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milliards d'euros

http://www.e-marketing.fr/Breves/-A-l-horizon-2015-le-marche-fran-ais-de-l-e-pub-representera-4-2-milliards-d-euros-45953.htm

Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », mars 2012 L'impact d'Internet sur les prix des offreurs : les nouvelles conditions et méthodes de fixation des prix

Les chiffres publiés par la FEVAD (Fédération de l'e-commerce et de la vente à distance)

témoignent d'un dynamisme pour le secteur qui ne se dément pas : progression des ventes sur les 6 premiers mois de l'année de +20 % par rapport au 1er semestre 2010. Cette progression résulte d'une augmentation encore forte du nombre d'offreurs : plus de 20 000 nouveaux sites en un an soit plus de 100 000 en 2012. En 2009, Internet représente 6 % des ventes de détail, ce qui correspond à une progression des ventes équivalentes à celles des hypermarchés à leurs débuts. La croissance des achats sur Internet est plus dynamique que celle de la

population internaute : le nombre d'acheteurs en ligne a été multiplié par 5 entre 2002 et 2010 soit deux fois plus que la population internaute. Aujourd'hui plus de 30 millions d'internautes achètent en ligne soit un français sur deux résidant en France. Les évolutions technologiques et les équipements font aussi progresser les usages d'Internet. Avec l'explosion des

Smartphones (10 millions de personnes équipées au 3ème trimestre 2010) et l'arrivée des tablettes, les français sont de plus en plus connectés en permanence. Tous les mois 15,5 millions de mobinautes (plus de 27 % que l'an passé) utilisent les services élaborés de

l'Internet mobile : MMS, vidéo/TV, email, visiophonie? Les réseaux sociaux s'imposent comme un des usages en progression sur Internet : plus des trois quarts des internautes ont consulté un blog ou un site communautaire en décembre 2010 soit 11,7 millions par jour (étude

Médiamétrie). Au début d'Internet, certains auteurs ont pu écrire que le phénomène devait conduire à une économie sans friction (frictionless capitalism) au sein de laquelle les prix seraient de plus en plus faibles et convergeraient vers des niveaux dictés par une concurrence pure et parfaite (Bakos 1997).

http://www.creg.ac-versailles.fr/spip.php?article537

S'adapter au consommateur de l'ère numérique exige un big bang de la pub et du marketing La publicité inventée par les « Mad Men » à l'âge de la télévision de masse est à bout de souffle, avec des annonceurs déboussolés face à des consommateurs qui ont pris la tangente.

Mais les vieux réflexes perdurent les publicitaires traditionnels continuent de proposer de bombarder les consommateurs : puisque ceux-ci ne réagissent plus aux messages de masse, augmentons la fréquence et la répétition du message. Résultat : plus ce bombardement s'intensifie plus les audiences se réfugient sur les médias sociaux !

http://lentreprise.lexpress.fr/publicite-et-communication/marketing-digital-comment-s-adapter-au-consommateur-marco-tinelli-fullsix-auteur-de-auteur-de-marketing-synchronise_31874.htm l Multiplicité des interactions entre le commerce « on » et « off line »

L'étude « Online Shopper Intelligence » réalisée par Kantar Media Compete en France montre que tous les acheteurs en ligne ont tendance à rechercher au moins un type de produit sur un canal de vente (internet ou en magasin) avant de l'acheter sur l'autre canal. Plus d'un cyber acheteur français sur deux recherche des produits en magasin avant de les acheter en ligne.

La pratique la plus répandue est de rechercher le produit sur Internet avant de l'acheter en magasin : plus de 9 cyberacheteurs sur 10 déclarent en effet être enclins à rechercher au moins un type de produit en ligne avant de l'acheter en magasin. Ce comportement concerne davantage les achats high-tech et électroménager (32 % et 27 % des acheteurs), dont le prix d'achat est globalement plus élevé. C'est également le cas pour les vêtements et chaussures pour lesquels le « toucher » constitue un élément important dans l'acte d'achat.

http://www.chefdentreprise.com/Breves/Le-magasin-sert-de-teaser-a-l-achat-en-ligne-44063.htm

Coca-Cola se met au rythme des JO

Partenariat avec la plateforme Music Dealers, lancement de la campagne mondiale des JO avec le producteur Mark Ronson? Explications d'Emmanuel Seugé, responsable pour le monde de la division Sports, Entertainment et Musique de The Coca-Cola Company.

http://www.e-marketing.fr/Breves/Coca-Cola-se-met-au-rythme-des-JO-43968.htm Les réseaux sociaux, un outil de prospection négligé par les commerciaux

Quel est le secret d'une prospection réussie ? Selon huit cadres et dirigeants d'entreprise sur dix, le vecteur de prospection le plus crédible reste le face-à-face. Même si les méthodes les plus employées par les entreprises sont à 92 % les e-mailings publicitaires, suivis à 66 % par le courrier publicitaire et à 63 % par le téléphone. En pratique, seulement 29 % des personnes interrogées utilisent les réseaux sociaux dans cette optique. Voici du moins les premiers enseignements d'une étude réalisée par l'agence conseil en marketing et communication Quatre Vents sur le thème « Bouche à oreille, réseaux sociaux, clubs clients en B to B.

Mécanismes de prescription ».

http://www.actionco.fr/Breves/Les-reseaux-sociaux-un-outil-de-prospection-neglige-par-les-commerciaux-43967.htm

Balmétrie valorise les qualités du courrier publicitaire

Le groupe d'intérêt économique (GIE) Balmétrie a, enfin, présenté, le 31 janvier, la

méthodologie mise au point par l'institut Ipsos Média CT pour mesurer l'audience du courrier publicitaire. C'était l'objectif de ce GIE créé il y a près d'un an, qui regroupe les principaux professionnels du courrier publicitaire : La Poste, Mediapost, Mediapost publicité, Adrexo, le syndicat national de la communication directe (SNCD), l'observatoire du hors media (OHM) et le club de recherche tous médias (CRTM). À cette occasion, Balmétrie a également dévoilé les premiers résultats de son enquête pilote sur la lecture du courrier publicitaire.

http://www.e-marketing.fr/Breves/Balmetrie-mesure-le-courrier-publicitaire-44015.htm Six conseils pour vendre en période de crise

En période de croissance, je travaille avec mes fournisseurs en place, je n'ai pas besoin de justifier chaque dépense. En période de rigueur budgétaire, on me demande d'être plus efficace et je dois rendre des comptes : « Est-ce que tu es sûre que tu as pris le meilleur prestataire ? Est-ce qu'on ne pourrait pas obtenir plus avec un autre... » Je suis donc plus ouverte à rencontrer de nouveaux prestataires ! En période de crise, dans le business to business (B to B), de nombreuses entreprises clientes revoient leur fonctionnement interne.

Les clients sont dans une phase de risque qui les ouvre à la rencontre. Hélas, beaucoup de commerciaux font le raisonnement inverse. Ils pensent : « C'est la crise, il n'y a plus de business, les processus sont longs, c'est compliqué... » Et laissent passer les opportunités ! http://lentreprise.lexpress.fr/marketing-et-vente/six-conseils-pour-vendre-en-periode-de-crise-par-evelyne-platnic-cohen_31482.html

Les 10 bons réflexes pour vendre vos solutions

Pour vendre un produit, il est très utile d'utiliser les techniques de vente classiques, enseignées par toutes les écoles de vente. Pour vendre des offres de service, de conseil ou de technologie, il ne s'agit pas de mettre en avant les qualités de ce qu'on a à vendre, mais de bien

comprendre le besoin du prospect pour lui proposer une solution sur mesure, répondant parfaitement à son attente, qui lui donnera envie d'acheter. Ainsi débute le Livre Blanc édité par Guillaume Leroy, dirigeant-fondateur d'Axlane, spécialiste de la définition et de la mise en ?uvre de stratégies et d'organisations commerciales et marketing B to B.

http://www.actionco.fr/Breves/Les-10-bons-reflexes-pour-vendre-vos-solutions-43858.htm Stand Clinique : le libre conseil en grand magasin

Petite révolution dans le monde cosmétique des grands magasins : lors de sa refonte en novembre dernier aux Galeries Lafayette Haussmann, la marque Clinique a mis à disposition des clients des paniers avec l'accroche suivante : « Envie de liberté, prenez ce panier, nous vous laissons choisir seul(e). Promis ». Une autre alternative est d'enfiler un des trois bracelets proposés (rose, vert, blanc) afin de signifier si vous souhaitez flâner, si vous êtes pressé ou si êtes disponible pour parler ou pas - cela rappelle vaguement un plan drague ! Fini le

harcèlement des vendeuses des grands magasins (les pires étant celles des USA) : le client est enfin respecté et peut évoluer en toute liberté sur le stand, essayer les produits à disposition et demander un conseil ou un diagnostic de peau si, et seulement si, il le souhaite.

http://www.e-marketing.fr/Breves/Stand-Clinique-le-libre-conseil-en-grand-magasin-43614.htm Trouver les canaux, parcours et clients gagnants

Il n'y a pas de solution magique. On peut résumer les besoins des e-marchands en trois

grandes catégories. Tout d'abord, il convient de déterminer quels sont les canaux d'acquisition gagnants pour générer des ventes. Sachant qu'il faut souvent plusieurs visites et plusieurs canaux avant de convertir, quels sont les enchaînements qui offrent le meilleur retour sur investissement ? Quel est le bon dosage entre référencement naturel, achat de mots-clés ou l'affiliation et comment bien allouer les budgets ? Le deuxième grand besoin est d'évaluer les parcours gagnants en fonction de la typologie des clients, en scrutant des éléments comme leur provenance ou les rayons visités. Il faut aussi déceler s'il y a des freins à l'achat, un

dysfonctionnement lié à une version de navigateur par exemple, une résolution d'écran ou une organisation confuse de l'information. Le dernier grand besoin est de définir qui sont les clients gagnants sur le moyen terme, pour ne pas s'adresser uniquement à des acheteurs

opportunistes qui seraient venus sur le site pour une offre promotionnelle uniquement. Chaque solution répondra de manière inégale aux trois grands types de besoins et l'on est très souvent obligé de coupler plusieurs solutions pour pouvoir couvrir l'ensemble de la chaîne de valeur.

http://www.ecommercemag.fr/Breves/Nicolas-Malo-Trouver-les-canaux-parcours-et-clients-gagnants-42673.htm

Extrait de du site du café pédagogique, février 2012 Comment choisissent les consommateurs

Le consommateur est l'un des principaux acteurs du marché, et l'économie fut la première discipline à fournir une modélisation de son comportement. Celle-ci repose sur trois

hypothèses principales?: le choix du consommateur est individuel, il se fonde sur une

information parfaite tant sur l'offre disponible que sur le niveau de ses besoins et, enfin, doté d'un comportement rationnel, le consommateur cherche à maximiser son utilité, c'est-à-dire la satisfaction retirée des biens, sous la contrainte du budget dont il dispose.

En réaction à ce modèle utilitariste et cognitiviste, la sociologie de la consommation a d'abord cherché au contraire à restituer ce que le comportement du consommateur devait à des

mécanismes de structuration sociale et de construction identitaire. Thorstein Veblen démontre ainsi que la consommation, au-delà de la satisfaction des besoins, acquiert parfois une

dimension ostentatoire. Elle est une preuve de pouvoir et de richesse. Dans la même veine, Maurice Halbwachs observe que chez les ouvriers la proportion de dépenses pour le logement et celle pour le vêtement augmentent en même temps que le revenu. Il explique ce résultat par la propension qui s'exprime, dès que le revenu augmente, à chercher à satisfaire moins de besoins primaires qu'auparavant et davantage de besoins sociaux qui permettent une plus grande intégration au reste de la société.

http://www.scienceshumaines.com/comment-choisissent-les-consommateurs

Auchan renouvelle son système de gestion de campagnes marketing cross-canal avec Neolane Auchan, deuxième chaîne d'hypermarchés intégrée en France avec 125 magasins, (51 000 collaborateurs et 285 millions de clients pour un chiffre d'affaires de 15,4 milliards d'euros hors taxe en 2010), choisit le progiciel de marketing de Neolane. Sa solution devient le socle

technologique pour orchestrer et gérer les campagnes marketing cross-canal des marques Auchan.fr, Auchan Drive et le programme de fidélité Auchan. Ce projet répond à la volonté du groupe Auchan de moderniser son système de gestion de campagnes afin de déployer une approche cross-canal en phase avec les nouveaux comportements de consommation :

utilisation croissante des canaux digitaux en complément et en cohérence avec les dispositifs traditionnels et multiplication des interactions entre les communications entrantes et

sortantes.

http://www.e-marketing.fr/Breves/Auchan-renouvelle-son-systeme-de-gestion Question d'emballage

Il y a 50 ans, le premier emballage aseptique en carton faisait son apparition dans les rayons des supermarchés. Une innovation majeure qui permit aux français de changer leurs habitudes de consommation, tout en leur apportant sécurité alimentaire et praticité. Pour découvrir l'histoire de la « brique alimentaire en carton », mais aussi son évolution en termes d'innovation et de respect de l'environnement, voici un magazine intitulé « Question d'emballage », réalisé avec le concours de Tetra Pak, l'inventeur de l'emballage aseptique.

http://www.dailymotion.com/video/xmn9mm_question-d-emballage_tech Le diagnostic commercial, un outil précieux pour les petites entreprises

La vie d'un dirigeant de petite entreprise ou d'une entreprise artisanale est-elle un long fleuve tranquille dans lequel coule sereinement une eau claire et sans tumulte ? Assurément non ! Car, si la taille de l'entreprise permet à ses dirigeants de jouir d'une grande liberté pour agir et décider des actions les plus judicieuses, elles les plongent aussi en permanence dans le

chaudron de l'activité quotidienne et, bien souvent, les bloquent dans la nécessaire prise de recul pour prendre les bonnes décisions !

http://www.netpme.fr/strategie-management/2155-diagnostic-commercial-outil-precieux La marque-entreprise plus importante que la marque-produit ?

Weber Shandwick, leader mondial en relations publiques, et l'institut KRC Research (groupe Interpublic) ont réalisé une étude internationale : « The company behind the brand : in

reputation we trust » (« L'Entreprise derrière la marque : nous croyons en la réputation »). Un sujet complexe pour les professionnels du marketing et de la communication. L'étude

démontre que la réputation d'une entreprise qui « se cache » derrière une marque revêt une importance cruciale dans l'acte d'achat des consommateurs. 70% des personnes interrogées déclarent en effet éviter d'acheter les produits d'une entreprise qu'ils n'aiment pas. Quant aux chefs d'entreprises, ils sont 87% à estimer que « la puissance de la marque-entreprise est aussi importante que celle des marques-produits ».

D'après Leslie Gaines-Ross, directrice internationale des stratégies de réputation chez Weber Shandwick, « les achats des consommateurs constituent une forme de vote de confiance envers les entreprises qu'ils apprécient. Comme le confirme notre étude, la réputation de la marque et celle de l'entreprise sont devenues quasiment indissociables. L'entreprise qui se trouve derrière une marque est garante, pour le consommateur, de la qualité, du caractère éthique et de la sécurité des produits qu'il achète ».

http://www.e-marketing.fr/Breves/La-marque-entreprise-plus-importante-que-la-marque Le guide de l'e-réputation et du social CRM

Grâce à ce guide, vous saurez comment piloter votre e-réputation et quels outils choisir. Vous trouverez également des conseils pour identifier vos influenceurs, prévenir une crise ou encore comparer vos résultats avec ceux de vos concurrents. Découvrez enfin les bonnes pratiques pour optimiser vos relations clients et améliorer l'expérience de vos consommateurs.

http://www.slideshare.net/Synthesio/guide-de-lerputation-et-du-social-crm Le taux de rebond, trois façons de l'améliorer

Le taux de rebond (bounce rate) est le pourcentage d'internautes dont le parcours de visite sur

votre site s'est limité à une page. On considère qu'un visiteur a rebondi quand il ferme la fenêtre, qu'il entre une nouvelle URL, qu'il clique sur « Précédent » dans le navigateur et sort ainsi du site, ou qu'il clique sur un lien externe. Enfin, certains outils de web analytics, comme Google ou Webleads, prennent en compte l'expiration de la session, c'est à dire un délai d'inactivité sur une page (généralement de 30 mn) qui dénote que l'internaute n'est plus devant l'écran. Le taux de rebond moyen varie selon les secteurs. Il peut descendre sous 40%

si votre site ou votre blog a une forte vocation de fidélisation (dans le secteur des medias par exemple), ou dépasser 80% dans le cas d'un annuaire de liens externes. Un taux de rebond élevé peut signifier que vos visiteurs trouvent immédiatement sur votre site l'information dont ils ont besoin. Mais le plus souvent, cela signifie qu'ils n'ont pas jugé intéressant de parcourir vos pages. Un taux de rebond élevé peut signifier, selon les cas, un mauvais ciblage, une présentation peu ergonomique ou des contenus de qualité insuffisante.

http://blog.netpme.fr/2011/12/13/le-taux-de-rebond-trois-facons-de-lameliorer

Web analytics, CRM et Datamining, la trilogie gagnante du marketing relationnel selon Equancy

« Nous l'avons vu en 2011, les directions marketing prennent de plus en plus le leadership sur les activités web. Nous constatons cette approche globale des canaux chez Disney, chez Accor et beaucoup d'autres entreprises.» A ce constat réalisé par Hervé Mignot, partenaire associé de l'agence Equancy, s'en ajoute aussi un autre, le besoin d'analyse de plus en plus

sophistiquée des données récoltées par les canaux numériques. Toutefois, les données,

qu'elles soient transactionnelles ou issues du parcours client, restent encore mal captées sur le web affirme Hervé Mignot et surtout peu analysées, « Prenez les réservations, les commandes?

Elles sont traitées de manière brute, mais ce qui se passe après, par exemple une annulation de commande, est rarement pris en compte. » Un manque lié à la fois à l'absence de

croisement des données, mais aussi au peu de maturité des analyses digitales, surtout de la part des entreprises issues du « mortar » pour qui cette pratique reste neuve et souvent réalisée « pour voir » avec des outils peu onéreux. «Très vite, le besoin de croiser les données émergera et les entreprises devront se poser la question d'un rapprochement entre les

données issues du web et les autres données de l'entreprise, que ce soit vers l'outil

transactionnel ou vers l'entrepôt de données », prédit Hervé Mignot. Un plaidoyer pour la mise en place d'une approche fondée sur un datamining depuis un entrepôt de données global et unifié (datawarehouse) plutôt que la mise en oeuvre des passerelles complexes entre les silos de données.

http://www.e-marketing.fr/Breves/Web-analytics-CRM-et-Datamining-la-trilogie La stratégie en « 3 P » de Marionnaud

En lançant un vaste programme de rénovation des magasins et instituts, Marionnaud souhaite renforcer la proximité relationnelle. Sans tout réinventer, l'enseigne a travaillé à un concept de magasins déclinable sur tous ses formats (de 20 à 900 m²), sur tous ses emplacements

(centre-ville ou centre commercial), pour tous les types de clientèle. Etalée sur trois ans, cette modernisation est l'aboutissement d'un long travail de réforme de l'enseigne, entrepris depuis 2005. Cette année, 70 magasins sont refaits à ce nouveau concept nommé 3P comme les valeurs historiques de l'enseigne : proximité, plaisir et professionnalisme.

http://www.relationclientmag.fr/Breves/La-strategie-en-3-P-de-Marionnaud-42536.htm Wait marketing, Total crée une chaîne de télé «Instore »

« Les consommateurs sont influencés dans leur temps d'attente », explique Claude Nahon, président de Mood Média, l'agence de marketing sensoriel qui a bâti une chaîne de télévision ad hoc pour Total. Dans les prochains jours, cette chaîne de télé fera son apparition dans le réseau autoroutier du pétrolier français. « Notre but est d'agrémenter la pause de nos clients avec du contenu informatif. C'est une véritable chaîne intégrée, sans son, avec des

métaséquences de sept minutes. Sept minutes, cela correspond en réalité au temps moyen passé dans les aires d'autoroute », souligne Anne Françoise Tancrède, responsable de la promotion et de la communication de Total. Ainsi, une grille des programmes sur mesure est

mise en place avec des partenariats avec la prévention routière, Météo France, France 24 (pour

mise en place avec des partenariats avec la prévention routière, Météo France, France 24 (pour