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Les fonctions et les rôles principaux du Đình au Vietnam

CHAPITRE 1. ASPECT GENERAL DE L'ARCHITECTURE DU ĐÌNH

1.3. Les fonctions et les rôles principaux du Đình au Vietnam

la plaine Nord-vietnamienne, l’architecture la plus impressionnante pour les visiteurs est celle du Đình de village. Au fil des ans, la mousse et le vent l’on fait devenir ancien. Sa toiture s’étend largement; ses quatre coins sont relevés et recourbés; l’ensemble de ses colonnes est monumental; le Đình taciturne se réfléchit dans l’étang du village; il semble qu’il ne vit qu’avec le temps passé. Cependant, quand on entre à l’intérieur, l’atmosphère doucement fraiche nous fait nous sentir comme dépouillé des gênes de la vie, et nous plonge dans un espace entouré de spiritualité, afin d’être maître de soi pour admirer le Génie tutélaire du village et contempler les traits de gravure sur l’architecture. Et, nous comprenons que, le Đình maintient silencieusement un patrimoine artistique inestimable, que jusqu’à

nos jours, il est présent, tumultueux de la vie sociale des quelques centaines d’années passées; et laisse de grandes valeurs sur la culture, sur l’histoire et l’art.

1.3.1. La fonction sur la vie communautaire (fête et cérémonie)

Le Đình est aussi le lieu des fêtes, après la célébration des cérémonies de culte. Les représentants du village, des personnes de rang supérieur, mangent et boivent, partagent des offrandes – générosités divines – sacrements significatifs puisque “dédié un

Figure 1. 9 : Thủy Đình de pagode de Thầy Source : collection

Après avoir mangé, il se déroule normalement des représentations artistiques populaires, des chants, des jeux d’échec, des jeux d’argent ainsi que tout autre jeu collectif de distraction des paysans. Pendant les jours ordinaires, la cour du Đình est le lieu de réunion du marché villageois ; le couloir est parfois utilisé comme une école. Le

Đình de milieu est encore l’endroit d’arrêt du roi et des mandarins de la cour lors de sa

tournée etc…

Le dicton disant “les fêtes du Đình comme la mère de nos enfants” (Đình dam

nguoi me con ta) suffit d’exprimer l’attention que des villageois portent sur les fêtes de

chaque village où se partage ensemble la joie et le chagrin, la pauvreté et la richesse de la collectivité villageoise autour du Đình.

Les fêtes et célébrations des cérémonies de culte au Đình, témoignant la croyance envers le Génie tutélaire du village, sont établies par les coutumes suivantes :

Le premier jour (sóc)– jour de la nouvelle lune - et du 15 (vọng) (jour de la pleine lune – chaque mois; en outre, il y a la fête de printemps au premier jour du février, et celle de l’automne au premier jour d’août; la fête d’inauguration des travaux champêtres au moment du repiquage des plants de riz; la fête de fin des travaux champêtres; la fête où l’on offre le nouveau riz en septembre; la fête du quinzième jour du premier mois lunaire; la fête de kỳ yên – fête du quinzième jour du septième mois lunaire– étant une fête de l’absolution pour les morts de la pagode que les villageois associent au Đình; la fête d’inauguration des travaux de la terre ouvrant généralement le 7 janvier, sous-entend le commencement de toutes les affaires. A l’occasion de la fête du 3 mars soit hàn thực (repas froid); la fête du 5 mai; la fête du 15 août soit de mi automne; la fête lạp tiết au 2 décembre soit la fête de fin d’année…, se déroulent toujours la cérémonie de culte dédiée au Génie, au Đình.

En dehors de ces fêtes régulières, il se déroule certaines fêtes irrégulières des particuliers du village telles que les cérémonies à l’occasion de la naissance, de la mort, du mariage et de l’obtention d’un titre.

Pour assurer la fonction d’allumer les lampes et encens dans le Đình, au long de l’année, les habitants désignent une personne, à tour de rôle; cette personne est appelée

cai đám – surveillant des fêtes. La fête la plus importante de l’année est le jour où

commence une fête, généralement au printemps ou en automne, à l’occasion du souvenir du Génie tutélaire. Dans le peuple, se disait:

Tháng giêng ăn tết ở nhà Tháng hai cờ bạc

Tháng ba hội hè

En janvier, on fait la fête à la maison Le février réservé aux jeux

Figure 1.10 : Festival du Đình Yên Phụ, Hanoi Source : Collection

Ce sont des fêtes de villageois. Avant le commencement des fêtes, de 5 à 10 jours avant l’ouverture, on doit observer les règles d’abstinence bouddhique et se purifier.

Pendant les jours de fêtes, il se passe, chaque jour, la célébration de la cérémonie du Đình telle la cérémonie solennelle de culte rendue au Génie avec une procession ; Les repas, les attirails de fête, les chants, la représentation des jeux publics de distraction : théâtre classique avec chants et gestes, théâtre populaire, ping-pong, combat de coqs, jeux d’échecs, concours de toutes sortes occupent des gens.

Làng ta mở hội vui mừng

Chuông kêu, trống đóng vang lừng đôi bên Lòng ngai thánh ngự ở trên

Tả văn, hữu vũ bốn bên rồng chầu Sinh ra nam tử công hầu

Sinh ra con gái vào chầu thánh quân.

Notre village ouvre joyeusement les fêtes

Les sons de cloche, de tambour sont retentissants des deux côtés Le trône de la divinité s’assoit majestueusement en haut

Vers quoi se tournent les mandarins civils à gauche et ceux militaires à droite ; les dragons aux quatre côtés

Donne naissance à des fils pour être les grands dignitaires A des filles pour servir aux troupes divines

Le 16, les fêtes tirent à la fin ; il y a toujours des jeux tels que le jeu d’échec, la lutte corps à corps, les chants populaires.

Le jour de l’ouverture des fêtes du Đình et du temple, coïncide normalement à celui de naissance ou de mort du Divin, du Génie tutélaire du village, afin de leur exprimer la gratitude et l’aspiration à la protection d’une vie tranquille et joyeuse et d’un travail florissant. Les rites de la célébration cérémonielle sont dépendants de chaque génie et de chaque village. Il y a généralement la procession du Génie, la réinterprétation de sa légende divine lors de sa conquête contre les envahisseurs extérieurs (telle est Phủ Đổng) ou contre des forces harcelantes … On organise la procession de la chaise à porteurs bát cống, au-dessus posé le trône de culte du Génie porté par huit jeunes. Allant devant, ce sont les drapeaux, les attirails, suivis des deux côtés par des parasols, accompagnés par derrière par les troupes jouant aux huit sons avec le clairon, le tambour, la harpe, la viole à deux cordes, la flûte… Les hommes porteurs s’habillent avec les vêtements inspirés des soldats des frontières d’autrefois (par exemple la fête du temple Phủ Đổng et Sái –Thụy Lâm, Đông Anh). Suivie de la cérémonie dédiée au Génie, est la partie de la fête ; plusieurs jeux populaires organisés tels sont la lutte corps à corps, la compétition de pirogues ou les chants, le concours de faiseur de riz, le jeu d’échec avec de vraies personnes, les marionnettes, la danse des ballons, le combat de buffles, le combat de coqs… attirent la participation d’un grand nombre d’habitants. La fête souvent reliée à la légende du Génie à qui le culte est rendu, vise à représenter à nouveau les batailles contre les ennemis ou le sacrifice du Génie. La compétition de pirogues du village Đăm (la commune de Tây Tựu), le village de Diễn (la commune de Phú Diễn) vise à reproduire l’avancée des troupes contre les ennemis du Nord du Génie Bạch Hạc Tam Giang, un général du roi Hùng Duệ Vương. La compétition de pirogues du village Đại Cát, Thượng Cát sur le fleuve Rouge est à la mémoire de deux femmes-capitales de Hai Bà Trưng: Đinh Bạch Nương et Đinh Tính

Nương y ont entraîné les troupes marines et au 10 mars ont attrapé soudainement un

cyclone, les deux génies comme les soldats se sont trouvés morts. La compétition de « faire du riz » au temple Thị Cấm, rendu culte au Génie Phan Tây Nhạc, un général adjoint du roi Hùng Duệ Vương, vise à recruter le meilleur cuisinier de riz pour être nourrisseur des combattants. La fête de cuisine du riz du village Ngĩa Đô, rendu hommage au bienfait de Hồng Nương et Quế Nương, cuisinières pour les officiers généraux du roi Đại Hành combattant des ennemis Tong. Après la mort, le roi a ordonné de fonder le temple rendu au culte. La partie des fêtes est organisée en étroite liaison avec la cérémonie de remise de la gloire à l’esprit martial dans l’entrainement de la force pour se battre contre la nature et les ennemis pour garder la nation. Ce sont les scènes de représentations composées d’activités artistiques, sportives que les villageois attendent et auxquelles ils participent joyeusement. Les fêtes et cérémonies du village

d’autrefois ont une signification sacrée. Elles sont une activité culturelle et spirituelle nécessaire qui rappelle aux villageois leurs origines, sur l’expression de la gratitude envers les prédécesseurs et aussi, qui est la façon de relier la communauté, de se distraire après des journées difficiles et pénibles de travail, à la fois de transmettre les formes culturelles et de stimuler la création artistique.

Durant l’année, il y a aussi les fêtes régulières telles que le jour d’inauguration et de fin des travaux champêtres ; la cérémonie propitiatoire au printemps et en automne pour prier le Génie de la vie en paix pour les habitants. La cérémonie de culte rendu au Génie se déroule également annuellement au Đình pendant les journées du Têt telles que le Têt de nouvel an, le Têt du temps claire, la fête du cinquième jour du cinquième mois lunaire, la fête du quinzième jour du septième mois lunaire - tết trung nguyên, la fête de mi automne, tết trùng thập… Les familles où il se passe des évènements : mariage, funérailles, nouveau-né … viennent aussi présenter les offrandes au Đình, pour rendre culte au Génie. Les offrandes sont possiblement végétariennes ou des mets salés, en grand ou petit nombre, suivant la situation de chaque famille et la volonté de chacun ; mais la sincérité du cœur est essentielle. Aujourd’hui, les Đình et les temples ouvrent pour une fête et une cérémonie par an. Le Đình est toujours le lieu des activités culturelles, spirituelles et de croyance ; les visiteurs viennent présenter un encens au Đình pour satisfaire le besoin sur la culture traditionnelle, uống nước nhớ nguồn, la gratitude envers les anciens, les héros et les ancêtres ; telles sont les fêtes du temple de Kiếp Bạc, de Đồng Nhân… Il y a pourtant des personnes croyant à l’aspiration de la réussite et à la générosité divine, au bonheur… Les pratiquants doivent posséder avant tout de la sincérité ; il faut chasser et éliminer toute illégitimité et les mauvaises idées. Les offrandes peuvent être végétariennes ou salées suivant les usages de chaque Đình ; elles se composent d’un service présenté au génie du sol et le service principal au lieu où s’assoit le Génie. On brûle les encens de l’intérieur à l’extérieur, après avoir fini d’exposer les offrandes. Le nombre d’encens allumés est impair : 1-3-5 ou 7 bâtonnets ; et sont ensuite piqués avec les deux mains, dans la vase aux baguettes d’encens sur l’autel. A la fin, on procède à la baisse des offrandes qui suit l’ordre de l’autel extérieur à celui principal. Une partie des offrandes est offerte au gardien du Đình. Au lieu où se pose la caisse des dons, les pratiquants y mettent de la monnaie, selon la volonté, après la cérémonie.

Quant aux visiteurs de passage et aux touristes, même s’ils ne pratiquent pas le culte, il est conseillé de brûler un bâtonnet d’encens et de le planter sur l’autel, après avoir baissé les mains jointes devant soi. Bien qu’on ne pratique pas de culte mais lors de la visite de ces endroits, il faut garder le mode de vie culturel, ne pas prononcer de gros mots et respecter la croyance des autres.

1.3.2. La function de culte, de célébration des fêtes Le Đình est le centre de la

croyance du village ; cela semble évident. Cependant, quelle croyance est-ce, comment et d’où vient-elle ? Il s’agit des problèmes en étroite liaison à la culture d’un groupe de personnes vivant collectivement. Nguyễn Văn Huyên, après sa recherche de grande peine sur les fêtes et cérémonies au

Đình du village, a eu pour conclusion

sur le type de religion du Đình du village pour les paysans vietnamiens comme suivant :

“Tout le village y participe

(aux fêtes et cérémonies du Đình du village) dans le bonheur tout comme dans la souffrance. Cette croyance-ci est chantée de génération en génération même s’il n’y a aucun changement à travers les siècles. Toutes les capacités d’action de la collectivité communale s’y concentrent et s’y fondent. Ces dernières apportent à la croyance un cadre organisationnel, plus solide qu’un cadre organisationnel d’une religion courante”.1

Après avoir fait le schéma généalogique, depuis la préhistoire du Vietnam, des

Đình dédiés au culte des Génies tutélaires du village, Nguyễn Văn Huyên a tiré une

conclusion concernant la manière de réflexion lointaine de la religion communale. Il écrit: “On peut supposer que les régions pratiquant le culte aux génies sont les premières terres occupées par les Vietnamiens venant du Nord ou montant du bord de la mer à la recherche de la terre alluviale fertile. Cette hypothèse est justifiée par la présence de vestiges historiques que l’on peut découvrir dans les territoires tels ceux de Phú Thọ et de Vĩnh Yên. Ceux de Ninh Bình et de Bắc Ninh arrivent postérieurement avec le temple dédié aux souverains de la nation comme le temple de Hùng Vương (Phú Thọ), le tombeau de Thái Phú Sĩ Vương (Bắc Ninh), le tombeau de Nghi Vệ (Bắc Ninh), les pagodes : Khám ou Ngọc khám (Bắc Ninh), Bút Tháp (Bắc Ninh), Khương Tự (Bắc Ninh) ; la muraille de Cổ Loa (Vĩnh Yên), la grotte de Hoa Lư (Ninh Bình) ; ils sont les premiers refuges des Vietnamiens.”2

Les exemples ci-mentionnés montrent suffisamment la coutume de rendre culte au Génie tutélaire ou le Génie shintoïsme, étant de nature le culte inhérent du peuple. Maintenant, on suit Nguyễn Văn Khoan dans ses recherches3 pour localiser les coutumes de culte au Đình dans l’ensemble du système de croyance des, qui est extrêmement complexe. Les Vietnamiens pratiquent le culte du Ciel et de la Terre dans lesquels

1 Nguyễn Văn Huyên, La civilisation annamite, Hanoi 1944

2 Nguyễn Văn Huyên, Etude d’un génie tutélaire Annamite p.15-16 BEFEO 1939

3 Essai sur le Đình et le culte du génie tutélaire des villages au Tonkin. BEFEO t.30 p.107-139”

Figure 1.11: Culte dans le Đình du village. Source : Collection

règnent les Divins, le Bouddha, les mânes, les héros et les grandes personnalités. Nguyễn Văn Khoan distingue trois groupes de culte :

Le premier est composé de :

- Le culte officiel : le culte rendu au Ciel et à la Terre, le Dieu de l’agriculture, Confucius.

- Le culte rural : le culte dédié au Génie tutélaire du village, au Génie du sol, au Bouddha.

- Le culte familial : maison de culte des ancêtres, le culte du Génie du foyer. Ces cultes sont populaires et réguliers, se déroulant dans les jours cérémoniels fixés. Le cérémoniaire est désigné par l’Etat ou la collectivité : les mandarins et les anciens notables du village célèbrent la cérémonie de culte rendu au Ciel et à la Terre, au Dieu de l’agriculture, au Génie tutélaire du village. Les bonzes et bonzesses assument le culte rendu au Bouddha, le chef de la ligne aînée ou le chef de la famille rendent le culte aux ancêtres. Les temples sont fondés et maintenus par le budget du gouvernement quant aux cultes nationaux tels sont le Đình en l’honneur de Confucius, l’Etat, les rizières confisquées. S’il s’agit d’un culte rural, le village doit assumer les frais.

Les journées de fêtes sont indiquées dans le livre “Khâm định đại nam hội diễn sử

lệ” pour ce qui est du culte officiel, et pour ce qui concerne le culte rural, tout est décidé

par les coutumes du village. Le culte des ancêtres est réglementé dans le livre de “Gia lệ” (les fêtes familiales) de Chu Hy, dont un chapitre est réservé au culte du Génie des foyers. Par exemple, la cérémonie dédiée à Confucius ayant lieu deux fois par an, le premier jour du printemps et de l’automne, alors que la cérémonie dédiée au Génie du village correspond au jour tabou dans la biographie du Génie : soit le jour de naissance ou le jour de mort, soit un jour indiqué par les coutumes du village.

Les rites sont minutieux ; et si quelqu’un dévie des coutumes, il sera puni soit par le divin soit par le village.

Le deuxième groupe se compose :

Des cultes populaires : le culte des mânes, le culte des diverses divinités taoïsmes, servantes de la sainte mère Liễu Hạnh ou les généraux et officiers supérieurs du saint homme Trần Hưng Đạo. En conclusion, le culte est rendu à tous les esprits qui influencent la vie de l’homme.

Les trois types principaux de cultes populaires en quoi le peuple fait confiance sont : le culte des diverses divinités taoïsmes, le culte des généraux et officiers supérieur du saint Thánh Trần et les divinités mandarins du bonze supérieur.

Plusieurs architectures sont dédiées à ces cultes dans le Nord du Vietnam. On le voit partout : dans le village, au milieu des champs, au bord de la route. La surface et la dimension grande ou petite : du grand palais entouré de jardin ancien aux petits trous sur un arbre ou socles construits en briques au coin de la route. Chacune de ces architectures porte un nom qui correspond au génie. Par exemple:

Le Đình du village est une maison communale dans laquelle s’est installé l’autel d’un ou plusieurs Génies tutélaires du village ou du Génie protecteur du village. Le temple est un palais national, régional, territorial dont la surface est peut-être grande ou petite. Il est fondé pour commémorer un roi, un génie ou un homme historique célèbre ayant des bienfaits pour le peuple et le pays. Le temple dédié au culte d’une femme est appelé le palais Phủ, tels que Phủ Giày rendit le culte à la sainte mère Liễu Hạnh à Nam Định.

La pagode est un palais dédié au culte de Bouddha, composé de plusieurs maisons en briques avec le mur, la tour, la maison réservée aux bonzes et bonzesses. La pagode est petite et se trouve dans un endroit retiré : au pied de la montagne ou à la porte de la forêt, appelé généralement le Am (petite pagode). Le Am est souvent construit à côté du cimetière pour rendre le culte aux mânes, appelé la pagode des mânes ou le Am des âmes

des morts.

Le Miếu est un petit palais, parfois composé seulement d’un socle sur un sol en brique, au milieu des champs, au pied d’un arbre, afin de rendre le culte au génie du sol et de l’agriculture ou une personne décédée d’une mort violente.