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CST - CONSEILLER SCIENCE ET TECHNOLOGIE

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ALLEMAGNE - BERLIN - SERVICE SCIENTIFIQUE Le profil sera publié ultérieurement

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CHINE - PÉKIN SERVICE SCIENTIFIQUE

Le conseiller pour la Science et technologie est placé directement sous l’autorité de

l’Ambassadeur. Il anime une équipe de 6 attachés, dont 3 placés dans les consulats de Shanghai, Wuhan et Canton. Le conseiller, universitaire ou chercheur de qualité, doit avoir une large expérience des milieux de recherche, universitaires, et institutionnels français et avoir dirigé et/ou coordonné des équipes de travail ainsi que des projets à grande échelle et/ou à l’international.

Une bonne connaissance de tous les outils européens ainsi que des milieux industriels et d’innovation tant publics que privés est indispensable. Il doit être doté de capacités fortes de gestion, d’élaboration stratégique et d’animation d’équipe. Il est responsable de la stratégie de la coopération scientifique de l’Ambassade de France sur l’ensemble du territoire chinois (à

l’exception de HK, Macao, Taiwan). Il exerce aussi une autorité partagée avec le conseiller culturel, sur l’attaché de coopération universitaire. Il dirige et coordonne toutes les activités du service pour la Science et la Technologie et qui portent sur : la veille scientifique et des politiques chinoises dans ce domaine, le conseil ainsi que la promotion de la recherche française publique et privée, la gestion des outils de coopération propres à l’Ambassade de France. Il est le relais sur place, en tant que de besoin, des organismes de recherche publics et privés français.

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INDE - NEW-DELHI - SERVICE SCIENTIFIQUE

Placé sous l’autorité hiérarchique directe de l’Ambassadeur, le Conseiller pour la Science et la Technologie est compétent dans les domaines scientifique et technologique entrant dans le cadre de la coopération entre la France et l’Inde. Il conseille le Chef de poste sur ces questions et le représente, le cas échéant, auprès des institutions officielles indiennes. Il est le relais sur place des universités et des organismes de recherche français avec lesquels il entretient des relations étroites. Il travaille en permanente synergie avec les autres services de l’Ambassade, en particulier avec la Mission économique et avec le SCAC, principalement sur les questions de coopération universitaire. Il anime le service pour la Science et la Technologie dont il coordonne les activités dans le domaine de la coopération scientifique et de la recherche. Le candidat, enseignant du supérieur ou chercheur, aura des compétences en matière de gestions

administrative et d’équipe. La pratique courante de l’anglais est obligatoire dans un milieu exclusivement anglophone. Une expérience à l’étranger dans le domaine de la coopération est souhaitable. Il anime une équipe composée d’attachés scientifiques, de volontaires internationaux et de deux assistants, recrutés locaux, et assure la tutelle du Centre de Sciences Humaines de Delhi et de l’Institut Français de Pondichéry. Il a la responsabilité de l’ensemble de la

coopération scientifique et de recherche du poste et participe en collaboration avec le Conseiller culturel et l’Attaché de Coopération Universitaire à la mise en œuvre de la politique de promotion de l’enseignement supérieur français. Diplômé de l’Université, d’une Grande École scientifique ou chercheur, il maîtrise les outils administratifs et financiers de la coopération française

bilatérale. Dans un pays exclusivement anglophone, il est indispensable que le candidat ait une bonne pratique courante de l’anglais.

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ITALIE - ROME - SERVICE SCIENTIFIQUE

Le Conseiller pour la science et la technologie devra, dans le cadre de la veille scientifique, informer en permanence l’Ambassadeur et le département sur les politiques menées en Italie en matière de recherche et dans le domaine universitaire, et sur les grandes réalisations scientifiques.

Il mènera par ailleurs, avec les acteurs français (organismes de recherche, universités), des actions de coopération dans les domaines universitaires et de recherches avec l’élaboration d’accords entre organismes des deux pays mais également entre laboratoires et chercheurs. Il utilisera les outils de la coopération que sont le programme de bourses du gouvernement français, dont il assurera la gestion, et le programme d’actions intégrées Hubert Curien, mais également tous les outils mis en œuvre par les grands organismes de recherche. Il devra mener une politique de coopération bilatérale forte, avec montage de réseaux de recherche et universitaires pouvant s’imposer dans un cadre européen. L’action de coopération universitaire sera menée par l’attaché

de coopération universitaire placé sous sa tutelle ainsi que sous celle du conseiller culturel. Il veillera à une bonne harmonisation entre l’action du poste dans ce domaine et celle de

l’université franco-italienne. Par ailleurs, dans le cadre des politiques d’innovation technologique mises en place par la France et l’Italie, il mènera des actions, en collaboration avec l’AFIRIT (Association franco-italienne pour la recherche industrielle et technologique), de rapprochements entre les districts technologiques italiens et les pôles de compétitivité français. Cet aspect sera mené en étroite collaboration avec la mission économique.

Parallèlement, le conseiller scientifique, montera, avec les partenaires italiens et français des manifestations de diffusion de la culture scientifique visant principalement à montrer la qualité de la recherche et de la technologie française et participer ainsi à l’attractivité du territoire.

Avec les volontaires internationaux qui sont affectés au service scientifique, il alimentera un bulletin électronique diffusant les réalisations italiennes en matière scientifique, et informera, dans un bulletin mis sur le site de l’Ambassade, des réalisations françaises. En parallèle, il chargera les V.I. de rédiger des rapports de fonds sur de grands sujets scientifiques, d’économie scientifique ou de politique liée à la science (le spatial en Italie, la politique universitaire, le SIDA en Italie, le nucléaire en Italie…).Enfin, le conseiller scientifique en Italie, gère un programme de bourses de stages destinés à de jeunes ingénieurs français désirant accomplir un stage dans une entreprise italienne.

L’Italie étant un des pays plus fort contributeur à l’agence spatiale européenne, la coopération dans ce domaine est capitale avec un impact européen très marqué. D’autre part, la politique d’innovation et de développement technologique mis en place en Italie avec notamment la création de districts technologiques régionaux, conduit à mettre en place des coopérations avec nos pôles de compétitivité, dans le cadre d’une complémentarité technologique pouvant

s’imposer au niveau européen. En ce qui concerne la coopération en matière de recherche et universitaire, d’une façon générale, elle se met en place souvent de façon spontanée ; une des actions du poste étant d’essayer d’institutionnaliser ces coopérations par la signature d’accords-cadres entre les organismes ou les laboratoires de recherche. Pour ce qui est de la coopération universitaire, l’Italie présente une caractéristique dont il y a lieu de tenir compte, à savoir la présence de l’Université Franco-Italienne (UFI), dont l’action doit être coordonnée avec celle du poste.

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ROYAUME-UNI - LONDRES SERVICE SCIENTIFIQUE

Le conseiller, chef du service pour la science et la technologie, assure, sous l’autorité de l’Ambassadeur, et en liaison avec les acteurs publics de la R&D français, trois missions. En premier lieu, une veille scientifique et technologique de haut niveau, qui se traduit par la rédaction d’un bulletin mensuel et de rapports ou notes thématiques, sur demande ou à son initiative ; ensuite, la promotion de la science et de la technologie françaises au Royaume-Uni, entre autres au travers d’un site Internet, et par l’organisation de missions et de conférences ; et, enfin, le développement équilibré des partenariats, des échanges scientifiques bilatéraux et de l’innovation entre les deux pays, avec pour seconde finalité la participation d’équipes et d’entreprises françaises au PCRD. Le conseiller doit être reconnu par ses pairs et ses interlocuteurs étrangers pour ses travaux scientifiques et sa qualification de chercheur ou

d’enseignant-chercheur. Il dispose de l’expérience de la direction et de la gestion financière d’une équipe, ainsi que de l’adaptabilité requise comme collaborateur direct et conseiller de

l’Ambassadeur. Il maîtrise couramment l’anglais. Chef d’un service d’une dizaine de personnes, de statuts différents, dont un représentant de l’Inserm, le conseiller veille à la cohérence de leurs actions sur l’ensemble du territoire britannique. Il s’appuie sur la programmation, assortie de cofinancements chaque fois que cela est possible. Ouvert sur le monde de l’entreprise, il travaille en étroite collaboration avec les autres services de l’Ambassade et notamment avec la mission économique. Il assure avec le Conseiller culturel le co-encadrement de l’attaché de coopération universitaire.