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Mon stage n’a été exclusivement consacré qu’à une seule mission comprise dans un projet plus étendu portant sur le lien entre la culture scientifique et le numérique chez les 15-25 ans. L’idée était de réaliser une analyse sur les dispositifs intégrant des objets numériques dans un centre de culture scientifique. Pourtant au départ, je ne savais pas très bien comment allait véritablement se dérouler ma mission puisque l’accord partenarial entre Aquil@bs et Cap Sciences n’était pas encore finalisé.

Cet accord n’a eu lieu que deux semaines après mon arrivée via une réunion qui s’est tenue au CCSTI.

Avant ce rendez-vous, j’ai donc eu un peu de temps devant moi pour apprendre à me familiariser avec ma structure d’accueil et le personnel y travaillant. Ce laps de temps m’a ainsi permis de connaître les autres projets d’Aquil@bs et le fonctionnement du projet RAUDIN. Une fois la réunion avec Cap Sciences passée et les étapes du plan d’action validées, j’ai eu les idées un peu plus claires sur le programme qui m’attendait pour les mois suivants. Concrètement, je devais conduire les analyses sur la seconde et la troisième étape de ce plan d’action. Dans un premier temps, il fallait que j’identifie et catégorise les outils numériques proposés par Cap Sciences afin d’appréhender la création de leur nouvel espace numérique et sa projection dans l’espace physique du CCSTI. Dans un second temps, je devais spécifier les fonctionnalités des dispositifs numériques à mettre en place grâce à mon premier travail de catégorisation et à la cartographie des 15-25 ans faite par ma collègue Carole Diers. Ces deux étapes devaient déboucher sur la création d’un livrable par étape à remettre à la cellule de direction du projet Inmédiats de Cap Sciences.

Au cours de ma mission, je me suis rendu compte que ma collègue n’aurait pas le temps d’effectuer l’ensemble des tâches de la première étape qui lui était alloué. Par conséquent, à la moitié de mon stage j’ai pris en main les dernières actions à effectuer pour cette étape et notamment la constitution du livrable. Ce "retard" a alors décalé le travail que je devais effectuer sur la troisième étape du plan d’action. Ma contribution durant ce stage a donc porté sur les deux premières étapes du projet partenarial, la troisième étape étant prévue pour septembre, tandis que la quatrième est projetée trop loin dans le temps pour que je puisse y participer. Ainsi, il était tout naturel que cette partie du rapport ne suive non pas l’ordre chronologique des tâches que j’ai effectuées mais plutôt l’ordre logique des étapes successives du plan d’action qu’il fallait mener pour ce projet. L’écriture du déroulement de la mission est ainsi découpée en trois sections. Je souhaite y décrire les cheminements qui m’ont amené aux résultats recherchés et aux synthèses que j’ai réalisées mais j’aimerai également partager dans cette partie les résultats obtenus en les décrivant et en proposant une signification. Cette envie de faire découle sûrement de mon ancienne formation en Master Recherche de Biologie évolutive. Et bien que je ne sache pas vraiment si elle est pertinente pour ce rapport, j’ai décidé de l’intégrer car la mission qui m’a été confiée est en grande partie une mission de réflexion.

Pratiques numériques et culture scientifique chez les 15-25 ans

Avant de me lancer bille en tête dans cette première étape du plan d’action, j’ai pris mon temps pour bien relire les données et les documents réalisés par ma collègue. Il fallait que je sois bien imprégné par ce qu’elle avait fait tout en ayant une vue d’ensemble qui me permette de bien comprendre les

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tenants et les aboutissants. J’ai alors synthétisé et regroupé les informations qui me semblaient les plus pertinentes afin que je puisse les réutiliser plus tard lors de la constitution du livrable sur la spécification et la caractérisation des pratiques numériques et de culture scientifique des 15-25 ans sur le territoire aquitain.

Cartographie du public cible

Au départ, j’ai continué le benchmark, initié par ma collègue, sur le thème "jeunes, pratiques numériques, pratiques culturelles" afin d’ajouter de nouvelles données à celles déjà existantes. J’ai particulièrement insisté sur les pratiques culturelles et numériques des jeunes aquitains ainsi que sur leur profil social. Dans un premier temps, l’objectif était de qualifier la tranche d’âge des 15-25 ans dans la population aquitaine à partir de trois critères principaux. Sur le plan méthodologique, j’ai donc d’abord procédé à trois analyses distinctes ayant été conduites à partir de données existantes et consolidées par des données nationales et des résultats d’études antérieures (cf. Annexe).

Le premier critère correspondait à la localisation puisque cela permettait de déterminer à la fois où se situent les jeunes dans la région Aquitaine mais aussi le nombre qu’ils représentent. J’ai alors réalisé une étude socio-démographique territorialisée de la population aquitaine de 15-24 ans. Cette étude était basée sur les chiffres de 2009 délivrés par l'Insee (Institut National de la Statistique et des Études Économiques). J’y ai reporté le recensement de la population de ces jeunes par département et commune en Aquitaine sur une base de données avant de procéder à des méthodes de calculs afin d’obtenir les résultats escomptés. Ces résultats ont été retranscrits dans deux tableaux et une figure schématique. Le premier tableau correspond à la répartition des 15-24 ans selon les départements de la région Aquitaine. On peut ainsi déterminer les départements qui ont le plus grand pourcentage de cette population en leur sein puis comparer ces chiffres avec la moyenne nationale. De plus, on peut connaître la proportion que représente l’ensemble des jeunes pour chaque département en fonction de l’ensemble des jeunes aquitains. Le second tableau correspond au recensement des 15-24 ans au sein des vingt plus grandes villes girondines. Étant donné que Cap Sciences est situé en Gironde, il semblait pertinent de s’intéresser aussi de plus près à ce département et notamment aux villes contenant le plus de jeunes de 15-24 ans. La figure, quant à elle, correspond à une carte heuristique de la répartition des 15-24 ans en Aquitaine. L’intérêt était d’affiner les résultats du premier tableau en regardant au niveau des communes. Trois types de communes ont alors été définis : urbain, péri-urbain et rural. Les communes ont ensuite été classées, sans distinction départementale, par ordre du taux le plus élevé de 15-24 ans relativement à l'ensemble des 15-24 ans aquitains. Ainsi, les vingt premières communes de type urbain, tout comme les dix premières communes de type péri-urbain ou rural ont été représentées sous la forme d’une cartographie schématisée.

Le second critère concernait les pratiques numériques des 15-25 ans. L’intérêt résidait dans l’obtention d’une meilleure connaissance de l’environnement numérique dans lequel baigne cette tranche d’âge. J’ai donc mené une analyse des équipements et des pratiques numériques de la population ciblée. Cette fois-ci, je me suis penché sur l’étude quantitative conduite par l’AEC (Aquitaine Europe Communication) qui portaient sur les pratiques culturelles et les technologies numériques des aquitains en 2012. Je me suis reposé en grande partie sur le travail déjà effectué par ma collègue puisque les données issues de cette enquête avaient déjà fait l’objet d’un dépouillement par des tris croisés à partir du logiciel Sphinx (logiciel d’enquêtes et d’analyses et de données en

Laboratoire Aquil@bs - 2013 23 ligne). Ce logiciel avait alors fait ressortir les résultats les plus probants concernant l’utilisation du numérique par les jeunes aquitains. Ensuite, j’ai regroupé les graphiques les plus pertinents et les ai adapté pour le livrable. Les graphiques choisis sont au nombre de huit. Elles correspondent aux : - Taux d’équipement de différents outils numériques ;

- Usage du numérique chez les internautes ;

- Principales raisons d‘inscription sur les plateformes communautaires ; - Fréquence d’utilisation des sites communautaires ;

- Temps moyen consacré aux sites communautaires par semaine ; - Type d’appareil mobile utilisé prioritairement pour internet ; - Fréquence d'utilisation des appareils mobiles ;

- Temps moyen de connexion par jour via un appareil mobile.

Dans l’interprétation, il ne fallait pas oublier de prendre en compte les résultats de cette enquête qui concernait une tranche d’âge allant de 15 à 29 ans. Elle ne recouvrait donc pas uniquement les 15-25 ans. J’ai finalement complété l’ensemble avec des informations complémentaires sur les pratiques numériques des jeunes aquitains toujours via l’enquête de l’AEC de 2012.

Le dernier critère rassemble, de son côté, les pratiques culturelles, en particulier celles reliées au numérique. J’ai donc réalisé une analyse des pratiques culturelle et scientifique de cette population.

Cela a permis d’apporter des précisions sur un point où beaucoup de choses ont été dites mais sans fondements solides. Par contre, il faut savoir que très peu d’études sur les pratiques culturelles ont été menées par des instituts français et encore aucune sur les pratiques scientifiques. Même lorsqu’il y avait des informations sur les biens culturels, il n'était pas possible de différencier dans ces données ce qui relevait de la culture scientifique. En tout cas, l’absence de véritables études sur les pratiques scientifiques reste très surprenante. De ce fait, j’ai décidé de m’appuyer sur des enquêtes à l’échelle nationale puis régionale. Tout d’abord, je me suis basé sur l’étude nationale opérée par le CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel) en 2013 à propos des perceptions et des pratiques de consommation en matière de biens culturels dématérialisés chez les 15-24 ans. Cette étude a été élaborée selon une démarche qualitative donc elle ne vise pas une représentativité statistique. Le but ici était plutôt de comprendre les usages, les attitudes et les comportements des personnes interrogées. Puis, je me suis intéressé à l’enquête qualitative IFOP (Institut Français d’Opinion Publique) de 2013, réalisée pour Hadopi, et en particulier sur le chapitre traitant de la consommation des biens culturels. Les données représentaient l’ensemble des internautes de 15 ans et plus, les internautes de 15-24 ans et les 25-39 ans qui ont été retenus afin de donner un ordre de comparaison. J’ai ainsi repris deux graphiques que j’ai jugés intéressant pour le WP1. Ils correspondent à la consommation de biens culturels au cours des douze derniers mois en France et aux dépenses mensuelles pour des biens culturels dématérialisés en ligne en France. Pour terminer, j’ai encore fait appel à l’étude AEC de 2012 qui possède un volet sur les pratiques culturelles numériques. J’ai ainsi repris puis modifié un tableau et deux graphiques pour correspondre aux attentes de ce dernier critère sur la population cible. Le tableau correspond à la fréquentation des lieux culturels par les aquitains. Selon les tranches d’âges (15-29, 30-44, 45-59, 60-74 et 74 et plus), on peut déterminer les publics qui viennent souvent, rarement ou jamais dans lieux culturels comme le cinéma, le musée et les expositions ou encore le théâtre, l’opéra et les concerts de musique

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classique. Les deux graphiques correspondent, quant à eux, aux usages d'internet comme pratique culturelle et à la relation entre pratiques numériques et culturelles.

Types de public au sein de Cap Sciences et chez les 15-25 ans

Après avoir terminé de cartographier de manière synthétique les jeunes aquitains de 15-25 ans, j’ai essayé de comprendre dans un second temps les valeurs qui relient le public cible autour du numérique. J’ai alors repris le travail de synthèse des publics et de leur définition, écrit par ma collègue, en me basant sur les travaux de l’enseignant et chercheur Marc Prensky (cf. Annexe). Ce spécialiste de l’éducation et de l’apprentissage est le premier à avoir utilisé le terme de Digital Natives, que l’on retrouve dans son article de 2001 "Digital Natives, Digital Immigrants", pour parler des jeunes adultes de 15-25 ans. Il les regroupe tous sous ce terme du fait qu’ils ont tous grandi avec l’avènement d’Internet, des ordinateurs personnels, des jeux vidéo, des téléphones portables, de la messagerie instantanée et du texting (message texte). L’intérêt de reprendre ce terme était de mettre en lumière les traits caractéristiques de cette frange de la population ainsi que ses motivations quant à son mode de fonctionnement en tant que génération du numérique. Toutefois, malgré le goût commun pour le numérique, il existe des différences d’usage au sein des 15-25 ans.

Partant de ce principe, j’ai tenté de déterminer des profils types en fonction des pratiques numériques de ce public. J’ai ainsi repris en partie l’étude réalisée par Médiamétrie en 2012, pour le compte de Microsoft, qui avait pour objectif premier de déchiffrer la relation qu’entretiennent les 15-25 ans, la génération connectée, avec les ordinateurs à l’heure du Smartphone et de la tablette.

Huit profils ont été définis parmi les Digital Natives en fonction de l’assiduité de leurs usages quotidiens (cf. Annexe). Ces profils diffèrent essentiellement en fonction de l’âge et du sexe. Ils se nomment :

- Gamers ; - Scolaires ; - Cloud users ; - Fans d’info ; - Blogueurs ; - Shoppeurs ; - Vidéonautes.

En outre, j’ai également incorporé à cette partie des informations sur l’activité professionnelle de cette population via les données Insee de 2009. J’ai créé deux graphiques correspondant à la répartition de l'activité professionnelle chez les 15-24 ans et à la représentation des professions et catégories socioprofessionnelles parmi les actifs aquitains de 15 à 24 ans ayant un emploi. Ces informations ont ensuite été comparées avec les données délivrées par l’AEC en 2012 concernant les fréquences de visites de musées et d’expositions par les aquitains selon leur catégorie socio-professionnelle. Les résultats y sont retranscrits sous formes d’un tableau. C’est à partir de l’ensemble de ces données que j’ai pu constituer des classes de population au sein des 15-25 ans.

Dans un dernier temps, je me suis intéressé à l’ensemble des enquêtes conduites par Cap Sciences sur ses publics. J’ai alors réalisé une synthèse globale de ces enquêtes pour avoir des informations rapidement consultables (synthèse de onze pages, non incluse en annexe mais ajoutée sur le CD joint

Laboratoire Aquil@bs - 2013 25 au rapport). Puis, j’ai confronté ces données avec les résultats obtenus précédemment (cf. Annexe).

Je me suis ici particulièrement intéressé aux informations sur le profil des visiteurs mais j’ai également essayé de définir l’origine de la motivation des visiteurs à fréquenter le CCSTI. De plus, à partir de la base de données fournis par Cap Sciences pour l’année 2012 et le début d’année 2013, j’ai complété mon analyse en reprenant les renseignements les plus pertinents sur la fréquentation du site. Grâce à ces renseignements, j’ai élaboré un tableau comparant la population qui fréquente le centre de culture scientifique avec la population répartie en Aquitaine et dans ses différents départements. Sous forme de graphique, j’ai aussi représenté la répartition de la fréquentation des visiteurs à Cap Sciences en fonction du mois de l’année. J’en ai profité pour également représenter deux sous-catégories qui correspondent respectivement aux visiteurs individuels (seuls, en famille ou entre amis) et aux groupes (de types scolaires). L’objectif de toute cette partie était de caractériser le public des 15-25 ans qui fréquente Cap Sciences afin d'établir l'écart entre le public réel (celui qui fréquente le site) et le public potentiel mais aussi de de définir la zone d'attractivité du CCSTI pour le public cible.

Élaboration du livrable sur le public aquitain des 15-25 ans

Lors de l’écriture d’un livrable, il est essentiel de rappeler en premier lieu le plan d’action ainsi que la méthodologie employée en précisant ce que l’on cherche et ce que l’on a fait. Puis, il faut rédiger l’analyse pour terminer par les préconisations. Le but est de faire comprendre au partenaire le pourquoi et qu’il accepte le comment. Pour le moment, j’ai déjà écrit et fait valider l’introduction et la méthode employée pour ce livrable par mon encadrant de stage Didier Paquelin. La partie analyse, quant à elle, est déjà écrite et a été corrigée plusieurs fois. Il manque juste la dernière correction avant la validation. Par contre, la dernière partie sur les préconisations est toujours en cours d’écriture et le maquettage n’a pas été commencé. De ce fait, le livrable fournit à la fin de mon rapport (cf. Annexe) n’est pas le produit final. C’est très dommageable puisque j’aurais bien aimé terminer le WP1 avant de rendre de mon rapport de stage. Je terminerai donc le livrable courant septembre lors de la poursuite de ma mission.

Quoiqu’il en soit, il y a quand même des éléments très intéressants sur lesquels on peut s’attarder et qui serviront pour proposer les préconisations. Premièrement, j’ai constaté que les jeunes aquitains de 15-24 ans étaient plus de la moitié à vivre en Gironde et notamment au niveau de Bordeaux et de sa communauté urbaine où ils représentent en moyenne 15 % de la population. Deuxièmement, en analysant les résultats trouvés à partir des bases de données, j’ai pu vérifier que la population de cette tranche d’âge était très équipée au niveau numérique avec une préférence de plus en plus marquée pour les appareils mobiles de type Smartphone. Par ailleurs, je me suis aperçu que leurs pratiques numériques tournaient beaucoup autour des plateformes communautaires comme Facebook et que ces pratiques étaient principalement basées sur le divertissement au détriment de l’apprentissage ou de la culture. Néanmoins, une analyse approfondie m’a permis de mettre en avant que les jeunes de 15-25 ans n’étaient pas réfractaires à la culture mais que contrairement aux autres tranches d’âge, leur goût pour les biens culturels dématérialisés était plus fort. De plus, j’ai également remarqué que les outils numériques, omniprésents dans la vie de ces 15-25 ans, leur servaient entre autre de support aux pratiques culturelles. Malgré tout, ces outils n’étaient pas forcément utiliser préférentiellement pour les mêmes usages au sein de cette population et qu’il était possible de distinguer des catégories selon l’âge, le sexe mais aussi la catégorie socioprofessionnelle. D’autre part, les enquêtes de Cap Sciences m’ont permis d’avancer deux

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timides conclusions. Tout d’abord, j’ai constaté que les résultats des diverses enquêtes semblaient aller à l’encontre du point de vue énoncé par le projet Inmédiats qui stipule que les 15-25 ans fréquentent moins ce type de lieux que les autres classes d’âges. En effet, il semblerait qu’ils représentent 15,6 % des visiteurs du CCSTI. De même, je me suis aperçu que Cap Sciences semblait toucher la population cible de manière hétérogène puisque les lycéens et les étudiants étaient bien présents contrairement aux autres jeunes aquitains en lien avec le monde du travail. À partir de là, j’ai essayé de déterminer la zone d’attractivité du centre, le public réel des 15-25 ans qui venait à Cap Sciences et le public potentiel qui pouvait venir. J’ai alors posé comme postulat que la zone d’attractivité du CCSTI correspondait à Bordeaux et à l’ensemble des villes adjacentes puisque 52 % des jeunes girondins y habitent et que près de 93 % des visiteurs aquitains du centre sont girondins.

Le public potentiel devait alors correspondre à l’ensemble des 15-25 ans de cette zone, soit 14,73 % des habitants. Enfin, en considérant que 8,52 % des girondins visitent le centre par an, d’après les calculs réalisées à partir de la base de données de Cap Sciences, alors 1,33 % des 15-25 ans du département sont venus à Cap Sciences en 2012. Ce chiffre représente le public réel du CCSTI.

Voilà donc les informations les plus pertinentes que l’on pouvait tirer de ces analyses avec afin

Voilà donc les informations les plus pertinentes que l’on pouvait tirer de ces analyses avec afin

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