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4. L’analyse des métaphores dans les textes journalistiques

4.3. La conclusion de l’analyse

Voici deux tables des métaphores trouvées dans les articles.

Les métaphores structurelles :

LA PÉRIODE

LE JOURNAL 2015 (peu après les attaques) 2016 /2017 (le discours ou la commémoration)

Le Monde (gauche)

LA COMMUNICATION EST UN CANAL

UN ÉTAT EST UN

MOUVEMENT ÉLÉCTRIQUE

UN ÉVÉNEMENT NÉGATIF EST L’HORREUR

LES ÉMOTIONS SONT LA

GUERRE (l’express)

UN ÉTAT EST UN MOUVEMENT ÉLÉCTRIQUE

LES ÉVÉNEMENTS SONT DES TABLEAUX

UN ÉVÉNEMENT NÉGATIF EST L’ENFER

UN ENSEMBLE EST UNE FORCE

DE LA NATURE

Le Figaro

EST L’HORREUR PLANTES

LES CONCEPTS NÉGATIFS SONT DES ENNEMIS

Le Point (droit)

UN ÉVÉNEMENT NÉGATIF EST L’ENFER *2

UN ÉTAT EST UN

MOUVEMENT ÉLÉCTRIQUE

LES SENTIMENTS SONT DES VOYAGES

UNE PERSONNE EST UNE CONSTRUCTION

LES HOMMES SONT DES ANIMAUX

LES HOMMES SONT LES FORCES DE LA NATURE

L’ESPRIT EST UN PLAN D’EAU

Table 1.

Les métaphores ontologiques :

LA PÉRIODE

LE JOURNAL 2015 (peu après les attaques) 2016 / 2017 (le discours ou la commémoration)

Le Monde (gauche)

PERSONNIFICATION 2

LES ÉVÉNEMENTS SONT DES ENTITÉS 1,

UN PAYS EST UNE ENTITÉ

LES ÉMOTIONS SONT DES

ENTITÉS

LES ÉTATS SONT DES ENTITÉS

UNE PERSONNE EST UN CONTENANT

LES SENTIMENTS SONT DES OBJETS

LES ACTIONS SONT DES ENTITÉS

PERSONNIFICATION

LES ÉMOTIONS SONT DES ENTITÉS

LES ÉMOTIONS SONT EN BAS/LA RAISON EST EN HAUT

L’ESPRIT EST UN OBJET

PERSONNIFICATION PERSONNIFICATION

L’ESPRIT EST UN OBJET

Le Nouvel Observateur

(gauche)

LES ÉTATS SONT DES ENTITÉS

L’ESPRIT EST UNE ENTITÉ

LES ÉMOTIONS SONT DES OBJETS

LA VIE EST UN

PROCESSUS

LES ÉVÉNEMENTS

SONT DES ENTITÉS

LES ACTIONS SONT

DEVANT/LES IDÉES

SONT DERRIÈRE

LA SOCIÉTÉ EST UNE ENTITÉ PHYSIQUE

FranceInfo (gauche)

UNE PÈRIODE TEMPORELLE EST UNE ENTITÈ

LES ACTES CRIMINELS SONT FROIDS/LES ÉMOTIONS SONT CHAUDES

LES IDÈES SONT DERRIÈRE

PERSONNIFICATION

LA VIE EST UNE ENTITÈ

L’ESPRIT EST UN OBJET FRAGILE

LE PASSÈ EST

UN PAYS EST UNE ENTITÈ

DERRIÈRE

LES ÉVÉNEMENTS

SONT DES ENTITÉS

Le Figaro (droit)

LES ÉTATS SONT DES

CONTENANTS

LA VIE EST UNE ENTITÉ

LES ÉMOTIONS SONT DES CONTENANTS

LE SENTIMENT FORT EST EN HAUT

PERSONNIFICATION

LA VIE EST UNE ENTITÉ EN PARTIES

L’Express (droit)

LES ÉTATS SONT DES

CONTENANTS

LES ÉTATS SONT DES ENTITÉS

LES SENTIMENTS SONT DES ENTITÉS

LES ÉTATS SONT DES CONTENANTS

LES ÉVÉNEMENTS

SONT DES ENTITÉS

LES ÉTATS NÉGATIFS SONT FROIDS

UNE ACTION EST UN VOYAGE

LES ÉTATS SONT DES ENTITÉS

LA COMMUNICATION

EST UNE ACTION

PHYSIQUE

PERSONNIFICATION

LES GROUPES DES

HOMMES SONT DES ENTITÉS

LES ÉVÉNEMENTS

SONT DES ACTIONS PHYSIQUES

Le Point (droit)

LES ÉVÉNEMENTS SONT DES ACTIONS PHYSIQUES

LES ACTIONS SONT

NOMBRABLES

LES ÉVÉNEMENTS NÉGATIFS DURENT LONGTEMPS

UN ÉTAT EST UNE ENTITÉ

LA MORT EST UN OBJET

LA VIE EST UN

CONTENANT

UNE ÉMOTION EST UN MODE DE VIE

PERSONNIFICATION

LES ÉMOTIONS SONT DES ENTITÉS

L’ESPRIT EST UN

CONTENANT

LA VIE EST UNE ENTITÉ

Table 2.

La conclusion principale qu’on peut tirer de l’analyse effectuée, c’est qu’il n’y avait pas une très grande différence entre l’utilisation des métaphores dans les journaux d’orientation gauche et des journaux d’orientation droite. Une explication peut peut-être se trouver dans le fait que les journaux font partie d’une même communauté et qu’il s’agit des sentiments et des témoignages humains. À savoir, les métaphores étaient les plus fréquentes dans les témoignages personnels. Il s’agit des expériences très subjectives, et comme telles très difficiles à exprimer sans l’utilisation de la métaphore.

En tout, on peut voir que les métaphores ontologiques sont utilisées beaucoup plus souvent après 2015. En 2015, les gens avaient des questions et voulaient aussi des informations concrètes, alors qu’en 2016 et 2017 il s’agissait plutôt d’hommages, de commémorations, et d’un discours général. On soulignait plutôt les conséquences dont les gens souffraient, et souffrent encore. On soulignait aussi les souvenirs, le mode de vie après les attaques, les sentiments pendant les commémorations, etc. Donc, la métaphore ontologique était très fréquente car elle permettait de parler de concepts abstraits – d’émotions, de souvenirs, d’états d’esprit – d’une manière fortement liée à l’expérience physique avec le monde autour de nous. Cette expérience physique est à la base du mode de vie humain ; conséquemment, il est logique que la métaphore ontologique soit fortement utilisée lorsqu’on essaie de communiquer nos expériences personnelles.

La métaphore structurelle la plus fréquente est UN ÉVÉNEMENT NÉGATIF EST L’ENFER. On la trouve dans tous les journaux, et le plus fréquemment dans Le Figaro (plutôt après 2015). Avec cette métaphore, on évoque une image infernale que les survivants ont vécue directement, et que les lecteurs peuvent vivre indirectement. Une métaphore très similaire à celle-ci est UN ÉVÉNEMENT NÉGATIF EST L’HORREUR, aussi une des plus fréquentes. Alors on peut conclure que, dans les articles sur les attentats, l’image dominante et celle de l’enfer, de l’horreur, du cauchemar. Ainsi on souligne tout ce qui est à la base de l’expérience humaine de cette nuit.

On peut aussi voir que la personnification est un peu plus rare dans les journaux de l’orientation droite. En 2015, L’Express et Le Point avaient utilisé le plus de métaphores structurelles. En tout, en 2015 on utilisait plus de métaphores structurelles se référant à la violence, au sang, aux cris, au meurtre, et aux autres aspects du déroulement de l’événement.

Deux ans après, on ne parle plus tellement de sang, mais davantage de souvenirs, de changements de la vie quotidienne, et de l’avenir du peuple français et de ses membres.

5. Conclusion

Ce travail avait pour but d’étudier l’utilisation de la métaphore dans les textes journalistiques. Il s’agit des journaux qui font partie de la vie quotidienne du public français, et dont les informations influencent la perception de certains événements. Dans ce travail, l’accent est mis sur les événements tragiques, notamment les attentats qui se sont passés le 13 novembre 2015 à Paris. On voulait d’abord voir s’il y avait des différences ou des similarités entre l’utilisation des métaphores selon l’orientation politique des journaux choisis (Le Figaro, L’Express et Le Point de l’orientation droite, et Le Monde, Le Nouvel Observateur et FranceInfode l’orientation gauche). Puis, on voulait comparer les métaphores dans les textes écrits peu après l’événement, et ceux écrits pendant la commémoration ou le souvenir de l’événement.

Dans un premier temps, on parle de l’importance des médias dans la diffusion des informations. À savoir, ce sont les médias qui sont le moyen principal d’information. Leur rôle principal est la communication des idées, des savoirs, etc. Quand il s’agit d’événements tragiques, qui ont une dimension particulièrement émotive, les médias doivent aussi prendre en compte ce côté émotif. Cela signifie que les textes écrits pour informer sur les tragédies doivent satisfaire les besoins du lecteur de s’identifier à la situation en question sur un niveau affectif. Le rôle principal appartient à l’informateur, c’est-à-dire à celui qui est responsable de produire un texte (ou une autre forme) sur les événements en question. C’est lui qui est le médiateur entre l’événement, l’information et le public. Autrement dit, il est responsable de la création d’un lien direct entre l’événement et le lecteur. Ce procédé, selon Tétu, a trois composantes principales : la morale que l’informateur doit maintenir ; l’opinion de l’informateur, souvent prenant le côté de la victime ; l’esthétisation de l’événement en question. Pour obtenir cela, l’informateur choisit des outils linguistiques pour décrire, juger, toucher, exprimer les opinions, etc.

Un des outils linguistiques est la métaphore, notamment la métaphore conceptuelle. La deuxième partie de ce mémoire se concentre sur la théorie de la métaphore. Commençant par l’histoire de la métaphore, on décrit qu’elle était définie longtemps simplement comme un outil rhétorique avec lequel on dit une chose pour exprimer une autre chose. Au 20èmesiècle, le développement de la linguistique cognitive a montré que la métaphore est, en fait, un processus cognitif et non seulement un jeu de mots et de sens. Ce processus cognitif est appelé projection conceptuelle par George Lakoff, et par ce processus on projette certains aspects d’un concept sur certains aspects d’un autre concept. De plus, les métaphores

conceptuelles sont classifiées, selon la fréquence d’utilisation, en métaphores conventionnelles et nouvelles, et selon leur structure, en métaphores structurelles, orientationnelles et ontologiques.

Une caractéristique très importante de la métaphore conceptuelle est qu’elle a le pouvoir de transmettre l’expérience à travers la langue. C’est pourquoi on l’utilise souvent quand on a besoin de décrire ou d’exprimer nos émotions, nos idées, nos pensées. Selon Andrew Ortony, ce pouvoir est basé sur trois traits de la métaphore : sa compacité, sa vivacité et sa capacité d’exprimer les choses « inexprimables », c’est-à-dire abstraites, comme le sont les émotions ou les expériences subjectives. Cela est très utile quand il s’agit des textes journalistiques sur les attentats du 13 novembre, car on doit transmettre les aspects de l’expérience personnelle de la victime au lecteur.

Dans la partie analytique, on liste et on analyse les métaphores trouvées dans 35 textes tirés de différents journaux français. Les journaux sont catégorisés selon leur orientation politique gauche ou droite, et les textes sont catégorisés selon la date de publication, notamment ceux publiés en 2015 et ceux publiés après. Les résultats ont montré que, puisque il s’agissait des expériences tragiques du peuple français, les journaux ont été plus ou moins unis quant à l’utilisation de la métaphore. De plus, il s’est montré que c’est la métaphore ontologique qui était le plus utilisée dans les cas ou on parlait des souvenirs, des conséquences, et de « la vie après ».

Pour conclure, on peut dire que ce sont les expériences personnelles qui nécessitent l’utilisation du langage métaphorique le plus. Les attentats du 13 novembre 2015 sont parmi les événements qui ont marqué tout une génération non seulement en France et en Europe, mais aussi dans le monde entier. Les médias jouaient, et jouent toujours, un rôle important dans la diffusion des informations sur l’événement et ses conséquences. Avec ce travail on voulait explorer plus profondément comment les médias utilisent le langage pour créer un lien entre l’événement et le lecteur, en se concentrant sur la métaphore et son rôle dans les textes journalistiques.

Povzetek

Cilj tega magistrskega dela je bil raziskati uporabo metafore v novinarskih besedilih o terorističnih napadih, ki so se zgodili 13. novembra 2015 v Parizu. Gre za tragične dogodke, ki so prizadeli vso francosko javnost. S tem delom smo poskusili določiti morebitne razlike in podobnosti med uporabo metafore glede na politično usmeritev (levo ali desno) in obdobje, v katerem je besedilo napisano (v ali po letu 2015).

Prvi del se osredotoča na medije in njihovo vlogo širjenja informacij, ki jo igrajo v družbi. Danes so mediji glavno sredstvo informiranja javnosti in komuniciranja z le-to. Poleg tega so tudi eno glavnih orožij političnega vplivanja tako na širšo javnost kot tudi na posameznika. V osrčju raziskave so tragični dogodki, ki lahko pri večini ljudi izzovejo močna čustva. Zato se pri informiranju o takšnih dogodkih uporablja čustvena retorika, ki lahko vpliva na najširši krog bralcev. Najpomembnejša oseba je avtor teksta, saj je on tisti, ki izbira sredstvo, s katerim bo podal informacijo. On je zveza med informacijo in javnostjo, ker ji podaja direktni vpogled v dogodek. Na koncu poglavja o medijih so definirane tri komponente prenosa informacij o tragičnem dogodku: morala, ki jo mora avtor obdržati;

njegovo mnenje (ponavadi se zavzame za žrtev) in estetizacija. Na koncu je omenjena metafora kot sredstvo, ki da informacijam dodatmo razsežnost. Drugi del magistrskega dela se ukvarja s teorijo konceptualne metafore. Zgodovina teorije kaže, da je bila metafora dolgo definirana samo kot retorično orodje in da se je v 20. stoletju razvilo naziranje, da je metafora pravzaprav kognitivni proces dojemanja stvarnosti, ki ga uporabljamo v vsakodnevnem govoru. V poglavju je natančno razložen proces konceptualnega projiciranja, kot ga je opisal George Lakoff, in ki se odvije pri vsaki uporabi metafore. Opisana sta Lakoffova in Turnerjeva klasifikacija metafor, ki se delijo na konvencionalne, nove, strukturalne, orientacijske in ontološke. Na koncu je opisana moč metafore, da prenese osebne izkušnje v komunikaciji, in moč oblikovanja diskursa o določeni temi. Zadnji del magistrskega dela se ukvarja z analizo posameznih strukturalnih in ontoloških metafor v 35-ih besedilih, ki so razdeljeni glede na to, kdaj in v katerem časopisu (levo ali desno politično usmerjenem) so objavljeni. Za levo usmerjenost so izbrani Le Monde, Le Nouvel Observateur in FranceInfo, za desno usmerjenost Le Figaro, L’Express in Le Point. V analizi so razloženi tip in pomen vsake metafore. V sklepnem delu je podana sinteza analiziranih metafor, na podlagi katere je izdelan zaključek o uporabi metafor v izbranih besedilih.

Na podlagi kvalitativne analize je v magistrskem delu prikazano, kako mediji s pomočjo uporabe metafor, obveščajo javnost o nekem tragičnem dogodku. Vidi se, kakšne metafore so uporabljene in kako pogosto, ter kakšne so razlike in podobnosti glede na levo,

oz. desno politično usmeritev časopisov. Zaključek je, da se jezik in uporaba metafor v izbranih besedilih ne razlikujeta preveč, zato ker gre za tragične izkušnje, ki so prizadele ne le žrtve napadov, temveč tudi celotno Francijo. Pokazalo se je tudi, da se ontološka metafora pogosteje uporablja pri opisovanju osebnih izkušenj, spominov in posledic v življenju po napadih.

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