• Aucun résultat trouvé

06 CONCERNANT LES M ODULES DE L ’EXPOSITION IMAGITÉ (i.e le panorama)

Dans le document Imagité [image_magie_agité] (Page 52-59)

À chaque émotion / Son coeur s’enflamme II Et il advient parfois que l’eau de pluie / Ruisselle sur ses joues II Aveuglé par ses sanglots / Il n’arrive plus à différencier / Le sang du beau de l’eau.

Luc A. Charette, 03/2003

Dans la sixième partie intitulée Concernant les modules de l ’exposition Imagité, je donne une description sommaire des éléments modulaires présentés dans cette mise en scène, pour ne pas dire

présentés dans l ’œuvre puisque seule l’installation (i.e. la mise en scène) elle-même peut, à ce stade,

revendiquer cette appellation.

Note : des illustrations des œuvres présentées dans cette mise en scène sont disponibles sur le cédérom accompagnant ce mémoire.

Voir, c ’est croire et Toucher du doigt

061 ־ L ’axe de recherche vidéo performance — Temporalité. Actions/Gestes. Introspection. Afin de

réaliser des courtes performances d’atelier, études de geste et de signe langagiers retrouvés dans quelques formes de langage en usage dans la culture nord-américaine.

Une œuvre de cette catégorie a été réalisée pour cette section. Il s’agit d’un module installatif composé de trois moniteurs vidéo ayant pour titre beauté-bleutée.

1A - beauté-bleutée

La forme141 : Petite salle, approximativement 16 pieds x 16 x 8. Murs recouverts de panneaux de styromousse bleue. Moniteur A de 60 pouces, encastré dans le mur situé à gauche de l’entrée de la salle. Deux autres moniteurs de 20 pouces (moniteur B et moniteur C) apposés l’un contre l’autre, prennent place dans le coin haut, à droite, d’un mur perpendiculaire à celui du moniteur A, faisant face à l’entrée de la salle. Seule la lueur des moniteurs illumine cette salle.

Le sujet142 : L ’image diffusée sur le moniteur A représente un personnage, vu de face, la tête recouverte d ’une cagoule noire, assis sur une chaise elle-même adossée contre un mur intérieur de béton. Le personnage, presque immobile et au regard fixe, tient une chandelle allumée dans la main gauche. Le personnage exécute un geste quasi répétitif en recouvrant la flamme de la chandelle à l’aide de la main droite. Un message en code morse, dont les sons concordent avec les gestes de la main, est perceptible. L’opération dure approximativement 3 minutes 30 secondes et est répétée en boucle.

52

141 - Le terme forme dans le sens de l’apparence physique. 142 - Le terme sujet dans le sens du contenu traité.

Les moniteurs B et C diffusent deux bandes vidéo différentes. L’image du moniteur B représente une oreille humaine en gros plan fixe. Superposé sur cette image, un

personnage, dans le coin inférieur gauche, exécute des gestes. Il s’agit d ’un message en langage des signes pour les sourds. Le moniteur C, quant à lui, diffuse en gros plan une bouche humaine qui articule des mots, souvent d’une manière agressive. La diffusion de ces deux bandes vidéo se déroule silencieusement.

062 ־ L ’axe de recherche a rt num érique — Temporalité. Participatif. Poétique et méditative. Art Web. Afin de réaliser des animations interactives à l’aide de regroupements d'images, d'écrits, de sons et de vidéos créés dans l’axe de recherche précédent. Poèmes numériques développés non pas à l’aide d’accents narratifs, mais plutôt à l’aide de trajectoires non linéaires.

Trois œuvres de cette catégorie ont été réalisées pour cette section. Il s’agit de modules installatifs composées soit d’une animation numérique sur borne interactive, soit d’une projection numérique, d’une composante Art Web, une installation d’unités modulaires au mur, ou d ’une combinaison de ces possibilités. Les trois œuvres sont titrées respectivement éros-rosé ; collecteur de virus ; autofiction- mimodrames : d'après les sept péchés capitaux.

2A ־ éros-rosé

La forme : Animation numérique multimédia et participative, présentée à l’aide d’une borne interactive de 24 pouces x 24 x 60 et d ’une projection multimédia sur écran de 8 pieds x 12. La projection sur écran, située dans une salle adjacente, dont les murs sont recouverts de styromousse rose, est animée par un visiteur/participant à l’aide de la borne interactive.

Six unités modulaires, composée chacune d’un panneau d’aluminium de 48 pouces x 48 et d’un caisson lumineux de 48 pouces x 60 x 6, sont disposées sur les murs de la salle contenant la borne interactive. Cette salle d’exposition est dans la quasi-pénombre puisque uniquement la lumière en provenance de la borne interactive et des caissons lumineux illumine l’espace d’exposition.

Le sujet : L ’animation participative est composée d’images fixes et en mouvement, de textes fixes et en mouvement, et de clips audio. Il s’agit d’un poème numérique (i.e. de trajets visuels, sonores et interactifs) offrant différentes possibilités de parcours. Il s’agit surtout de tentatives de création d'expériences sensibles, donc appréhendées dans l'espace et le temps, et se manifestant à la conscience par l'entremise de la réalité

virtuelle et de l'interactivité.

Les tendances chaotiques véhiculées par le biais du propos de ce projet d’art numérique s’élaborent autour de la constatation suivante : nous avons à faire face quotidiennement à différents événements ou phénomènes inattendus, heureux ou malheureux, disparates, et le seul lien qui regroupe les objets de ces expériences vient du fait que ces phénomènes sont survenus à une date précise dans la vie d'un individu.

Les six images de grand format présentées à l’aide de caissons lumineux sont des photomontages réalisés à l’aide de captures d’écrans de certaines séquences du poème numérique éros-rosé. En accompagnement, six panneaux d ’aluminium (comme ceux

utilisés dans la signalétique urbaine), affichant au total six dessins symboliques synthétisés, sont présentés à gauche de chacun des caissons lumineux.

2B ־ collecteur de virus

La forme : Animation numérique participative présentée à l’aide d ’une sculpture (i.e. borne interactive) de 4 pieds x 4 x 6 et d’un site Web. Deux autres éléments présentés au mur accompagnent la borne interactive, soit un panneau d ’aluminium de 48 pouces x 48 contenant un dessin symbolique synthétisé, et une image dans un caisson de 48 pouces x 72 x 6.

Le sujet : L’animation numérique est essentiellement composée de six interfaces interactives traitant de la question des virus informatiques. Il s’agit en fait d ’une

machine dont la fonction est de démystifier, de répertorier et de collectionner les virus

informatiques.

La collecte de virus s’effectue par le truchement du site Web qui présente la même animation numérique que la borne interactive, agrémentée d ’un formulaire. A l’aide de ce formulaire, les internautes sont en mesure de faire parvenir des virus informatiques dans une base de données sur le serveur : collecteur de virus.

2C - autofiction - mimodrames : d ’après les sept péchés capitaux

La forme : Installation au mur à l’aide de sept caissons de 24 pouces x 24 x 6, d ’un caisson de 24 pouces x 48 x 6 et d’un module de 24 pouces x 48 x 32 sur lequel repose un ordinateur présentant l ’interface d’un site Web. Ce site Web a été conçu spécialement pour cette pièce.

Le sujet : Sept autoportraits en couleur, tête et épaules, interprétant par des mimiques les sept péchés capitaux. Texte de style publicitaire, donnant des renseignements au sujet du site Web (celui-ci se trouvant uniquement sur le Web).

L’interface du site Web reprend la disposition de l’installation des modules présentés sur le mur. Des hyperliens sur chacune des images font apparaître des nouvelles pages Web dont le contenu interprète poétiquement, à l’aide d’une narration réelle ou fictive de style journalistique, l’accomplissement du péché dont il est question.

063 ־ L ’axe de recherche installation — Mise en scène. Ornementation. Participatif. Afin de réaliser

un environnement dynamique adapté aux déploiements des œuvres numériques créées dans les deux axes de recherche précédents. Utilisation de caissons lumineux, bornes interactives, projection multimédia. Utilisation de capteurs de présence et de la robotique afin d ’activer certaines unités modulaires.

La forme : La version originale de la mise en scène accompagnant ce mémoire a été conçue d ’après l’espace d ’exposition de la Galerie d ’art de l’Université de Moncton, comprenant une salle de 30 pieds x 35 x 10, une salle de 20 pieds x 20 x 10, un espace de 12 pieds x 12 x 8 et un espace de 8 pieds x 16 x 8.

Tel que mentionné précédemment, les espaces d ’exposition sont dans la quasi-pénombre puisque uniquement les lumières en provenance des bornes interactives, des caissons lumineux et de la projection multimédia illuminent l’espace d ’exposition.

Le sujet : Déploiement des œuvres installatives décrites précédemment, soit :

beauté-bleutée • éros-rosé

• collecteur de virus

• autofiction - mimodrames : d ’après les sept péchés capitaux.

J ’estime, comme Guy Blackburn, que « l ’installation est un espace où s ’accumulent, s ’empilent,

s ’alignent, s ’organisent les sensibilités}^ »

07 - CONCLUSION

S’efforcer à bien faire et laisser dire car le problème n’est pas tant ce qu’on fait que la façon

dont c’est perçu.

Et ceci me conduit à conclure... En temps de guerre144, il est extrêmement difficile de se concentrer sur la création. Tant de destructions, de malheurs, de haines, de cruautés, de pleurs, d ’arrogances et de vantardises refoulent et remettent continuellement en question la valeur réelle de l’activité artistique. Américains et Irakiens se livrent présentement, en plus des lancements de missiles, des bombardements et des rafales de AK-47, un autre type de guerre, celle de la communication. Aujourd’hui, Jour S145 dans tous les médias, on fait état de la guerre d ’images des belligérants et les journalistes font ressortir l’affaire des sosies de Saddam Hussein, rumeur qui s’est installée suite à l’annonce par les Américains que Hussein avait été blessé, voire tué, au cours des premiers bombardements146. Une guerre

psychologique du type Conte des Mille et une Nuits] 1, qui ne fait qu’amplifier la fiction télévisée par rapport à la réalité des atrocités commises. Voir, c’est croire sans toucher du doigt à cette histoire en développement dans ce monde complètement virtuel où, médiatisés dans une perspective

psychologique américaine, le bon Dieu (G. W. Bush/chrétien) et le mal, Satan (S. Hussein/musulman), s’entrechoquent pour le meilleur et pour le pire148.

Mettre des images en action et en opposition (en référence au module éros-rosé présenté dans

l’exposition), faire naître des sosies et raconter des histoires à l’aide de faits réels ou fictifs {autofiction

- mimodrames : d ’après les sept péchés capitaux), questionner nos modes de communications {beauté- bleutée), interpréter l ’action terroriste et l’armement biologique {collecteur de virus) et faire ressortir

des questionnements moraux en soulignant des interrogations sont tous des thèmes que j ’ai abordés et développés dans le projet IM A G ITÉ [ image magie agité ]. En scrutant la réalité virtuelle médiatique du temps présent, je me suis également rendu compte à quel point le trajet auquel j ’ai également fait allusion dans ce mémoire et qui est omniprésent dans toutes mes réalisations, s’avère être la

caractéristique la plus essentielle du projet. Lorsque l’on regarde le développement de cette guerre, en rapport direct avec la réaction des Américains suite aux attentats commis le 11 septembre 2001149, nous constatons le développement d ’un projet de vengeance alimenté au départ par l’orgueil. D ’abord (1) une chasse à l’homme du FBI M ost Wanted, à la recherche d ’un dénommé Ben Laden150, principal

144 - Une guerre que les Américains ont titré Opération Iraki Freedom bat son plein présentement au Moyen-Orient. 145 ־ Les intervenants du monde médiatique ont pris l’habitude de répertorier l’activité militaire en cours à l’aide du chiffrement des jours. Il s’agit, selon moi, d’un rappel psychologique du débarquement du Jour J, en Normandie en juin 1944, pour la reconquête de la France lors de la deuxième guerre mondiale. Mentionnons que les Français ne prennent pas part à la présente guerre et qu’ils se sont opposés farouchement aux Américains à la table des négociations de l’ONU.

- SEROT, Emmanuel. « Éclairage. Guerre d’images : l’Irak n’a pas dit son dernier mot », Le Soleil (Québec), 27 mars 2003, p. A5).

147 - Le rapport avec Bagdad ne pouvant être plus significatif.

148 - Pour faire allusion aux déclarations du président George W. Bush. Les termes bon, mal, Dieu, Satan furent utilisés dans ses discours prononcés afin d ’inciter les pays membres de l’ONU à voter une loi d ’entrer en guerre contre l’Irak. Notons que les Américains ont éventuellement entrepris cette guerre sans l’accord des pays membres de l’ONU : G odis an

American!, God bless America!

149 - Date qui, à ce qui a trait à sa référence pour les Américains, entre dorénavant dans l’histoire en tant que 9-11 (terme anglais prononcé nine eleven). Renvois au code d’urgence 9-1-1, de même qu’à la date de l’attentat : 9e mois, 1 Ie jour. 150 - La plaisanterie en vogue au Canada français en décembre 2001, Il y aurait b 'en d ’Ia dinde à Noël, reflète effectivement notre aptitude à ridiculiser les pires atrocités.

responsable, semblerait-il, de l’écroulement des deux tours du World Trade Center, puis (2)

l’envahissement de l’Afghanistan afin de circonscrire une population hostile et d ’anéantir la menace des factions terroristes qui s ’y trouvent, ensuite (3) le démantèlement des laboratoires d ’armes

biochimiques (surnommées Smoking Guns), ainsi que des armes de destruction massive prétendument dissimulées en Irak, suivi de (4) la libération rapide des Irakiens de l’emprise tyrannique du régime irakien par l ’entremise d ’une guerre propre151 et, en date d ’aujourd’hui, le 27 mars 2003, (5) la décapitation du président dictateur Saddam Hussein lui-même. Dorénavant on est en mesure de constater qu’il s’agit effectivement d ’un trajet, et non pas d ’un projet, puisque le but ultime de l’intention de départ a complètement disparu. Quelqu’un, quelque part, doit payer le coût de cette humiliation, de cette mise à génuflexion à Ground Zéro. Cette vengeance, si douce aux cœurs des Américains, afin de redorer leur blason et de ne pas perdre la fa ce en fin de compte, aura-t-elle comme résultat final la prise sous contrôle de la plus importante nappe de pétrole au monde ? Dans cette optique, qu’adviendra-t-il du Canada qui, avec la région des Grands Lacs, possède le plus important bassin d ’eau potable au monde ? Américains et Canadiens font partie de la même famille, semblerait-il : à quand donc la discorde suite au dévoilement du testament légué par l’ONU

agonisante ?

Mettre fin à une envolée n ’est jamais chose facile mais puisqu’il est convenu que toute bonne chose doit éventuellement avoir une fin (pourquoi au fa it ? ),je m ’apprête à inscrire le point final. A bien y penser, il reste toutefois deux autres points qu’il m ’avère important de mentionner dans le cadre des résultats obtenus par cette recherche.

Le premier point concerne la quatrième partie du présent mémoire, Apport des différentes form es de

langage. Dans ce chapitre, j ’ai présenté et décrit brièvement plusieurs formes de langage qui offrent

des aspects particuliers pour l’élaboration d ’un corpus dans lequel je suis en mesure de référer pour mes créations. J ’ai choisi, pour le moment, de signaler cet aspect de ma recherche à l’aide

d’illustrations uniquement puisque j ’entrevois approfondir cette réflexion dans le cadre d’un doctorat en études et pratiques des arts à l’Université du Québec à Montréal.

Le deuxième point concerne la tendance à vouloir scinder le domaine des arts visuels afin de faire ressortir la spécificité des arts médiatiques. À titre d ’exemple, l’Université du Québec à Montréal affiche depuis quelques années à son répertoire une École des arts visuels et médiatiques et le Conseil des arts du Canada a mis sur pied un Programme de bourses en arts médiatiques152 distinct du

Programme de bourses en arts visuels153. Mes questionnements et réflexions au cours de cette

recherche m ’ont permis de remettre en cause ma pratique, non pas du point de vue du propos ou de la démarche, mais du point de vue du procédé lui-même. Pourquoi cette distinction entre arts visuels et arts médiatiques ? Qu’en est-il de si distinctif aux arts médiatiques pour qu’ils méritent relativement une appellation et une catégorisation différente ? Prenons conscience de la définition du terme retrouvée dans le Dictionnaire des arts médiatiques :

151 - Les Américains espéraient, au début de cette opération de libération, que les militaires américains et britanniques seraient accueillis à bras ouverts par la population irakienne, sous-estimant les forces de sécurité et les paramilitaires fedayin.

152 - Qui regroupe les Subventions aux artistes du cinéma et de la vidéo, les Subventions ata artistes des nouveaux médias et

de l'audio et les Subventions aux organismes de production en arts médiatiques.

153 - Qui regroupe les Subventions aux artistes professionnels des arts visuels (y compris la photographie), les Subventions

de projet aux organismes (des arts visuels, des métiers d ’art et de l ’architecture) et les Subventions annuelles aux organismes (aide aux musées, aux galeries d ’art et centre d ’artistes autogérés).

« A rt m édiatique, media art. VIDÉO - (n.m.) Forme d'art utilisant l'électronique,

l'informatique et les nouveaux moyens de communication. La technologie et ses différents procédés sont détournés de leur usage habituel pour servir à la production d'oeuvres d'art. Les artistes qui sont associés aux arts médiatiques travaillent entre autres en cinéma expérimental, en vidéo, en holographie, en infographie, en copigraphie et en art réseau. Ils créent des

installations multimédias et interactives. Ils utilisent des ordinateurs, des télécopieurs, des satellites. Ce sont aussi des producteurs de radio et de télévision d'avant-garde, ou encore des musiciens dont les compositions, les enregistrements ou les concerts impliquent des ressources électroniques ou num ériques.154 »

Cette distinction entre les arts médiatiques et les arts visuels m ’apparaît injustifiée puisque le but en arts médiatiques reste le même que celui recherché en arts visuels, soit, selon la définition précédente,

la production d'œuvres d ’art. Il semblerait, selon l’usage actuel, que cette distinction s’appuie

uniquement sur le fait que les œuvres d ’art de cette catégorie sont réalisées avec de nouveaux outils, les médiatiques.

Sur ce, j ’entreprends donc de clore la rédaction de ce mémoire à l’aide d ’une citation d’Hervé Fischer :

« ce n 'est pas plus l'ordinateur que le crayon ou le pinceau qui fa it l ’artiste. Depuis que M arcel Duchamp nous a imposé l ’urinoir et le porte bouteille, nous ne pouvons plus définir, comme au XVIIe siècle la nature de l'œuvre d ’art p a r son support. 155 »

154 - POISSANT, Louise (sous la direction de) (1996). Dictionnaire des arts médiatiques. Montréal, Groupe de recherche en arts médiatiques, Université du Québec à Montréal. [En ligne] http://www.comm.uqam.ca/~GRAM/Accueil.html (Page consultée le 3 avril 2002). Voir aussi Poissant, Louise (1997). Dictionnaire des arts médiatiques. Sainte-Foy (Québec), Presses de l'Université du Québec, (coll. Esthétique).

155 - FISCHER Hervé (2003). « L'infographie numérique : un nouveau médium artistique », Aima, Sagamie. Communiqué pour le colloque virtuel États de l'infographie d'art (avril 2003).

08 - BIBLIOGRAPHIE

Dans le document Imagité [image_magie_agité] (Page 52-59)

Documents relatifs