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Durabilité des actions

Dans le document Rapport annuel 2019 OmiDelta Fonds ANE (Page 12-0)

8.1. Composante AEPHA

Pour opérationnaliser la clause de durabilité, les OE ont développé des cadres de durabilité et des actions qui ont été documentées. Ces actions sont résumées ci-dessous.

Durabilité financière : amélioration du dispositif communal de recouvrement des redevances Eau, mise en place d’outils (cahiers de gestion) pour une gestion efficaces et durable des ouvrages AEPHA, systématisation du paiement de l’eau au volume, conception des modèles d’ouvrages et d’équipements HA financièrement accessibles aux communautés (Tippy-tap), etc.

Durabilité institutionnelle : renforcement de la maîtrise d’ouvrage communale et des comités communaux AEPHA, renforcement des capacités des ACEP pour la veille citoyenne, identification et accompagnement de leaders naturels, etc.

Durabilité environnementale : préservation des ressources en eau contre les risques de pollution (profondeur des fosses, périmètre de protection), salubrité du cadre de vie des communautés, utilisation des énergies renouvelables (solaire), etc.

Durabilité technique : conception des modèles d’ouvrages et d’équipements AEPHA adaptés aux besoins des populations (Watè Alafia) et dont la technologie leur est accessible (entretien /

maintenance facile et localement disponible, technologie facile à répliquer).

Durabilité sociale : implication des communautés et de toutes les couches sociales à toutes les étapes de mise en œuvre des activités, appropriation sociale, accent particulier sur les intérêts stratégiques des jeunes et des femmes (création d’emplois), etc.

La prise en compte de ces dimensions est résumée dans le tableau en annexe 9.

8.2. Composante GIRE et volet Gouvernance

L’opérationnalisation de la durabilité dans le cadre des projets GIRE a été faite comme suit : Durabilité financière : les projets ont privilégié des actions dont les coûts sont abordables pour la communauté en tenant compte du pouvoir d’achat ou celles qui génèrent des revenus financiers.

Durabilité institutionnelle : les projets GIRE s’activent pour l’élaboration de la démarche de mise en place de CCE.

Durabilité technique : les actions retenues sont soit des actions d’amélioration des solutions locales ou soit celles dont les techniques sont facilement maitrisables par les communautés à la base (technique CES).

Durabilité environnementale : les actions mises en place sont de type à conserver ou à

restaurer les écosystèmes. Au niveau du gestionnaire du Fonds, une étude portant sur le cadre de gestion des impacts environnemental et social a été réalisée. Pour certains projets spécifiques, les études d’impact environnemental et social sont en cours.

Durabilité sociale : l’accent est mis sur l’intégration des couches vulnérables.

La prise en compte de ces dimensions de durabilité est résumée dans le tableau en annexe 10.

Les annexes de 1 à 4 sont liés au suivi et évaluation des projets des deux composantes : les cibles des projets, les résultats détaillés, et les grandes lignes de l’étude de référence GIRE sont énoncés. Les annexes 5 et 6 renseignent les nouveaux indicateurs qualitatifs de APB concernant les « Results area 1: General priorities » et « Results area 4: Enabling environment ». Les annexes 7 et 8 mettent en exergue l’évaluation des risques et des mesures d’atténuation, ainsi que les difficultés rencontrées et mesures correctives prises par le Fonds ANE. Ensuite, les dispositions prises pour opérationnaliser les différentes dimensions de la durabilité au niveau des projets des deux composantes et enfin quelques illustrations sur les réalisations des projets sont présentées en annexe 11.

9.1. Annexe 1 : Cibles des organisations exécutantes AEPHA

Cibles Domaines d'intervention

Organisations exécutantes

AERAMR ANAP AProDESE SIA N'SON Helvetas Oxfam Protos Total Cibles APB %

Cibles initiales AEP 0 44000 25000 0 60000 20000 62981 211981 180000 117,77

HA 25920 0 0 54000 90000 42240 20000 232160 245000 94,76

Cibles après réorientation

AEP 0 44000 25000 0 40000 20000 8900 137900 180000 76,61

HA 25920 0 0 54000 110000 39600 112400 341920 245000 139,56

Outcome clé 1. : Utilisation par les populations de services d’eau potable de qualité améliorée

Outcome clé 2. : Utilisation par les populations de services d'hygiène et d’assainissement de qualité améliorée

Outcome clé 3. : Populations pauvres et vulnérables ont opéré un changement positif de comportement en matière d'hygiène et d'assainissement Les indicateurs des autres outcomes et outputs, y inclus les résultats des indicateurs APB correspondants, sont renseignés au niveau des pages IATI des organisations qui y contribuent.

Les valeurs de référence sont zéro mais l’état de la situation actuelle est renseigné au sein du Rapport de l’étude de référence AEPHA. Les valeurs des indicateurs sont non cumulées, désagrégées en genre, par milieu d’intervention, et en fonction du niveau de service (basique / géré en toute sécurité). Les femmes correspondent à 52% des personnes (normes du Bénin). Les projets AEPHA, AProDESE, Helvetas, Oxfam et Protos interviennent principalement en milieu urbain tandis que les zones d’intervention de ANAP, AERAMR, SIA N’SON se situent en milieu rural. Concernant les niveaux de services, le Fonds ANE, respectent les niveaux de services du Programme commun OMS/UNICEF de suivi de l’approvisionnement en eau, de

l’assainissement et d’hygiène (JMP).

Niveau de service d’accès à l’eau potable

Indicateurs de niveau de service

Qualité Accessibilité

(mn/p/j)

Disponibilité dans le temps (m/an)

Pas d’accès (0)

Eau de surface, provenant directement d’une rivière, d’un barrage, d’un lac, d’un étang, d’un ruisseau, d’un canal ou d’un canal d’irrigation

Plus de 60 0 – 4 mois

Niveau de service d’accès aux latrines

Description de l’indicateur de niveau de service

Pas d’accès (0)

Le ménage pratique la défécation à l’air libre.

Inadéquat (1)

Latrine peut être partagée ou individuelle.

Latrine présentant des risques de

contamination humaine, et les rats et les mouches peuvent y pénétrer.

Minimal (2)

Latrine peut être partagée ou individuelle.

Latrine ne présentant pas des risques de contamination humaine, et les rats ne peuvent pas y entrer, mais les mouches oui.

Basique (3)

Latrine adéquate individuelle par unité d’usagers (ménages).

Latrine ne présentant pas des risques de contamination humaine, et les rats et les

Minimal (2)

Point d’eau amélioré, tel un forage muni de Pompe à Motricité humaine (FPM)

30 - < 45 8-9 mois

Basique (3) Point d’eau amélioré, telle une borne Fontaine (BF)

15 - < 30 10-11 mois

Optimal / géré en toute sécurité (4)

Point d’eau amélioré situé à domicile (branchement particulier) tel un robinet

Moins de 15 12 mois

Optimal / géré en toute sécurité (4)

Latrine améliorée individuelle par unité d’usagers (ménages).

Latrine ne présentant pas des risques de contamination humaine, et les rats et les mouches ne peuvent pas y entrer, et les latrines ne présentent pas de risque de contamination de l’environnement : les excréments sont éliminés en toute sécurité sur site ou transportés et traités hors site.

Détails des résultats AEPHA du Fonds ANE

Outcomes du Fonds ANE

Indicateurs du Fonds ANE

Indicateurs APB

correspondant s

Cibles finales Cibles 2019

Résultats 2019

Commentaires sur les résultats atteints

Cibles 2020

1.

Utilisation par les

populations de services d’eau potable

1a. Nombre de personnes (h/f) utilisant des services

d’alimentation en eau potable gérés

A. Nombre de personnes utilisant des services d’alimentation en eau potable

0 0 0

Au vu des critères du JMP, les ouvrages que nous réalisons (PEA, FPM, Kiosques) ne sont pas des points d’eau améliorés à domicile, nous ne pouvons donc

0

de qualité améliorée

en toute sécurité (urbain/rural)

gérés en toute sécurité Cible finale = 140.000 dont 72.800 femmes

Rural = 44.000 dont 22.880 femmes

Urbain = 96.000 dont 49.920 femmes

pas renseigner cet indicateur.

1b. Nombre de personnes (h/f) utilisant des services

d’alimentation en eau potable basique (urbain/rural)

133.500 dont 69.420

femmes Rural = 44.000 dont 22.880 femmes Urbain = 89.500 dont 46.540

89.400 dont 46.488 femmes Rural = 38.750 dont 20.150 femmes Urbain = 50.650 dont 26.338 femmes

On considère que les kiosques et FPM créés ou réhabilités par les projets ont un niveau basique.

Les écoliers sont comptabilisés plus bas, au niveau de l’indicateur c. de APB.

25.000 dont 14.000 20.000 dont 11.000 femmes 1c. Nombre de

personnes (h/f) utilisant des services

d’alimentation en eau potable au niveau de lieux publics

(urbain/rural)

6.500 dont 3.380 femmes en milieu urbain

0 0

Cet indicateur a été ajouté suite aux réorientations : sont dénombrés ici le nombre de personnes

additionnelles ayant accès à l’eau potable au niveau d’un lieu public (marchés, gares, sanimarchés, péages)

6.500 dont 3.500 femmes

en milieu urbain

1.1 Services d’approvisionne ment en eau potable mis en place

1.1a. Nombre d’équivalents point d’eau (EPE) additionnels créés

a. (facilités) Nombre de points d’eau construits / réhabilités

ANAP a réhabilité 88%

des FPM prévus en milieu rural.

En milieu urbain Helvetas a réalisé 08 mini

150 Rural = 20 Urbain = 130

AEPS/PEA et Oxfam a réhabilité 41 FPM (71% au total) 1.1b. Nombre

d’équivalents point d’eau (EPE) additionnels créés au niveau de lieux publics

a. (facilités) Nombre de points d’eau construits / réhabilités

26 EPE en

milieu urbain 0 0

Le projet de Protos vise la création de 13 kiosques dans des lieux publics tels que les gares / marchés / sanimarchés (2 EPE par kiosque).

26

1.1c. Nombre d’équivalents point d’eau (EPE) additionnels créés dans les écoles

a. (facilités) Nombre de points d’eau construits / réhabilités

Protos vise 12 kiosques au niveau des écoles et 9 ont déjà été réalisés (1 EPE par kiosque).

3

c. Nombre d’élèves / étudiants avec des installations d’eau potable améliorées dans leurs écoles

2.400 en milieu urbain

dont 1.248 filles

2.000 en milieu urbain dont

1.040 filles

2.587 en milieu urbain dont

1363 filles

9 kiosques sont réalisés au niveau des écoles par le projet de Protos.

400 en milieu urbain dont

208 filles

1.2 Services d’approvisionne ment en eau potable fonctionnels et bien gérés

1.2a. Progrès réalisé dans la gestion du Service Public de l’Eau (pannes, paiement des redevances,

209 176 161

161 ouvrages sont mieux gérés mais presque tous ont encore des progrès à faire car très peu ont un score de gestion au moins satisfaisant.

160

délégation du SPE, respect des clauses

contractuelles) 1.2b. Nombre de personnes (f/h) des

institutions/organ isations d’AEP formées

Plusieurs types

d’organisations ont été renforcés : ACEP, services communaux, ONG, OSC, etc.

160

Nombre de personnes formées dans des institutions

d’AEPHA 3.761 1.139

1.411 dont 432 femmes (103 < 35 ans ;

Plusieurs profils de personnes ont été renforcés : délégataires, membres des groupes d’épargne, acteurs des communes, membres des ACEP, opérateurs privés du secteur, etc.

2.000

1.3

Opportunités d'emplois durables et décents créées au profit des femmes et des jeunes

1.3a. Nombre de femmes et de jeunes ayant bénéficié d'emplois durables et décents liés à hommes (<35

ans)

Il s’agit principalement d’animateurs/trices et de délégataires.

Ne sont rapportés ici que les emplois équivalent temps (ETP) plein créés pour les femmes et les jeunes mais au moins 150 autres ETP pour les hommes > «35 ans peuvent aussi être dénombrés.

30

1.4 Capacités des acteurs du secteur privé local à offrir des services d’AEP de qualité renforcées

1.4a. Niveau de satisfaction des utilisateurs vis-à-vis des services du secteur privé (fermiers, artisans

réparateurs, etc.)

80% 80% 75%

De nombreux ménages sont désormais satisfaits des services d’accès à l’eau potable. Toutefois, certains ouvrages ne sont pas encore réalisés ou mis en service.

80%

2.

Utilisation par les

populations de services d'hygiène et d’assainissem ent de qualité améliorée

2a. Nombre de personnes (f/h) utilisant des services utilisant des services

d’assainissemen t gérés en toute sécurité

Cible finale = 240.000 dont 124.800 femmes

Rural = 80.000 dont 41.600 femmes

Urbain = 160.000 dont 83.200 femmes.

13.000 dont 6.800 femmes en milieu urbain

1.300 dont 1.200 femmes en milieu urbain

On considère comme

« gérés en toute sécurité » les latrines vendues au niveau des sanimarchés.

10.000 dont 5.300 femmes

en milieu urbain

2b. Nombre de personnes (f/h) utilisant des services

d’assainissement basique

(urbain/rural)

70.000 dont 36.000 femmes Rural = 65.000 dont 33.000 femmes Urbain = 5.000 dont 3.00 femmes

20.000 dont 11.000 femmes en milieu rural

17.677 dont 9.192 femmes en milieu rural ont un niveau d’accès basique

Tous les ménages rapportés ont eu une amélioration de leurs conditions soit en ayant un accès de niveau basique soit un accès de niveau minimal.

Les écoliers sont comptabilisés plus bas, au niveau de l’indicateur d. de APB.

15.000 dont 8.000 femmes en milieu rural

2c. Nombre de personnes (f/h)

20.000 dont 11.000

20.000 11.000

19.955 dont

10.377 femmes 0

utilisant des services

d’assainissement minimal

(urbain/rural)

femmes en milieu rural

femmes en milieu rural

en milieu rural ont un niveau d’accès minimal

2d. Nombre de personnes (h/f) utilisant des services

d’assainissement au niveau de lieux publics (urbain/rural)

135.000 dont 70.200

femmes en milieu urbain

2.000 dont 1.200 femmes en

milieu urbain

2.000 dont 1.040 femmes en milieu urbain

Cet indicateur a été ajouté suite aux réorientations. Sont dénombrés le nombre de personnes additionnelles ayant accès à

l’assainissement dans chaque lieu public (marchés, gares,

sanimarchés, péages). Il est encore difficile d’estimer combien de nouvelles personnes vont utiliser ces blocs

sanitaires publics.

Pour 2019, les 2.000 personnes additionnelles sont estimées sur la base des 12.813 utilisations au niveau des blocs

sanitaires des sanimarchés déjà construits par Protos à Dogbo et Athiémé.

133.000 dont 70.000 femmes en milieu

urbain

2.1 Services d’HA publics et

2.1a. Progrès

réalisé dans la Non renseigné - - - -

institutionnels utilisés et bien gérés

gestion

d’ouvrages d’HA publics et institutionnels 2.1b. Nombre d’ouvrages d’hygiène et d’assainissement publics réalisés de manière sanitaires en milieu urbain

6 blocs sanitaires en milieu urbain

3 blocs sanitaires en milieu urbain

Retard dans les

réalisations. 3 blocs de 4 latrines ont été construits par Oxfam mais sont tout juste mis en service.

Pour les autres, les travaux ont globalement démarré.

16

2.1c. Nombre d’ouvrages d’hygiène et d’assainissement réalisés de manière durable dans les écoles

12 blocs sanitaires dans

les écoles

Retard dans le

démarrage des travaux toutefois 4 ont été réalisés et les autres sont prévus pour 2020.

8

d. Nombre d’élèves / étudiants avec des installations d’assainissemen t améliorées dans leurs écoles

2.400 en milieu urbain

dont 1.248 filles

800

1.118 dont 539 filles en milieu

urbain

4 blocs sanitaires « handi sexo spécifiques » de 2 latrines par sexe créés au niveau de 4 écoles.

1.500 dont 1.200 filles en

milieu urbain

2.2 Services d’HA familiaux

2.2a. Nombre d’ouvrages d’hygiène et

b. Nombre de

En milieu urbain il s’agit des latrines vendues au niveau des sanimarchés.

2.500 Rural = 800

utilisés et bien entretenus

d’assainissement familiaux réalisés de manière

Urbain = 342 Quant au milieu rural certaines ont été réhabilitées (529) et les autres réalisées. Les activités des projets de SIA N’SON et AERAMR ont créé de l’engouement et les réalisations

planifiées ont été dépassées.

Urbain = 1.700

2.2b. Progrès réalisé dans la gestion

d’ouvrages d’HA familiaux

1339 1485 1485

Les 1.485 ouvrages construits / réhabilités par le projet de AERAMR en 2018, ont tous connu un progrès dans leur gestion.

0

2.2c. Nombre de localités / personnes ayant maintenu l’état de Fin de

Défécation à l’Air Libre (FDAL)

333 localités / 81.120 personnes en milieu rural

Bien que des activités de CCC soient menées, elles mettent souvent du temps à donner des résultats tangibles.

14 / 4.000 vivant dans les communautés qui ont mis fin à

0 0 21 / 4.153

Fort de l’engouement dans les villages d’intervention, 21 localités sont finalement passées à l’état FDAL au niveau du projet de AERAMR.

0

la défécation à l’air libre 2.3

Opportunités d'emplois durables et décents créées au profit des femmes et des jeunes

2.3a. Nombres de femmes et de jeunes ayant bénéficié d'emplois durables et décents liés à

Il s’agit principalement de micro-entrepreneurs, de gestionnaires de sanimarchés, de maçons et d’animateurs/trices.

Ne sont rapportés ici que les ETP créés pour les femmes et les jeunes mais au moins 15 autres ETP peuvent être

dénombrés pour les hommes > 35 ans.

6

2.4 Offre de produits/équipe ments et services d’HA adaptée aux besoins et accessible aux populations

2.4a. Progrès dans la prestation de services et l’offre des produits / équipements HA adaptés aux besoins des populations

9 4 4

4 sanimarchés ont été créés par le projet de Helvetas et sont

fonctionnels, il y a donc un progrès dans la prestation des services puisque cela n’existait pas avant alors qu’il y a un besoin des

populations.

9

2.4b. Nombre de personnes (f/h) des

institutions/organ isations de promotion de l’HA formées

Nombre d’organisations d’AEPHA renforcées

330 80 79

Des groupements et des Comités HA ont été

renforcés. 250

Nombre de personnes formées dans

2.769 1.237 1.232 dont 1.068 femmes

Plusieurs profils de personnes ont été renforcés :

1.500

des institutions d’AEPHA

(496 < 35 ans ; 572 > 35 ans)

- 164 hommes (115 < 35 ans ;

49 > 35 ans)

animateurs/trices, gestionnaires des sanimarchés, maçons, points focaux des communes, jeunes ingénieurs, élus, opérateurs privés, etc.

3.

Populations pauvres et vulnérables ont opéré un changement positif de comportemen t en matière d'hygiène et d'assainissem ent

3a. Nombre de personnes (f/h) ayant réalisé un changement positif de

comportement en matière

d’hygiène et assainissement dont 42.000 femmes Urbain = 160.000 dont 83.000 femmes.

75.946 dont 39.492 femmes Rural = 61.080 dont 31.762 femmes Urbain = 14.866 dont 7.730

Les cibles finales des indicateurs 2 et 3 ne s’additionnent pas. Les 240.000 personnes étant les mêmes.

Certaines données communiquées par les organisations n’ont pas été prises en compte car manquant de fiabilité.

127.000 dont 61.000 122.000 dont 58.000 femmes

3.1 Populations conscientisées sur les

comportements positifs et bonnes pratiques en matière d’HA

3.1a. Nombre de personnes (f/h) touchées par les campagnes CCC (lavage des mains à l’eau et au savon / cendre aux moments 80.000 dont 41.600

186.704 dont 97.086 femmes Rural = 83.124 dont 43.224 femmes Urbain = 103.580 dont 53.862 femmes

Les cibles finales des indicateurs 3a. et 3.1a.

ne s’additionnent pas.

De nombreuses activités de CCC ont été conduites par la plupart des projets via des

animateurs/trices. De plus, des actions de

72.000 dont 36.000 femmes Rural = 18.000 dont 9.000 Urbain = 54.000 dont

maintien de l’état FDAL, etc.)

Urbain = 260.000 dont 135.200 femmes

Urbain = 20.000

communication par les radios locales et grand public itinérantes ont permis de toucher une grande partie de la population cible.

27.000 femmes

3.2 Capacités des

organisations locales à mettre en œuvre la communication pour un

changement de comportement renforcées

3.2a. Progrès dans le

renforcement des capacités de mise en œuvre des campagnes CCC

3 3 3

Les Unités Spécialisées de Services d'HA (USS/HA) n’existaient pas et ont été créées.

Elles sont plus ou moins actives et doivent encore être renforcées

3

3.2b. Nombre de personnes (h/f) formées dans des institutions/

organisations de mise en œuvre des campagnes CCC formées

Nombre renforcés en 2018 par les projets de SIA N’SON et AERAMR.

Nombre de personnes formées dans des institutions

d’AEPHA 1.926 474 450 hommes (377 < 35 ans ;

73 > 35 ans)

Divers profils de personnes ont été renforcés : leaders naturels, membres des USS/HA,

facilitateurs/trices, etc.

6

4.

Gouvernance dans le secteur

4a. Progrès dans l’amélioration de l’alignement du secteur

AEPHA améliorée favorisant un environnemen t propice aux partenariats public-privé et aux initiatives de

développemen t de

produits/servi ces AEPHA de qualité pour tous

4b. Nombre de Partenariats Public-Privés fonctionnels

1 0 0

Une action pilote de sécurisation et de suivi est prévue par le PNE dans une commune.

Cette activité devrait aboutir à 2 emplois concernant la collecte et traitement des

informations sur le SPE ; amélioration de la qualité de l’eau des PEA.

1

4.1 Associations des

Consommateurs d’Eau Potable capables d'assurer la veille citoyenne pour la bonne gouvernance dans l'AEPHA

4.1a. Nombre d'actions de Contrôle Citoyen de l'Action Publique menées par les

Associations des Consommateurs d’Eau Potable

36 12 6

Du fait de retards dans l’organisation, le PNE n’a organisé que 4 séances de reddition de compte thématique EA, 1 rapport alternatif annuel sur la gestion du Service Public de l’Eau (SPE) a été présenté au Maire et diffusé, et 1 rapport a été publié par les ANE sur le secteur.

24

4.2 Principes de bonne

gouvernance

4.2a. Progrès dans l'influence des politiques

A venir, non encore renseigné

- - - -

adoptés et mis en œuvre par l‘ensemble des acteurs intervenants dans l'AEPHA

AEPHA par les ANE

encore par le PNE

4.2b.

Pourcentage des interpellations traitées par les autorités responsables de la fourniture du service AEPHA

Au moins

25% 0 0

25%

4.3 Principes et approches Partenariats Public-Privés promus et renforcés

4.3a. Nombre d'initiatives Partenariats Public-Privés développées

42 37 6

Des initiatives de

partenariats public-privés sont développées lors de la mise en place des sanimarchés dans les différentes communes.

12

4.4 Droits et intérêts stratégiques des femmes et des jeunes promus dans la gestion de l’AEPHA

4.4a.

Pourcentage de femmes et jeunes occupant des postes clés au sein des

structures/organe s de gouvernance du secteur AEPHA

A venir, non encore renseigné encore par le PNE

- - - -

situation de référence de 2 des 3 outcomes clés, dont les indicateurs sont :

 le nombre de personnes vivant dans le Delta qui ont adopté des mesures efficaces de résilience et d’adaptation aux changements climatiques ;

 le taux actuel de préjudices liés aux phénomènes de changements climatiques.

Le total des ménages lors de cette première phase était de plus de 155.000 ménages :

Les enquêtes ont été conduites dans 9 des 14 communes de la basse et moyenne vallée de l’Ouémé que couvrent les trois projets de la composante GIRE. Les enquêtes structurées ont touché 348 ménages et 27 chefs de village. Cependant, l’ONG Protos procédant par lot de villages, les 48 ménages et les 3 chefs villages restants seront enquêtés lors d’une seconde phase au premier semestre en 2020.

Dans cette étude, les changements climatiques concernent l’inondation, la sécheresse et l’érosion et quelle que soit la zone d’intervention, au cours des 3

Dans cette étude, les changements climatiques concernent l’inondation, la sécheresse et l’érosion et quelle que soit la zone d’intervention, au cours des 3

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