. (p. 19)

Ces femmes sont habilement soignées et marquent profondément le spectateur. En effet, et nous terminons cette partie par les propos de Johnston & Thomas (1995) qui énoncent que :

« Bien que les femmes représentent une faible partie des Méchants de Disney, sauf quelques exceptions près, elles sont plus marquantes que les hommes » (p. 25).

2.8. Pour terminer

Enfin, maintenant le cadre de notre recherche posé et légitimé, nous souhaitons présenter les différentes tensions propres à notre sujet ainsi que les questions de recherche qui guident notre travail. En ce qui concerne cette partie, nous tenons tout de même à ajouter que notre recherche ne se prétend nullement exhaustive et qu’il est bien évident que notre thématique soulève énormément de questions auxquelles nous n’allons pas nous arrêter. Par la suite, la partie « méthodologie » évoquera plus en détails le corpus et la façon dont nous allons procéder à l’analyse de ces supports. A nouveau, nous ne prétendons pas présenter ici la seule façon existante d’analyser ce corpus mais simplement notre façon personnelle, telle que nous l’avons choisie en regard des faits que nous analysons.

21   3. Problématique et questions de recherche

Nous allons dans ce chapitre définir notre problématique de recherche, ainsi que le double questionnement sur lequel elle se décline.

3.1. Problématique de recherche

Notre problématique se situe sur deux plans. L’un concerne une étude filmographique, l’autre est davantage dirigé sur le lien possible entre notre objet de recherche et la pratique dans les classes ordinaires.

Sur le premier plan, celui de l’étude filmographique, notre recherche est centrée sur une analyse de personnages afin d’en dégager des caractéristiques permettant de définir la figure de la méchante. En effet, cette figure n’est pas un objet clair et définit dans la littérature. Peu d’auteurs développent le thème de l’analyse d’une figure dans des films d’animations ou encore de la représentation d’une figure diabolique que peuvent avoir certains des personnages de la production Disney. De plus, elle est présente dans un certain nombre de films d’animation à travers différents personnages. Nous nous sommes donc intéressées à cette figure de la méchante en ayant l’objectif de savoir quels sont les critères permanents qui permettent de définir celle-ci. Afin de réaliser notre dessein, nous passons par l’étude de six personnages de films d’animation de la production Disney. Pour cela, nous allons, en partie, nous référer à certaines définitions d’auteurs quant aux différents éléments composant le Mal.

Nous nous intéressons aux aspects du méchant comme Michel Fize le définit (cf. cadre théorique), mais aussi aux différentes caractéristiques de la figure du Mal qui sont utilisées pour les items de notre grille critérielle, et également comme théorie à mobiliser lors de l’analyse des longs métrages composant notre corpus ainsi que dans l’analyse des résultats de notre recherche. Ceci tout en gardant à l’esprit l’origine du Mal au féminin (de la méchante), comme expliqué par plusieurs auteurs et repris dans le cadre théorique.

Sur le deuxième plan, celui du passage à la pratique, nous allons nous intéresser à la question de la « transférabilité » à la classe de notre objet de recherche. En effet, le nouveau Plan d’Etude Romand (PER) comprend des objectifs MITIC liés à la grammaire de l’image mais aussi l’utilisation d’outils médias, comme des supports DVD. Etant donné cela, nous allons effectuer un entretien d’exploration avec des enseignants-es de division ordinaire, afin de discuter des types de savoirs en lien avec le PER mais également des séquences didactiques pouvant être mises en place dans les classes.

3.2. Questions de recherche

Comme présenté dans la problématique, notre mémoire cherche à répondre à un double questionnement. Tout d’abord, observer différentes représentations de personnages féminins représentant le Mal dans les films d’animation de la production Disney sur différentes périodes puis, comparer ces méchantes, afin d’en dégager certaines caractéristiques qui nous permettent de définir la figure de la méchante. Ainsi, notre question est déclinée comme suit :

« Dans quelle mesure peut-on constater une évolution des représentations de la méchante dans six longs métrages du cinéma d’animation de la production Walt Disney ? ».

Pour répondre à cette question, et dans un objectif de spécification et de précision, nous avons choisi de la traiter en prenant en compte un certain nombre de sous questions que voici :

 Qu’est-ce qu’une méchante ?

 Comment la reconnait-on ou à quoi ?

 Comment est-elle représentée dans le film ?

 Quel est son rôle ? Son influence ?

 Quel(s) changement(s) constate-t-on dans ses représentations ?

 Y a-t-il une permanence de critères ?

Ces sous questions de recherche plus spécifiques sont développées principalement dans notre chapitre « analyse ». Elles servent essentiellement à structurer notre pensée et notre analyse de personnages mais ne sont pas développées de manière particulière.

Notre deuxième axe de questionnement concerne donc les liens que l’on peut imaginer entre une recherche filmographique telle que nous l’avons menée et les enjeux d’un tel travail pour la pratique. Pour des questions de faisabilité, cette seconde entrée est moindre mais notre

Notre deuxième axe de questionnement concerne donc les liens que l’on peut imaginer entre une recherche filmographique telle que nous l’avons menée et les enjeux d’un tel travail pour la pratique. Pour des questions de faisabilité, cette seconde entrée est moindre mais notre