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DEMARCHE DE MISE EN PLACE DES SIGNES DE QUALITE (AOC et IP)

DEMARCHE DE MISE EN PLACE DES SIGNES DE QUALITE (AOC et IP)

1. Contexte et opportunité

Les données présentées dans la troisième partie de ce rapport ont montré d’une façon indéniable que le miel produit dans les 5 zones concernées par cette étude répond aux critères d’une démarche de signe de qualité. Les signes de qualité qui ont été retenus sont l’AOC (pour le miel d’Euclyptus Camldulensis et d’agrumes) et l’IP (pour le miel de romarin, de thym et de marrube).

La mise en place de tels signes, dans chaque zone étudiée, a pour objectif principale, rappelons le, de valoriser une notoriété régionale qui est, parfois, ancrée dans son histoire. Cette démarche demande à tous les intervenants dans la filière (producteurs, structures professionnelles, commerçants, administration, consommateurs..) de se fédérer pour mettre en place un cahier de charges qui intègre l’origine, la pureté du produit et sa traçabilité.

Il convient de souligner que le miel, plus que tout autre produit agricole et agro-alimentaire, est un produit qui se prête le plus à une telle démarche qualitative. En effet, le consommateur, tunisien et étranger, a toujours exprimé son besoin de s’approvisionner en miel dont il connaît l’origine, la pureté et la qualité. Il est prêt pour cela à payer plus cher un tel produit « connu » compte tenu des vertus thérapeutiques du miel.

Cependant, l’examen des circuits actuels montre que les différents intervenants dans cette filière ne sont pas organisés pour profiter de cette image favorable de ce produit. Il est impératif donc d’initier un travail de fond, qui implique tous les opérateurs de la filière, en vue de mettre en place des mécanismes institutionnels, organisationnels et professionnels en vue de valoriser, à juste titre, le miel de chaque zone étudiée.

Notre proposition tient compte des efforts qui ont été déployés par certains organismes (tels que l’OEP, l’ODESYPANO…) pour encadrer cette filière apicole et promouvoir cette activité dans certaines régions du pays. Cette stratégie a abouti, récemment, à la mise en place de structures (coopératives, groupements…) qui ont grandement contribué d’une part à l’encadrement des apiculteurs et à leur

organisation d’autre part. Il est cependant vrai qu’une telle démarche, qui est récente, reste encore largement insuffisante pour assoire une démarche de qualité efficiente.

2. Schéma global de mise en place de la démarche

Dans le cas du miel, la démarche qualité doit impliquer les partenaires suivants :

· les apiculteurs qui sont actuellement partiellement sensibilisés à cette démarche qualitative, doivent s’inscrire irréversiblement dans cette voie.

· les organismes d’encadrement technique (OEP, ODESYPANO, CRDA, DGSA, AVFA, IRESA, APIA…) sont appelés, outre leurs missions administratives, à continuer leurs efforts pour mettre à la disposition des producteurs de nouvelles techniques qui visent à la fois l’augmentation de la production et l’amélioration de sa qualité pour être répondre, à chaque instant, aux normes du marché interne et externe

· Les organismes professionnels (coopératives agricoles, groupements de développement, fédération nationale des apiculteurs…) dont le rôle est actuellement reste limité même si on constate un regain d’intérêt à cet égard de la part de certains opérateurs pour dynamiser ces structures.

· Les opérateurs commerciaux (opérateurs privés, détenteurs de marques, sociétés de distribution, magasins grande surface…) qui doivent jouer un rôle plus déterminant dans la promotion des échanges commerciaux (internes et externes) du miel de qualité tunisien

· L’agence de défense des consommateurs qui doit informer ses adhérents de la pertinence de la démarche qualité en plus de son rôle dans le contrôle régulier de toute opération relative à la production de miel

3. Analyse critique de la situation actuelle de l’implication des partenaires

Par rapport aux différentes missions que doit accomplir chaque intervenant dans la filière apicole, l’analyse de la situation actuelle décèle plusieurs anomalies qui peuvent être succinctement résumées par les points suivants :

· Malgré un vrai potentiel économique et une importance sociale indéniable, l’apiculture reste un secteur qui n’a pas, jusqu’à maintenant, bénéficié de l’intérêt qu’elle mérite.

· en dépit d’un nombre important d’institutions qui sont censées intervenir dans le secteur, l’activité apicole en Tunisie se caractérise par un faible encadrement.

Seuls quelques organismes oeuvrent réellement pour promouvoir la production (quantitative et qualitative) du miel

· Il en découle, une absence de stratégie, à moyen et long terme, ayant pour objectifs le développement de ce secteur, notamment dans les régions potentielles en quantité mais en qualité. L’approche « qualité » du miel n’est que récemment initiée. Le rôle de quelques organismes, comme l’OEP, l’ODESYPANO et l’APIA, dans la promotion de cette démarche est indéniable

· les organisations professionnelles sont peu nombreuses, par rapport à d’autres secteurs économiquement et socialement moins importants, et peu efficaces dans la mise en place de stratégie pour promouvoir aussi bien la production que la qualité du miel pour qu’il soit valorisé à sa juste valeur.

· Le commerce du miel est assuré par une multitude d’opérateurs dont les objectifs différent énormément. Ces circuits font intervenir les apiculteurs eux-mêmes, les coopératives de services, les nombreux intermédiaires, les commerçants fixes et ambulants et les grandes surfaces. Les prix de vente sont de ce fait très aléatoires et ne répondent à aucune règle de qualité

· Le consommateur, tenté de chercher un miel de qualité, ne dispose pas d’outils ni d’informations (étiquettes, signe, origine…) qui lui permettent de bien satisfaire sa demande

Eu égard à ces lacunes, la mise en place de structures oeuvrant en synergie s’avère nécessaire pour mettre en place les signes de qualité que nous avons proposés antérieurement.

4. Nécessité d’un « Groupement Qualité de miel»

La mise en place d’une démarche qualité est à l’heure actuelle, nous l’avons montré, difficile compte tenu de nombreuses contraintes auxquelles elle se heurte. Pour permettre aux différents intervenants d’initier, dans de bonnes conditions, cette démarche qualité, nous proposons de mettre en place d’abord, une instance qui a pour objectif principal de mettre en œuvre et de gérer ensuite le signe de qualité proposé.

Cette instance doit nécessairement émaner des professionnels qui doivent jouer le premier rôle pendant cette phase de mise en place. Elle peut dans un premier temps impliquer des personnes, autres que les professionnels, pour bénéficier de leur expérience dans le domaine de la qualité du miel. Cette instance peut être désignée

sous le nom de « Groupement Qualité de miel ». Nous suggérons de mettre en place deux groupements d e ce type :

· un « Groupement Qualité Miel AOC » qui s’occupera des deux types de miel d’Eucalyptus Camaldulensis et d’agrumes dans les régions de Sejnane et du Cap Bon respectivement

· un « Groupement Qualité Miel IP » qui s’occupera des trois autres signes de miel à savoir celui de romarin (à Kasserine), Marrube (à Oueslatia) et de thym (à Zaghouan)

Ces deux « Groupements Qualité » s’intéresseront, chacun, ainsi à des régions géographiquement proches : Sejnane et Cap Bon d’une part (Nord) et Oueslatia, Zaghouan et Kasserine (centre du pays) d’autre part. Les travaux, les rencontres et les visites seront ainsi facilités par ce rapprochement territorial.

La constitution de ce groupement est importante. C’est pourquoi le choix des membres qui le composeront est primordial. De toute évidence, les différentes fractions qui interviennent dans la démarche doivent être représentées dans cette instance. Nous proposons la composition suivante (pour les deux types de groupements) :

· les apiculteurs eux-mêmes, exclusivement ceux qui sont motivés par cette démarche qualité. Leur part dans ce « Groupement Qualité » doit être prépondérante en vue de garantir une réussite de cette première phase qui, sans l’adhésion volontaire et massive de ces producteurs, serait inachevée

· les organismes professionnels qui, par le biais de leur implication dans le développement, ont acquis une certaine expérience en matière de l’organisation des filières. Ces organismes, rappelons le, comprennent des acteurs de diverses spécialités

· les opérateurs commerciaux, notamment ceux qui possèdent une large expérience dans la vente des produits de la ruche et ayant un potentiel de promouvoir davantage les échanges commerciaux internes et avec l’étranger.

· L’adhésion, à ce « Groupement Qualité », de quelques personnes ressources ayant une compétence dans ce domaine peut améliorer grandement l’efficacité de travail dudit groupement et accélérer le processus de mise en place de cette démarche qualité du miel tunisien.

Le nombre des membres et la représentativité de chaque groupe dans ce

« Groupement Qualité » peuvent être débattus dans une première réunion impliquant tous les intervenants qui ont été énumérés précédemment. Mais, dores et déjà, nous pouvons avancer les parts suivantes :

· une part prépondérante octroyée aux apiculteurs, soit 50 % de l’ensemble des membres

· 20 % pour les représentants des organismes professionnels. Le rôle de la Fédération Nationale des Apiculteurs est de premier ordre durant cette phase initiale. Elle doit fédérer toutes les autres structures oeuvrant dans ce domaine pour s’assurer de leur implication totale dans cette démarche

· 25 % pour les opérateurs commerciaux

· 5 % pour les personnes ressources ayant une expérience dans ce domaine Le choix des différents membres de ce groupement est important car il affecterait grandement l’efficience de travail par la suite. Les critères de choix les plus importants doivent être la motivation et l’a volonté de faire réussir cette démarche en s’y impliquant totalement.

5. Prérogatives du « Groupement Qualité

Plusieurs missions peuvent être attribuées à ce groupement lors de la mise en place de la démarche qualité. Comme nous l’avons mentionné auparavant, il sera chargé de la mise en œuvre et la gestion de chaque type de signe proposé. Pour ce faire, le

« Groupement Qualité » est appelé à agir autour de trois principaux axes de la démarche :

· Eclaircir, aux différents intervenants, les concepts de la qualité du miel ainsi que leur impact sur la valorisation de leur produit. Elle proposerait ensuite un cahier de charges qui régit la production (appellation, aire géographique, mode de production, savoir faire des apiculteurs, période …), d’extraction et de conditionnement. Ce cahier de charges comprend aussi les caractéristiques physico-chimiques du miel considéré dans chaque zone de production. D’autres informations, non moins importantes, doivent figurer dans ce cahier de charges

· Préciser les outils qui permettent de suivre la mise en place de cette démarche (organisations des interventions, l’élaboration d’un plan d’actions, la responsabilité des différents membres, timing, évaluation des actions…)

· Mettre en place une stratégie pour sensibiliser tous les maillons de la filière, notamment les consommateurs, de l’intérêt de la démarche initiée et de son impact sue le développement de la filière. Ces actions visent la promotion de l’appellation via de nombreux outils comme l’animation, la télévision, les journées d’information…

6. Conditions requises pour la réussite du « Groupement Qualité

Il est évident que les rôles joués par ledit groupement sont primordiaux durant la mise en place de la démarche qualité. Il va de soi que certaines précautions doivent être prises au préalable pour doter cette instance des moyens humains et matériels lui permettant de jouer pleinement les missions que nous avons décrites dans le paragraphe 5. Ces conditions sont de différentes natures et s’articulent autour de la formation des apiculteurs et des différents autres partenaires, le recrutement des compétences, le renforcement des laboratoires d’analyses du miel, la mise en place des compétences nationales en matière d’analyses sensorielles, l’appui institutionnel et financier.

En ce qui concerne le premier point (la formation), et contrairement aux autres spéculations animales, les compétences nationales en matière de production apicole, et encore en termes de qualité, sont peu nombreuses. Il est indispensable de commencer des sessions de formation au profit des apiculteurs, désirant intégrer cette démarche mais n’ayant pas une formation dans ce domaine. Les sessions de formation doivent être réalisées dans chaque zone dans les lieux de production pour motiver davantage les apiculteurs en tenant compte des propres conditions des producteurs. En effet, la mise en place d’un signe de qualité est très exigent à plusieurs niveaux. Des spécialistes matières nationaux et/ou internationaux seront chargés de cette formation.

Toutes les étapes de la démarche nécessitent une organisation infaillible pour réaliser toutes les actions à temps. C’est la raison pour laquelle, le recrutement d’une personne est indispensable pour assurer le bon déroulement de la mise en place. Le profil de cette personne doit répondre parfaitement aux exigences des tâches qu’elle a à réaliser durant cette période. Certains diplômés des instituts et écoles supérieurs agronomiques ont acquis une telle démarche en s’intéressant dans le cadre de leurs Projets de Fin d’Etudes (PFE) à cette thématique. Ils peuvent constituer un noyau à partir duquel, ce recrutement sera effectué. Il ne faut pas exclure les autres possibilités de recrutement.

La démarche qualité envisagée ne peut pas être réellement mise en place sans que les capacités d’analyses des échantillons de miel ne soient renforcées.

A l’heure actuelle, seul l’Institut National de Nutrition (INN) est habilité à faire ces analyses. Or, il n’est pas doté de moyens pour pouvoir effectuer toutes les analyses nécessaires, même si ses moyens s’améliorent. Par ailleurs, le Centre de Développement du secteur apicole de Mraissa (OEP) est doté de moyens plus

performants qui permettent de réaliser les analyses actuellement exigées par les normes nationales et internationales. Il est nécessaire de profiter de ces capacités d’analyses, et de les renforces par des équipements plus performants en vue de réaliser les analyses rapidement et en série. Il est à rappeler à cet égard que les méthodes d’analyses sont très régulièrement révisées dans le but de les rendre encore plus fiables et plus sensibles aux fraudes. Un autre point très important relatif aux analyses et qui mérite d’être soulevé. Il concerne le coût des analyses de la qualité du miel qui reste encore très élevé. Ceci est principalement dû aux prix très élevés des produits utilisés dans les analyses. A ce coût d’analyses s’ajoutent les frais de transport des échantillons. Les apiculteurs, dans leur majorité, ne peuvent pas supporter de telles charges. Deux solutions peuvent être préconisées pour atténuer ces charges pour les apiculteurs. La première consiste à réaliser, pour les analyses qui se prêtent, en série pour diminuer les frais d’analyses. La seconde consiste à appuyer (subvention) une part de ces analyses uniquement dans un premier temps pour accompagner les apiculteurs au début de cette démarche. La perception des valeurs ajoutées de la qualité permettrait aux apiculteurs de supporter ces frais d’analyses. Enfin, les analyses des grains de pollen des différentes ressources mellifères, travail qui est initié dans ledit centre, doit être davantage affiné pour pouvoir renforcer les capacités de reconnaissance de l’origine du miel..

La reconnaissance des caractéristiques qualitatives du miel fait appel, certes aux différentes analyses que nous avons décrites, mais aussi sur les qualités sensorielles qui jouent un rôle de grande importance. Malheureusement, dans le cas du miel, les personnes spécialisées dans ces types d’analyses ne sont pas nombreuses. Il est important, pour donner plus de valeur aux miels étudiés, de commencer des sessions de formation dans ce sens pour former des gens capables de différencier parfaitement les miels en se basant sur ces critères. Bien évidemment, en aucun cas, ces analyses sensorielles ne seront utilisées comme critères de base pour l’étude de la qualité du miel, mais elles seront un moyen supplémentaire pour mieux asseoir la démarche qualité.

Enfin, comme dans le cas des autres produits agricoles et agro-alimentaires, la démarche qualité est coûteuse (recrutement, analyses, sessions de formation…). De plus, et pour ne pas priver les petits apiculteurs de cette démarche faute de moyens financiers, il est souhaitable qu’un appui financier soit, au début, apporté pour permettre à une grande majorité des producteurs d’intégrer cette démarche. L’appui financier peut être de différentes natures. Il peut concerner la contribution aux différentes analyses,

comme nous l’avons suggéré précédemment. Il est aussi possible de les prendre en charges lors des sessions de formation ou durant les autres manifestations.

Enfin, la mise en place de cette démarche qualité fait recours à un tissu institutionnel performant qui doit œuvrer en étroite collaboration avec la profession.

L’OEP, qui dispose de compétences en la matière mais aussi une représentativité dans les 5 régions étudiées, l’ODESYPANO, qui a acquis une expérience, sont les deux organismes qui sont actuellement capables de jouer ce rôle important. Ces deux organismes doivent, en même temps, impliquer les autres institutions dans la démarche pour mieux encadrer les apiculteurs. La Direction Générale de la Santé Animale a un rôle non moins important dans cette démarche qualité. Les textes réglementaires, qui régissent la qualité du miel, doivent être réactualisés régulièrement à chaque fois que cela est nécessaire pour tenir compte de l’évolution des exigences du marché interne et des normes étrangères.

7. Etapes de la mise en place de la démarche qualité

Le tableau 21 présente une suggestion des différentes étapes qui peuvent être préconisées pour mettre en place cette démarche qualité pour chaque type de miel étudié.

Tableau 21. Etapes de mise en place de signes de qualité pour le miel produit dans les 5 régions étudiées

Etape Organismes responsables Actions

1. Mise en place du Groupement Qualité

Partenaires de la filière (apiculteurs, organisations professionnelles,

commerçants…)

· Mise en place, choix des membres, représentativité des partenaires

2. Mise en place de plan d’actions

Groupement Qualité

· Définir les actions à réaliser,

· établir un programme avec timing,

· responsabiliser les partenaires pour les différentes actions à mettre en œuvre

· Montage juridique des différents signes de qualité proposés

· Recruter les compétences requises

3. Choix des noms des différents signes

Groupement Qualité

· Proposer des noms tirant leur originalité des zones, ou des ressources mellifères prépondérantes (ou associant les deux) Dépôt des signes

4. Diffusion des noms &

formation des apiculteurs et différents partenaires

Groupement Qualité Tous les partenaires

· Réunir les partenaires

· Décrire les signes

· Adopter des noms proposés par les intervenants

· Former les apiculteurs et autre spartenaires

5. Echange d’expériences avec l’étranger

Groupement qualité

& responsables techniques (FNA)

· Prendre connaissance des expériences étrangères (AOC miel Corses, ou Portugal, Espagne 6. Elaboration du cahier de

charge relatif à chaque signe

Groupement Qualité

· Désigner une personne compétente

· Elaborer ensemble les différentes parties de ce cahier de charges

· Rédiger le cahier de charges

· Discuter le rapport

7. Mise en marché de l’offre Groupement Qualité

· Informer les partenaires

· Diffuser les informations

8. Organisation des partenaires

Groupement Qualité &

organisations

professionnelles (FNA)

· Sensibiliser les partenaires

· Mettre en place les outils nécessaires

· Proposer un schéma à suivre

9. Promotion des signes de qualité

Groupement Qualité &

FNA & commerçants &

apiculteurs avisés

· Faire des journées de sensibilisation (magasin de grande surface, télévision, radio, journaux, liens avec les autres organisations (médecine, environnement, femmes…)

10. Assistance technique à l’initiative de mise en marche des signes de qualité

Groupement Qualité &

différents partenaires

· Présenter les capacités développées à cet égard dans d’autres pays

· Echanger les expériences

11. Mise en place des systèmes de contrôle de la démarche qualité

Organisations

professionnelles (FNA &

GDA) Groupement Qualité

· Définir les paramètres et les étapes de contrôle

· Mettre à la disposition des compétences

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