• Aucun résultat trouvé

Environnement favorable

Dans le document Rapport annuel 2019 OmiDelta Fonds ANE (Page 8-0)

2. Progrès dans la mise en œuvre de la théorie de changement et du cadre logique

2.4. Environnement favorable

Les projets ont tous mené des activités de renforcement des capacités des acteurs en vue de l’amélioration de l’économie et des finances locales (collaboration avec des projets agricoles, ramassage des ordures, etc.), tout en adoptant des approches qui renforcent l’inclusion sociale, la préservation de l’environnement, ainsi que le développement des technologies innovantes

(application mobile en ligne). Par ailleurs, les critères relatifs à la création d’emplois pour les jeunes et les femmes, à l’innovation, à la durabilité et au changement climatique ont été

déterminants dans la sélection des projets et une attention particulière leur est accordée dans la mise en œuvre et lors des suivis des projets.

Le tableau en annexe 6 présente un narratif explicatif par sujet applicable à chaque composante.

2 Des sensibilisations à la radio et des sensibilisations directes (animateur/trices) ont permis dès la première année d’appuyer de nombreuses personnes. Ces résultats ne sont pas cumulatifs d’une année à l’autre.

3 Le score concerne uniquement les localités d’intervention du Fonds ANE.

2.5.1. Rapportage selon la norme IATI

Les pages du Fonds ANE pour les deux (2) composantes ainsi que les pages des quatre (4) organisations exécutant les projets de petite taille ont été mises à jour trimestriellement par la SNV. Un appui a été apporté aux projets de grande taille pour la création et / ou le remplissage des pages des projets AEPHA et GIRE. Chacun des projets dispose désormais de sa propre page et rapporte sur IATI. Seul Oxfam n’est pas à jour et rencontre des difficultés. Des échanges sont en cours pour solutionner le problème.

2.5.2. Communication

D’importants supports de communication ont été réalisés / utilisés (kakémono, plaquettes, bloc-notes, etc.). Les réalisations effectuées (points d’eau, blocs sanitaires, etc.) par les organisations exécutantes portent une plaque et les rapports d’activités et autres documents ont été vulgarisés.

La presse écrite a été invitée lors des ateliers d’envergure tels que les ateliers de capitalisation et d’apprentissage du Fonds ANE, l’atelier de clôture du projet de AProDESE, etc.

Des articles ont été publiés régulièrement sur les réseaux sociaux tant sur la tenue et les résultats d’ateliers que sur l’avancée dans la mise en œuvre des projets.

3. Gestion opérationnelle, administrative et financière du Fonds OmiDelta Fonds ANE

3.1. Coordination et gestion de OmiDelta Fonds ANE 3.1.1. Plan de travail annuel et budget 2020

Le PTAB 2020 a été élaboré dans un contexte essentiellement marqué par la poursuite des réformes dans le sous-secteur de l’Eau au Bénin. Aussi, les enseignements tirés des trois (3) années de mise en œuvre du Fonds, le nouveau cadre de résultats de DGIS, et les conclusions et recommandations de l’évaluation interne réalisée en juillet 2019 ont amené le gestionnaire du Fonds à redéfinir les objectifs et les priorités pour 2020. Le PTA a donc mis l’accent sur

l’amélioration de la performance et de la qualité de la mise en œuvre des projets. Il a été validé par le sous-comité de pilotage, et approuvé par l’APB.

3.1.2. Rapport annuel 2018

Conformément aux clauses contractuelles, la SNV a soumis à l’APB le rapport annuel (technique et financier) et le rapport narratif a été publié sur IATI. Il présente les résultats obtenus ainsi que les activités qui y ont concouru, l’explication des écarts enregistrés, les risques et les mesures

d’atténuation, les difficultés rencontrées et les leçons apprises. Le rapport financier quant à lui, présente de façon analytique la situation financière des deux (2) composantes. Les deux (2) rapports ont été approuvés par l’APB.

3.1.3. Audit des comptes 2018

L’audit des comptes de 2018 s’est déroulé en deux phases. Une pour la révision des comptes directs de la SNV et des procédures convenues, et une autre faisant suite aux recommandations de l’APB de produire un seul rapport d’audit consolidé pour les comptes de la SNV et des organisations exécutantes. Ainsi il a été procédé à l’audit des comptes des OEs qui n’avaient pas encore commis un cabinet et à la révision des rapports d’audit des OEs dont l’audit avait été déjà réalisé. Comme conséquences, le rapport consolidé des comptes a été produit au-delà du délai contractuel incluant aussi bien les dépenses directes de la SNV que celles des OEs. Il a été approuvé par l’APB. Tirant les leçons du processus, la SNV a demandé une révision de la date de transmission du rapport d’audit pour les années à venir.

et le rapport approuvé par l’APB. Elle vise un double objectif : (i) mesurer les progrès réalisés ; déterminer si le projet répond aux objectifs initialement fixés et (ii) tirer les enseignements des activités et des pratiques pour la suite du Programme. L’une des principales leçons apprises est que, pour créer la base d’une mise en œuvre efficace et efficiente d’un programme et l’atteinte de ses résultats, d’importants investissements préalables sont nécessaires.

3.1.5. Activités d’appui au programme (appui-suivi, backstopping experts SNV-Siège, mission experts APB, Assistance Technique, communication, consultations, etc.)

En 2019, l’équipe de OmiDelta Fonds ANE a été appuyée par des experts tant internes qu’externes à la SNV.

Experts SNV-siège

L’équipe du projet a bénéficié d’importants appuis des experts du siège aussi bien à distance que par des visites de terrain. Ces appuis ont concerné divers domaines tels que l’assurance qualité, la durabilité, la mise en œuvre du cadre de suivi évaluation, l’analyse des risques, le développement, le partage des connaissances, l’audit annuel, l’évaluation interne, etc. Le nombre de jours d’appui planifié (74 h/j) a été exécuté à 97%.

Experts / consultants de l’APB et de l’AT-OmiDelta

A ce niveau, l’appui dont a bénéficié l’équipe du Fonds a porté entre autres sur l’assurance qualité, la communication, la prise en compte du nouveau cadre des résultats de DGIS, le genre, de la jeunesse et des groupes vulnérables, la réorientation de certains projets AEPHA, le positionnement géographique et stratégique des organisations exécutantes des projets GIRE, etc.

Consultants externes

L’équipe a également recouru à des consultants externes pour la réalisation de l’étude de référence GIRE, des articles et brochures de capitalisation, la facilitation d’ateliers, l’élaboration du cadre de gestion des impacts environnemental et social, ainsi que des supports de communication, etc.

3.2. Situation financière à la fin de l’année 2019

3.2.1. Gestion des subventions

Les prévisions de transfert de fonds aux organisations exécutantes pour l’année 2019, d’un

montant de, EUR 5.581.232 à raison de EUR 2.181.232 pour AEPHA et EUR 3.400.000 pour la GIRE ont été exécutées respectivement à 35% et 40%. Un seul virement a été fait au cours de l’année au lieu de 2 initialement prévus aussi bien pour les 3 projets AEPHA de grande taille que pour les projets GIRE. Cela se justifie par le long processus de réorientation de 2 projets AEPHA de grande taille et par le fait que les projets GIRE n’ont commencé leurs activités opérationnelles que vers la fin du 1er trimestre de l’année.

3.2.2. Etat des soldes

Le Budget global pour 2019 de, EUR 6.589.095 dont EUR 2.554.142 pour AEPHA et de EUR 4.034.954 pour la GIRE, a reçu l’approbation de EKN pour un réajustement sans incidence sur le montant total. Il a été exécuté au 31 décembre 2019 respectivement à 57% et 41% pour AEPHA et GIRE soit un taux global d’épuisement de 47% pour un montant total dépensé de EUR 3.095.671.

Ce niveau d’épuisement de 47% correspond pour chacune des deux grandes catégories budgétaires à :

 68% pour le fonctionnement de la SNV et ;

 43% pour les fonds dépensés par organisations exécutantes.

4. Evaluation qualitative de l’atteinte des résultats et justification

En vue d’apprécier l’évolution des indicateurs de résultats à la fin de l’année 2019, l’analyse des données s’est faite à travers l’exploitation des rapports annuels des 11 projets financés par le Fonds ANE. L’essentiel des activités planifiées dans les PTA 2019 a été réalisé, toutefois des écarts ont été enregistrés.

4.1. Ecarts et justification composante AEPHA

Mise en œuvre différée des activités opérationnelles des projets AEPHA de grande taille : eu égard aux importantes évolutions dans le sous-secteur AEP, deux (2) projets de grande taille ont dû être réorientés. Leur validation est intervenue en juillet, ce qui a retardé la mise en œuvre des activités. De même, la réalisation de la STBV que projette Oxfam a connu une difficulté dans l’acquisition d’un site devant abriter l’ouvrage. Aussi, les réflexions

engagées au regard des interventions des autres PTF en cours et surtout des échecs des expériences passées ont conduit à prendre du recul et à envisager d’autres options qui pourraient conduire à une éventuelle réorientation du projet de Oxfam.

Prorogation des projets AEPHA de petite taille : deux (2) des quatre (4) projets de petite taille qui devaient arriver à terme en décembre 2019 ont dû être prorogés car n’ayant pas entièrement achevé leurs activités.

4.2. Ecarts et justification composante GIRE et volet Gouvernance

Planification optimiste des OE : certaines activités prévues pour la première année n’ont pas pu être réalisées. C’est le cas pour la réalisation des infrastructures / ouvrages de résilience à l’inondation et aux crues. En effet, la consistance des activités et les procédures administratives, les études préalables nécessaires au niveau des OE ont entrainé des décalages dans la planification.

Des approches de mise en œuvre initialement prévues se sont révélées inadaptées : c’est le cas des structures de préfiguration des CLE pour lesquelles les échanges sur l’approche de leur mise en place se poursuivent en l’absence d’un guide pouvant servir de support.

D’autres activités comme la modélisation et les scénarii pour la cartographie et la valorisation des services écosystémiques ont été abandonnées par manque de données disponibles ou parce que prises en compte dans le cadre de l’élaboration du Plan Delta.

5. Evaluation et analyse des risques et des mesures d’atténuation

Le suivi des risques s’est fait tant au niveau du gestionnaire du Fonds que des organisations exécutantes. Au niveau du gestionnaire du Fonds, l’analyse des risques a surtout été effectuée lors de l’évaluation interne du programme. Avec les OE, elle s’est entre autres faite lors des ateliers de développement / partage de connaissances et d'expériences (cf. Annexe 7).

6. Difficultés rencontrées et mesures correctives

La mise en œuvre du Fonds a connu des difficultés diverses au cours de l’année 2019 auxquelles des mesures correctives ont été appliquées. Elles sont résumées dans le tableau annexe 8.

7. Leçons apprises

Au terme de l’année 2019, les principales leçons apprises sont :

permettent d’anticiper ou de solutionner des difficultés dans la mise en œuvre du programme ainsi que de générer des axes de synergie ;

o la gestion des risques doit être un exercice continu pour adapter le projet au contexte évolutif ; o la durabilité des réalisations/investissements doit être prise en compte à toutes les phases du

cycle du projet.

8. Durabilité des actions

8.1. Composante AEPHA

Pour opérationnaliser la clause de durabilité, les OE ont développé des cadres de durabilité et des actions qui ont été documentées. Ces actions sont résumées ci-dessous.

Durabilité financière : amélioration du dispositif communal de recouvrement des redevances Eau, mise en place d’outils (cahiers de gestion) pour une gestion efficaces et durable des ouvrages AEPHA, systématisation du paiement de l’eau au volume, conception des modèles d’ouvrages et d’équipements HA financièrement accessibles aux communautés (Tippy-tap), etc.

Durabilité institutionnelle : renforcement de la maîtrise d’ouvrage communale et des comités communaux AEPHA, renforcement des capacités des ACEP pour la veille citoyenne, identification et accompagnement de leaders naturels, etc.

Durabilité environnementale : préservation des ressources en eau contre les risques de pollution (profondeur des fosses, périmètre de protection), salubrité du cadre de vie des communautés, utilisation des énergies renouvelables (solaire), etc.

Durabilité technique : conception des modèles d’ouvrages et d’équipements AEPHA adaptés aux besoins des populations (Watè Alafia) et dont la technologie leur est accessible (entretien /

maintenance facile et localement disponible, technologie facile à répliquer).

Durabilité sociale : implication des communautés et de toutes les couches sociales à toutes les étapes de mise en œuvre des activités, appropriation sociale, accent particulier sur les intérêts stratégiques des jeunes et des femmes (création d’emplois), etc.

La prise en compte de ces dimensions est résumée dans le tableau en annexe 9.

8.2. Composante GIRE et volet Gouvernance

L’opérationnalisation de la durabilité dans le cadre des projets GIRE a été faite comme suit : Durabilité financière : les projets ont privilégié des actions dont les coûts sont abordables pour la communauté en tenant compte du pouvoir d’achat ou celles qui génèrent des revenus financiers.

Durabilité institutionnelle : les projets GIRE s’activent pour l’élaboration de la démarche de mise en place de CCE.

Durabilité technique : les actions retenues sont soit des actions d’amélioration des solutions locales ou soit celles dont les techniques sont facilement maitrisables par les communautés à la base (technique CES).

Durabilité environnementale : les actions mises en place sont de type à conserver ou à

restaurer les écosystèmes. Au niveau du gestionnaire du Fonds, une étude portant sur le cadre de gestion des impacts environnemental et social a été réalisée. Pour certains projets spécifiques, les études d’impact environnemental et social sont en cours.

Durabilité sociale : l’accent est mis sur l’intégration des couches vulnérables.

La prise en compte de ces dimensions de durabilité est résumée dans le tableau en annexe 10.

Les annexes de 1 à 4 sont liés au suivi et évaluation des projets des deux composantes : les cibles des projets, les résultats détaillés, et les grandes lignes de l’étude de référence GIRE sont énoncés. Les annexes 5 et 6 renseignent les nouveaux indicateurs qualitatifs de APB concernant les « Results area 1: General priorities » et « Results area 4: Enabling environment ». Les annexes 7 et 8 mettent en exergue l’évaluation des risques et des mesures d’atténuation, ainsi que les difficultés rencontrées et mesures correctives prises par le Fonds ANE. Ensuite, les dispositions prises pour opérationnaliser les différentes dimensions de la durabilité au niveau des projets des deux composantes et enfin quelques illustrations sur les réalisations des projets sont présentées en annexe 11.

9.1. Annexe 1 : Cibles des organisations exécutantes AEPHA

Cibles Domaines d'intervention

Organisations exécutantes

AERAMR ANAP AProDESE SIA N'SON Helvetas Oxfam Protos Total Cibles APB %

Cibles initiales AEP 0 44000 25000 0 60000 20000 62981 211981 180000 117,77

HA 25920 0 0 54000 90000 42240 20000 232160 245000 94,76

Cibles après réorientation

AEP 0 44000 25000 0 40000 20000 8900 137900 180000 76,61

HA 25920 0 0 54000 110000 39600 112400 341920 245000 139,56

Outcome clé 1. : Utilisation par les populations de services d’eau potable de qualité améliorée

Outcome clé 2. : Utilisation par les populations de services d'hygiène et d’assainissement de qualité améliorée

Outcome clé 3. : Populations pauvres et vulnérables ont opéré un changement positif de comportement en matière d'hygiène et d'assainissement Les indicateurs des autres outcomes et outputs, y inclus les résultats des indicateurs APB correspondants, sont renseignés au niveau des pages IATI des organisations qui y contribuent.

Les valeurs de référence sont zéro mais l’état de la situation actuelle est renseigné au sein du Rapport de l’étude de référence AEPHA. Les valeurs des indicateurs sont non cumulées, désagrégées en genre, par milieu d’intervention, et en fonction du niveau de service (basique / géré en toute sécurité). Les femmes correspondent à 52% des personnes (normes du Bénin). Les projets AEPHA, AProDESE, Helvetas, Oxfam et Protos interviennent principalement en milieu urbain tandis que les zones d’intervention de ANAP, AERAMR, SIA N’SON se situent en milieu rural. Concernant les niveaux de services, le Fonds ANE, respectent les niveaux de services du Programme commun OMS/UNICEF de suivi de l’approvisionnement en eau, de

l’assainissement et d’hygiène (JMP).

Niveau de service d’accès à l’eau potable

Indicateurs de niveau de service

Qualité Accessibilité

(mn/p/j)

Disponibilité dans le temps (m/an)

Pas d’accès (0)

Eau de surface, provenant directement d’une rivière, d’un barrage, d’un lac, d’un étang, d’un ruisseau, d’un canal ou d’un canal d’irrigation

Plus de 60 0 – 4 mois

Niveau de service d’accès aux latrines

Description de l’indicateur de niveau de service

Pas d’accès (0)

Le ménage pratique la défécation à l’air libre.

Inadéquat (1)

Latrine peut être partagée ou individuelle.

Latrine présentant des risques de

contamination humaine, et les rats et les mouches peuvent y pénétrer.

Minimal (2)

Latrine peut être partagée ou individuelle.

Latrine ne présentant pas des risques de contamination humaine, et les rats ne peuvent pas y entrer, mais les mouches oui.

Basique (3)

Latrine adéquate individuelle par unité d’usagers (ménages).

Latrine ne présentant pas des risques de contamination humaine, et les rats et les

Minimal (2)

Point d’eau amélioré, tel un forage muni de Pompe à Motricité humaine (FPM)

30 - < 45 8-9 mois

Basique (3) Point d’eau amélioré, telle une borne Fontaine (BF)

15 - < 30 10-11 mois

Optimal / géré en toute sécurité (4)

Point d’eau amélioré situé à domicile (branchement particulier) tel un robinet

Moins de 15 12 mois

Optimal / géré en toute sécurité (4)

Latrine améliorée individuelle par unité d’usagers (ménages).

Latrine ne présentant pas des risques de contamination humaine, et les rats et les mouches ne peuvent pas y entrer, et les latrines ne présentent pas de risque de contamination de l’environnement : les excréments sont éliminés en toute sécurité sur site ou transportés et traités hors site.

Détails des résultats AEPHA du Fonds ANE

Outcomes du Fonds ANE

Indicateurs du Fonds ANE

Indicateurs APB

correspondant s

Cibles finales Cibles 2019

Résultats 2019

Commentaires sur les résultats atteints

Cibles 2020

1.

Utilisation par les

populations de services d’eau potable

1a. Nombre de personnes (h/f) utilisant des services

d’alimentation en eau potable gérés

A. Nombre de personnes utilisant des services d’alimentation en eau potable

0 0 0

Au vu des critères du JMP, les ouvrages que nous réalisons (PEA, FPM, Kiosques) ne sont pas des points d’eau améliorés à domicile, nous ne pouvons donc

0

de qualité améliorée

en toute sécurité (urbain/rural)

gérés en toute sécurité Cible finale = 140.000 dont 72.800 femmes

Rural = 44.000 dont 22.880 femmes

Urbain = 96.000 dont 49.920 femmes

pas renseigner cet indicateur.

1b. Nombre de personnes (h/f) utilisant des services

d’alimentation en eau potable basique (urbain/rural)

133.500 dont 69.420

femmes Rural = 44.000 dont 22.880 femmes Urbain = 89.500 dont 46.540

89.400 dont 46.488 femmes Rural = 38.750 dont 20.150 femmes Urbain = 50.650 dont 26.338 femmes

On considère que les kiosques et FPM créés ou réhabilités par les projets ont un niveau basique.

Les écoliers sont comptabilisés plus bas, au niveau de l’indicateur c. de APB.

25.000 dont 14.000 20.000 dont 11.000 femmes 1c. Nombre de

personnes (h/f) utilisant des services

d’alimentation en eau potable au niveau de lieux publics

(urbain/rural)

6.500 dont 3.380 femmes en milieu urbain

0 0

Cet indicateur a été ajouté suite aux réorientations : sont dénombrés ici le nombre de personnes

additionnelles ayant accès à l’eau potable au niveau d’un lieu public (marchés, gares, sanimarchés, péages)

6.500 dont 3.500 femmes

en milieu urbain

1.1 Services d’approvisionne ment en eau potable mis en place

1.1a. Nombre d’équivalents point d’eau (EPE) additionnels créés

a. (facilités) Nombre de points d’eau construits / réhabilités

ANAP a réhabilité 88%

des FPM prévus en milieu rural.

En milieu urbain Helvetas a réalisé 08 mini

150 Rural = 20 Urbain = 130

AEPS/PEA et Oxfam a réhabilité 41 FPM (71% au total) 1.1b. Nombre

d’équivalents point d’eau (EPE) additionnels créés au niveau de lieux publics

a. (facilités) Nombre de points d’eau construits / réhabilités

26 EPE en

milieu urbain 0 0

Le projet de Protos vise la création de 13 kiosques dans des lieux publics tels que les gares / marchés / sanimarchés (2 EPE par kiosque).

26

1.1c. Nombre d’équivalents point d’eau (EPE) additionnels créés dans les écoles

a. (facilités) Nombre de points d’eau construits / réhabilités

Protos vise 12 kiosques au niveau des écoles et 9 ont déjà été réalisés (1 EPE par kiosque).

3

c. Nombre d’élèves / étudiants avec des installations d’eau potable améliorées dans leurs écoles

2.400 en milieu urbain

dont 1.248 filles

2.000 en milieu urbain dont

1.040 filles

2.587 en milieu urbain dont

1363 filles

9 kiosques sont réalisés au niveau des écoles par le projet de Protos.

400 en milieu urbain dont

208 filles

1.2 Services d’approvisionne ment en eau potable fonctionnels et bien gérés

1.2a. Progrès réalisé dans la gestion du Service Public de l’Eau (pannes, paiement des redevances,

209 176 161

161 ouvrages sont mieux gérés mais presque tous ont encore des progrès à faire car très peu ont un score de gestion au moins satisfaisant.

160

délégation du SPE, respect des clauses

contractuelles) 1.2b. Nombre de personnes (f/h) des

institutions/organ isations d’AEP formées

Plusieurs types

d’organisations ont été renforcés : ACEP, services communaux, ONG, OSC, etc.

160

Nombre de personnes formées dans des institutions

d’AEPHA 3.761 1.139

1.411 dont 432 femmes (103 < 35 ans ;

Plusieurs profils de

Plusieurs profils de

Dans le document Rapport annuel 2019 OmiDelta Fonds ANE (Page 8-0)

Documents relatifs